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Les stéréotypes sont appris en garderie

Une étude parue dans Child Development nous apprend que de simples consignes données par l’éducatrice pousseraient les enfants à respecter les stéréotypes établis.

En effet, une équipe de chercheurs de l’Université de Pennsylvanie a démontré que certains gestes communs en garderie encourageraient les enfants à choisir des jeux et des jouets attribués socialement à leur sexe. Les enfants seraient même moins portés à jouer avec ceux de l’autre sexe.

Il s’agit là de consignes qui semblent sans intention, telles « Bonjour, les garçons et les filles! » ou « Les filles, placez-vous ici en rang, les garçons, assoyez-vous. »

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont suivi, pendant 2 semaines, 57 enfants âgés de 3 à 5 ans dans deux milieux préscolaires semblables.

Dans l’une des classes, l’éducatrice parlait en incluant les garçons et les filles. Dans la deuxième classe, l’éducatrice devait dire ses consignes en posant des différences de genre, mais sans faire de comparaison entre les deux groupes.

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Des outils chirurgicaux laissés dans le corps des enfants

Les résultats d’une étude parue dans Archives of Surgerey font état de données inquiétantes. Les enfants risquent de se réveiller d’une chirurgie avec des éponges et des outils laissés quelque part dans leur organisme.

Le Dr Fizan Abdullah, professeur de chirurgie à Johns Hopkins, a dirigé la recherche en question. Son équipe et lui ont analysé les données portant sur 1,9 million d’enfants de moins de 18 ans qui ont subi une opération entre 1988 et 2005.

Sur ce nombre, pas moins de 413 enfants avaient en eux des objets chirurgicaux oubliés durant une intervention. L’erreur survient le plus souvent lors de l’ouverture de la cavité abdominale, lors d’une opération gynécologique par exemple.

Selon le Dr Abdullah, nous aurions des raisons de nous inquiéter quant au taux actuel d’incidence, qui s’élève à 1 cas sur 5 000. Ce taux devient inquiétant lorsque reporté sur les centaines de milliers d’opérations chirurgicales qui se pratiquent chaque année, seulement aux États-Unis.

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Des parents excédés donnent des sédatifs à leur enfant

Chaque jour, des parents à court de moyens optent pour les sédatifs pour calmer leurs enfants, par exemple en leur donnant une dose de Benadryl, nous apprend Smart Brief.

Certains médecins l’ont d’ailleurs recommandé sur une base occasionnelle pour calmer les enfants ou aider leur sommeil. Les cas répertoriés de surdose de médicament chez les enfants sont pourtant bien connus.

Toutefois, ces cas mettent en cause des médicaments beaucoup plus forts que le Benadryl et ils sont très souvent reliés à un historique de médicaments sous ordonnance dans la famille.

Malgré tout, une analyse des données des centres antipoison des États-Unis, réalisée de 2000 à 2008, a dénombré 161 empoisonnements par année liés à un usage détourné de médicaments impliquant des enfants âgés de moins de 7 ans.

Sur ces 8 années, cela donne un nombre de 1 634 incidents du genre, dont environ la moitié impliquait des sédatifs.

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Le premier enfant est le plus photographié

Le Daily Mail dévoile les résultats d’un sondage auquel 1 413 participants ont répondu. 46 % des parents ont admis prendre plus de photos de leur premier enfant que des autres frères et soeurs.

Toutefois, 51 % disent que le nombre de photos de l’aîné et celui des autres sont tout de même semblables. 3 % disent clairement qu’ils ont beaucoup plus de photos de leur premier enfant dans leurs albums.

Cela pourrait tout simplement s’expliquer par le fait que les parents en ont assez de figer les mêmes images et les mêmes poses.

Selon un psychologue pour enfants, la Dre Michele Borba, cet état des choses pourrait être un facteur de l’apparition du syndrome du second enfant, qui se définit comme l’impact de l’ordre de naissance sur la personnalité.

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La résonance magnétique pourrait prédire le traitement d’un enfant anxieux

Des neuroscientifiques de l’Université de Georgetown ont observé la réaction de 13 garçons et 10 filles lorsqu’ils passaient une imagerie par résonance magnétique. Les participants souffraient tous de problèmes d’anxiété.

Selon les chercheurs, la réaction de l’enfant souffrant de troubles anxieux indique si son cas nécessite une thérapie ou des médicaments.

Pour arriver à leurs conclusions, ils ont montré aux sujets des images de visages heureux et apeurés, ainsi que d’autres émotions clairement reconnaissables.

Les résultats de l’étude, parus dans Pediatrics, supposent que les enfants âgés de 8 à 16 ans ont moins de chances de réussite dans une thérapie de 8 semaines s’ils ont eu peur en voyant un bonhomme sourire en entrant dans le scanneur.

À l’opposé, ceux qui ont ressenti la peur en voyant des visages présentant cette même émotion sont de meilleurs sujets à la thérapie.

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Les adolescents de mères gaies ont un taux nul d’abus

Une étude américaine réalisée sur une longue période de temps nous révèle que les enfants de mères lesbiennes ne vivent aucune atteinte physique ou sexuelle.

Selon les résultats présentés dans Archives of Sexual Behaviour, aucun des enfants issus de telles unions, aujourd’hui adolescents, n’a fait part d’un quelconque mauvais traitement.

