Comme parents, on a été drillés à ordonner à nos enfants. « Fais ton lit. », « Ne touche pas à ça. », « Il te reste 5 minutes pour jouer, après c’est dodo. » L’enfant, lui, doit écouter. Il doit presque être docile, il ne doit pas s’obstiner. Chez moi, mon conjoint et moi en avons décidé autrement. Bien sûr, on donne des consignes à nos enfants. Par contre, quand ils négocient (je préfère ce terme à s’obstinent), nous les écoutons. Pas pour n’importe quoi, bien sûr! Mais si je dis à ma fille qu’elle a droit à 2 biscuits pour dessert et qu’elle demande à en avoir 5, il y a de fortes chances que je lui laisse en avoir 3.
Je laisse mes enfants négocier
Comment vous faites, les parents?
Non, mais pour vrai? Comment vous réussissez à vivre un peu pour vous et non pas juste pour les enfants? Jongler avec la vaisselle, la préparation des repas (DME pour bébé et celui pour papa/maman), le nettoyage des repas (surtout DME, mais aussi celui de papa/maman), le bain (le sien et le vôtre), le ménage, le lavage, sans compter plier le linge, nourrir le chien, sortir le chien, rentrer le chien, faire l’épicerie, ranger l’épicerie, les travaux autour de la maison, alouette!
Et ça, c’est sans parler des horaires avec lesquels il faut arriver à tout conjuguer! Le chum dans la construction arrive à des heures pas possible, fatigué, brûlé et qui a juste le goût de s’effoirer. Et moi, maman « en congé (oué oué) » qui a couru partout toute la journée, qui prend les périodes de sieste (quand il y en a) pour faire le ménage, rapailler un peu toute la maison pour que le chum soit au moins un peu heureux de rentrer, le bébé dans les bras en fin de journée parce qu’elle n’est plus capable de se gérer… Ouf!
Bref, maman aussi a le goût de s’effoirer le soir venu, à 19h00 quand le bébé est couché. MAIS NON! Ceci n’est qu’un mirage qui vacille au loin. Il y a encore plein de choses à faire, de la vaisselle accumulée du souper de bébé ou la dernière tasse de café en verre à paroi doublée qui ne va pas au lave-vaisselle qui traîne encore sur le comptoir, mais qui était essentielle pour survivre aux derniers miles de la journée. Il y a aussi le souper à préparer (et à manger souvent vers 21h00). Et pis après, maman et papa aimeraient ça se retrouver un peu tous les deux, mais la fatigue s’en mêle et on appréhende déjà demain. Alors, bonne nuit, merci bonsoir, on se réessayera demain….
Non, mais pour vrai les parents, vous faites comment? En thérapie, on dit aux nouveaux parents à quel point l’arrivée d’un enfant requiert un réaménagement de l’entreprise familiale/conjugale. On lit les études scientifiques qui le documentent, on le sait, théoriquement. Mais le vivre? Le ressentir? Le mettre en pratique. Ça, rien ne nous y prépare.
Vous faites comment pour arriver à trouver l’équilibre, si cette chose qu’est l’équilibre existe vraiment? Il est où votre répit? Votre moment à vous, un vrai de vrai? Il y a de ces moments où je me dis que la prochaine fois que je pourrai réellement n’être qu’avec moi-même, c’est quand ils auront 20 ans, seront partis en appartement et que finalement, je regretterai ces moments de tourbillon incessant. Mais ça me fait paniquer. Est-ce que c’est moi qui a oublié de prendre une quantité suffisante de don de soi en sortant de l’unité des naissances? Ou encore, qui a oublié de laisser sortir mon égoïsme en même temps que le placenta lors de l’accouchement?
Sérieux, les parents, vous faites comment? Et donnez-moi vos trucs pour vrai, parce que là, maman commence à être essoufflée.
Ce n’est pas la première fois que nous vous présentons un projet de l’illustratrice québécoise Élisa Gravel; en effet, nous adorons son travail et nous avons toujours envie de partager ses brillantes (et instructives) illustrations avec vous. Son plus récent projet: un outil pour aider les enfants à reconnaître les fausses nouvelles qui circulent sur le web!
