Catégories
Potins

Angelina Jolie : « Mes enfants ont traversé beaucoup de choses »

L’ancienne femme de Brad Pitt se confie en marge d’un profond entretien accordé à Harper’s Bazaar, et la star de 44 ans révèle se porter mieux et sentir son « sang revenir dans son corps ».

Angelina Jolie affirme aussi cependant savoir que ses enfants ont également « traversé beaucoup de choses ».

« La vie prend de nombreux détours. Parfois, tu te fais mal, tu vois ceux que tu aimes en douleur, et tu ne peux être aussi libre et ouvert que ton esprit l’aimerait. Ce n’est rien de nouveau (…), mais je sens le sang revenir dans mon corps. Cette partie de nous qui est libre, sauvage, curieuse, peut se faire fermer par la force de la vie. Par la douleur ou en se faisant mal. Mes enfants connaissent la vraie moi, et ils m’ont aidé à la retrouver encore et à l’apprécier. Mes enfants ont traversé beaucoup de choses. J’apprends de leur force », lance Jolie au cours de l’entrevue.

On comprend la lourdeur du processus du divorce de l’actrice au père de ses enfants, Brad Pitt, ainsi que la pression exercée sur ceux-ci en marge de cette séparation, à travers l’entrevue candide que propose ici Angelina Jolie.

La star prend donc visiblement du mieux, et se retrouve d’ailleurs en vedette de Maleficent 2 et de pas moins de quatre autres projets d’ici la fin de 2020!

Catégories
Art de vivre

Ma mère n’est pas la mamie que je voulais pour mon enfant…

Ce n’était pas le scénario que j’avais envisagé quand je lui ai annoncé que j’étais enceinte. Dans ma tête, elle sautait de joie, m’aidait à préparer la venue de ce petit être tant attendu, elle avait hâte de catiner. Dans la réalité, c’était une tout autre paire de manches. Elle a sauté de joie, mais ça s’est arrêté là…

Ça faisait quelque temps qu’elle nous rabâchait les oreilles avec la classique phrase : « pis, c’est quand que vous nous faites un p’tit bébé? » J’en avais donc conclu qu’elle avait hâte d’être grand-mère. Elle qui avait passé notre jeunesse à la maison, à s’impliquer dans toutes les activités de bénévolat à notre école, je me disais qu’elle serait présente pour ce petit trésor à venir, qu’elle voudrait être aux premières loges de tous les moments importants de son protégé.

Quand, enfin, je suis tombée enceinte, ça ne s’est pas du tout déroulé comme je l’avais prévu… Moi qui l’espérais mamie gâteau, prête à assister à tous les exploits de son seul petit-enfant, elle s’est plutôt avérée être un brin désintéressée par ce que ma progéniture accomplissait. 

Pas qu’elle n’est pas là! Mais à mes yeux, pas comme il le faudrait. Elle m’a clairement avisée au départ que je ne devrais pas me servir d’elle comme d’une garderie de secours, et que l’avertir moins de 24h à l’avance pour me dépanner n’était pas trop envisageable. Nouvelle retraitée, elle avait bien l’intention de dormir le matin et de penser à elle. Ce qui, en soi, est légitime, si j’avais eu l’intention d’exagérer. Je crois qu’à ce jour, mon enfant a dû se faire garder par elle l’équivalent de deux mois en presque 10 ans! Et là-dessus, il n’y a eu aucun dodo.

Bien évidemment, quand vient le temps de choisir où mon enfant veut se faire garder, le nom de ma mère ne vient jamais en tête de liste. Je dois parfois user de subterfuges pour qu’il y aille. Parce que contrairement à quand j’étais enfant et que ma mère jouait avec nous, maintenant, elle continue à vaquer à ses occupations pendant que mon enfant s’amuse seul.

Imaginez mon désarroi la première fois qu’elle m’a dit s’ennuyer de son petit protégé! Qu’elle trouvait qu’elle ne le voyait pas assez souvent à son goût… je ne savais pas quoi lui répondre sans l’offusquer!

Je sais qu’elle l’aime à sa façon et qu’elle s’en occupe bien quand il est avec elle. Je trouve juste dommage que les liens ne soient pas tissés plus serrés. Je regarde juste la relation que mon enfant a avec son autre grand-mère, qui malgré ses courbatures et son âge, est prête à se rouler par terre pour divertir mon enfant, ou même avec mes beaux-parents (qui ne sont pas ses grands-parents), qui l’acceptent comme si c’était la leur et je me dis que c’est ça que je souhaitais que mon enfant vive avec mes propres parents.

