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L’anorexie touche aussi les enfants

De jeunes filles âgées de moins de 10 ans montreraient des symptômes de boulimie et d’anorexie, selon le Telegraph.

Ces enfants pourraient avoir la même obsession de la nourriture que l’on observe habituellement chez les adultes et les adolescents.

D’après des données de l’Angleterre, le nombre de filles hospitalisées pour anorexie et pour boulimie a doublé en 2009. Bon an mal an, 1 500 personnes sont hospitalisées en raison d’un trouble alimentaire, dont 1 sur 6 est une jeune fille de moins de 14 ans.

Les conséquences de l’anorexie sont graves. Une personne en ayant souffert plus jeune pourra être atteinte d’une maladie du coeur, d’une perte de masse osseuse ou d’anémie. Le résultat ultime de la maladie est la mort.

Un sondage a par ailleurs démontré qu’une mère suivant un régime alimentaire strict ou une diète est plus à risque d’avoir un enfant ayant des troubles alimentaires.

Finalement, la plupart des enfants ayant vécu un tel trouble étaient obsédés par l’image corporelle d’une actrice ou d’une mannequin.

Un parent se doit donc d’être vigilant quant aux excuses pour sauter un repas, à l’exercice excessif et à l’image corporelle de son enfant.

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Un lien entre le rhume et la grippe

Les enfants joueraient un rôle déclencheur dans les épidémies grippales. Il faudrait, semble-t-il, mieux observer les cas de rhumes chez les plus jeunes.

En effet, selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), un lien serait à faire entre le rhume et la grippe, nous apprend Le Point.

Après avoir comparé des données recueillies entre 2005 et 2008 par l’observatoire Hivern@le-KhiObs et le réseau Sentinelles, ils ont pu remarquer cette corrélation.

Lorsque les cas de rhumes augmentent chez les tout-petits, il semble qu’une épidémie de grippe aurait de fortes chances de se produire.

Donc, 4 à 10 jours après le début des cas de rhinopharyngites, il faudrait s’attendre à une éclosion de syndromes grippaux.

Malgré ces observations, les spécialistes demandent de faire la part des choses. En effet, il semble que de nombreux cas de rhumes diagnostiqués comme tels seraient en fait des grippes.

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Le chant a un impact sur le développement

Les enfants qui chantent en première, deuxième et troisième année ont 20 % plus de capacités que les autres, apprenons-nous dans les Bulletins électroniques.

De plus, ces enfants écriraient mieux et vivraient une meilleure intégration sociale.

Le docteur Idit Sulkin, membre du Laboratoire de sciences musicales du département d’arts à l’Université Ben Gourion, a démontré ce lien par une étude qui a duré cinq ans.

Au départ, il s’intéressait à l’intérêt que les enfants avaient à partir de l’âge de sept ans pour le chant et les jeux de mains. Ces activités disparaissent à l’âge de 10 ans pour être remplacées par le sport.

Il a visité des classes de maternelle et du primaire, en plus de chanter avec les enfants, et ce, sur une période de 10 semaines.

En conclusion, le Dr Sulkin propose que le chant fasse partie de l’éducation des enfants de 6 à 10 ans à titre d’entraînement cognitif et moteur.

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Les écrans sont néfastes pour les enfants

Même s’ils pratiquent un sport, les enfants qui regardent trop longtemps la télévision ou jouent de longues heures aux jeux vidéo ont plus souvent des problèmes psychologiques, selon une récente étude.

Présentée dans Pediatrics, celle-ci rapporte les résultats de chercheurs de l’Université Bristol en Angleterre.

Dans le cadre de cette recherche, 1 013 enfants de 10 et 11 ans ont été interrogés sur leur temps accordé à ces activités. Les réponses variaient entre une et cinq heures par jour.

Ils devaient par ailleurs porter une ceinture qui mesurait leur intensité d’activité physique durant une semaine. D’autre part, ils ont rempli un questionnaire portant sur leur état psychologique.

Il en est ressorti, selon ces chercheurs, que les enfants qui passaient plus de deux heures devant l’écran étaient plus hyperactifs. Il semble qu’ils auraient aussi plus de problèmes sociaux et émotionnels. Finalement, faire du sport ne changerait absolument rien à ces répercussions.

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Le TDAH et la fumée secondaire

Les enfants exposés à la fumée de cigarette auraient beaucoup plus de chances de développer un trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH), nous apprend MedicalNewsToday.

Des chercheurs américains se sont penchés sur le cas. Ils ont suivi des enfants de 4 à 11 ans et des adolescents de 12 à 15 ans. Ils mesuraient leur exposition au tabac par des tests sanguins. Ils pouvaient ainsi connaître le taux exact de cotinine dans leur sang.

Ils ont aussi, avant de tirer leurs conclusions, évalué les aspects socioéconomiques relevant des parents ainsi que les prédispositions congénitales.

Il en a résulté que les enfants exposés à la fumée secondaire étaient 2 fois plus nombreux à avoir un TDHA, soit 10,6 % contre 4,6 %.

De plus, il y avait 2 fois plus d’enfants qui bégayaient (6,3 % contre 3,5 %). Les sujets, enfants comme adolescents, avaient finalement plus de chances de développer des maux de tête.

La fumée secondaire aurait donc des impacts sur leur réussite scolaire, autant que sur leur santé et leur bien-être.

