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Une loi pour des jouets silencieux

La débutée Judy Wasylycia-Leis entreprend des démarches en vue de présenter un projet de loi qui vise à réduire les décibels émis par les jouets et ainsi protéger la santé auditive des enfants canadiens.

Au pays, la Loi sur les produits dangereux comporte un chapitre sur le bruit émis par les jouets et interdit que le niveau de décibels dépasse 100. Mme Wasylycia-Leis souhaite que ce niveau baisse à 75 dB.

L’Association canadienne des orthophonistes et des audiologistes (ACOA) juge que cette réglementation n’est pas suffisamment sévère et approuve l’initiative de la députée. La directrice de l’audiologie et du personnel de soutien de l’ACOA, Chantal Kealey, a mentionné : « Au cours des dernières années, l’ACOA a travaillé fort pour informer le public et les députés du danger que présentent les jouets bruyants. L’annonce qu’a faite Mme Wasylycia-Leis constitue une excellente nouvelle; son projet de loi protégerait la santé auditive de millions d’enfants canadiens. »

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Un projet de loi antitabac pour l’Ontario

La province de l’Ontario prend très au sérieux les effets de la fumée secondaire chez les enfants et a déposé un projet de loi afin d’interdire de griller une cigarette dans une voiture lorsqu’il y a un enfant à bord.

David Orazietti, le député de Sault Ste. Marie, se réjouit de cette initiative du gouvernement ontarien : « Je suis ravi que le premier ministre et la ministre Margarett Best aient pris des mesures législatives pour protéger les enfants des effets néfastes de la fumée secondaire dans les automobiles. Cette initiative est un bel exemple de l’engagement continu de notre gouvernement, qui souhaite faire de l’Ontario un cadre de vie plus sain. »

Il reste maintenant à adopter ce projet de loi pour cette province, où le tabagisme a chuté de 30 % depuis 2003.

La fumée secondaire touchant les enfants entraîne plusieurs problèmes de santé, comme le syndrome de mort subite du nourrisson, l’asthme, le cancer et les maladies cardio-vasculaires.

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Fréquenter une garderie protège de la leucémie

Une recherche menée par la Dre Patricia Buffler, de l’Université Berkeley en Californie, démontre que les bambins qui ont fréquenté un service de garde pendant la petite enfance ont 30 % moins de chances de souffrir de leucémie infantile.

14 études sur le sujet ont été analysées par la Dre Buffler pour en arriver à de telles conclusions.

Il semble que les contacts entre les enfants les exposent à différentes maladies et infections, ce qui a pour effet de renforcer leur système immunitaire. Les parents qui refusent d’envoyer leur progéniture dans une garderie afin de préserver leur santé feraient donc fausse route.

Deux raisons peuvent expliquer la leucémie infantile. La première serait due à une mutation génétique dans l’utérus et l’autre est liée à une infection contractée après la naissance. La communauté scientifique croit donc que l’exposition aux infections renforce le système immunitaire et protège ainsi les bambins de la maladie.

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Le cerveau, responsable des crises d’enfants

Les parents aux prises avec un bambin qui hurle et crie doivent serrer les dents et se dire que ce n’est qu’un mauvais moment à passer dans le développement de leur enfant.

C’est que le cerveau des petits, pas encore à maturité, les empêche de raisonner et comprendre la colère qui les habite. La zone de résolution de problèmes, qui se situe dans le cerveau supérieur, n’est pas en mesure de tempérer les excès du cerveau inférieur, d’où les excès de rage chez les enfants.

« Les jeunes enfants n’ont pas de mécanismes inhibiteurs suffisants pour maîtriser toute leur colère. Ça nous semble injustifié, mais c’est très rarement un problème de santé. C’est un mauvais moment à passer », a mentionné à La Presse le Dr Albert Larbrisseau, professeur titulaire en pédiatrie à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal.

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Plus d’enfants cancéreux survivent

Le document Statistiques canadiennes sur le cancer 2008 dévoile quelques chiffres sur la maladie, notamment chez les enfants.

Chaque année en moyenne, 234 enfants québécois de moins de 14 ans reçoivent un diagnostic de cancer. 39 perdront leur combat contre la maladie.

On y apprend aussi que le taux de survie est à la hausse, malgré la progression de la maladie au pays. Les enfants atteints d’un cancer peuvent ainsi s’attendre à vivre au moins cinq ans après le diagnostic dans 82 % des cas, ce qui représente une hausse de 11 % en 15 ans.

« La survie d’un plus grand nombre d’enfants est une très bonne nouvelle. Cependant, il faut dire que plusieurs survivants risquent un jour de subir des séquelles provoquées par le cancer ou par son traitement. L’un des défis de premier plan pour la Société canadienne du cancer (SCC) et la communauté scientifique consiste, au moyen de la recherche, à en apprendre davantage au sujet de ces répercussions », a mentionné le Dr Gilles Pineau, vice-président de la SCC, Division du Québec.

