Patricia Paquin profite d’un moment de répit dans sa vie bien chargée pour proposer quelques adorables photos de ses trois enfants!
On peut en effet apercevoir les charmants Benjamin Gratton, Gabriel Marcotte et Florence Marcotte, alors que la publication se veut un bel hommage à ceux-ci, on le comprend, de la part d’une maman très fière!
L’aîné des trois, Benjamin, que le public a adopté au fil des ans, célébrait d’ailleurs récemment déjà son 20e anniversaire!
Les deux plus petits, Gabriel et Florence, sont quant à eux âgés de 11 et 6 ans, respectivement.
Cette dernière fêtera d’ailleurs son 7e anniversaire le 13 février prochain!
J’aurais tant aimé sauter de joie après avoir vu ces doubles barres. Ce matin, c’est l’angoisse, le stress et les questions qui occupent mon esprit.
Lorsque l’infirmier m’a demandé si j’étais enceinte ou s’il y avait des chances que je le sois, il y a une semaine, quand j’ai reçu mon vaccin anti-Covid, j’ai affirmé avec tant de certitude que non.
Ce n’est pas que je ne te voulais pas, convaincue que l’on n’était physiquement plus capables de te concevoir. On s’était fait à l’idée que mon bedon ne serait plus une maison.
On avait tenté d’imaginer une vie à trois, faute d’essais infructueux. On voyait la vie un peu différemment dans le dernier mois, la flexibilité des moments avec ta grande sœur. Je regardais mes amies et leur bébé avec un peu moins d’envie, en me disant que maintenant, j’avais toute la latitude pour faire les activités qu’on souhaitait.
Et tu débarques, ce matin. Comme de rien. Je cligne des yeux. Pleurer, rire, sauter de joie, crier? Un drôle de revirement de la vie.
Au fond, tu arrives à un bon moment. On pourra sûrement compter sur un village pour t’aimer, contrairement à la dernière année de distanciation. Je vivrai avec un stress de moins la grossesse, les cas de Covid à la baisse et mon vaccin déjà reçu. Et ta grande sœur pourra te cajoler tous les jours, en comprenant un peu mieux ce qui se passe, que si elle avait été plus jeune.
Tu es une belle surprise, alors que nous ne t’attendions plus.
Salut, petite crevette. Viens t’installer dans mon bedon. Je veux bien être ta maison.
Récemment, je vous suggérais des activités kid-friendly dans le Kamouraska et dans la région de Rimouski que nous avons découvertes pendant nos vacances. Après ces deux arrêts, nous nous sommes éloignés du fleuve pour nous diriger vers le Témiscouata. Et là aussi, évidemment, nous avons trouvé de beaux endroits parfaits pour les familles!
Le Parc national du Lac-Témiscouata
Les parcs de la Sépaq sont toujours agréables à visiter, et le Parc national du Lac-Témiscouata ne fait pas exception! Le secteur du Grand Lac Touladi (magnifique!) a été le favori des enfants. Nous avons loué un pédalo pour nous promener sur le lac, et Coco et Bout d’Chou ont affirmé à de nombreuses reprises qu’il s’agissait du plus beau jour de leurs vies. De retour sur la terre ferme, ils ont profité de la belle plage, essayé d’attraper des poissons dans l’eau peu profonde et joué dans le coin jeu, avant de se diriger vers le sentier des Curieux de nature, un petit sentier d’hébertisme avec mini-tyrolienne et mur d’escalade.
Le lendemain, nous avons loué des vélos dans le secteur de l’Anse-à-William. Nous avons choisi de rouler sur le sentier Grey-Owl, plat et facile, mais il y a plusieurs sentiers cyclables entre lesquels choisir. En plus, la location de vélos pour enfants et de remorques à vélo est gratuite à la Sépaq, alors ça vaut vraiment la peine!
Le parc Clair Soleil
Avec des enfants, un parc, c’est toujours gagnant. Un parc comme le parc Clair Soleil, ça l’est encore plus! Les enfants qui ont besoin de dépenser de l’énergie ont un grand espace vert pour le faire, et ils peuvent choisir entre différentes sections avec des structures de jeu et même des jeux d’eau. De plus, le parc est situé sur une rue où se trouvent plusieurs endroits où acheter de quoi boire ou manger, comme la boulangerie Tentations gourmandes ou la crèmerie Les folies glacées (Coco et Bout d’Chou nous parlent encore de leur tornade!).
