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Faites bouger vos petits

Les enfants actifs auront toujours de meilleurs résultats scolaires. Plus l’envie de bouger est instaurée tôt, plus votre enfant continuera de s’adonner à l’exercice physique régulièrement.
 
Selon la nouvelle étude de la West Virginia University à Morgantown, la santé physique a un lien direct avec les performances académiques.
 
On a évalué 1 200 jeunes enfants pour déterminer si la forme physique affectait les performances à l’école. Les enfants ayant été actifs ont obtenu de meilleurs résultats dans les quatre matières évaluées, soit la lecture, les mathématiques, les sciences et les sciences sociales.
 
De plus, l’étude insiste sur le fait que le lien met l’accent sur l’activité physique et non sur le poids de l’enfant. Donc, ceux qui sont en forme avec quelques livres en trop peuvent également avoir d’excellents résultats. Quoique bien souvent, un enfant actif a moins de chances d’avoir un surplus de poids.
 
Pour les chercheurs, c’est la démonstration du lien entre le corps et l’esprit. De plus, les enfants qui bougent sont de meilleure humeur et sont plus aptes à se concentrer.
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Pour que votre enfant soit heureux

Top Santé rapporte que selon Didier Pieux, docteur en psychologie du développement, psychologue, psychothérapeute et auteur de livres en matière d’éducation des enfants, dont De l’enfant roi à l’enfant tyran, il est important de donner à son enfant de bonnes bases pour qu’il soit heureux.
 
Ses petits atouts doivent être inculqués dès son plus jeune âge. Leur apprentissage en sera ainsi facilité. Ils seront les bases du type d’adulte que l’enfant deviendra dans le futur.
 
Par exemple, un enfant heureux aura appris à s’accepter, à valoriser ses forces et à reconnaître ses limites. L’enfant heureux est sociable, empathique et tolérant avec les autres.
 
De plus, il accepte plus facilement la réalité et tolère mieux la frustration. Un enfant heureux accepte la vie telle qu’elle est. Il doit aussi apprendre qu’on ne peut pas tout avoir.
 
Ce sont de bonnes bases pour apprendre à l’enfant à trouver ses propres forces afin d’affronter la vie et ses difficultés. Malheureusement, tout n’est pas rose dans notre monde et chacun doit y faire face.
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La pédopsychiatrie serait inadéquate

Il a récemment été prouvé que l’on peut détecter des dépressions et troubles mentaux chez des enfants aussi jeunes que deux ans.
 
Or, pour soigner ces enfants, il faut leur donner les soins nécessaires. Selon un rapport du Conseil économique, social et environnemental (CES), il existe encore bien des lacunes dans ce domaine, et ce, malgré les progrès des dernières années.
 
On note de nombreux retards pour détecter les troubles mentaux chez les enfants et des délais d’attente trop longs pour avoir une première visite chez le pédopsychiatre. « Le retard dans le dépistage est d’autant plus préjudiciable qu’il annonce des difficultés supplémentaires dans le traitement. Les détections tardives sont également à l’origine d’un passage à l’acte délictuel chez les jeunes », indique le CES.
 
De plus, on constate également, en France notamment, une grande difficulté à prendre en charge les cas urgents et à aider les familles en plein désarroi. Le suivi des soins pose également problème. Toujours en France, certains enfants ont 10 traitements par année, alors qu’ils devraient en avoir un par semaine.
 
On propose donc notamment de jumeler l’école et le dépistage des cas à problèmes, entre autres, en effectuant un suivi auprès des élèves régulièrement absents. On préconise également un meilleur accompagnement des familles dans le processus.
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Faites le clown pour le bien de vitre enfant

Afin que votre enfant grandisse heureux, sociable, en meilleure santé et plus confiant, faites-le rire.
 
Comme le veut le dicton « Le rire c’est la santé », une étude démontre que faire rire son enfant lui permettra de devenir une personne plus positive, plus joyeuse et qui aime se divertir.
 
Autant chez les enfants que les adultes, le rire élimine les tensions, favorise la disparition de souvenirs douloureux et améliore la production de cellules immunitaires, nous protégeant donc plus contre les virus. Rire aux éclats favorise la circulation sanguine, oxygène les organes, y compris le cerveau, et fait travailler de nombreux muscles.
 