La recherche globale s’étendant sur 24 ans, avait pour objet les familles lesbiennes. Durant cette période, 39 fils et 39 filles y participaient. Il s’agit aujourd’hui d’adolescents âgés de 17 ans.

À un questionnaire, ils ont répondu à l’unanimité n’avoir jamais vécu de sévices de quelconque ordre par un parent ou un proche.

Les chercheurs ont ensuite comparé ces résultats à ceux provenant d’enfants issus d’unions hétérosexuelles. Parmi eux, 26 % ont déjà vécu de mauvais traitements, dont 8,3 % d’ordre sexuel.

Cela remettra en cause les allégations existantes provenant des opposants aux familles composées de couples homosexuels. Une étude semblable pourrait aussi discriminer les couples d’hommes des préjugés existants.

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Les filles provenant de foyers démunis ont des enfants plus jeunes

Une étude vient de démontrer que ces jeunes filles seraient poussées à avoir des enfants plus tôt dans leur vie que celles ayant grandi au sein d’une famille plus stable.

Selon Mail Online, des psychologues de l’Université de Newcastle ont pu tirer certaines conclusions en étudiant le cas de 4 553 femmes qui étaient toutes nées durant la même semaine de mars 1958.

Ainsi, il semble qu’une enfant qui est séparée de sa mère durant les premières années de sa vie fonderait une famille deux ans plus tôt en moyenne qu’une fille ayant grandi dans un milieu stable.

Plus précisément, le Dr Daniel Nettle, qui a dirigé cette étude, a pu statuer qu’une séparation de 6 à 24 mois durant les 5 premières années de vie avait l’impact cité.

Une tendance semblable a été observée si le père est absent durant ces mêmes années. Dans ce cas, les jeunes femmes ont des enfants un an plus tôt en moyenne.

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Un lien entre la pression sanguine et les difficultés d’apprentissage

D’après Pediatrics, les enfants souffrant d’hypertension auraient quatre fois plus de risques d’avoir des difficultés à l’école.

C’est ce que révèle une étude du centre médical de l’Université de Rochester. On a suivi 201 patients, dont 101 faisaient de la haute pression. Les participants étaient âgés de 10 à 18 ans. Ce sont les parents qui mentionnaient si l’enfant avait des troubles d’apprentissage ou de l’attention.

Parmi tous les patients, 18 % avaient des difficultés d’apprentissage, alors que le taux dans la population en général est de 5 %.

De plus, parmi ceux qui avaient une haute pression sanguine, le taux était de 28 %, tandis qu’il était de 9 % chez ceux qui avaient une pression normale.

Ces observations ont été établies après avoir éliminé d’autres facteurs, comme la situation socio-économique par exemple.

La Dre Heather R. Adams, qui a mené cette étude, a donc établi un lien clair entre la pression sanguine et les problèmes cognitifs. Selon elle, cela devrait nous pousser à offrir un soutien accru à ces enfants.

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Les enfants ont leurs propres manières de trouver des solutions mathématiques

Menée par le Dr Lio Moscardini, de la Faculté des sciences humaines et sociales à l’Université de Strathclyde, en Écosse, l’étude suggère d’encourager les enfants à suivre leur intuition.

En effet, d’après Science Daily, les élèves se débrouillent mieux en utilisant des blocs, des dessins ou en subdivisant des équations mathématiques.

Les enseignants participant à cette étude ont donc laissé les enfants trouver leurs propres méthodes avant de leur présenter des techniques théoriques.

Il en est ressorti que la plupart d’entre eux ont réussi à résoudre les problèmes proposés. Plusieurs enseignants ont même reconnu avoir au départ sous-estimé les capacités des enfants.

Les élèves ayant des difficultés d’apprentissage ont, eux aussi, pu comprendre les problèmes et développer une pensée mathématique.

Ainsi, comprendre les mathématiques ne consisterait pas uniquement en la compréhension de préceptes. Il s’agirait plutôt de trouver la logique des problèmes et de moduler la compréhension des choses.

Certains des enfants participant à l’étude pouvaient même aider les autres en ayant reconnu des similitudes entre les problèmes et en partageant leur méthode.

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Les repas de restauration rapide: très mauvais pour les enfants

C’est ce qu’ont pu affirmer des chercheurs de l’Université Yale aux États-Unis. Sur plus de 3 000 combinaisons possibles de repas pour enfants, seulement 12 étaient acceptables pour des enfants de 2 à 5 ans.

Nous pouvons aussi lire sur Parentcentral.ca que 15 repas se sont trouvés adéquats pour des enfants un peu plus vieux.

La raison de ces pauvres performances est que si la plupart des repas pour enfants viennent avec un à-côté santé, ils demeurent très riches en gras saturé et en sel.

Cette étude a aussi traité de l’effet de la publicité de ces chaînes de restauration rapide sur les enfants. Il semble que les enfants d’âge préscolaire voient en moyenne trois annonces par jour sur la restauration rapide.

De plus, 40 % des enfants âgés de 2 à 11 ans demandent à leurs parents d’aller y manger au moins une fois par semaine.

Finalement, 15 % des enfants d’âge préscolaire aimeraient s’y rendre tous les jours.