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La télévision devrait être tenue en place pour prévenir les accidents

Les scientifiques de la U.S. Consumer Product Safety Commission s’inquiètent du fait que 169 bambins sont morts entre 2000 et 2010 après qu’un téléviseur leur soit tombé dessus.

De plus, entre 2008 et 2010, plus de 13 700 enfants ont été admis aux urgences parce qu’ils avaient été écrasés par une télévision.

Ils mettent donc en garde les parents contre la curiosité de leurs jeunes enfants, qui pourraient faire basculer l’écran sur eux alors qu’ils essaient d’atteindre la télécommande ou un jouet qui se trouverait sur la télévision.

Pour prévenir ce genre d’accidents, l’Académie américaine de pédiatrie suggère de placer la télévision sur un meuble stable prévu à cet effet et de disposer l’écran de façon à ce qu’il ne puisse basculer. Également, il est recommandé de placer les fils de la télévision hors de la portée des enfants.

Rappelons d’ailleurs que les jeunes enfants devraient passer le moins de temps possible devant la télévision. On insiste sur le fait que la meilleure façon pour que notre enfant ait un développement optimal de son cerveau est de jouer tout en évitant la télévision.

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Les aimants avalés pourraient causer la mort

Les experts mettent en garde les utilisateurs des Buckyballs, Nanospheres, Zen Magnets ou encore Magnet Balls — connus pour être des aimants d’une rare puissance — de garder leurs jouets de bureau hors de la portée des enfants.

Ces ensembles comprenant 216 aimants de petite taille peuvent être bien attirants pour des bambins, qui seront portés à les avaler. Une fois dans l’organisme, ces billes se rassemblent et peuvent se loger sur la paroi des intestins, causant l’obstruction, la perforation ou même la mort du petit.

Retirer l’aimant requiert souvent une chirurgie pour soigner les dommages faits à l’estomac et aux intestins, d’après la U.S. Consumer Product Safety Commission.

L’Académie américaine de pédiatrie recommande donc de disposer les aimants dans un endroit sécuritaire et de vérifier régulièrement l’aire de jeux des enfants afin de s’assurer qu’aucune bille n’y a été échappée.

Rappelons que les jouets faits exprès pour les enfants peuvent aussi contenir des parties plus à risques pour eux. S’ils comportent moins de risques d’étouffement, leurs puissantes piles, leurs aimants et leurs lumières lasers peuvent entraîner différentes blessures chez les tout-petits.

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Les enfants obèses pourraient devenir aveugles

En fait, le risque de développer de l’hypertension intracrânienne idiopathique (IIH) chez les enfants obèses serait particulièrement élevé chez les filles de race blanche plus âgées, selon les experts.

Les patients âgés de IIH souffrent généralement de différents symptômes causés par une trop grande pression sur le cerveau, qui peut mener à la cécité.

Les chercheurs ont examiné plus de 900 000 jeunes âgés de 2 à 19 ans et ont diagnostiqué l’IIH chez 78 d’entre eux. Ils ont remarqué que 85 % de ceux-ci étaient des filles, et que la moitié d’entre elles souffraient d’obésité.

« Cette recherche est la meilleure preuve à ce jour que l’obésité est associée à l’IIH chez les enfants. Elle suggère aussi que l’épidémie d’obésité infantile peut mener à une hausse des morbidités reliées à l’IIH, dont la cécité », explique l’auteure de l’étude et docteure au Kaiser Permanente Los Angeles Medical Center Neurology Department, Sonu Brara.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.

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Fumée secondaire : les enfants peuvent développer des problèmes à vie

Une nouvelle étude de l’Université de l’Arizona démontre que la fumée secondaire n’a pas seulement un effet néfaste direct sur le bambin durant son enfance, mais peut aussi s’étirer à long terme et même parfois sur toute une vie.

Les auteurs de l’étude vont jusqu’à dire que l’exposition à la fumée secondaire durant la petite enfance est associée à un risque accru de maladies respiratoires chroniques et de déficits de la fonction pulmonaire en fin de vie, et ce, indépendamment du fait que l’enfant devenu grand ait fumé ou non lui-même.

C’est ce que révèlent les conclusions présentées au Congrès international de l’American Thoracic Society à San Francisco.

Parmi les problèmes de santé que peuvent avoir les adultes qui ont grandi dans un environnement fumeur, on compte l’asthme, la respiration sifflante et la toux chronique notamment, indiquent des données de la cohorte Tucson Epidemiological Study of Airway Obstructive Disease.

Parmi les 3805 personnes participantes, 371 étaient des enfants et 52,3 % avaient vécu avec des parents fumeurs. Pour l’étude, les jeunes ont été suivis pendant environ 19 ans.

Mentionnons que la fumée secondaire est responsable de 600 000 décès par an, selon les données de l’Organisation mondiale de la santé.

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L’apnée du sommeil et ses conséquences sur les enfants

L’ablation des végétations et des amygdales, suivie d’un traitement par pulvérisation nasale, a permis d’améliorer la qualité de vie de jeunes souffrant du syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS).

