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Au moins 8 % des enfants canadiens font de l’hypertension

Une équipe de l’Université Brock, en Ontario, étudie l’influence du milieu sur l’hypertension et l’obésité chez les enfants, une première au Canada, pouvons-nous lire sur Medical News Today.

Les données actuelles ne sont pas rassurantes. En effet, jusqu’à 8 % des jeunes Canadiens ont une pression artérielle requérant un suivi ou des soins, alors que 1,5 % d’entre eux souffrent d’hypertension sévère.

Or, si l’on a pointé du doigt jusqu’ici l’obésité et les mauvaises habitudes de vie, il semble que les problèmes de santé des enfants pourraient tout autant provenir de leur milieu de vie.

Dans l’étude en question, qui en est à sa quatrième année, on a pu remarquer que les enfants qui vivent au sein de familles plus défavorisées étaient plus en contact avec différents stress quotidiens. Cela peut amener l’enfant à développer une haute pression artérielle à un jeune âge.

L’équipe d’experts de l’Université Brock a donc mis en place un programme en quatre étapes pour ces enfants, lequel a pour but de les outiller émotionnellement pour faire face au stress qu’ils peuvent vivre.

Rappelons que l’hypertension peut entraîner de graves dommages au coeur et qu’elle est l’une des grandes causes des maladies cardiovasculaires.

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Les enfants qui mangent des fruits et des légumes ont de meilleures artères

Une récente recherche parue dans Circulation: Journal of the American Heart Association a démontré que la consommation de fruits et de légumes à un jeune âge est un élément majeur dans la prévention des maladies cardiaques.

Pour en arriver à ces résultats, une équipe de l’Hôpital universitaire de Tampere, en Finlande, a suivi 1 622 patients âgés au départ de 3 à 18 ans, et ce, pendant 27 ans.

Qu’un enfant mange beaucoup de fruits et de légumes pourrait en effet être maintenant considéré comme un facteur tout aussi influent que la fréquence de l’activité physique, le tabagisme ou la consommation d’alcool.

C’est que la prédominance de ces aliments fait en sorte que les enfants, une fois adultes, courent moins de risques d’avoir les artères bouchées.

Une fois endommagées de la sorte, les artères laissent moins de sang circuler, ce qui entraîne de nombreux cas de maladies cardiovasculaires.

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Les troubles alimentaires plus nombreux chez les enfants

Nous apprenons dans Pediatrics que le nombre de cas de troubles alimentaires a considérablement augmenté chez les enfants durant les dernières années.

De 1999 à 2006, les hospitalisations pour cette raison ont grimpé de 119 % pour les enfants âgés de moins de 12 ans.

Parallèlement, une hausse a aussi été remarquée chez les garçons, lesquels représentent maintenant près de 10 % des cas, que ce soit pour l’anorexie ou la boulimie.

Quant aux jeunes filles, aux États-Unis seulement, 0,5 % d’entre elles sont anorexiques et 1 à 2 % sont boulimiques, selon les diagnostics de ces névroses.

L’Académie américaine de pédiatrie (APP) recommande donc aux parents d’être très vigilants et de remarquer le plus tôt possible les signes d’un trouble alimentaire. Ainsi, plusieurs problèmes de santé collatéraux aux troubles alimentaires pourraient être évités.

Les moyens actuels pour soigner l’anorexie et la boulimie sont les traitements médicaux, en santé mentale et en nutrition.

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De nombreuses réactions allergiques ont lieu à l’école

Un rapport de l’Académie américaine de pédiatrie rend un constat alarmant : de 16 à 18 % des réactions allergiques alimentaires des enfants ont lieu pendant qu’ils sont à l’école.

Publié dans Pediatrics, l’étude nous apprend aussi que 1 enfant sur 25 présente la forme la plus grave de l’allergie alimentaire, l’anaphylaxie. Cette réaction est considérée comme une urgence médicale.

Causée par l’exposition à un allergène, elle se reconnaît par des boursouflures, des difficultés respiratoires ou une baisse dangereuse de la pression artérielle, entre autres. L’anaphylaxie peut aussi entraîner la mort.

C’est pour cette raison que le présent rapport donne des pistes de solution pour la prévenir. On suggère entre autres de sensibiliser les pairs de l’enfant dans son milieu scolaire et de lui apprendre à se servir lui-même de son EpiPen.

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La transmission du sida par la femme enceinte est très faible

Il y a plusieurs années, lorsque le sida était encore chose nouvelle, le risque de transmission de la mère à son bébé était de 50 %. Grâce à la trithérapie, ce taux se situe aujourd’hui à seulement 1 %.

En effet, nous pouvons constater que les progrès médicaux offrent maintenant de l’espoir aux femmes atteintes d’avoir un enfant sans danger.

Ainsi, à la condition que la femme enceinte suive un traitement, que sa charge virale soit indétectable et que son accouchement soit sécuritaire, les risques que le bébé soit porteur du VIH sont presque nuls.

Toutefois, une fois l’enfant né, la mère séropositive ne doit pas allaiter, car le lait maternel contient des traces du virus du sida.

Rappelons finalement que la propagation du virus du sida a chuté de 19 % dans le monde depuis 1999.