La plage municipale de Cabano
Je triche un peu, parce que la plage était fermée en raison de mauvaise qualité d’eau lors de notre passage. Coco et Bout d’Chou ont été très déçus parce qu’elle était vraiment bien aménagée! L’espace de baignade est délimité par un quai à partir duquel on peut descendre à l’aide d’une échelle ou carrément se lancer à l’eau en utilisant une glissade. Les espaces de stationnement ne manquent pas, il y a un vestiaire où se changer et on va se le dire, l’eau est plus chaude que celle du fleuve! C’est également un bon endroit où admirer l’immense Lac Témiscouata, surtout au coucher du soleil. Nous ne manquerons pas de nous y baigner la prochaine fois que nous serons à Cabano!
Avez-vous d’autres suggestions d’activités dans le Témiscouata?
Un des grands bonheurs de la vie de parent, ce sont les premières fois de nos petits coeurs. Premier sourire, premier bisou, premiers pas, premier mot. On n’en fait jamais le tour. Elles se succèdent à un rythme effréné, viennent nous surprendre au milieu des nuits écourtées ou entre deux bouchées de toasts froides.
Chaque première fois est unique, précieuse; chacune est un événement qu’on veut chérir à jamais. On s’empresse de prendre des photos, de texter toute la famille : « Il a mis un bout de banane dans sa bouche !!! » Ce sont de petits fragments de miracles. Des morceaux de banal pourtant extraordinaires. Parce que c’est incontestable : il n’y a rien de plus magnifique que voir un petit être évoluer, apprendre, se développer. Juste rien.
Les premières fois ont leur revers, dont on ne parle jamais : les dernières fois. Les dernières fois arrivent généralement sans prévenir, elles aussi. Comme les premières fois, elles sont parfois source de réjouissance, mais le plus souvent, elles sont source de mélancolie. Et surtout, à la différence des premières fois, on ne sait pas quand on en est témoin. On ne les constate qu’après coup.
On les banalise d’abord. Tiens, il n’a pas mouillé sa couche cette nuit. Tiens, elle a oublié de me faire un câlin avant de partir pour l’école. Puis le temps passe. La vie continue. Et un jour on y repense. Parfois longtemps après le fait. Parfois jamais. C’est peut-être pour ça qu’elles sont si cruelles : parce qu’elles nous dérobent ces derniers moments dont on aurait voulu profiter.
Le dernier « je t’aime Maman » lancé sans pudeur, en public.
Le dernier dessin offert en cadeau avec un sourire débordant de fierté.
Les dernières supplications pour se faire lire un livre à voix haute.
La dernière main tendue pour saisir la nôtre en marchant dans la rue.
Ce n’est pas un refus d’avancer, pas vraiment. C’est simplement le rêve d’une pause, le temps de dire adieu aux instants qui ne reviendront jamais. Parce qu’ils étaient si parfaits, les mots zozotés avant que le son « s » soit maîtrisé et les heures de symbiose dans la chaise berçante. On voudrait pouvoir les garder indéfiniment, ne jamais les oublier.
Les dernières fois sont toujours douloureuses. On ne s’y habitue pas, mais on n’a pas le choix de suivre le mouvement. Parce que chaque jour, les enfants changent, grandissent, se transforment en eux-mêmes.
Gal Gadot, la star qui interprète le personnage de Wonder Woman, confirme qu’elle attend un enfant.
L’actrice de 35 ans a annoncé ce matin (lundi) sur Twitter la bonne nouvelle.
Gal Gadot et son mari, Yaron Varsano, vont donc accueillir un troisième enfant, eux qui ont déjà deux filles, Maya et Alma.
La rumeur courait depuis hier soir (28 février), alors que la vedette est montée sur la scène des Golden Globes. Elle portait une robe Givenchy Haute Couture ample qui laissait présager qu’elle avait un ventre rebondi.
Gal Gadot s’est fait connaitre du grand public en 2017, alors qu’elle campait le célèbre personnage de Wonder Woman.
Le succès du film fut impressionnant avec plus de 822 millions de dollars (US) au box-office.
L’actrice a repris son rôle à la fin 2020 avec la parution du film Wonder Woman 1984.
Gorgée de projets depuis son départ de la Maison-Blanche, l’ancienne première dame Michelle Obama lève le voile sur celui d’émission de cuisine pour enfants qui vient de voir officiellement le jour.
Diffusée chez Netflix, l’émission s’intitule Wafles + Mochi et proposera aux enfants de découvrir de bons ingrédients et une alimentation équilibrée et originale à travers la première saison.
