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La mortalité infantile en baisse dans le monde

Note encourageante dévoilée par les statistiques sanitaires mondiales de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la mortalité infantile est à la baisse dans le monde.
 
En fait, on note un recul de 30 % des décès d’enfants de moins de cinq ans entre 1990 et 2008, passant de 12,5 millions à 8,8 millions de morts.
 
On explique ce phénomène par le fait que le taux d’insuffisance pondérale a diminué, les vaccins sont plus accessibles, l’utilisation de moustiquaires avec insecticide offre une excellente protection contre le paludisme, une infection transmise par un moustique, et 87 % de la population mondiale a maintenant accès à de l’eau potable.
 
Toutefois, il reste encore place à l’amélioration, car on note encore 40 % de mortalité infantile. La grande majorité des enfants meurent avant d’avoir atteint leur premier mois de vie, pire encore, une grande parie d’entre eux meurent dans la première semaine de leur existence.
 
« Le défi consiste à aider les pays de l’Afrique Subsaharienne et de certaines parties de l’Asie du Sud-Est à avoir accès à des interventions afin de prévenir le paludisme et lutter contre la dénutrition qui est la cause sous-jacente d’un tiers des décès infantiles », explique le Dr Boerma, directeur du département Statistiques sanitaires et informatique de l’OMS.
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La télévision nuit à la réussite des enfants

Les enfants qui regardent trop la télévision auront une baisse d’intérêt pour l’école et vivront plus de rejet de la part des autres enfants, selon une étude de l’Université de Montréal publiée dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.
 
Selon les chercheurs, les effets négatifs d’une exposition excessive à la télévision continuent de se faire sentir quelques années plus tard.
 
1 314 enfants ont été suivis pendant huit ans. Les parents devaient donner le temps d’écoute de la télévision pour ceux-ci et les enseignants évaluaient les performances académiques et psychosociales.
 
« Chaque heure au-delà de la moyenne (qui est de huit heures par semaine au Québec) réduit de 7 % l’engagement manifesté par l’enfant en classe », constate celle qui a dirigé l’étude, Linda S. Pagani.
 
« C’est entre la naissance et l’âge de 5 ans qu’interviennent les débuts de réseautage dans le cerveau, très importants pour toutes sortes de processus intellectuels. Regarder l’écran est une activité intellectuelle passive, ce qu’ignorent les parents qui prennent la télévision pour un meuble comme un autre », ajoute la chercheuse.
 
Les enfants qui regardent trop la télévision entre l’âge de deux et quatre ans seront moins bons en mathématiques de 6 %, vivront 10 % plus de rejet, auront 9 % moins d’activités physiques, boiront 9 % plus de boissons gazeuses sucrées, leur grignotage sera augmenté de 10 % et leur indice de masse corporelle de 5 % à l’âge de 10 ans.
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Avoir des parents obèses augmente le risque d’obésité pour les enfants

Pour un enfant dont les deux parents sont obèses, les risques d’obésité sont plus grands, selon une étude britannique publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
Il semblerait que le poids de la mère, plus que celui du père, est fortement lié à celui de son enfant. Toutefois, on ignore les raisons de ce phénomène.
 
C’est ce qui ressort de l’étude effectuée auprès de 7 000 jeunes âgés de 2 à 15 ans vivant au Royaume-Uni. Les enfants de parents obèses ont douze fois plus de risques de le devenir également.
 
L’enquête effectuée entre 2001 et 2006 a classé les participants en quatre groupes : poids normal, surpoids, obèses et très obèses. On a mesuré le poids et la grandeur des enfants et de leurs parents.
 
38 % des familles avaient au moins un parent obèse, tandis que les deux parents l’étaient chez 8 % et que seulement 14 % des familles étaient jugées de poids normal.
 
Chez les familles dont les deux parents étaient obèses, 22 % des enfants l’étaient également. Chez les familles très obèses, ce taux grimpait à 35 % pour les enfants.
 
12 % des enfants ayant un père obèse l’était aussi, comparativement à 4 % de ceux dont le père était de poids normal. Chez les mères obèses, les enfants l’étaient aussi à 14 %, alors que ce taux est de 3 % pour les enfants nés de mères de poids normal.
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Le plomb des aliments nuit au développement des enfants

Selon un groupe d’experts scientifiques sur les contaminants de l’Autorité européenne de la sécurité des aliments (EFSA), plusieurs aliments contiennent encore trop de plomb, ce qui peut nuire au développement des enfants.
 