J’en viens donc à la conclusion que ce que je considère une belle relation mamie – petit-enfant n’est pas perçu de la même façon par tous… et que je dois jongler avec les émotions que cela implique, autant pour mon enfant, ma mère que pour moi…

Êtes-vous satisfait.e de la relation entre vos parents et vos enfants?

Vous avez envie de partager votre histoire? Écrivez-nous via info@tplmag.com

Catégories
Art de vivre

Un des plus beaux cadeaux à faire à nos enfants

Je suis tellement contente d’être mère à une époque où le monde a une plus grande ouverture d’esprit. Désormais, il n’est plus tabou qu’un ami aille deux mamans ou deux papas. Ni que le petit Michel devienne dans quelques années la grande Micheline. Ou encore, mon fils de 4 ans peut demander une poupée pour sa fête sans que toute la famille et les « mononcles » machos en fassent tout un plat. Bref, je me réjouis de l’ère d’acceptation, d’ouverture d’esprit et de respect de l’autre dans lequel je vis.

Mais ne vous méprenez pas, tout n’est pas rose. Nous avons encore beaucoup de chemin à faire. Et je crois avec conviction que nous avons un gros rôle à jouer dans cette société en plein changement. En effet, les mères, pères, tantes, oncles et amis que nous sommes auront un impact sur les futurs pères, mères, tantes et oncles que nos enfants seront. Je pense donc qu’il faut montrer le bon exemple. Il faut montrer à nos enfants qu’il faut accepter l’autre avec ses différences, ses qualités et ses défauts. Et surtout, il faut se respecter les uns les autres.

Faisons-nous ce cadeau. En fait, faisons ce cadeau à nos enfants. Ainsi, le petit Rémi qui s’est fait intimider à l’école dans les années 80 parce qu’il était petit ne se ferait pas intimider dans les écoles de demain. La grande Sophie qui s’habillait « en tomboy » aurait des amies de filles qui respecteraient ses choix vestimentaires en 2020.

Je n’ai pas la science infuse, mais je pense que l’acceptation et le respect pourraient rendre le monde meilleur. Oui, j’aimerais léguer à mes enfants un monde d’acceptation des différences où il faut bon de vivre. Un monde où un garçon pourrait annoncer à sa famille son homosexualité et que ses « mononcles » lui répondent: « En autant que tu sois heureux, c’est tout ce qui compte. »

Et vous, aimeriez-vous léguer ce monde à vos enfants?

Catégories
Art de vivre

Halloween et les bonbons gratuits: il faut quand même dire « merci »!

L’Halloween est passé et Noël s’en vient. Pour moi, ces deux fêtes sont de belles occasions de mettre en pratique les notions de respect et d’habiletés sociales que je tente d’inculquer du mieux que je peux à mes enfants.

Cette année, à l’Halloween, je suis restée à la maison pour donner des bonbons tandis que mon chum est parti avec les 3 enfants. Dix minutes plus tard, mon petit Henri de 3 ans était de retour.

« J’ai assez de bonbons maman, je veux rester ici. »

Aucun problème avec ça, c’est son choix et je respecte ça. On va se le dire, il y a malheureusement des parents qui n’ont pas tout à fait la même vision et j’ai par le passé déjà vu des mamans insistantes pour que leur mini continue leur porte-à-porte. Pareil pour Noël; c’est ben cute les photos assis sur le père Noël, mais hors de question que je « force » mon coco à s’assoir sur un homme barbu inconnu s’il n’en a pas envie. C’est son choix et je le respecte.

Le respect est une valeur importante à partager à mes enfants et pour cela quelques jours avant l’Halloween, je rappelle les petites notions de base sur la façon dont on s’adresse aux personnes généreuses qui offrent des bonbons. On regarde dans les yeux, on dit « Bonjour, joyeuse Halloween! » et, SURTOUT, on remercie!

Cette année, j’ai été agréablement surprise de voir l’attitude des enfants qui sont venus cogner. En fait, j’appréhendais ce moment puisqu’il y a deux ans, certains enfants s’étaient permis de vouloir choisir leurs bonbons alors que d’autres avaient essayé de piger plus de friandises dans ma boite.

