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Les jeunes enfants maîtrisent plus l’informatique que tout le reste

Selon ce que rapporte Le Parisien, les enfants âgés de deux à cinq ans peuvent être très à l’aise avec la technologie.

Une étude révèle que dans ce groupe d’âge, 69 % sont très à l’aise avec l’informatique et maîtrisent parfaitement le fonctionnement d’une souris d’ordinateur.

Parmi ces jeunes enfants, 58 % jouent à des jeux sur l’ordinateur et 28 % sont en mesure de composer un numéro de téléphone sur un cellulaire.

Devrait-on s’en alarmer? Peut-être, selon les chercheurs, qui ont constaté que dans ce même groupe d’âge, seulement 20 % savent nager et 11 % sont capables de lacer leurs chaussures tout seuls comme des grands. Ils ont donc moins de difficultés avec l’informatique.

Une petite donnée rassurante toutefois, il existe encore 77 % des jeunes enfants qui sont capables de résoudre un casse-tête.

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Préparer les enfants aux situations d’urgences

Le journal spécialisé Scandinavian Journal of Trauma, Resuscitation and Emergency Medecine affirme que les parents devraient enseigner à leurs enfants comment porter secours à une personne en détresse.

Selon la recherche, des enfants de quatre à cinq ans seraient tout à fait en mesure de comprendre et de bien aider.

Pendant deux mois, cinq petites filles et cinq petits garçons ont appris des règles de base à suivre s’ils étaient confrontés à des situations d’urgence, comme regarder, parler à la personne dans le besoin, la toucher et tenter de la réveiller, la rassurer et appeler les secours.

Au total, après avoir été soumis à différents scénarios, 7 des 10 enfants étaient capables de savoir si la personne était seulement endormie ou inconsciente et savaient le numéro d’urgence par cœur. Quatre d’entre eux étaient même capables de donner les bons renseignements au téléphone.

Par contre, pour certains experts, ceci représenterait une trop grande responsabilité à donner aux jeunes enfants, ce qui pourrait également causer un sentiment de culpabilité en cas d’échec.

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Les jeux vidéo violents ne sont pas trop mauvais à long terme

De nombreux parents et chercheurs se sont longtemps inquiétés que les jeunes enfants qui sont exposés à des jeux vidéo violents puissent être désensibilisés face à des actes et des images de violence. Toutefois, Babycenter.com révèle qu’une nouvelle étude suggère que cela pourrait ne pas être le cas.

Des chercheurs canadiens qui ont comparé des joueurs et des non-joueurs ont découvert qu’à long terme, les joueurs étaient tout aussi susceptibles de se souvenir d’images négatives dans des tests de mémoire et à démontrer le même niveau d’émotion en réaction à des images négatives que les non-joueurs.

L’auteure de cette étude, Holly Bowen, a déclaré : « Les sujets qui jouent aux jeux vidéo ne se différenciaient pas, en ce qui concerne la mémoire et l’éveil physique, à ceux qui n’y jouent pas. De plus, il n’y avait pas de différence entre la façon dont les sujets de chacun des groupes se sentaient après avoir vu des images négatives ou violentes. »

Soulignons que les jeux vidéo sont très différents de la violence à la télévision et dans des films, puisque les joueurs sont activement impliqués dans l’agression, lorsqu’il s’agit d’un jeu.

Rappelons que des études précédentes suggéraient que les jeux vidéo violents pouvaient mener à un comportement plus agressif et irritable, en plus de désensibiliser les jeunes à la violence.

Toutefois, Bowen souligne que la plupart de ces recherches avaient été effectuées rapidement après l’exposition au jeu vidéo, ce qui pourrait ne pas être représentatif à long terme.

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Les enfants ingèrent plus de sel que la quantité recommandée pour les adultes

C’est bien connu, les enfants ont une bien mauvaise alimentation, mais les experts sonnent l’alarme.

Selon le Daily Mail, les enfants de sept ans ingurgitent plus de sel que la quantité maximale recommandée pour les adultes.