En quelques critères simples, elle illustre ce qu’il faut observer lorsqu’on tombe sur une nouvelle qui nous semble sensationnaliste, exagérée… ou tout simplement fausse. Évidemment, il s’agit de critères à analyser, et non pas de critères qui signifient que nous avons absolument affaire à une fausse nouvelle. En effet, par exemple, nous publions souvent sur TPL Moms des contenus signés par des autrices anonymes, mais c’est pour préserver leur intimité, tout simplement.
C’est un outil très pertinent à notre époque alors que les fausses nouvelles pullulent sur le web; lorsqu’on cherche de l’information sur un sujet donné, il peut s’avérer difficile de dégager le vrai du faux. Et c’est évidemment le cas pour les enfants aussi, qui n’ont pas encore le même flair que nous pour déterminer qu’une nouvelle sent le fake news. Avec cette illustration, il devient plus facile d’aborder la question des « nouvelles inventées » avec les enfants et de leur permettre de faire la différence entre un article et une publicité déguisée.
Avez-vous déjà eu ces discussions avec vos enfants?
Pour les journées où l’inspiration à organiser des activités manque, on a trouvé deux super initiatives qu’on veut absolument vous présenter!
L’entreprise HP a collaboré avec plusieurs partenaires comme Crayola et Canva afin de produire plus d’une centaine d’activités imprimables gratuites en tout genre. Disponibles en ligne, les activités incluent notamment des fiches de travail, des pages à colorier, des casse-têtes et autres projets amusants. On voulait aussi souligner le fait que l’entreprise a collaboré avec un artiste québécois, Pierre Girard, pour créer des illustrations à colorier. Toutes les activités sont disponibles juste ici.
Une autre belle découverte qu’on a faite, c’est le cahier à colorier de la galerie d’art en ligne Gallea. Les entrepreneurs derrière la galerie québécoise ont lancé un cahier regroupant des illustrations de paysages québécois faites par des artistes d’ici. En tout, 23 artistes ont collaboré au projet!
Le cahier est téléchargeable gratuitement juste ici.
Quelles belles idées!
TPL Moms +
Avez-vous vu les nouveaux crayons que Crayola veut lancer prochainement? On vous en parle dans l’article ici.
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Je n’aime pas dire que mon enfant est anxieux; elle est trop jeune pour qu’on lui appose un diagnostic.
Par contre, je suis consciente qu’elle a des prédispositions à le devenir, considérant qu’au niveau génétique, son père et moi n’aidons pas la cause puisque nous vivons tous les deux avec différents troubles anxieux.
Je vois bien que lorsque les choses ne se passent pas exactement comme à l’habitude, ses yeux deviennent apeurés. J’entends bien son besoin de se faire rassurer régulièrement. Je suis consciente qu’un objet qui n’est pas au bon endroit lui crée de l’incertitude. Non seulement les repères sont importants pour elle, ils sont primordiaux.
À ses 2 ans, nous avons dû quitter notre merveilleuse éducatrice en milieu familial et j’ai pris la décision de me tourner vers un CPE. L’adaptation a été longue et pénible. Nous avons fait face à des crises intenses et des réactions excessives. Ma fille est d’une nature très douce et conciliante, mais pendant son adaptation, son comportement était devenu violent. Maintenant, elle connaît tous les noms complets des amis du CPE et sait ou se trouve chacun de leurs casiers (on parle de 70 enfants ici). Mais ne lui demandez pas de changer de place au vestiaire. C’est trop pour elle!
Bientôt, nous aurons à faire face à son retour en service de garde. Le retour en soi s’annonce comme un véritable défi après des semaines où elle s’est habitée à passer tout son temps en compagnie de sa maman en confinement. J’ai pris connaissance des nouvelles mesures préventives en SDG pour commencer à en discuter avec ma puce. Vous pouvez consulter le document ici. Je devrai la préparer au fait que je ne pourrai plus l’accompagner à son vestiaire le matin. Je ne pourrai pas lui faire son bisou-câlin à la porte de son local. Elle devra accepter énormément de changements au cours de la rentrée prochaine, mais elle sera accompagnée d’éducatrices attentionnées.