Eeeeh pardon… Règle #1 : Attends que je te donne des bonbons.

Règle #2 : Tu ne choisis pas tes bonbons.

Règle #3 : Tu remercies.

Heureusement, cette fois-ci, je n’ai pas eu à intervenir. Au contraire, j’ai vu des pompiers, des licornes et même un hot-dog polis et respectueux. J’ai aussi observé plusieurs parents prendre le temps de remercier, de rappeler les belles phrases à dire et aussi faire preuve de patience, parce que monter six marches en robe de princesse à 2 ans, ça peut être long et ardu.

Bon, j’ai aussi vu une maman qui est venue chercher elle-même des bonbons pour son bébé d’à peine quelque mois et je l’ai jugée (un peu). J’ai aussi vu des adolescents courir d’une maison à l’autre, dépasser les plus petits, et marcher sur le gazon de mes voisins. Mais en général, ils étaient sympathiques et ça reste des enfants.

Bref, Noël arrive et je ferai la même chose avec mes cocos. Je les préparerai à regarder la personne qui donne le cadeau, à sourire et, surtout, je ne les obligerai pas à donner un bisou ou un câlin; un simple « merci » fera l’affaire.

Catégories
Art de vivre

Le jour où j’ai accouché de mon deuxième couple de jumeaux

Mercredi dernier, c’était la veille de la rencontre avec nos garçons. J’avais rendez-vous pour une ultime échographie et la pose du ballonnet. Comme la première fois qu’on m’a mis cet objet de torture j’ai hurlé de douleur pendant 1h30, avec ma gynécologue on a pris la décision d’en faire la pose sous calmant cette fois-ci. Je dois avouer que ça m’a soulagée.

L’échographie se déroule bien, les deux bébés ont la tête en bas, un accouchement naturel est toujours de mise. Toutefois, elle me dit qu’elle me fera la pose du ballon le lendemain pour que ça travaille avec le pitocin. On retourne à la maison avec mon col ouvert d’à peine 1,5 cm à 36,4 semaines… de mes deuxièmes jumeaux. 

Contrairement à la veille de mon premier accouchement, je dors comme une bûche cette nuit-là. J’ai le corps fatigué et endolori. En me réveillant, je prends une bonne douche chaude en espérant secrètement que ça réveille mes filles, question de pouvoir les serrer fort avant de partir. Ça marche et je me gâte en câlins et en bisous avant de quitter légèrement en retard pour l’hôpital. 

Le trajet est silencieux. Je souris, mais je pleure aussi un petit peu. Ma petite main moite tient celle solide de mon homme. En arrivant sur l’étage, nous sommes accueillis par deux des infirmières qui ont été très présentes lors de la naissance de nos filles. Ça me fait chaud au coeur qu’elles soient impliquées dans l’arrivée de nos 3e et 4e enfants. On me fait changer et on installe mon soluté avant de me donner une dose de calmant.

Ma gynécologue arrive et procède à la pose du ballonnet. C’est pas une partie de plaisir, mais ça se tolère. Elle et l’infirmière conviennent de ne pas attacher le ballonnet à ma cuisse, mais plutôt d’effectuer des tractions périodiquement en même temps que les contractions. Vous dire à quel point ça été moins douloureux cette fois… j’étais vraiment heureuse et soulagée que ce moment soit terminé. Je suis maintenant à 3cm et ma gynécologue revient pour crever les eaux d’un des bébés. 

Sachant qu’à partir de ce moment-là le fun est fini et effrayée de ma première épidurale qui a mis plus d’une heure et demie avant de faire effet, l’anesthésiste arrive peu de temps après et tente pendant plus de 20 minutes de passer entre mes vertèbres. Ce faisant, elle pique plusieurs fois dans l’os, me provoquant des douleurs auxquelles je ne m’attendais vraiment pas. C’est le seul vidéo de mon accouchement que je n’ai pas hâte de voir. Elle finit par être capable de positionner son cathéter et injecte les médicaments. Le froid dans ma colonne vertébrale me fait un bien fou. Au bout de 15 minutes, je n’ai plus mal. J’ai même des contractions que je ne détecte pas. L’anesthésiste est vraiment contente, et moi donc!

