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Le lait augmenterait la longévité

Les chercheurs de l’Université de Bristol, au Royaume-Uni, et de l’Université de Brisbane, en Australie, ont découvert que les enfants qui consomment beaucoup de lait et de fromages vivent, en général, plus longtemps.

Les enfants qui consomment des produits laitiers et ont une alimentation riche en calcium auraient un taux de mortalité plus faible que ceux qui n’ont consomment pas.

Ces résultats ont été obtenus après l’analyse des données recueillies dans les années 1930 auprès de 1 343 familles.

Il semble que prendre 400 mg de calcium par jour diminue de 60 % les risques de mourir d’une crise cardiaque.

De plus, nous savons déjà que les produits laitiers sont riches en protéines, en vitamines et en minéraux. Ils jouent un rôle important dans la santé des os.

Par contre, une fois adulte, la consommation de produits comme le lait entier, le beurre et le fromage augmente les risques de développer des maladies cardiovasculaires.

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Surplus de poids et asthme

Une recherche menée par la Dre Salome Scholtens de l’Institut de santé publique et de l’environnement à Bilthoven, aux Pays-Bas, l’amène à conclure que le surplus de poids chez les enfants de 6 à 7 ans peut augmenter le risque de développer les premiers symptômes de la maladie respiratoire.

La scientifique a aussi remarqué lors de ses travaux que les symptômes d’asthme s’atténuaient considérablement dès que les enfants atteignaient un poids santé.

Pendant 8 ans, la Dre Scholtens a demandé aux parents de 3 756 enfants de mesure leur poids et d’évaluer les symptômes d’asthme.

Les sujets qui ont continué à enregistrer un surplus de poids entre 6 et 7 ans avaient 68 % plus de risque d’éprouver des difficultés respiratoires à l’âge de 8 ans.

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Les bienfaits de la sieste chez l’enfant

La sieste chez les enfants de quatre à cinq ans n’est pas seulement bénéfique pour les adultes qui en prennent soin, mais également pour les petits eux-mêmes.

Selon une étude, dont on a présenté les résultats lundi dernier (8 juin) lors du congrès de l’Associated Professional Sleep Societies, les risques d’hyperactivité, d’anxiété et de dépression diminuent lorsque les bambins dorment un peu durant le jour.

Le Dr Brian Crosby, du département de psychologie de l’Université de la Pennsylvanie, a travaillé avec 62 enfants. 77 % d’entre eux avait l’habitude de faire une sieste durant le jour et il a découvert que le taux d’hyperactivité, d’anxiété et de dépression était plus élevé chez les enfants qui ne dormaient pas le jour.

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Troubles du sommeil chez les enfants obèses

Une étude publiée dans l’édition de juin du magazine SLEEP nous apprend que les enfants obèses sont plus sujets à souffrir de troubles du sommeil.

Le Dr Edward O. Bixler et son équipe de la Faculté de médecine de l’Université de la Pennsylvanie ont travaillé avec 700 enfants âgés de 5 à 12 ans. Ils ont mesuré leurs activités cérébrale et cardiaque ainsi que leur respiration pendant une nuit de sommeil de neuf heures.

Environ 25 % des sujets présentaient de légères difficultés respiratoires pendant leur sommeil, particulièrement ceux qui avaient un indice de masse corporelle et un tour de taille plus élevés.

« Les facteurs de risque des difficultés respiratoires durant le sommeil chez l’enfant sont complexes et liés au métabolisme et à l’inflammation », a expliqué M. Bixler.

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La télévision, nuisible pour les enfants?

Dimitri Christakis, professeur en pédiatrie de l’Université de Washington, et son équipe prétendent que le téléviseur allumé en permanence compromet le développement du langage et de l’intelligence des jeunes enfants, même s’ils ne le regardent pas.

« La télévision allumée à la maison réduit manifestement la verbalisation, à la fois chez les enfants et ceux qui s’en occupent, et est donc potentiellement néfaste pour le développement des bébés », ont mentionné les chercheurs.

Selon le Dr Christakis, les bambins entendent de 500 à 1000 mots de moins de la part des adultes lorsque la télé est ouverte. « Les adultes prononcent généralement environ 941 mots par heure. Notre étude a montré que ces mots étaient presque complètement éliminés quand l’enfant peut entendre la télévision », a-t-il conclu.