Faire rire son enfant est souvent l’une des expériences les plus réjouissantes pour les parents qui attendent avec impatience le premier sourire de bébé, qui survient souvent autour de 2 à 3 semaines. C’est vers l’âge de 6 mois que les bruits de gorge s’ajoutent.
 
Votre enfant ne se lassera jamais de vous voir faire des grimaces, danser ou faire des bruits. C’est donc à vous de décider quand viendra le moment du repos en ralentissant vos mouvements et en baissant la voix doucement. Attention par contre à ne pas trop prolonger les séances de chatouilles, car bien que l’enfant rira, cela finira par l’exciter et le rendre nerveux.
 
Alors, allez-y! Vous n’avez pas besoin de talent particulier, car pour votre enfant, vous serez toujours le plus drôle.
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La lutte contre l’obésité débute dès les premiers mois de vie

Des chercheurs mentionnent que le poids des enfants devrait être plus surveillé, car la lutte contre l’obésité doit débuter dès le plus jeune âge.
 
Selon une étude publiée dans le Clinical Pediatrics, une équipe de chercheurs américains a voulu connaître à quel moment de son développement un enfant était plus susceptible de devenir obèse. Après avoir examiné 184 patients obèses ou en surpoids âgés de 2 à 20 ans, on a déterminé que l’âge critique était de 22 mois et que le quart des enfants étaient déjà en surpoids à l’âge de 5 mois seulement.
 
Malheureusement, selon les spécialistes, beaucoup de gens ne surveillent pas assez le poids de leur enfant en raison du mythe du « beau bébé joufflu en bonne santé » qui est encore très présent dans les mentalités.
 
Une étude américaine démontre que près de la moitié des enfants présentent des problèmes de poids. On suggère donc une surveillance accrue de la prise de poids des jeunes enfants, et ce, afin de prévenir l’obésité et non de tenter de régler le problème une fois qu’il est bien implanté.
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Accoucher en plein ciel peut être payant pour un enfant

Lorsqu’une femme enceinte de 8 mois et demi s’est embarquée à bord d’un vol de TAM (Transportes Aereo Militares), elle espérait sûrement que le vol se passe bien. À sa grande surprise, elle a commencé à avoir des contractions deux semaines plus tôt que prévu. Un médecin et une infirmière qui se trouvait à bord ont alors aidé la jeune femme à donner naissance à une petite fille à 24 000 pieds d’altitude.

Un porte-parole pour TAM a annoncé que l’enfant pourrait voler gratuitement à bord des avions de la compagnie aérienne militaire, sur des vols locaux, jusqu’à ce qu’elle atteigne l’âge de 21 ans.

En l’honneur de l’heureux événement, la mère a décidé de baptiser sa fille Tami, une extension de l’acronyme du nom de la compagnie qui lui offre ce cadeau, en plus de lui promettre une bourse d’études secondaires dans l’une de ses écoles militaires.

Alors, si vous vous trouvez sur les ailes de TAM en voyage en Bolivie, enceinte et sur le point d’accoucher, qui sait ce qui attendra votre enfant à l’atterrissage.

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Être élevé par deux mères ne ferait pas de différence

Deux sociologues américains ont passé cinq ans à analyser toute la littérature concernant les familles traditionnelles et les familles avec des parents du même sexe. Ils en concluent que les enfants élevés par un couple du même sexe s’en sortent aussi bien dans la vie que les enfants de couples hétérosexuels.
 
Les deux spécialistes se sont surtout penchés sur les cas de couples de lesbiennes avec des enfants, car ceux-ci sont plus fréquents que les couples d’hommes. La parentalité masculine représente encore un trop petit échantillon pour en déduire des effets sur les enfants.
 
La croyance voulant qu’un enfant ait absolument besoin d’un père et d’une mère serait faussée. Sans exception, les enfants de couples de lesbiennes ne se soignent pas moins bien que les autres enfants. De plus, les couples avec deux femmes passent plus de temps à jouer avec leurs enfants et ceci pour les deux parents, qui se partagent plus équitablement les tâches. Elles sont également moins susceptibles d’utiliser la punition corporelle. De plus, les sociologues affirment que les enfants acceptent très bien la différence de leur famille.
 