Je crois qu’en tant que parent, mon rôle n’est pas de contrôler son stress du changement (sa bête noire, si on peut l’appeler ainsi), mais plutôt de l’accompagner et de lui donner les outils pour qu’elle puisse elle-même l’apprivoiser. À la maison, pour calmer ce que je perçois comme ses réflexes anxieux, j’essaie d’amener des variantes rigolotes à nos activités quotidiennes. On change de lieu dans la maison pour l’histoire du soir ou pour le déjeuner, par exemple. C’est légèrement déstabilisant et ça brise sa rigidité tout doucement. Je la laisse s’avancer à son rythme dans des situations dérangeantes, lorsqu’elle rencontre de nouvelles personnes, par exemple. Je l’amène à s’exprimer lorsqu’elle perd le contrôle, mais aussi à la fin d’une journée qui nous semble banale.
Un jour, mon enfant deviendra une adulte. Si elle doit, comme son papa et moi, apprendre à vivre avec l’anxiété, j’espère que je l’aurai aidée à mieux l’affronter.
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Si les Montréalais savent bien une chose, c’est qu’il y a « Montréal », et il y a « Montréal l’été ». Les sorties, les parcs, les pataugeoires, les restos et j’en passe. La vie familiale qu’offrent les ruelles. Les cliques au parc. La bière et les parties de ballon entre familles et voisins. Un mode de vie qui pousse souvent mes amis vivant à l’extérieur à nous questionner: « Vous vous tenez vraiment à la piscine publique? » Mais oui, tous les jours, tout l’été.
Depuis le début du confinement, j’ai troqué les sorties au parc pour des promenades à vélo et, tous les jours, quand on passe devant les modules et la pataugeoire du Parc Lafontaine, mes enfants me demandent à quel moment nous pourrons y retourner.
« Oublie ça! Ça ne va pas ouvrir de l’été. Ce sera une des dernières réouvertures » me dit-on, comme si ce n’était pas important.
Je sais que ça peut sembler futile, mais la vie urbaine extérieure occupe une grande place dans la vie des familles montréalaises. Et quand on n’a ni cour, ni patio, ni chalet dans les Laurentides… Ce n’est pas si futile. La question se pose: ils vont faire quoi, les enfants, cet été? Et pendant les canicules? Quand normalement les piscines demeurent ouvertes et gratuites… On s’entend qu’il ne fera pas moins chaud cet été.
Ne me répondez pas des bulles sur le balcon ou de la craie à 2 mètres de distance; ça, ça occupe 2 jours et après, il reste un été entier.
On semble pressé de s’assurer que je puisse prendre un verre sur une terrasse COVID-proof ou que je puisse rapidement retourner magasiner au centre-ville. J’entends parler de rues devenues piétonnes, de tables à 2 mètres de distance. Je comprends l’empressement de déconfiner ce qui génère des revenus, mais les enfants, eux?
Il suffit de passer un samedi après-midi au Parc Lafontaine qui prend des allures d’Osheaga ces temps-ci pour bien voir que, en plein mois de juillet, les gens n’écouteront plus les règles (qui commencent, lentement mais sûrement, à être assouplies par le gouvernement, mais quand même).
On ferme les toilettes publiques pour les remplacer par une seule et unique toilette chimique alors que les parcs sont plus bondés que jamais. Est-ce qu’on a pensé une seule seconde que ce serait suffisant? La file traverse parfois le stationnement en entier. Les parents se sont déplacés des modules de jeux au terrain de volleyball, devenu un immense carré de sable. Les couvertures alignées forment des petits corridors où circule la police. Les gens, les familles, ont besoin de sortir, on le ressent bien.
Il va falloir une alternative, pour tous, et ça inclut les enfants.