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Le TDAH responsable de la dépression

Des chercheurs américains ont établi un lien entre le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDHA) et la dépression, nous apprend Canada.com.

D’après eux, les parents devraient faire preuve d’une plus grande vigilance pour les enfants atteints, car ceux-ci auraient plus souvent tendance à sombrer dans la dépression, voire à commettre un suicide.

Cette étude a été réalisée par les universités de Chicago et de Pittsburgh. On a suivi 123 enfants de 4 à 6 ans diagnostiqués avec un TDAH, et ce, pendant 14 ans, soit jusqu’à leurs 18 à 20 ans.

Ces enfants ont ensuite été comparés avec un groupe de 119 enfants dont le mode de vie était similaire. Ces derniers ont été observés une fois par jour pendant leurs 4 premières années de vie, puis de 6 à 9 ans et de 12 à 14 ans.

On a donc pu prouver que les enfants diagnostiqués entre 4 et 6 ans avaient 18 % plus de chances de vivre une dépression. Cela représente 10 fois plus de cas que chez les autres enfants.

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Incidence du stress de la mère sur l’asthme

Les enfants dont la mère est stressée souffriraient d’un asthme plus sévère, nous apprend le Daily Mail.

Les femmes qui sont agressives, irritées ou qui retiennent leurs émotions auraient une influence néfaste sur leurs enfants, surtout lorsqu’ils sont très jeunes.

Une étude étalée sur une année a servi à évaluer le niveau de stress de 223 mères. Elles avaient toutes de 2 à 12 enfants asthmatiques.

Les participantes ayant été évaluées selon un questionnaire, celles qui avaient tendance à dominer, rejeter ou surprotéger leurs enfants ont pu être reconnues.

Il en est ressorti que les jeunes de 7 ans qui vivaient avec une mère surprotectrice avaient des crises d’asthme plus sévères.

D’autre part, les enfants dont la mère démontrait plus d’agressivité ou aucune émotion allaient souffrir plus fortement d’asthme durant leurs années futures.

Jun Nagano, de l’Institut de la science de la santé de l’Université Kyushu au Japon, relève que le comportement de la mère a donc un effet psychosomatique sur l’enfant, qui peut être aussi important que la réaction à des allergènes ou une vulnérabilité aux infections respiratoires.

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Les enfants immigrants décrochent moins

Le rapport déposé par le Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur (COQES) comprend aussi quelques bémols sur le sujet.

En effet, comme nous l’apprend Parentcentral.ca, les élèves provenant des Caraïbes et d’Amérique latine auraient plus tendance à décrocher. Les Chinois, quant à eux, constituent le groupe le moins touché par le décrochage scolaire.

Le Conseil préconise donc de venir en aide aux étudiants en variant leurs professeurs, en les aidant à cibler leur choix professionnel plus tôt et en augmentant le nombre d’employés d’encadrement.

C’est dans le même ordre d’idée que le président du COQES, Harvey Weingarten, voit en la diminution du décrochage scolaire une meilleure posture de notre économie. Le lien entre la prospérité et le nombre de personnes diplômées a déjà été démontré.

Le rapport Post-High School Pathways of Immigrant Youth est le résultat d’une compilation de données par cinq professeurs ontariens. D’après cet écrit, il semble que les immigrants accordent plus de valeur à l’éducation, car les parents en possèdent souvent déjà plus que les Canadiens en général.

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L’obésité serait due à une infection virale

Des travaux réalisés sur un groupe d’adolescents américains  portent à croire que l’hypothèse de l’obésité causée par une infection virale serait plausible.
 
Depuis quelque temps, les chercheurs tentent de comprendre le fléau qu’est l’obésité et on croit que ce serait plus complexe qu’une simple question de quantité de nourriture consommée et d’hérédité.
 
Depuis peu, les scientifiques s’intéressent à l’adénovirus AD36, dont l’implication dans l’obésité animale et adulte a été démontrée. Sur 124 jeunes de 8 à 18 ans qui ont été étudiés, 15 % étaient porteurs de l’AD36, dont la majorité (78 %) était obèse.
 
« Ce travail montre que le poids corporel est beaucoup plus complexe que ce qu’il y paraît. Ces données confortent l’idée selon laquelle une infection peut provoquer ou contribuer à l’obésité », mentionne Jeffrey B. Schwimmer de l’Université de la Californie à San Diego.
 
Les recherches sur le sujet se poursuivent.
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L’eau potable serait-elle nocive pour les enfants?

Une trop forte concentration de manganèse dans l’eau que les enfants boivent diminue leurs capacités intellectuelles.
 
Les professeures Maryse Bouchard et Donna Mergler de l’Université du Québec à Montréal ont dirigé les recherches sur le manganèse et elles ont découvert qu’il affectait beaucoup le quotient intellectuel (QI).
 
Le plus inquiétant est qu’elles ont obtenu ces résultats avec des concentrations jugées inoffensives pour la santé. Elles recommandent donc que les taux soient revus à la baisse.
 
Le manganèse est un métal présent dans l’eau souterraine et essentiel à notre santé. Il permet d’assimiler les vitamines comme la B1. Toutefois, en trop forte concentration, il est dangereux. Ce métal peut en effet endommager le système nerveux.
 
Les enfants étudiés qui avaient été exposés au manganèse avaient un QI inférieur d’au moins six points comparativement aux enfants qui n’avaient pas été exposés à ce composant.