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Risques du téléphone cellulaire pendant la grossesse

Une femme enceinte qui parle souvent au téléphone cellulaire augmente les risques de troubles de comportement de son enfant, selon une récente étude parue dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Sous forme d’un sondage, les habitudes de 29 000 femmes et enfants ont fourni des détails quant à leur mode de vie, leur alimentation et leur milieu.

Ainsi, en étant exposé à ce type d’appareil durant la grossesse, un enfant a 30 % plus de risques d’avoir des problèmes de comportement lorsqu’il aura 7 ans.

Il semble donc que pour un enfant qui utilise un téléphone cellulaire à un jeune âge, les risques de présenter un trouble du comportement s’élèvent à 50 %.

Le même taux revient pour ceux qui étaient exposés avant et après la naissance. Finalement, les enfants qui utilisaient un tel téléphone sans avoir été exposés durant la grossesse couraient un risque de 20 % d’avoir des problèmes de ce genre.

Certains scientifiques demeurent toutefois sceptiques quant aux résultats de cette étude californienne. Selon eux, des facteurs liés au mode de vie pourraient être plus fortement en cause que le téléphone cellulaire.

Malgré tout, l’étude en question nous poussera à redoubler de prudence quant à l’utilisation de tels appareils durant la grossesse et par les enfants.

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Les jeux vidéo, une solution au surpoids des enfants?

L’obésité et le diabète de type 2 chez les plus jeunes pourraient être évités en partie grâce aux jeux vidéo. Cette surprenante possibilité est tirée d’une étude parue récemment dans l’American Journal of Preventive Medecine.

Il semble en effet, après avoir suivi 153 enfants âgés de 10 à 12 ans, que les jeux d’aventures encouragent les plus jeunes à bouger plus et à mieux s’alimenter.

Parmi eux, 103 faisaient partie du groupe en traitement, tandis que 50 étaient aux fins de contrôle. Ce deuxième groupe jouait à des jeux trouvés sur des sites internet.

Les jeux d’aventures épiques qui ont servi à l’étude étaient comparables à certains produits offerts sur le marché qui sont de bonne qualité.

Jouer à ces jeux a donc poussé les enfants à n’ingérer que les deux tiers de leurs rations quotidiennes, sans malgré tout augmenter la consommation d’eau ou mener le degré d’activité de moyen à élevé.

Il y a donc une influence, même si le degré d’activité physique et la consommation d’eau sont demeurés sous le seuil minimum requis.

Des études subséquentes sont évidemment nécessaires pour prouver hors de tout doute l’efficacité et les mécanismes de changements engendrés par ces jeux.

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Sauter le déjeuner ne pousse pas les enfants à manger plus par la suite

Selon les croyances populaires, sauter le déjeuner nous pousse à manger plus dans la journée, à cause du manque à combler. Or, une étude parue dans The American Journal of Clinical Nutrition nous dit le contraire.

Des chercheurs d’une université de Philadelphie ont suivi un groupe d’environ 21 enfants âgés de 8 à 10 ans pour vérifier si le saut du déjeuner influençait la quantité de calories ingérées par la suite.

Mentionnons au passage que la majorité de ces enfants avaient l’habitude de prendre un bon déjeuner.

Ils ont invité les enfants au laboratoire à deux reprises. La première fois, les sujets ont déjeuné de céréales avec du lait, d’une banane et d’un jus d’orange. La deuxième fois, ils n’ont rien mangé.

Les deux fois, les enfants se sont fait offrir un repas varié un peu plus tard. Ils pouvaient manger ce qu’ils voulaient durant 20 minutes. Ils rentraient ensuite chez eux et leurs parents devaient mentionner aux chercheurs ce que les enfants avaient mangé durant le reste de la journée.

Si les jeunes qui n’avaient pas déjeuné ont ressenti la faim plus fortement, ils n’ont pas pour autant mangé un plus gros repas par la suite. Ils ont aussi consommé moins de calories que ceux qui avaient déjeuné.