En ce moment, les niveaux contenus dans les aliments ne présentent que de faibles risques pour les adultes, mais pour les jeunes enfants, c’est tout le contraire.
 
Le groupe de chercheurs a noté des quotients intellectuels plus faibles chez les enfants et une pression artérielle plus grande chez les adultes. On conclut donc qu’une exposition au plomb provoque des effets indésirables sur le développement neurologique des fœtus, des nourrissons et des enfants.
 
En Europe, les céréales, les légumes et l’eau du robinet sont ceux qui contiennent le plus de plomb. Les sources de contaminants sont aussi la poussière de la maison et de la terre.
 
Auparavant, on jugeait qu’une dose hebdomadaire de 25 microgrammes de plomb par kilogramme de poids corporel était acceptable. Aujourd’hui, les experts rejettent cette recommandation. Pour eux, il est impossible d’établir clairement un seuil acceptable qui ne présenterait aucun risque.
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Les enfants de parents mariés sont plus prospères

Le MailOnline mentionne que les enfants ayant des parents mariés sont plus susceptibles d’être prospères dans leur vie.
 
Selon certains experts, les facteurs les plus importants dans le développement des enfants viennent directement de leurs parents, selon le passé de ces derniers, leur éducation, leur statut social, leur richesse et leur relation.
 
On note que les couples les plus riches, les plus en santé et les plus instruits sont plus susceptibles d’être mariés, ce qui donne un environnement plus stable aux enfants. Il semblerait que les couples en concubinage ont tendance à être moins instruits, plus jeunes et avec des revenus inférieurs.
 
Donc, le succès des enfants dépendrait de la situation des parents, selon The Independent Institute for Fiscal Studies qui a suivi 20 000 enfants depuis leur naissance en 2000.
 
Il a déjà été démontré par le passé que les enfants avec des parents mariés étaient en meilleure santé, avaient de meilleurs résultats scolaires et donc moins de risques de tomber dans la criminalité, la toxicomanie ou d’avoir des grossesses précoces.
 
Les partisans du mariage affirment que cela s’explique par le fait que les couples mariés travaillent plus fort pour traverser les difficultés. Les résultats de cette nouvelle étude ne sont toutefois pas bien accueillis partout. Certains mentionnent que tout cela dépend de nombreux facteurs et que certains couples qui cohabitent et ne sont pas mariés offrent parfois un environnement plus stable à leurs enfants.
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La lecture favorise l’avenir de votre enfant

Selon une étude rapportée par le Star, les enfants qui grandissent avec des livres s’en tirent beaucoup mieux dans la vie que les autres.
 
Les livres auraient un impact profitable chez les enfants, surtout chez ceux issus de milieux défavorisés. Les parents à faible revenu et peu instruits peuvent grandement améliorer l’avenir de leurs enfants seulement avec la lecture.
 
Des chercheurs de l’Australian National University et de l’Université de la Californie à Los Angeles se sont penchés sur la question. Selon leurs recherches, menées dans 27 nations auprès de 73 000 personnes, les livres sont très profitables, même lorsqu’on fait partie des échelons inférieurs de la société. Les enfants qui s’adonnent à la lecture auraient en moyenne trois ans de scolarité de plus que les enfants qui ne lisent pas.
 
L’impact des livres est plus important dans les pays en développement, par exemple en Chine et en Afrique du Sud.
 
Avec cette étude, on espère inciter les gens à avoir plus de livres à la maison pour le bien-être futur des enfants. Les livres ouvrent sur le monde et leur impact est non négligeable, peu importe notre statut social.
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Encore trop de mortalités maternelles et infantiles dans le monde

500 000 femmes meurent en donnant naissance à leur enfant chaque année dans le monde et plus de trois millions de nouveau-nés décèdent également, et ce, malgré les progrès de la science.
 
Selon le rapport du Partenariat pour la santé maternelle, du nouveau-né et de l’enfant (PMNCH) publié par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il y a encore trop de mortalités maternelles et infantiles.
 
