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Risque de maladies cardiovasculaires pour les enfants obèses

Un communiqué de la Société de la Fondation des maladies du coeurnous fait part d’un constat des plus alarmants.

Les enfants souffrant d’obésité présentent un durcissement des vaisseaux sanguins semblable à celui observé chez les adultes ayant des maladies cardiovasculaires.

Lors du Congrès canadien de santé cardiovasculaire 2010, le Dr Kevin Harris du B.C. Children’s Hospital a présenté les données d’une récente étude sur le sujet.

Avec son équipe, il a comparé les échographies cardiaques de 63 enfants en surpoids à celles de 55 enfants de poids normal. L’âge moyen des participants était de 13 ans.

Or, si la pression artérielle systolique n’était pas de beaucoup plus élevée chez les jeunes obèses, la vitesse d’expulsion du sang des artères était anormale.

Ainsi, l’élasticité de leur aorte est réduite, ce qui peut provoquer un durcissement de celle-ci. Il s’agit là d’un signe avant-coureur de maladies cardiovasculaires.

Le Dr Harris prévient des dangers imminents de ce constat, car en plus des maladies du coeur, les dangers encourus par l’obésité chez les enfants sont l’hypertension artérielle et le diabète de type 2.

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Danger de l’éclairage DEL pour les jeunes enfants

Des ampoules DEL (diodes électroluminescentes) pourraient être dommageables pour la rétine des enfants et des bébés, apprenons-nous sur L’Express.fr.

Cela est d’autant plus inquiétant que le nombre de ces ampoules ne cesse d’augmenter dans les différents lieux de vie des tout-petits.

D’ailleurs, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), en France, s’est penchée sur ce problème.

Elle a émis des commentaires sur le sujet, disant qu’il faudrait « éviter les sources de lumière riche en couleur bleue dans les lieux fréquentés par les enfants ».

Toutefois, ce type d’éclairage est déjà utilisé dans un grand nombre de garderies, d’écoles et même de jouets.

L’Anses recommande donc aux fabricants d’inscrire sur leurs emballages les dangers possibles de ces ampoules. De plus, elle mentionne que seules les DEL de plus faible intensité devraient être vendues. Ces dernières sont sans risque pour la santé.

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Un taux de cadmium élevé dans les bijoux pour enfants

Des données fournies par Santé Canada ont été exclusivement présentées dans Postmedia News.

On a relevé la teneur en cadmium de plusieurs bijoux. Ce métal blanc est employé dans la fabrication de la joaillerie bon marché comme agent de remplissage.

Le cadmium est un élément cancérigène reconnu, en particulier s’il est mis dans la bouche.

Or, il est hautement toxique et 3 articles sur 10 testés par Santé Canada l’an dernier en étaient constitués à non moins de 93 %.

Selon les récentes données annoncées, 28 des 91 produits testés depuis l’automne dernier contenaient plus de la teneur limite établie par le gouvernement, laquelle est de 107 mg/kg.

Certains de ces objets auraient dû faire l’objet d’un rappel, puisqu’ils étaient destinés aux enfants et qu’ils dépassaient la limite permise pour ces derniers, soit de 0,06 % du poids total.

Santé Canada ne peut encore, pour l’instant, donner une réponse sur ce sujet. Il est par ailleurs impossible de déterminer le nombre de ces articles au sein des foyers à l’heure actuelle.

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Votre enfant croit tout ce que vous lui dites

Une récente étude publiée dans Psychological Science fait état d’un test où de jeunes enfants ont cru au mensonge d’un adulte, et ce, devant l’évidence et à huit reprises.

Des chercheurs de l’Université de la Virginie, aux États-Unis, ont pu démontrer que des enfants de trois ans avaient plus confiance en des renseignements énoncés qu’à d’autres, transmis sans paroles.

Pour ce faire, un adulte devait montrer à un enfant une tasse rouge et une tasse jaune. Un autocollant était placé sous la tasse rouge. On leur disait que s’ils trouvaient l’autocollant, ils le gagnaient.

Certains enfants se sont fait dire que l’autocollant était en fait sous la tasse jaune, d’autres se le sont fait montrer du doigt uniquement. L’expérience a été répétée huit fois, avec des tasses de différentes couleurs.

Or, les enfants à qui l’on a montré sans dire un mot la mauvaise tasse ont appris à ne pas croire cette information, tandis que ceux à qui on l’avait dit persistaient à croire qu’ils trouveraient l’autocollant.

La différence a ici été marquante, car sur les 16 enfants, 9 d’entre eux n’ont pas choisi la bonne tasse à 8 reprises.

À la fin du test, tous ces enfants ont mérité des autocollants, qu’ils aient choisi les bonnes tasses ou non.

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L’hypertension plus présente chez les bébés afro-américains

Une récente étude, présentée dans Pediatrics, a fait ressortir plusieurs liens entre l’hypertension et ses maladies sous-jacentes chez les Afro-Américains.

Elle a été menée par des chercheurs du centre Johns Hopkins consacré aux enfants. Les 184 participants de la recherche étaient traités pour hypertension primaire. Âgés de 3 à 20 ans, 45 d’entre eux avaient la peau noire.

Il en est ressorti que les troubles cardiaques étaient fortement plus fréquents chez les enfants noirs en bas de 13 ans souffrant d’hypertension que chez les autres petits du même âge.

De plus, ces enfants auraient beaucoup plus de risques de développer une hypertrophie ventriculaire gauche, qui consiste en un épaississement du muscle cardiaque. Il s’agit là de l’une des complications les plus courantes et les plus insidieuses de l’hypertension. La différence était nette et les enfants noirs de moins de 13 ans en seraient beaucoup plus touchés.