Les chercheurs de l’étude soutiennent toutefois qu’il faut continuer à prendre un déjeuner et qu’il constitue un élément important de saines habitudes de vie.

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Espoir pour les enfants atteints de leucémie lymphoïde chronique

Une étude publiée dans The Lancet nous apprend que certains enfants leucémiques retrouveraient plus facilement la santé s’ils étaient traités avec la mitoxantrone.

Produit par synthèse, ce médicament est déjà utilisé dans le traitement de certains cancers. 

Par comparaison, la mitoxantrone serait plus efficace que l’idarubicine, pour une proportion de 69 % de plus de survivants contre 45,2 % après 3 ans de traitements.

Il semble donc que tous les enfants atteints de leucémie lymphoïde chronique (LLC) auraient intérêt à recevoir ce nouveau médicament.

Rappelons que ce type de leucémie est une maladie cancéreuse du sang qui se reconnaît par la prolifération de lymphocytes.

L’étude comparative présente a porté sur des patients de 31 centres de l’Angleterre, l’Irlande, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

La mitoxantrone est par ailleurs un médicament moins cher et déjà accessible à tous les enfants atteints de cette leucémie.

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Les médecines non conventionnelles nuisent aux enfants asthmatiques

Une étude de l’Université de Montréal remet en question le recours aux médecines non conventionnelles dans le traitement de l’asthme chez l’enfant.

Les principales méthodes en question sont l’acupuncture, l’homéopathie et les suppléments vitaminiques. 

Or, si ces méthodes semblent très populaires, elles auraient un effet néfaste quant au soulagement de l’asthme. En effet, les enfants qui suivaient ce type de médecine étaient deux fois plus exposés à souffrir d’un asthme moins bien maîtrisé

L’équipe de chercheurs a suivi 2 000 enfants asthmatiques âgés de 6 ans environ. Ces derniers souffraient d’asthme à des degrés de gravité divers.

Parmi tous, 13 % recevaient des soins de médecine parallèle. Dans ce groupe, 11 % avaient des traitements d’acupuncture, 18 % suivaient les méthodes de l’homéopathie et 24 % ingéraient des suppléments vitaminiques.

Quant aux symptômes de la maladie retenus pour évaluer sa maîtrise ou non, on notait la fréquence d’utilisation du bronchodilatateur, la présence de symptômes durant la nuit et les limites physiques, entre autres.

Finalement, des études précédentes nous ont appris que 60 % des parents croient en l’efficacité de la médecine non conventionnelle dans le traitement de l’asthme.

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Les enfants peuvent évaluer la quantité

Des chercheurs de l’Université du Missouri ont fait une découverte des plus surprenante sur les capacités des tout jeunes bébés, peut-on lire sur Science Daily

Dès l’âge de 10 mois, un jeune enfant serait en mesure d’évaluer la quantité d’une substance, aussi difficile soit-elle à mesurer visuellement que de l’eau, des céréales ou du sable.

Le bébé est donc en mesure de faire un choix éclairé et il optera pour la plus grande quantité, particulièrement lorsqu’il s’agit de nourriture.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont proposé aux enfants deux contenants opaques. L’un d’eux contenait une petite quantité de nourriture et l’autre en contenait une grande.

Chaque fois, les enfants ont choisi la plus grande quantité, tant que la différence entre les deux était considérable.

La présente étude contredit donc les 15 années de recherche passées et la croyance populaire voulant que les bébés ne comprennent aucunement le monde qui les entoure.

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Les enfants d’âge primaire ne perçoivent pas la vitesse des véhicules

Des chercheurs de l’Université de Londres ont étudié l’aptitude de 100 enfants d’âge primaire à évaluer la vitesse d’un véhicule approchant. Pour ce faire, ils ont calculé l’acuité visuelle des jeunes participants de l’étude.

Leurs résultats, parus dans Physiological Science, nous apprennent entre autres qu’ils sont incapables de percevoir la vitesse d’un véhicule roulant à plus de 32 kilomètres à l’heure.