Les heures passent et le travail se fait à pas de tortue. C’est le milieu de l’après-midi, je suis à la dose maximale de pitocin depuis la pose de l’épidurale en matinée et je suis à peine à 5 cm. Mes contractions commencent à me faire vraiment mal dans la hanche. Toute la douleur y est concentrée et je suis extrêmement inconfortable. Ma gynécologue vient vérifier où nous en sommes vers 15:00. Je suis à 7 cm et effacée a 80%. On est sur la bonne voie, mais outch. Je devrais être descendue en salle d’opération à ce moment-là, car pour des jumeaux, on ne prend jamais de chance. Je lui demande néanmoins de continuer un peu le travail dans ma chambre, m’y sentant bien plus calme et confortable. Elle accepte et me dit qu’elle reviendra dans 30 minutes.

Au fil des contractions, mes douleurs à la hanche s’intensifient. Initialement couchée sur le côté gauche, je me couche sur le dos. Je reste quelques contractions comme ça, mais le soulagement n’est pas satisfaisant. Je me retourne sur le côté droit et je sens un « pop » au fond de mon vagin. La contraction suivante, je n’ai plus mal à ma hanche, mais j’ai cette envie de pousser qui apparaît. Je ne parles pas parce qu’elle vient de me dire que je suis à 7cm… impossible que je sois à 10 déjà. Une autre contraction et la sensation s’accentue. Je ne dis rien encore. Une troisième contraction et là, j’ai peur de le sortir live là là. Je dis à mon infirmière de vérifier vite parce que ça pousse fort. Je suis à 10 cm. Je suis prête à pousser nos petits vers notre monde.

Rapidement, ma gynécologue qui n’a probablement même pas eu le temps de se rendre au poste revient et je suis amenée en cinquième vitesse au bloc opératoire. C’est le changement de chiffre et tout le monde est pris de court. La table sur laquelle j’accoucherai n’est pas prête. Certaines personnes présentes ne savent même pas que c’est une naissance de jumeaux. La deuxième gynécologue qui doit assister n’est pas arrivée, ni la pédiatre. Une fois installée, la tête se présente bien et je pousse une première fois, une petite poussée bien relaxe.

Une deuxième poussée dans la même contraction et Philippe vient au monde. Il ressemble à Camille, notre deuxième fille. Il sent bon le petit pain chaud. La seconde gynécologue arrive, les infirmières s’occupent de Philippe qui n’aura jamais eu de score Apgar. On crève la poche des eaux du deuxième bébé et là, ça se complique. Le bébé remonte dans le haut de mon utérus, le cordon se place entre sa tête et la sortie, puis mon col se referme sur le bras de ma gynécologue qui reste bien en place pour éviter que ce dernier se referme complètement.

Sur le coup je n’ai pas conscience de tout ça, mais je sens dans l’ambiance et dans les regards que se lancent les deux femmes que c’est sérieux. La décision est prise que l’on continue en accouchement vaginal. Une des gynécologues appuie fort sur mon ventre pour faire descendre le bébé rebelle pendant mes contractions et le maintien en place, alors que l’autre essaie de le ventouser tout en tassant le cordon.

Ça me prendra 8 longues minutes pour mettre Wilfrid au monde. Wilfrid qui nait bleu et mou. Son petit coeur a trouvé ça difficile. La pédiatre n’est toujours pas arrivée. C’est une infirmière qui prend en charge notre bébé et l’aide à prendre sa première bouffée d’air. Ça aura pris 2 minutes. C’est pas croyable comment 2 minutes peuvent sembler une éternité quand tu viens de voir ton nouveau-né inerte et bleu. La pédiatre arrive vers ce moment-là. Wilfrid aura un Apgar de 2, 7 et 9. 

Le placenta suit peu de temps après, en un gigantesque morceau. Je tremble de tout mon corps. Je suis fatiguée, j’ai froid, j’ai eu peur. Mon amoureux part avec les bébés en néonatalogie pendant qu’on me recoud. Ma gynécologue prend alors le temps de m’expliquer tout ce qui vient de se passer. Je pleure… mon ventre est maintenant vide pour toujours, mais mes bébés vont bien. 

Je suis ensuite ramenée à ma chambre et y attends seule la première rencontre officielle avec nos deux garçons. Toujours tremblante, mais tellement fébrile. Je n’ai plus la notion du temps, mais ce qui semble une éternité plus tard, mon amoureux arrive avec nos deux bébés et me les présente. Ils sont beaux nos petits bébés pareils.