Cette fameuse question, tous les futurs parents l’ont entendue: « Pis, comment vous allez l’appeler? » Naïvement, je pensais que ce serait une décision rapide, facile et agréable à prendre. Disons que l’expérience réelle était, au final, pas mal moins évidente que dans les Sims…
Je ne fais pas partie de ces personnes qui ont toujours su le nom de leur(s) futur(s) enfant(s).
Depuis que je suis ado, j’ai souvent eu des coups de coeur passagers pour des prénoms, mais malheureusement, la majorité de ces noms avaient déjà trouvé preneurs chez des membres de la famille ou des amis lorsque mon tour est venu.
Il était d’ailleurs hors de question pour moi de choisir un prénom déjà porté par un bout de chou de mon entourage.
Avec mon conjoint, la question du prénom s’est immiscée plutôt tardivement dans nos discussions parentales. Même une fois que nous avons su le sexe du bébé, nous n’avons abordé sérieusement cette question que quelques semaines plus tard. Alors que nos familles et nos amis y allaient de spéculations, de remarques et de théories un peu farfelues, nous évitions toujours le sujet entre nous. C’est comme si nous savions que ce serait une épreuve éreintante.
Puis, un problème classique s’est présenté lorsqu’on en a enfin discuté: monsieur n’aimait pas mes idées de prénoms et je n’aimais pas les siennes. Il se trouvait des raisons douteuses pour rejeter mes choix et je faisais pareil. Pendant ce temps, ma bedaine prenait des proportions démesurées et les semaines avançaient rapidement.
Quelques semaines avant la fin de ma grossesse, nous avions finalement choisi quatre prénoms potentiels. Nous les avons testés auprès de nos proches. Évidemment, ça n’a pas aidé du tout. Ils étaient soit trop polis pour donner leur vraie opinion, soit ils choisissaient tous un prénom préféré différent. (Heureusement, personne n’a remis en doute nos capacités parentales en entendant nos idées!). Aucun de nos choix ne ressortait du lot. J’ai même tenté de faire choisir le prénom par notre chat grâce à une méthode des plus scientifiques (*tousse tousse*), mais mon conjoint a décrété que son opinion n’était pas recevable…
Nous sommes finalement partis pour l’hôpital sans consensus. Lorsque notre puce s’est pointé le bout du nez dans la nuit, nous n’avions toujours pas décidé de son appellation. Ce n’est que le lendemain matin que nous avons finalement choisi son prénom; celui que nous avions ajouté à la liste à la dernière minute. Notre famille et nos amis n’en pouvaient plus du suspense, et nous non plus.
Aujourd’hui, je me dis qu’elle aurait pu très bien porter n’importe lequel de ces quatre finalistes. Le sort a seulement voulu que nous préférions ce prénom à ce moment précis. Nous nous sommes mis beaucoup de pression pour trouver le prénom parfait, et c’est normal. Nous voulions lui donner un nom qui nous représenterait comme parents, et comme famille, et qui la représenterait bien, elle aussi. Et nous avons parfaitement réussi.
Comment s’est passée cette décision pour vous?
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Il y a quelque temps sur le blogue, on vous parlait de l’entreprise québécoise BiMoo et de ses super nappes éducatives. Aussi sur le blogue, on vous présentait l’entreprise Éducazoo et sa belle mission de prendre soin de centaines d’animaux et de contribuer à éduquer les gens sur le bien-être animal.
Eh bien aujourd’hui, on est très contentes de vous annoncer que ces deux géniales entreprises d’ici, ainsi qu’une troisième, Regard9, se sont associées pour créer un tout nouveau modèle de nappe éducative! Chacun y a mis de son expertise pour faire un produit ingénieux et créatif. Les dessins sur la nappe sont inspirés des animaux d’Éducazoo et du livre La Marche des animaux, de Regard9. Basée sur le même principe que toutes les autres nappes de BiMoo, cette nappe en édition spéciale favorise le développement du langage ainsi que le développement cognitif, social et moteur chez les enfants.