Une première saison qui comptera par ailleurs dix épisodes, apprend-on par voie de communiqué.
Obama promet quant à elle de véritables «aventures pour découvrir, cuisiner et bien manger», lors d’une annonce sur Twitter.
Wafles + Mochi doit être lancé le 16 mars prochain.
Plusieurs aides financières ont été possibles depuis le début de la pandémie, comme la PCU, la PCRE et la PCMRE. Cette fois-ci, c’est au tour de la PCREPA (la Prestation canadienne de la relance économique pour proches aidants) d’aider certains parents pour la semaine de relâche qui arrive à grands pas au début du mois de mars.
La Prestation canadienne de la relance économique pour les proches aidants pourra aider un des deux parents d’un enfant de moins de 12 ans lors de la semaine de relâche. Si l’école ou le service de garde de l’enfant est fermé pendant la semaine et que les deux parents n’ont pas de congés payés par leur employeur pendant la semaine de relâche, la PCREPA pourra donner un certain montant d’argent à un des deux parents s’il ne peut pas travailler au moins 50% de sa semaine de travail.
La PCREPA permet de toucher 500 dollars pour la semaine, ce qui équivaut à environ 450$ après le prélèvement du montant de l’impôt.
Si vous avez besoin de cette aide financière, vous pouvez remplir votre demande pour la Prestation canadienne de la relance économique pour les proches aidants juste ici.
L’actuel Aquaman a décidé de gâter l’un de ses fans avec lequel il a tissé un lien bien spécial.
Jason Momoa avait en effet pu discuter avec le jeune Danny, sept ans, qui combat un cancer, après l’avoir vu déballer un jouet à l’effigie de son célèbre personnage de DC.
L’acteur avait alors décidé de contacter le garçon via FaceTime.
Cette fois, Aquaman est allé encore plus loin, en offrant une série d’objets de collection, dont son fameux trident!
Jason Momoa a ensuite publié quelques photos de Danny sur son compte Instagram, afin de souligner son courage. Les photos, prises et envoyées par la mère du jeune garçon, touchent droit au coeur.
Jason Momoa doit reprendre son rôle d’Aquaman dans la suite du film éponyme se situant dans l’univers de DC Comics, quelque part en 2022.
L’actuel Aquaman a décidé de gâter l’un de ses fans avec lequel il a tissé un lien bien spécial.
Jason Momoa avait en effet pu discuter avec le jeune Danny, sept ans, qui combat un cancer, après l’avoir vu déballer un jouet à l’effigie de son célèbre personnage de DC.
L’acteur avait alors décidé de contacter le garçon via FaceTime.
Cette fois, Aquaman est allé encore plus loin, en offrant une série d’objets de collection, dont son fameux trident!
Jason Momoa a ensuite publié quelques photos de Danny sur son compte Instagram, afin de souligner son courage. Les photos, prises et envoyées par la mère du jeune garçon, touchent droit au coeur.
Jason Momoa doit reprendre son rôle d’Aquaman dans la suite du film éponyme se situant dans l’univers de DC Comics, quelque part en 2022.
À la fin du mois de septembre 2019, j’ai accouché de mon deuxième couple de jumeaux. Nous avons d’abord eu des filles non identiques en 2017, puis des garçons identiques 22 mois plus tard.
La nouvelle de leur arrivée nous a fait enclencher plusieurs projets importants pour se préparer à leur venue. L’achat d’une maison, les rénovations et le changement de véhicule (allô la minivan) ont donné le ton à l’été précédant leur naissance. On a aussi eu la chance de s’offrir une séance photo familiale avec une photographe que l’on aime d’amour. Ce ne fut pas de tout repos, la chaleur m’handicapant, mais les résultats en valaient tellement le coup. Cette séance s’est réalisée alors que j’avais 29 semaines de grossesse. Je ne me souviens plus quelle était ma hauteur utérine à cette date, mais à 36.5 semaines, elle était de 52.
La naissance s’est bien déroulée malgré l’arrivée sur les chapeaux de roues de Philippe, suivi de peine et de misère par Wilfrid qui était logé très haut dans mon utérus. Petit coco né mou et bleu, mais qui a vite repris son air après deux longues minutes d’angoisse durant laquelle je n’ai jamais eu connaissance de délivrer mon king size placenta.
