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Vitamine D et maladies respiratoires de bébé

On peut lire dans Pediatrics les résultats d’une recherche américaine ayant porté sur une cohorte de 922 enfants néo-zélandais.

Les enfants dont on pouvait analyser le sang de leur cordon ombilical étaient ensuite observés à l’âge de cinq ans.

Les chercheurs ont remarqué un lien entre le faible taux de vitamine D de la femme enceinte et l’apparition de maladies respiratoires ou du râle chez son enfant.

On a évalué à 39 % le taux de risques pour les enfants dont la mère atteignait un taux minimal de vitamine D. Ce taux doublait lorsque la mère se situait encore plus bas.

Toutefois, aucun lien n’a pu être établi entre ce manque de vitamine et un plus haut risque de développement de l’asthme.

Après avoir écarté les facteurs liés au mois de naissance, c’est-à-dire la saison, on a remarqué une incidence des troubles cités chez des bébés de trois mois dont la maman avait un taux déficient de vitamine D.

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L’imagerie cérébrale pour les enfants dyslexiques

Quarante-cinq enfants ont participé à une étude de l’Université Stanford, en Californie, portant sur la dyslexie. Parmi eux, 25 étaient dyslexiques.

On peut lire le détail de cette recherche dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

Grâce à l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) et celle de diffusion, il a été possible aux chercheurs de l’étude de prédire les améliorations de lecture chez les enfants dyslexiques.

On pourrait donc agir très tôt pour résoudre la dyslexie, voyant d’avance comme ce trouble se développera.

La dyslexie touche de 5 à 17 % des enfants. Certains réussissent à se débrouiller en trouvant leurs propres techniques, mais plusieurs d’entre eux rencontrent des problèmes d’apprentissage collatéraux.

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L’exercice quotidien et la pression sanguine de l’enfant

Une étude étalée sur trois ans a prouvé l’effet positif de l’exercice en milieu scolaire sur la santé des enfants, nous apprend Medical News Today.

Il semble que les enfants qui faisaient de l’exercice quotidiennement avaient une plus basse pression sanguine et présentaient de meilleures capacités cardiovasculaires.

Pour tirer ces conclusions, on a comparé deux groupes d’élèves allemands de sixième année.

Le premier groupe faisait de l’exercice chaque jour, tandis que le second pratiquait des activités sportives habituelles en milieu scolaire, soit deux heures par semaine.

Les enfants des deux groupes ont aussi été évalués de façon globale, subissant une analyse sanguine et une étude de leur comportement, par exemple.

Tous les enfants étaient comparables quant à leur indice de masse corporelle, leur âge et leurs aptitudes motrices.

Les résultats de cette étude ouvrent donc la voie à une meilleure prévention des maladies cardiovasculaires en encourageant mieux l’activité physique durant l’enfance.

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Le fer rend l’enfant plus intelligent

Des chercheurs américains ont étudié le cas de 676 enfants d’âge scolaire pour tirer ces conclusions. Leurs résultats sont parus dans le Journal of American Medical Association.

Toutes les mères de ces enfants ont fait partie d’un programme durant leur grossesse, faisant en sorte qu’elles ont ingéré de l’acide folique et du fer sur une base régulière.

Il en est ressorti que le fer et l’acide folique influenceraient positivement l’intelligence des enfants. De plus, ils feraient en sorte que les petits sont mieux organisés et qu’ils ont de meilleures aptitudes motrices.

Faire en sorte que les mères des pays en voie de développement prennent ces compléments durant leur grossesse aurait un grand impact sur l’éducation future de leurs enfants.

Le fer est essentiel au développement du système nerveux central.

Rappelons que selon l’Organisation mondiale de la santé, deux milliards de personnes souffrent d’une déficience en fer, ce qui en fait la carence la plus commune sur la planète.

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L’homéopathie : danger pour les enfants

On peut lire dans Archives of Disease in Childhood que les traitements homéopathiques comportent des dangers pour les enfants. Ils pourraient même entraîner la mort dans certains cas.

En général, les parents ne pensent pas aux effets secondaires possibles des traitements de la médecine alternative, ceux-ci étant de source naturelle.

Selon les données de la Surveillance infantile australienne, de 2001 à 2003, 46 incidents impliquant des traitements homéopathiques et des enfants ont été répertoriés. Parmi ceux-ci, on compte quatre morts.

Certains facteurs pouvant avoir de graves répercussions en administrant ces médicaments ont été relevés en étudiant les cas cités.

D’abord, lorsque des médicaments conventionnels ont été substitués à un traitement homéopathique. Deuxièmement, si la compagnie produisant le médicament naturel en a changé la teneur des constituants. Et en dernier lieu, quand des restrictions alimentaires ont été imposées en pensant à de possibles effets secondaires.

On a finalement noté que les parents tendent à vouloir soigner de multiples maux avec l’homéopathie, que ce soit la constipation, le diabète, voire la paralysie cérébrale.

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Les enfants négligés auront un QI plus faible

Les enfants qui sont ou qui ont été victimes de sévices courent plus de risques de connaître des échecs scolaires.