On recommande aux gens de ne pas dépasser 6 g de sel par jour, mais une récente étude révèle que chez les enfants de 7 à 14 ans, les garçons consomment 6,4 g de sel chaque jour, contre 5,6 g pour les filles. De plus, les experts pensent que ces données sont faussées, car la consommation aurait été sous-déclarée.

Les chercheurs croient qu’une réduction de 42 % de l’apport en sel chez les enfants réduirait considérablement de graves problèmes de santé à l’âge adulte comme la pression artérielle. La malbouffe, les pâtes déjà préparées et les céréales pour enfants ont contribué à augmenter la consommation de sodium.

Les experts se soucient également de la hausse de consommation de gras saturés et de sucre ainsi que du manque de vitamines et de minéraux essentiels chez les jeunes enfants. Cela peut mener au diabète de type 2, aux maladies cardiovasculaires et au cancer, en plus d’encourager le développement de l’obésité infantile.

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Le divorce a des effets sur les études des enfants

Selon une étude réalisée par l’Université catholique de Louvain en Belgique, les enfants de couples divorcés auraient plus de difficultés que les autres dans leurs études.

 

Cette nouvelle étude confirme encore une fois que les enfants subissent de nombreuses conséquences du divorce de leurs parents.

Les chercheurs de cette étude ont analysé les résultats scolaires des enfants de parents divorcés. Ils ont découvert que 22 % d’entre eux obtiennent un diplôme d’études supérieures, contrairement à 45 % des enfants de parents unis.

Soulignons que 24 % des enfants obtenant un diplôme d’études supérieures proviennent de familles monoparentales et 20 % de familles recomposées.

De plus, la reprise d’une année scolaire serait deux fois plus présente chez les enfants de parents divorcés que chez les autres, particulièrement chez les garçons.

Ces faits ont été observés auprès de 1 256 adolescents flamands.

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La fièvre est normale chez les enfants

Selon un récent rapport, les parents qui traitent une fièvre légère en donnant à leur jeune enfant un mélange de paracétamol et d’ibuprofène pourraient contribuer à prolonger la maladie ou même mettre sa santé en danger, rapporte Daily Mail.

Des experts révèlent que notre société est sous l’emprise d’une phobie de la fièvre qui pousse les parents à utiliser trop souvent ces deux médicaments pour diminuer une légère hausse de température.

Il semble que près de la moitié des parents inquiets donnent à leur enfant la mauvaise dose de médicaments, ce qui pourrait mener à une surdose.

Dans ce rapport, qui a été publié par l’American Academy of Pediatrics, on précise que la fièvre est loin d’être un mauvais signe, puisqu’elle signifie simplement que le corps de l’enfant combat la maladie.

Ils affirment donc qu’alterner des doses de paracétamol et d’ibuprofène pourrait faire plus de mal que de bien.

On peut lire dans ce rapport : « L’accent devrait être mis sur le fait que la fièvre n’est pas une maladie, mais un mécanisme physiologique qui a des effets bénéfiques dans la lutte contre les infections. »

Soulignons que la consommation de paracétamol chez les jeunes enfants peut avoir un lien avec l’asthme, alors que l’ibuprofène, dans des cas très rares, peut mener à des ulcères d’estomac, voire à des problèmes de reins.

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Moins de cas d’asthme sur les fermes

On savait déjà que les enfants qui grandissent sur une ferme ont une meilleure santé que les autres en général. Or, une récente étude parue dans le New England Journal of Medicine nous apprend que c’est à cause d’une plus grande exposition aux microbes et aux bactéries.

En fait, les germes expliqueraient une partie du problème en ce qui a trait à l’asthme. Afin d’arriver à ces résultats, on a analysé les données provenant de deux études européennes ayant porté sur l’asthme auprès de plus de 16 500 enfants d’âge scolaire.

On a analysé la saleté à laquelle étaient exposés les jeunes participants dans leur milieu de vie. Il en est ressorti que plus l’exposition était diversifiée, moins les enfants étaient asthmatiques.

Toutefois, on ne saurait dire pour l’instant de quels microbes il s’agit exactement. Un vaccin contre l’asthme pourrait pourtant être créé si un microbe était identifié.

On croit jusqu’ici que les microbes faisant partie du groupe fongique Eurotium pourraient être à la base de ce phénomène, de même qu’une sorte de bactéries, les Listeria monocytogènes.