La visite de nos grandes filles à l’hôpital pour leur première rencontre fut un moment très important pour moi. Je m’ennuyais d’elles et j’avais vraiment hâte de voir leur réaction qui fut très positive, me rassurant pour la suite des choses.
Nous avons eu la chance d’avoir de l’aide pendant deux mois et demi à la maison. Ça a permis de garder une routine bien établie avec nos filles tout en suivant le rythme de nos bébés. La 5e semaine de vie de nos garçons a été marquée par un rocambolesque séjour en pédiatrie à notre hôpital puis un transfert en avion-ambulance au CHUL parce que l’un d’eux désaturait et était incapable de s’alimenter. Les pédiatres soupçonnaient alors une atrésie des choanes. Nous avons été très bien entourés au CHUL, entre autres avec Marie-Claude et Louka aux soins intensifs pédiatriques, deux infirmières en or qui ont su nous rassurer et être présentes pour tous les soins de Philippou.
Après 8 jours d’hospitalisation, on a eu notre congé et nous sommes retournés au bercail. Trois semaines plus tard, on fêtait le second anniversaire de nos cocottes.
Les mois ont suivi comme un fleuve tranquille, parsemé de petites tempêtes ici et là. Les filles allaient à la garderie, mon amoureux travaillait et je sortais marcher tous les jours avec les garçons en écoutant un podcast (allo Distorsion!) et ce, peu importe la température. C’était doux. Notre routine était douce.
En mars, la pandémie a frappé et puis on s’est confinés. On a continué de marcher et on a été très occupés avec nos cocos. Les filles demandaient beaucoup d’attention. Le jour des 6 mois de nos garçons, ma marraine est décédée. Ce fut difficile de vivre ce décès en pandémie. L’incapacité de lui rendre hommage à la hauteur de son importance pour nous était enrageante.
Le printemps fut aussi marqué par le petit Nathan Ouellet. Ce jumeau qui habite la même ville que nous, qui a tout juste 3 semaines de différence avec nos cocos et qui est atteint d’amyotrophie spinale de type 1. La situation de cette famille me touche beaucoup et je tente depuis d’aider autant que je le peux en tricotant des bonnets et des attache-suces à leur bénéfice. Pour leur campagne GoFundMe, c’est ici.
Puis, l’été arriva. Alors que le monde se déconfine, moi, je me confine un peu plus parce que mon doux que j’haïs la chaleur. Je profite des journées plus fraîches pour aller dehors avec la gang. Les garçons ont percé 6 dents pratiquement en même temps et les filles se rapprochent de la propreté. Nous n’y sommes pas encore, mais il y a de l’espoir.
Notre vie est bien rodée. Chaque moment, chaque étape de notre journée doit être organisée pour conserver un semblant d’harmonie. Juste faire les bains le soir, c’est toute qu’une affaire. Pendant que je prépare les effets personnels de chacun pour l’après-bain, mon chum débarbouille les quatre enfants avant de me les shipper un par un. Je lave généralement un ou les deux garçons et puis il vient prendre la relève. Je prends ce moment pour finir de ramasser la cuisine et/ou le salon et je relaxe 5 minutes avant d’aller faire l’après-bain des garçons alors qu’il s’occupe de celui des filles. Ce moment-là s’apparente beaucoup à une chaîne de montage. Tout, absolument tout, nous demande de la préparation et de l’organisation, mais nous apporte aussi un grand sentiment de gratitude.
Les cocos auront un an dans 3 semaines. Quand je fais une rétrospective de l’année qui vient de passer, je constate à quel point ma santé mentale se porte mieux qu’après ma première grossesse. Que la physiothérapie périnéale est un must et fait des miracles. Que la vie avec deux couples de jumeaux, ce n’est pas reposant, mais c’est incroyablement gratifiant. Que les mois passent incroyablement rapidement. Que nos filles sont d’excellentes grandes soeurs même si elles ne veulent pas vraiment partager leurs jouets. Que je suis une mère plus détendue à l’approche de chaque étape de nos troisième et quatrième bébés versus ce que j’étais avec la première et la deuxième. Que la présence de nos parents à moi et à mon amoureux est une bénédiction. Que la pandémie, bien qu’elle ait apporté sont lot de stress, nous a permis de passer du temps à la fois avec nos grandes et avec nos petits puis d’être témoins d’une multitude de merveilleux petits moments que nous n’aurions peut-être pas nécessairement remarqués normalement.
Notre vie est unique et je n’échangerais ma place pour rien au monde.
Quel est votre bilan de vie après la première année de bébé?