Si les adultes sont capables de dire qu’un véhicule roule à environ 80 kilomètres à l’heure, les enfants, quant à eux, ne peuvent évaluer la vitesse au-dessus de 32 kilomètres à l’heure, et ce, si la voiture est à une distance à parcourir de 5 secondes.

Cela n’est pourtant pas en lien avec l’attention des enfants. Il semble que la faible maturité de leurs mécanismes de perception visuelle soit en cause.

On recommande donc de privilégier, voire d’abaisser encore, la vitesse permise dans les quartiers résidentiels, car les enfants courent des risques sérieux dès que les véhicules atteignent une vitesse de 48 à 64 kilomètres à l’heure.

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Les enfants ingèrent quotidiennement 80 substances chimiques

Générations futures, une association écologiste européenne, a analysé 4 repas types ingérés par des enfants de 10 ans environ.

On a ainsi découvert que les enfants ingèrent en moyenne 80 substances chimiques chaque jour, comme vu dans Le Parisien.

Les repas en question comprenaient cinq fruits et légumes frais, trois produits laitiers, un litre et demi d’eau et des bonbons. Dans ce menu, pas moins de 81 substances chimiques ont été relevées.

Parmi celles-ci, 5 étaient cancérigènes et 42 autres pouvaient l’être. De plus, 37 substances ont été reconnues comme pouvant avoir un effet négatif futur sur le système endocrinien.

Toutefois, il faut mentionner que chacune de ces substances ne dépassait pas les limites légales. Malgré tout, le grand nombre de cancers chez les enfants devraient nous inciter à évaluer notre mode de vie et notre environnement.

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Les bienfaits des probiotiques remis en cause chez les enfants

Un rapport clinique de l’Académie de pédiatrie américaine (APP) paru dans Pediatrics réétudie les bienfaits tant vantés des probiotiques et des prébiotiques sur la santé gastrique et intestinale des enfants.

Quoiqu’ils ne soient pas mauvais pour autant, les probiotiques ne semblent qu’avoir un très faible effet sur l’apparition de la diarrhée lors de la prise d’un antibiotique chez des enfants en santé.

Des études supplémentaires sont aussi nécessaires avant de statuer qu’ils ont un effet sur le syndrome du côlon irritable, la maladie de Crown et les coliques ou pour prévenir les allergies et les infections chez l’enfant.

De plus, leur efficacité n’est pas encore suffisamment prouvée pour qu’ils soient intégrés à du lait maternisé en vue d’une consommation régulière.

Malgré tout, l’APP a relevé des points très positifs aux probiotiques dans cette étude parallèle.

Par exemple, il semble qu’ils puissent avoir une influence chez l’enfant ou le bébé lorsqu’il contracte une gastro-entérite. Leur ingestion dès les premières diarrhées pourrait réduire la durée du virus d’un jour.

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Le Canada : le plus sévère au monde quant aux objets destinés aux enfants

En abaissant la teneur en plomb maximale permise au pays, le gouvernement fédéral ne tolérera, à partir de 2011, que les objets de la vie courante ayant un taux de 0,009 %, le plus bas de toute la planète, apprenons-nous sur Canada.com.

Si l’Australie demande en ce moment cette même limite, le Canada sera le plus sévère, car il inclura dans ses restrictions les jouets pour enfants avec un recouvrement protecteur.

Les objets ciblés comprennent tous les articles destinés aux jeunes enfants pouvant se retrouver dans leur bouche. On compte parmi eux les jouets, bien sûr, mais aussi les biberons et les gobelets.

De plus, cette nouvelle législation comprendra les objets de la vie quotidienne allant dans la bouche, tels les ustensiles, les pailles et les verres.

Rappelons qu’un jouet contenant du plomb n’est pas dangereux en soi. Toutefois, ingérer du plomb par contact buccal peut causer des dommages au cerveau et entraîner des problèmes à la suite d’une exposition prolongée.