C’est la conclusion d’une étude de l’Université du Queensland en Australie, parue dans Pediatrics, qui a porté sur 7 000 mères et leurs enfants nés entre 1981 et 1983.

Les chercheurs ont dû se servir de données confidentielles de rapports de sévices ou de négligence parentale pour arriver à leurs résultats.

Une fois que les 3 796 enfants sont devenus adolescents (14 ans), ils ont été évalués quant à leurs capacités de lecture, de raisonnement abstrait et d’aptitudes mathématiques.

Les 298 adolescents dont on avait rapporté des sévices ou de la négligence, soit 7,9 % des participants, avaient en moyenne 3 points de moins à leur test de QI que ceux qui n’en avaient pas souffert.

Cette étude met donc en lumière, une fois de plus, les graves répercussions de la maltraitance vécue par certains enfants.

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La pollution serait une cause du diabète infantile

Une récente étude effectuée sur de jeunes souris, par des chercheurs de l’Université d’État de l’Ohio, nous fait douter de l’impact de la qualité de l’air sur la santé.

C’est qu’indépendamment des facteurs principaux du diabète, soit une mauvaise alimentation et peu d’exercice physique, la pollution de l’air en causerait l’apparition.

On peut donc lire dans le journal Arteriosclerosis, Thrombosis, and Vascular Biologyque le résumé de cette recherche, la première du genre dans le domaine.

Les chercheurs ont choisi des souris qui avaient une alimentation soit riche en gras, soit faible en gras.

Ensuite, ils les ont exposées à de l’air de qualité ou à de l’air contenant au moins sept fois plus de particules polluantes que l’air ambiant de leur laboratoire.

Les souris ayant été exposées à l’air pollué avaient des cellules de gras plus nombreuses et plus grosses dans leur paroi abdominale. Leur sang contenait aussi un taux plus élevé de sucre que celles exposées à l’air de qualité.

Finalement, les souris ayant une bonne alimentation, mais ayant été exposées à l’air pollué, présentaient des signes précurseurs du diabète.

On a donc démontré que la pollution de l’air cause une inflammation et des changements aux cellules de gras, des facteurs importants dans l’apparition du diabète de type 2.

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Les jouets d’aujourd’hui sont aussi dangereux qu’avant

Selon HealthDay, les parents devraient redoubler de prudence lorsqu’ils choisissent un nouveau jouet pour leur enfant. 

En effet, la Fédération américaine des consommateurs a émis de nombreuses mises en garde sur ce sujet, alors que les jouets d’aujourd’hui ne sont pas moins dangereux que ceux du passé.

S’ils comportent moins de risques d’étouffement, leurs puissantes piles, leurs aimants et leurs lumières lasers peuvent entraîner différentes blessures chez les tout-petits.

Il semblerait qu’aux États-Unis seulement, on répertorie 235 000 cas de blessures liées à des jouets chez les enfants chaque année. En 2008, on a même compté jusqu’à 19 morts.

Le jouet pouvant entraîner le plus de blessures serait le tricycle, ayant causé le plus grand nombre de décès en 2008.

On propose donc plusieurs actions préventives, dont le respect des normes du fabricant et l’observation attentive de toutes les parties du jouet.

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Pas trop vite, les antibiotiques contre l’otite

Les infections de l’oreille moyenne augmentent de façon significative durant la saison froide. 

Pourtant, il semble que l’otite aiguë pourrait être traitée dans de nombreux cas par la simple attente, et ce, sans aucun effet négatif à long terme, lit-on sur Medical News Today.

C’est la recommandation que font des chercheurs de l’Université Ben-Gurion de Negev, en Israël.

Selon eux, la moins grande utilisation de tels antibiotiques jouerait un rôle important dans un plus faible développement des bactéries résistantes.

Depuis plusieurs années, la norme était de donner automatiquement des antibiotiques aux enfants présentant des symptômes de l’otite.

Or, on a remarqué avec le temps que les bactéries qui survivent à ces mêmes antibiotiques y développent une résistance.

On propose donc, pour les enfants de six mois et plus, de privilégier l’observation des symptômes pour l’otite moyenne à aiguë et d’administrer des antibiotiques adéquats.

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La punition des parents actuels : pas d’Internet!

On entend de plus en plus « Pas d’Internet pour une semaine! » au lieu de « Pas de télévision pour une semaine! » de la part des parents d’aujourd’hui.

C’est la conclusion de chercheurs de l’Université du sud de la Californie (Centre de l’avenir numérique) à la suite d’un sondage réalisé en avril 2010 auprès d’environ 2 000 Américains.

Les deux tiers des parents donnent comme punition l’interdiction de regarder la télévision à leurs enfants.

Il semble pourtant que la punition classique des dernières années soit en mutation. En effet, si 32 % défendaient l’accès à l’ordinateur en 2000, ils représentent désormais 57 % des parents.

De plus, il semble que cela dérange moins les parents que les plus jeunes passent du temps devant l’écran de l’ordinateur plutôt que celui du téléviseur.

Pour 71 % des parents interrogés, le temps passé sur Internet par leurs enfants serait « juste correct », contre 51 % en ce qui concerne la télévision.

Il semble donc que les parents modernes font de moins en moins la distinction entre la télévision et l’Internet.