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Rappel de jus de poire

Des contenants d’un litre de jus de poire biologique des marques Le Choix du président et Beech Nut ont été retirés des tablettes des supermarchés à la suite d’un avis de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA). En effet, ces aliments contiennent de l’arsenic et représentent un danger potentiel pour les enfants.

La consommation d’arsenic peut provoquer des nausées, des vomissements, des problèmes respiratoires, gastro-intestinaux, rénaux et neurologiques. Une exposition à long terme peut même causer certains types de cancers.

L’ACIA s’explique difficilement comment les jus peuvent contenir des traces d’arsenic.

Selon l’organisme, le concentré de fruit aurait été importé de Turquie dans un cas et probablement d’Amérique du Sud dans un autre. Comme l’arsenic est un métal lourd qui s’infiltre dans la nappe phréatique, il aurait contaminé l’eau dont on aurait aspergé les arbres et les fruits.

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Le premier enfant d’un couple est plus choyé

Cette recherche, menée à l’université Brigham Young dans l’État de l’Utah, démontre que le premier enfant d’un couple dispose d’une demi-heure de « temps de qualité » de plus avec chacun de ses parents, par rapport aux autres enfants de ce même couple.

Selon le Dr Joseph Price, auteur de l’étude, ce phénomène s’explique par le manque de temps des parents devant s’occuper du deuxième enfant. En conséquence, les parents sont portés à compenser ce manque de temps en octroyant plus de « temps de qualité » à l’aîné.

L’étude est basée sur un sondage réalisé auprès de centaines de parents ayant deux enfants ou plus. Elle compare le temps passé avec chaque enfant et les activités ayant été réalisées durant cette période.

En moyenne, pour une famille comptant deux enfants, le cadet passe 22 minutes de moins avec son père et 27 minutes de moins avec sa mère que l’aîné.

Dans les familles ayant participé à cette recherche, les enfants étaient âgés de 4 à 13 ans.

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Diminuer la consommation de sel peut prévenir l’obésité

Le ScienceDaily rapporte que les enfants qui mangent moins de sel consomment moins de boissons sucrées et peuvent ainsi réduire considérablement les risques d’obésité, de pression élevée et, à plus long terme, les risques de crise cardiaque. C’est ce que démontre une recherche publiée en ligne par Hypertension : Journal of the American Heart Association.

Des études précédentes ont démontré que l’utilisation de sel diététique chez les adultes augmentait leur consommation de liquide. Cependant, des chercheurs de l’Université St. George, à Londres, ont voulu examiner le même phénomène chez les enfants.
 
Le principal auteur de l’étude a déclaré : « Les boissons sucrées sont une source importante de consommation de calories chez les enfants. Il a été démontré que la consommation de boissons sucrées est reliée à l’obésité chez les jeunes personnes. Cependant, il n’est pas clair s’il y a un lien ou non entre la consommation de sel et celle de boissons sucrées. »
 
Lors d’une étude effectuée auprès de 1 600 filles et garçons de 4 à 18 ans, les chercheurs ont découvert que les jeunes qui mangeaient moins de sel buvaient moins de liquide et, surtout, moins de boissons sucrées.
 
Cette recherche prouve donc qu’en réduisant leur consommation de sel, les jeunes réduisent leur consommation de boissons sucrées, et diminuent par le fait même leur risque d’obésité.

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Des suppléments de zinc pour les petits

Une étude publiée dans l’édition de février de la revue médicale Pediatrics mentionne que le zinc a des effets antidiarrhée chez les petits.

Selon l’équipe du Dr Marek Lukacik, du département de médecine de l’Université de Georgia, les suppléments de zinc ont pour effet d’atténuer la durée et l’intensité de la diarrhée chez les enfants.

Le chercheur note également que la fréquence de ce trouble a diminué de 18,8 % comparativement aux sujets qui prenaient un placebo.

Malgré les effets bénéfiques, il faut toutefois savoir doser, car une trop grande quantité de zinc peut causer des vomissements.

Selon l’Organisation mondiale de la santé, deux millions de personnes décèdent chaque année à la suite de complications dues à la diarrhée. La majorité d’entre eux sont de jeunes enfants, originaires de pays défavorisés.

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Au dodo les enfants !

Des scientifiques américains de l’École de médecine de l’Université Johns Hopkins affirment que les enfants qui manquent de sommeil ont davantage de risques de souffrir d’un surplus de poids que ceux qui ont un sommeil réparateur.

Selon le Dr Youfa Wang, dormir une heure supplémentaire réduit de 9 % le risque d’obésité infantile. « Notre analyse des données montre une association claire entre la durée du sommeil et le risque de surpoids et d’obésité chez les enfants. Le risque baisse si on dort davantage », a-t-il précisé.

Ce risque de surplus de poids passe à 92 % chez les bambins qui dorment peu.

En ce moment, les pédiatres recommandent les heures de sommeil suivantes : 

  • 11 heures par jour pour un enfant de moins de 5 ans
  • 10 heures pour un enfant de 5 à 10 ans
  • 9 heures pour un enfant de plus de 10 ans