Les enfants peuvent dessiner et colorier les dessins sur la nappe, puisque celle-ci est lavable. Outre les dessins, les enfants peuvent aussi jouer à des jeux de cherche et trouve, des jeux d’association ou faire des exercices!
Pour chaque achat de cette nappe en édition spéciale, 5$ sera remis à Éducazoo afin d’aider l’entreprise à assurer le bien-être et les soins de tous ses pensionnaires.
Pour acheter la nappe de BiMoo et le livre de Regard9, cliquez ici.
Pour acheter seulement la nappe, cliquez ici.
Pour en savoir plus sur Éducazoo, cliquez ici.
Nous ne sommes pas payées pour vous parler de cette nappe éducative,
nous aimons simplement vous partager nos belles découvertes, surtout lorsqu’elles sont locales!
L’annonce du retour graduel pour les élèves du primaire et les garderies a provoqué une grosse vague de réactions. Les avis ne sont pas unanimes et force est de constater que pour certains.es, l’idée de retourner en classe est anxiogène. La Fondation Jasmin Roy Sophie Desmarais a réalisé un sondage CROP et les résultats sont frappants : 67% des parents et 46% des enfants ont avoué souffrir d’anxiété face à la décision de rouvrir les écoles.
Et de manière générale, disons que la situation actuelle avec le confinement n’aide pas la santé mentale… Alors que faire pour aider nos minis à identifier et gérer leurs émotions face à tout ça? La Fondation Jasmin Roy Sophie Desmarais a décidé de mettre la main à la pâte et proposer tout plein d’outils pour les parents et les enfants!
Un des premiers outils, l’émojeu, permet aux enfants de 3 à 7 ans de mieux comprendre leurs émotions et mettre des mots sur ce qu’ils ressentent. Cet outil amusant contribue ainsi à développer des habiletés qui aideront à mieux s’adapter à un retour éventuel à l’école.
Un deuxième outil à connaître, ce sont des capsules pédagogiques qui présentent des techniques toutes simples pour accompagner les enfants à retrouver un état de calme après avoir vécu une grosse émotion, qu’elle soit positive ou négative.
Outre ces deux outils, la Fondation propose tout plein d’autres trucs afin d’aider les parents et les enfants! On vous invite à les découvrir sur leur site Web.
Lapresse.ca a partagé une initiative super intéressante et on se devait de vous en parler nous aussi! On le sait, le confinement pèse énormément sur le moral des enfants, mais aussi sur celui des aînés les plus isolés habitant dans des résidences ou des CHSLD.
Dans le cadre du projet « Semer le bonheur », les Correspondances d’Eastman et deux commissions scolaires de l’Estrie ont mis en place une belle initiative invitant les enfants à écrire une lettre aux aînés les plus esseulés. Car on le sait, beaucoup de personnes âgées en résidences ou CHSLD ne reçoivent ni lettre, ni appel de leur entourage.
Pour ce faire, des outils pédagogiques destinés aux élèves ont été mis en place. On trouve même des exemples de lettres pour les moins inspirés.
« Une lettre qui sème le bonheur, est venu de l’envie et du besoin de faire du bien à des gens, en voulant faire pour eux, une différence dans leur quotidien […] Ces lettres auront assurément leurs utilités dans ces temps difficiles. Ce projet vise également à faire germer chez les jeunes les valeurs de bienveillance, d’empathie et de solidarité. Une lettre qui sème le bonheur transformera certainement le mot solitude par sollicitude en créant un pont entre les générations. » peut-on lire sur la page Facebook du projet.Pour inscrire une résidence ou un CHSLD https://docs.google.com/forms/d/1OqiesQn_Vy_qPsDTvPeeoAGvi8jOJprHsaoheScefqs/editTrouvez toutes les informations sur ce site : https://www.csrs.qc.ca/fr/ecoles-primaires/rester-actif/ecrire/index.htmlToutes les informations se trouvent sur la page Facebook du projet.
À vos plumes les enfants!