On souhaite encore abaisser le taux de mortalité dans les pays en développement d’ici 2015, comme l’objectif qui avait été fixé en 2000 par l’ONU parmi les huit objectifs du millénaire. Les efforts sont surtout concentrés sur 68 pays, particulièrement en Afrique. Malgré d’énormes progrès, les efforts ont besoin d’être renouvelés.
 
Pour le moment, 135 pays ont un taux de mortalité infantile de moins de 40 pour 1000 naissances, mais 39 nations n’ont pas fait suffisamment de progrès. Pire encore, 18 pays ont plutôt régressé.
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La fessée rend agressif

Une étude américaine publiée dans la revue Pediatrics affirme que la fessée rendrait les enfants agressifs.
 
Des chercheurs de l’Université Tulane, en Louisiane, ont observé 2 500 mères. 45,6 % disaient ne pas avoir donné la fessée à leur enfant dans le mois précédent, 27,9 % avaient eu recours à cette punition une ou deux fois, alors que 26,5 % avaient donné la fessée à plus de deux reprises.
 
Comparativement à ceux qui n’avaient pas eu ce châtiment, les enfants de trois ans ayant eu la fessée régulièrement présentaient des signes d’agressivité dans leurs comportements, comme de l’insolence, des cris, de la cruauté et de la méchanceté envers les autres à l’âge de cinq ans.
 
« Il y a des façons de discipliner les enfants de manière efficace sans avoir à les frapper et cela peut même réduire leurs chances d’être agressifs plus tard. Les parents n’ont pas à avoir recours à la fessée pour obtenir ce qu’ils veulent. S’ils évitent la fessée, mais utilisent des moyens non physiques, leur enfant aura de meilleures chances de bien se comporter plus tard », explique Catherine Taylor, chercheuse en santé publique à l’Université Tulane.
 
On recommande plutôt d’envoyer les enfants dans un coin où ils pourront réfléchir à leur comportement et aux conséquences.
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Un enfant sur 150 atteint d’un trouble envahissant du développement

Un rapport de la Haute Autorité de santé (HAS) mentionne qu’un enfant sur 150 a un trouble envahissant du développement.
 
En 2009, on estime que la prévalence pour les troubles envahissants du développement (TED) était de 7 cas pour 1000 personnes de moins de 20 ans. Pour l’autisme, c’est 2 pour 1000.
 
Rappelons que l’autisme est l’une des catégories des troubles envahissants du développement. Parmi les autres TED, on note l’autisme atypique, le syndrome d’Asperger ou le syndrome de Rett, pour ne nommer que ceux-là.
 
Ces problèmes possèdent des caractéristiques communes comme des troubles dans les interactions sociales, au niveau de la communication, du langage, en plus d’avoir des intérêts restreints, stéréotypés et répétitifs.
 
L’HAS mentionne que « ce rapport est le point de départ de la mise en œuvre d’autres mesures du plan autisme ».
 
Pour le moment par contre, le rapport n’a pas évalué l’efficacité des différentes interventions dans les cas de troubles envahissants du développement.
 
Les TED touchent surtout les garçons.
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Pas de panique si votre enfant mord

Il n’y a pas de drame au fait qu’un bébé mord. Cette tendance est très répandue chez les bébés de six mois à deux ans. En fait, comme votre petit ne peut parler, il manifeste son mécontentement de diverses façons : il tape, crie, pousse et mord.
 
TopSanté rappelle que les spécialistes disent qu’il ne faut pas gronder votre enfant et encore moins le mordre en retour. Il faut plutôt lui faire comprendre que ce qu’il vient de faire fait mal. Montrez-lui les marques laissées par exemple. Excusez-vous devant lui aux parents de l’autre enfant. Si votre enfant ne peut parler, il peut toutefois entendre. Au fur et à mesure, il comprendra que c’est mal et perdra sa fâcheuse manie.
 
Curieusement, mordre peut aussi être pour lui une manifestation de sa joie et de son affection. Trop heureux de revoir ses petits camarades, votre petit s’emporte et se laisse « dévorer » par l’émotion; il mord. Jamais un bébé ne mordra de façon préméditée, ce n’est qu’une pulsion. Inacceptable certes, mais une simple pulsion qu’il doit apprendre à laisser derrière lui.