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Plus de cas de diabète de type 1 chez les enfants

Une récente étude, publiée dans la revue britannique The Lancet, indique qu’entre 2005 et 2020, il y aura une augmentation considérable des cas de diabète de type 1 chez les enfants européens.

L’étude a suivi 29 000 cas de type 1 dans 17 pays. Les patients étaient âgés de moins de 15 ans et ont été suivis de 1989 à 2003.

Les chercheurs ont noté une augmentation de nouveaux cas de l’ordre de 3,9 % par année. Si la tendance se maintient, on prévoit qu’il y aura 24 400 nouveaux cas en 2020. Les cas des diabètes de type 1 doubleront chez les moins de 5 ans.

Les chercheurs mentionnent que la croissance est trop rapide pour être attribuée uniquement à un facteur génétique et croient que le mode de vie joue également un rôle.

 

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Association entre l’obésité et les allergies

Une étude, dont les résultats sont publiés dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology, démontre qu’il y a davantage de cas d’allergies, surtout alimentaires, chez les enfants et les adolescents obèses.

« Nous avons trouvé une association entre l’obésité et les allergies. Si les résultats de notre recherche sont intéressants, il ne faut toutefois pas conclure que l’obésité cause les allergies. D’autres études doivent être effectuées afin d’évaluer davantage ce lien potentiel », a fait savoir l’un des auteurs, le Dr Darryl Zeldin du National Institute of Environmental Health Sciences.

4 111 enfants âgés de 2 à 19 ans ont participé à cette recherche où l’on a mesuré leur taux d’immunoglobuline E (IgE), une sorte d’anticorps capable de déclencher des réactions immunitaires, et leur indice de masse corporelle. Ceux qui étaient considérés comme obèses ou ayant un surplus de poids avaient un IgE plus élevé que la moyenne.

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Un peu d’eau de Javel contre l’eczéma

Une équipe de dermatologues de la Faculté de médecine de l’Université Northwestern de Chicago affirme que des bains contenant un peu d’eau de Javel peuvent soulager les sensations de picotements chez les enfants qui souffrent d’eczéma.

Les chercheurs ont travaillé avec 31 enfants, âgés de 6 mois à 17 ans, dont la maladie de peau était de modérée à sévère. La moitié d’entre eux ont trempé deux fois par semaine dans des bains contenant environ une demi-tasse de javellisant.

Trois mois plus tard, le degré de sévérité de l’eczéma chez les enfants ayant pris des bains javellisés avait diminué.

« Nous présumons que le javellisant a des propriétés antibactériennes et diminue le nombre de bactéries sur la peau », a noté l’un des auteurs, la Dre Amy S. Paller.

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L’autisme, lié à l’âge de la mère

Selon une équipe de chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université de l’Utah, il y a davantage de cas d’autisme lorsque le bébé se présentait par le siège lors de l’accouchement ou quand la mère était âgée de 35 ans et plus lors de la grossesse.

« Un nouveau-né qui se présente par le siège est deux fois plus à risque de développer l’autisme, comparé aux enfants qui se présentent par la tête », a précisé l’un des auteurs, la Dre Deborah Bilder.

Quant à l’âge de la mère pendant la gestation, il fait augmenter de 1,6 fois le risque d’être touché par ce trouble envahissant du développement.

« Le risque d’autisme chez l’enfant est tout de même relativement mince. Il est inutile pour les futures mères de 34 ans et plus de s’inquiéter », a voulu rassurer Mme Bilder, dont l’étude est publiée dans Pediatrics.

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Le ronflement chez les enfants

L’équipe de la Dre Eeva T. Aronen, du Centre hospitalier universitaire de Helsinki en Finlande, affirme que les enfants âgés de trois à six ans qui ronflent sont plus à risque de souffrir de divers troubles comme la dépression, l’anxiété, des retards de langage ou des troubles d’attention.

Les scientifiques ont travaillé avec 43 enfants d’âge préscolaire qui ronflaient d’une à deux fois par semaine et 46 enfants moins bruyants durant leur sommeil.

« 22 % des enfants ronfleurs ont des troubles au niveau de l’humeur assez sérieux pour nécessiter de l’aide professionnelle, comparativement à 11 % chez les autres enfants », affirme Mme Aronen.

Parmi les autres troubles associés au ronflement, on note également de la difficulté à s’endormir, des cauchemars ou des conversations durant le sommeil.