J’embrasse leurs petits fronts tout doux et leur souhaite la bienvenue. Je leur dis que c’est le début d’une grande aventure, qu’ils étaient attendus et sont déjà tellement aimés. 

Catégories
Art de vivre

Comment expliquer la sexualité à son enfant?

Je discute souvent sexualité avec mes enfants et ils en connaissent beaucoup. Pas de malaise ici! Cela dit, l’autre jour, ma fille de 8 ans m’a demandé: « Pourquoi, toi, tes culottes rentrent dans tes fesses? »

En effet, pourquoi? 

Parce que c’est joli? À rabais? J’essaie d’être un peu « femme », pas juste maman? La pression sexuelle sur les femmes m’envahit? Wow! J’avais l’impression que cette réponse (que je n’avais pas) pouvait l’influencer sérieusement.

Peu de temps après, même chose, mes enfants m’ont demandé pourquoi on m’avait sifflé sur la rue (2019? Devant eux! Come on!).

Ces deux anecdotes restent cocasses: on a conclu au confort des culottes « pleines » et que siffler attire l’attention irrespectueusement. Cela dit, on constate à quel point la sexualité est présente au quotidien.

Je veux aider mes enfants à devenir des adultes confiants, qui entretiennent des relations saines, qui s’aiment et se trouvent beaux tels qu’ils sont et qui vivent une sexualité épanouie. Oui…  Ok! Mais comment passer de « nommons les parties du corps » à « il y a des gens weird dans les bars »? Et surtout, comment on le fait… BIEN?

Comme enseignante, je suis heureuse du retour du cours d’enseignement à la sexualité. Ça manquait, disons!  Par contre, le rôle parental demeure PRIMORDIAL et, comme maman, je sais que mes interventions et mes comportements (conscients ou non) auront une influence.

Expliquer la bio, c’est facile! Le corps, ses changements, la naissance…

La vie, elle? Bien plus compliquée, plus nuancée à expliquer et ce n’est pas parce que l’école le fait quelques heures qu’on s’en lave les mains. Au contraire, le retour de ce programme devrait servir d’ouverture au dialogue, car cet enseignement en est un de chaque moment et de chaque exemple.

Tous les jours, on laisse traîner des idées, des perceptions. On soupire en se regardant dans le miroir, on fait une blague de mauvais goût, on critique ou se laisse critiquer… On porte des culottes brésiliennes. Ces gestes quotidiens d’adultes, eux les voient avec leurs yeux d’enfants. Je ne dis pas de jeter nos culottes, seulement que la pression est grande et que, SURTOUT, les conséquences possibles ne sont pas à prendre à la légère. 

C’est un accompagnement journalier.

C’est répondre aux questions, mais en poser également. S’intéresser.   

C’est tenir des propos respectueux. 

C’est expliquer qu’on ne touche pas les autres sans permission, même à 4 ans.

C’est se complimenter soi-même.

C’est aussi, dans mon cas, acheter un maillot de bain 1 pièce pour varier.

C’est surtout s’informer pour les informer.

Vous, quels sont vos trucs? Vos anecdotes?

Catégories
Art de vivre

Lutter contre la faim chez les enfants un sandwich à la fois!

À l’occasion de la Journée Internationale du sandwich qui aura lieu le 3 novembre prochain, les restaurants Subway et les Banques alimentaires du Canada s’allient pour redonner aux enfants dans le besoin en créant un programme qui permettra de lutter contre la faim, un sandwich à la fois. 

Le programme Chacun Son Lunch permettra de remettre 15 sous pour la bonne cause pour chaque Repas Pour Enfants acheté dans les restaurants Subway. Les fonds récoltés serviront à atteindre l’objectif de la chaîne de restaurants qui est d’augmenter de 25 % la quantité d’aliments frais et nutritifs offerte par le programme Après la cloche de Banques alimentaires Canada.

 

« Chaque mois, 1,1 million de Canadiens font appel aux banques alimentaires. Parmi ceux-ci, 35 % sont des enfants. Trop d’enfants vivent dans l’insécurité alimentaire chaque mois, et cela peut avoir des répercussions à long terme sur leur développement, leur apprentissage et leur croissance. Les partenariats avec des entreprises comme SubwayMD Canada et leur programme Chacun Son Lunch sont essentiels pour sensibiliser la population à l’enjeu important qu’est l’insécurité alimentaire au Canada et pour s’assurer que nos enfants reçoivent les nutriments dont ils ont besoin. » explique Chris Hatch, chef de la direction de Banques alimentaires Canada, dans un communiqué. 