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Calmez-vous votre enfant en le nourrissant?

Le réflexe de donner de la nourriture à un enfant pour le calmer semble si courant que l’on mené une étude sur le sujet. En effet, on peut lire sur Nutrinews hebdo qu’une expérience en laboratoire a été réalisée sur des enfants de trois à cinq ans.

Or, les résultats de cette étude ont prouvé qu’il s’agit là d’une très mauvaise façon de régler des problèmes émotionnels. Au contraire, elle ferait naître chez l’enfant de bien mauvaises habitudes alimentaires.

En effet, l’enfant aura tendance, une fois adulte, à grignoter même lorsqu’il n’aura pas faim. De plus, il risque de connaître des problèmes de consommation alimentaire. Dès qu’il vivra une anxiété, il sera porté à manger pour se détendre.

C’est que le plus souvent, on donne un morceau de gâteau ou des sucreries – bref, quelque chose que nous trouvons réconfortant – à l’enfant pour qu’il se calme. Ce dernier aura donc tendance à associer ce type de nourriture au réconfort et à une solution à des problèmes émotionnels.

Il est donc recommandé d’éviter de genre de comportement et de plutôt chercher à régler l’excitation d’un enfant d’une autre manière, en lui proposant une activité relaxante par exemple.

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Les allergies en lien avec la vitamine D

Les enfants qui présentent un faible taux sanguin de vitamine D ont plus tendance à développer des allergies.

C’est ce qu’a démontré une récente étude américaine parue dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology. Toutefois, il s’agit pour l’instant d’une corrélation, non pas d’une cause à effet prouvée.

Malgré tout, les résultats de cette recherche parlent d’eux-mêmes. Ayant porté sur 3 100 enfants et 3 400 adultes, le lien entre la vitamine D et les allergies n’a pu être établi que chez le premier groupe, non le second.

À partir d’échantillons sanguins, on a évalué le taux de vitamine D dans le sang et on a utilisé un test relevant la présence de 17 allergènes différents.

Mentionnons que les allergies sont reconnaissables par l’analyse des taux d’immunoglobuline E, une protéine produite par le système immunitaire lors que le corps réagit à une allergie.

Donc, chez les enfants comme chez les adolescents, une faible quantité de vitamine D entrait en corrélation avec une réactivité à 11 des 17 allergènes testés, qu’ils soient alimentaires ou environnementaux. Par exemple, un enfant ayant une carence en vitamine D courait 2,4 fois plus de risques d’être allergique aux arachides.

On peut donc conclure que même s’il n’est question que d’une corrélation pour l’instant, il est fortement recommandé que les enfants ingèrent une quantité adéquate de vitamine D chaque jour.

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Retirer l’appendice de l’enfant au plus tôt?

Selon Archives of Surgery, un bon nombre d’enfants bénéficieraient d’une appendicectomie hâtive. C’est la recommandation que fait une équipe de chercheurs du Centre des sciences de la santé de l’Université du Tennessee à Memphis.

Précisément, ceux qui reçoivent un diagnostic d’appendice perforé devraient être opérés le plus vite possible. Des problèmes pourraient donc être plus facilement évités, dont les infections, les abcès intra-abdominaux et même la réadmission à l’hôpital.
 
Les chercheurs de la présente étude ont pu tirer ces conclusions après avoir suivi 131 patients, âgés de moins de 18 ans, qui avaient reçu un diagnostic d’appendice perforé entre 2006 et 2009. Parmi eux, 64 ont été opérés rapidement, contre 67 qui ont vu leur chirurgie être reportée.
 
Ceux qui ont été opérés rapidement sont restés deux jours de moins à l’hôpital en moyenne. De plus, ils ont pu reprendre leurs activités avant 14 jours, contre 19 pour les autres. Finalement, leur taux de complications ou problèmes reliés était de 30 %, comparativement à 55 % chez les autres.

Toutefois, on mentionne que certains enfants se portent mieux en prenant des antibiotiques pendant leur crise d’appendicite et en se faisant opérer un peu plus tard. Il semble donc que la présente étude relance plus le débat qu’elle ne le clôt.