Il faudrait donc que les pédiatres portent une attention plus poussée pour les bébés et les enfants afro-américains montrant des signes et symptômes d’hypertension.

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Un médicament contre l’arthrite juvénile

Les parents d’enfants atteints d’arthrite juvénile peuvent enfin voir la lumière au bout du tunnel. L’entreprise pharmaceutique Roche a déposé une demande d’homologation pour l’Actemra.

Ce traitement est une alternative à ce qui est déjà proposé pour la maladie. En effet, le traitement actuel consiste en l’administration de fortes doses de corticoïdes, qui peuvent entraîner des effets secondaires.

L’Actemra est utilisé en ce moment contre la polyarthrite rhumatoïde, mais il pourrait traiter une certaine forme d’arthrite juvénile.

L’entreprise suisse a donc fait une demande d’homologation aux agences américaine et européenne du médicament.

Dès l’âge de 18 mois, les bébés peuvent être atteints de ce mal qui consiste en une inflammation des articulations. D’autres symptômes peuvent s’y ajouter, comme de la fièvre, des rougeurs ou encore de l’anémie. De plus, un grossissement de la rate ou du foie peut survenir des suites de cette maladie.

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Le plastique, toujours dangereux pour les enfants

Il semble que le simple fait pour un enfant de mâchouiller la gomme à effacer au bout de son crayon serait potentiellement dangereux, nous apprend Parentcentral.

C’est que les composantes de la gomme, mêlées à la salive, entreraient dans l’organisme, pouvant ainsi entraîner des dommages à long terme quant à la fertilité.

Récemment, un consortium de 140 groupes environnementaux s’est penché sur la question, présentant un rapport sur le sujet. Il en ressort que les composés chimiques potentiellement dangereux se retrouvent par douzaines dans la vie de tous les jours.

L’étude était basée sur un groupe de composés, les phtalates. Depuis 1999, 6 d’entre eux ont été interdits en Europe dans la fabrication de jouets. Ils sont liés aux désordres du développement sexuel chez l’enfant.

Or, les phtalates sont fréquemment utilisés, notamment pour rendre le plastique plus flexible. Il en existe 25, lesquels se retrouvent dans les chaussures, planchers et portes de voiture, entre autres.

L’industrie chimique en produit 6 millions de tonnes par années. Plusieurs suspectent leur responsabilité dans la chute de la fertilité masculine des dernières années.

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L’obésité infantile est génétique

Une recherche menée par le Center for Applied Genomics (CAG), à l’hôpital pour enfants de Philadelphie, a été présentée dans l’American Journal of Human Genetics.

On peut y apprendre qu’une variation génétique augmentant le risque de surpoids chez les enfants a été remarquée après cette étude comparative.

Pour y arriver, les gènes de deux groupes ont été observés. Le premier était composé de génomes de centaines d’enfants obèses et le deuxième était un groupe témoin.

Les chercheurs ont pu dénombrer les manques ou répétitions appelés les copy number variations (CNV). Il a donc pu être clairement démontré que les personnes ayant les CNV découverts, qui sont rares dans la population en général, sont plus portées à devenir obèses.

De plus, certains CNV appartiennent uniquement aux Euro-Américains et aux Afro-Américains.

Bien que cette découverte n’offre pas dans l’immédiat un traitement à l’obésité, elle a pu établir un lien hors de doute entre les gènes et l’obésité chez les enfants.

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Les mères trouvent leur rôle difficile

Selon une récente étude, 42 % des mères trouvent difficile d’élever un enfant, nous apprend 20minutes.fr.

Il semble que ce serait encore plus ardu pour celles qui ont des enfants de trois à quatre ans. La raison de cette plus grande complexité serait que les femmes ont souvent plusieurs enfants en bas âge, dont certains sont en perpétuelle opposition.

Par ailleurs, il serait plus facile, selon ces mères, d’éduquer une fille qu’un garçon. Les fillettes montreraient moins de résistance à la discipline, en plus de mieux réussir à l’école.

Il est ressorti de cette étude de l’Institut des Mamans que les mères d’aujourd’hui ont moins de repères que celles d’autrefois. En effet, ces dernières se laissaient souvent guider par la religion.

Même si elles disent manquer de certitude quant à l’éducation, il demeure toutefois important pour les mères modernes d’inculquer à leurs enfants le respect, la communication et la confiance en soi.

Sur tous ces changements, l’auteure de l’étude, Hélène Lepetit, a conclu : « L’enfant roi est déchu et de nombreux psys ont réhabilité l’autorité. »

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Un chien à la maison diminue les risques d’eczéma de l’enfant

Plus précisément, de nombreuses études ont démontré que les jeunes enfants qui vivent au sein d’une famille à haut risque d’allergies ont moins de risques d’être atteints d’eczéma s’ils cohabitent avec un chien, et ce, dès leur très jeune âge.

Par contre, les chercheurs croient que la cohabitation avec un chat en augmente les risques, comme nous pouvons le lire dans le Journal of Pediatrics. Toutefois, cela ne concerne que les enfants ayant des prédispositions pour une allergie aux chats.

Ces deux découvertes ne prouvent toutefois pas le lien de chacun de ces animaux à une allergie quelconque ou à son absence. Elles comprennent encore trop de zones grises pour que les spécialistes conseillent les parents quant à l’adoption d’un chat ou d’un chien.

La dernière recherche sur le sujet, échelonnée sur une longue période, concernait 636 enfants qui avaient un historique familial d’allergies, d’asthme ou d’eczéma.

Sur le lot, à 4 ans, 14 % des enfants étaient atteints d’eczéma. Parmi les 184 enfants qui possédaient un chien, seulement 9 % présentaient les signes de cette maladie de la peau.