Ceux qui croient que les garçons élevés par deux femmes seraient des mauviettes, rien n’est certain. Sur une échelle de mesure, ces garçons étaient tout aussi masculins que leurs congénères de familles traditionnelles, mais étaient par contre plus élevés sur l’échelle féminine, étant ainsi mieux ancrés des deux côtés. Pour les filles, il n’y avait pas de différence.
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L’autisme des bébés est influencé par l’âge de la mère

Contrairement à une précédente étude qui disait que l’autisme des enfants était lié à l’âge du père, c’est plutôt celui de la mère qui est déterminant pour ce trouble envahissant du développement.
 
L’âge du père n’aurait aucune incidence sur l’autisme de l’enfant, excepté si la femme a moins de 30 ans.
 
Une étude américaine dirigée par la Dre Janie Shelton démontre que les risques d’autisme augmentent avec l’âge de la mère lors de la conception de l’enfant.
 
Après avoir analysé 4,9 millions de naissances sur dix ans, on conclut que les risques de donner naissance à un enfant autiste augmentent de 18 % pour chaque tranche de cinq ans. Ainsi, une femme de 40 ans a 50 % plus de chances d’avoir un enfant autiste qu’une femme âgée de 25 à 29 ans.
 
Rappelons que l’autisme se définit par un manque d’attention et cause des problèmes dans les relations sociales. Ce trouble peut aussi provoquer des comportements répétitifs et stéréotypés. On estime qu’un enfant sur 165 sera touché par l’autisme.
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Encore 9 millions d’enfants de moins de cinq ans meurent chaque année

Encore aujourd’hui, plus de neuf millions d’enfants meurent chaque année dans le monde. 6,2 millions de ces décès surviennent avant l’âge d’un an.
 
Selon le bulletin scientifique Population & Sociétés, le taux de mortalité infantile est de 0,5 % dans les pays les plus développés, mais demeure à plus de 10 % dans les pays plus au sud et surtout sur le continent africain, qui compte le plus de décès d’enfants de moins de cinq ans.
 
Le taux de mortalité a grandement diminué au cours des années. En France par exemple, il est passé de 275 pour 1 000 bambins au 18e siècle à 3,6 pour 1 000 en 2009. Ceci s’explique notamment en raison de la vaccination contre la variole, mais aussi des politiques de protection de l’enfance.
 
C’est sur le continent africain que l’on retrouve le plus haut taux de mortalité infantile, soit 4,68 millions de décès. L’Asie, avec 4,23 millions de morts, et l’Amérique latine, avec 280 000 décès, viennent ensuite. L’Europe, l’Amérique du Nord et l’Océanie sont les endroits les moins concernés par le phénomène.
 
Le fait que l’Afrique soit le continent le plus touché pourrait s’expliquer par le fait que c’est aussi à cet endroit que l’on retrouve le plus haut taux d’infection au sida, en plus du manque de prévention et de traitements contre les maladies infectieuses.
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Attention au zinc chez les enfants

Selon une étude de l’Université de Gand, en Belgique, les enfants flamands consomment beaucoup trop de zinc.
 
On retrouve le zinc notamment dans la viande rouge, la volaille et les huitres, mais également dans certains végétaux.
 
Bien que le zinc soit essentiel au développement des enfants, il peut aussi être nocif s’il est absorbé en trop grande quantité. 
 
Si l’enfant se plaint d’un goût bizarre dans la bouche, s’il a des vomissements, de la diarrhée et des crampes abdominales, il y a des chances qu’il ait un trop haut taux de zinc dans son organisme. 
 
Le zinc renforce le système immunitaire des tout-petits et leur donne donc une protection contre les bactéries et les virus.
 
Le Bureau américain des compléments alimentaires affirme que le corps a besoin d’une dose de 3 mg de zinc par jour pour les enfants de 1 à 3 ans et de 5 mg pour les 4 à 8 ans.
 
Le corps des enfants utilise le zinc pour se développer et guérir les blessures, mais aussi pour développer les sens du goût et de l’odorat. De plus, le zinc aide à la production de protéines et de l’ADN.