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Les bénéfices du vaccin contre la grippe pour les bébés

Plusieurs ont cru jusqu’ici que le vaccin contre la grippe était inefficace pour les bébés. Or, les études concordent pour révéler qu’il y a des avantages financiers à les faire vacciner.

Cela est dû au fait que les bébés de moins de deux ans ont le plus haut taux de contagion de la grippe. Ils ont ainsi tendance à la transmettre à leur famille et à la population en général.

Des chercheurs de l’Hôpital universitaire de Turku, en Finlande, ont observé 631 enfants âgés de 9 à 40 mois qui avaient contracté l’influenza de type A ou B.

D’après leurs résultats parus dans The Lancet Infectious, les vaccins seraient efficaces à 66 % en général et à 84 % contre la grippe A.

Ces chercheurs souhaitent que les autorités des autres pays envisagent l’obligation de vacciner les très jeunes enfants, la Finlande étant l’unique pays d’Europe à recommander la vaccination à partir de 6 mois, et ce, jusqu’à 35 ans.

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Les changements de température influent sur les entrées à l’hôpital

On peut apprendre dans l’Emergency Medecine Journal qu’il existe des liens on ne peut plus surprenants quant à l’arrivée aux urgences des enfants et la température extérieure.

Il semble que chaque hausse de 5 °C entraîne 10 % d’entrées à l’hôpital de plus chez les enfants, en raison de blessures graves. En ajoutant l’ensoleillement, ce taux grimpe encore de 5 %.

De plus, les admissions à l’hôpital sont 50 % plus élevées d’avril à septembre. Ces chiffres sont plus marqués chez les enfants que les adultes.

Par ailleurs, chez ces derniers, une baisse de 5 °C entraîne une légère hausse des admissions (3 %), puis un peu plus s’il a neigé (8 %).

S’étant basés sur les entrées enregistrées dans 21 centres de l’Angleterre entre 1996 et 2006, des chercheurs nous ferons maintenant sourire à la vue du mauvais temps.

Au total, les cas de près de 60 000 personnes ont été observés, pour une moyenne d’âge de 48 ans chez les adultes et de 10 ans chez les enfants.

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L’entraînement peut être bénéfique pour les enfants

On a longtemps cru que la levée d’haltères nuisait à la croissance des enfants, en plus de pouvoir leur causer des torts aux jointures et des blessures physiques.

Pourtant, une étude basée sur la littérature scientifique sportive des 60 dernières années, à propos du sport chez les 6 à 18 ans, prouve maintenant le contraire, apprenons-nous dans Pediatrics.

Il semble donc que ce type d’entraînement pourrait même être bénéfique pour les enfants et les adolescents, si les exercices sont adaptés à leur groupe d’âge et qu’ils les pratiquent avec l’encadrement d’un adulte.

Le système nerveux serait donc amélioré grâce à l’entraînement, provoquant ainsi un gain de masse musculaire plus aisé une fois l’âge adulte atteint.

Finalement, la constance de l’exercice semble être la réponse : les enfants qui s’entraînent deux fois par semaine connaissent une nette augmentation de leur force physique que ceux qui ne le font qu’une seule fois.

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Une masse corporelle trop élevée est risquée pour les enfants

Les enfants qui ont un indice de masse corporelle trop élevé entre 9 et 12 ans ont plus de risques d’avoir une haute pression sanguine, un haut taux d’insuline et un haut taux de cholestérol dès l’adolescence.

Tous ces symptômes augmentent le risque de problèmes cardiaques dès l’âge de 15 ou 16 ans, nous apprend le British Medical Journal.

Ces résultats proviennent d’une étude de l’Université de Bristol, en Angleterre, ayant porté sur 5 235 enfants. On a mesuré le tour de taille, le taux de gras et l’indice de masse corporelle des enfants à l’étude lorsqu’ils avaient de 9 à 12 ans.

En ayant éliminé tous les autres facteurs pouvant influer sur les résultats, on a pu conclure qu’un IMC élevé était en lien direct avec plusieurs symptômes graves des maladies du coeur.

Étonnamment, l’IMC était plus en lien avec ces problèmes que le tour de taille et le taux de gras des enfants.

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Danger : les régimes imposés aux enfants

Nous pouvons lire dans Le Parisien les réflexions de Jean-Michel Lecerf, de l’Institut Pasteur à Paris, sur son récent rapport portant sur les régimes amaigrissants. Ces derniers peuvent être dangereux pour les enfants et entraîner des problèmes de santé.

Selon le chef du Service de nutrition de l’Institut, il est de plus en plus fréquent que des enfants âgés de 2 à 8 ans soient mis au régime, mais cela comporte des dangers pour leur santé. Parmi ceux-ci, on compte les troubles de croissance.

Les parents seraient poussés vers cette méthode en réaction à une dramatisation de l’obésité chez les plus jeunes. Ils devraient toutefois faire preuve de plus de vigilance, malgré les recommandations de certains médecins.

Il semble en effet que des médecins accordent une importance démesurée au surpoids de certains enfants, leur faisant suivre un régime amaigrissant à un trop jeune âge.

Le rapport de Jean-Michel Lecerf, porte sur plusieurs régimes pouvant créer des carences chez la femme. Ils sont de plus considérés comme inefficaces.