Vous pouvez également appuyer le programme en arrondissant le coût de votre repas au dollar près, durant la période du 3 au 10 novembre, effectuée dans les restaurants participants. Ces quelques sous qui trainent au fond de nos poches peuvent faire une énorme différence dans la vie de bien des enfants!

Suivez ces belles initiatives via les médias sociaux  et via @SubwayCanada et #ChacunSonLunch.

Catégories
Art de vivre

Trucs pour aborder les sujets difficiles avec les enfants

Un beau matin ou un soir tranquille, votre mini vous pose LA question… Celle à laquelle vous ne vous attendiez pas et vous ne savez pas trop comment y répondre… Il ou elle vous demande ce qui arrive après la mort, pourquoi certaines personnes se font intimider, ce qui se passerait si papa et maman se séparaient, etc…

Ouf!

Certains sujets sont plus difficiles à aborder avec les petits, et c’est pourquoi la psychologue Nadia Gagnier a partagé quelques trucs et conseils dans une entrevue avec Radio-Canada. Quand les minis sont exposés à une situation plus difficile, que ce soit dans la « vraie vie » ou par le biais de la télévision ou d’un livre, les questions arrivent rapidement. Plutôt que de les ignorer ou de minimiser certains aspects, Dre Nadia Gagnier recommande de nommer les émotions qui sont soulevées par les interrogations et de les normaliser.

La psychologue recommande aussi de décortiquer les situations avec les enfants, tout en leur montrant qu’ils ont du pouvoir dans ce qui leur arrive et dans leur relation avec les autres. Il est utile aussi d’accueillir les questions et d’y répondre dans le meilleur de nos capacités, car selon Dre Gagnier « si on ne répond pas en totalité à la curiosité de l’enfant, les zones d’ombre qui restent dans son esprit vont être plus anxiogènes parfois que la réalité. »

Enfin, elle conclut en aussi en rappelant qu’il est important de respecter le rythme de l’enfant et d’être sensible à ses réactions.

Vous pouvez écouter l’entrevue intégrale ici

Catégories
Art de vivre

Des parents révèlent comment « faire son gros possible »

S’il y a une certitude dans la vie, c’est qu’il existe autant d’expériences de parentalité qu’il existe de parents sur cette Terre. C’est donc important que les mamans et les papas puissent parler ouvertement de leur vécu, pour que tout d’un coup, tout le monde se sente un peu moins seul dans cette grande aventure de s’occuper de minis êtres humains.

C’est dans cette optique-là que Josiane et Carolane Stratis, les fondatrices de TPL Moms aujourd’hui parties vers de nouvelles aventures, ont décidé de donner la parole aux parents en recueillant dans un même ouvrage, intitulé Faire son gros possible, une série de témoignages vraiment pertinents et riches.

Une multitude de sujets y sont abordés comme la conciliation travail-famille, le désir dans le couple après l’arrivée des enfants, élever sa famille en milieu urbain, etc.

En tout, c’est une trentaine de témoignages touchants d’authenticité que vous pourrez y découvrir.

L’ouvrage est disponible dès maintenant aux Éditions Cardinal.

Catégories
Art de vivre

Des parents révèlent comment « faire son gros possible »

S’il y a une certitude dans la vie, c’est qu’il existe autant d’expériences de parentalité qu’il existe de parents sur cette Terre. C’est donc important que les mamans et les papas puissent parler ouvertement de leur vécu, pour que tout d’un coup, tout le monde se sente un peu moins seul dans cette grande aventure de s’occuper de minis êtres humains.

C’est dans cette optique-là que Josiane et Carolane Stratis, les fondatrices de TPL Moms aujourd’hui parties vers de nouvelles aventures, ont décidé de donner la parole aux parents en recueillant dans un même ouvrage, intitulé Faire son gros possible, une série de témoignages vraiment pertinents et riches.

Une multitude de sujets y sont abordés comme la conciliation travail-famille, le désir dans le couple après l’arrivée des enfants, élever sa famille en milieu urbain, etc.

En tout, c’est une trentaine de témoignages touchants d’authenticité que vous pourrez y découvrir.

L’ouvrage est disponible dès maintenant aux Éditions Cardinal.