L’efficacité de ce genre de traitement a été démontrée en comparant des résultats par IRM à des tests neuropsychologiques qu’ont effectués des petits souffrant du SAOS, avant et six mois après le traitement.

« Lorsque le SAOS est pris en charge de manière précoce, cela peut inverser les lésions cérébrales aux neurones et apporter une amélioration plus rapide dans l’hippocampe, la station de relais pour les fonctions exécutives, l’apprentissage et la mémoire », a déclaré le Dr Halbower, auteur de l’étude et professeur agréé au Centre du sommeil des enfants de l’Hôpital du Colorado, qui avance que son étude est la première à faire un tel constat.

Le spécialiste mentionne l’importance de diagnostiquer et de traiter tôt un problème d’apnée du sommeil chez l’enfant pour éviter que les fonctions d’exécution et les capacités cognitives du cerveau des petits soient touchées.

Les conclusions du Dr Halbower ont été présentées lors de la Conférence internationale de l’American Thoracic Society à San Francisco, rapporte SantéLog.

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Le cercle vicieux de la maltraitance des enfants

Peu d’éléments concernant l’impact que peut avoir à long terme la maltraitance des enfants sont connus. Toutefois, une nouvelle étude de l’École Brown à l’Université de Washington à St. Louis, publiée dans la revue Pediatrics, révèle que les enfants maltraités sont plus sujets à avoir une vie médiocre à l’adolescence et à l’âge adulte.

C’est en suivant des cas d’enfants maltraités âgés de zéro à quatre ans que les chercheurs ont constaté que ces petits, devenus adolescents, étaient plus susceptibles d’être toxicomanes, de contracter une infection transmise sexuellement et d’être délinquants.

Plus les cas de maltraitance étaient nombreux, pire pouvait devenir la situation à l’âge avancé, informent les chercheurs, qui estiment que comparativement aux autres bambins, les enfants qui ont vécu des traumatismes ont 20 à 50 % plus de risques, pour chaque acte de maltraitance, de souffrir de problèmes en vieillissant.

Quant aux adultes qui ont subi quatre fois ou plus des gestes discriminants durant l’enfance, ils sont environ deux fois plus à risque d’abuser de leurs enfants à leur tour, d’avoir des problèmes mentaux, de drogues ou d’alcool.

Des études antérieures ont démontré également que les enfants maltraités devenaient de moins bons parents à l’âge adulte et avaient de moins bonnes relations de couple.

La maltraitance d’un enfant peut se traduire par des cas de sévices sexuels et physiques, de violence psychologique et de négligence.

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La malbouffe devant la télévision est à proscrire

Pour chaque heure de télévision regardée par les enfants, leurs chances de manger un fruit sont réduites de 8 %. Ils portent aussi leur risque de manger une friandise à 18 %, et à 16 % leur risque de manger de la malbouffe, selon une étude de l’Eunice Kennedy Shriver National Institute of Child Health and Human Developpement.

Rendre plus accessibles de bons aliments serait un pas vers de plus saines habitudes chez les jeunes. Le fait est que les enfants sont plus exposés à des publicités concernant de la malbouffe que des fruits et des légumes.

L’étude a également démontré que les enfants ayant accès à des fruits qui regardaient la télévision avaient augmenté leur consommation de fruits.

« Bien sûr, un lien si étroit ne peut être fait entre le fait de regarder la télé et l’augmentation de la consommation de bonbons, de sodas et de malbouffe en général, mais cela suggère en quelque sorte que si vous mettez d’autres options accessibles à l’enfant — sans lui laisser d’options néfastes pour sa santé — il pourrait être encouragé à manger plus de fruits », explique l’une des deux auteures de la recherche, Leah Lipsky.

Rappelons que les publicités sur la malbouffe sont aussi présentes sur le Web. D’ailleurs, la British Heart Foundation a dénoncé les stratégies des marques pour vendre leurs produits que les enfants ne sont pas en mesure de comprendre convenablement, selon elle.

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Un sac à dos trop lourd peut endommager la colonne vertébrale

En fait, plus de 80 % des enfants au Royaume-Uni portent un sac à dos pour aller à l’école dont le poids atteint jusqu’à 20 % du leur, selon une recherche du BackCare.

Les études ont démontré que les enfants ne devraient pas avoir à porter plus de 10 % de leur propre poids sur leur dos. De plus, n’importe quel poids au dessus de 15 % du leur pourrait provoquer des dommages au dos.

Les experts du musculosquelette mettent en garde les parents qu’une épidémie de problèmes de dos chez les jeunes adultes est à prévoir si la situation ne change pas, car c’est avec le temps que ces problèmes surviennent.

« Nous voyons un nombre grandissant de jeunes adultes qui viennent se faire traiter pour des problèmes de dos et, souvent, ils peuvent être reliés au port d’un sac à dos trop lourd », met en garde un médecin généraliste s’intéressant spécialement à la médecine musculosquelettique, le Dr Peter Skew, vice-président de BackCare.

Aussi, le fait de prendre et de porter plusieurs fois par jour un sac trop lourd serait plus dommageable pour le dos que de marcher longtemps avec un poids fixe sur le dos.

Les experts expliquent que le poids du sac à dos a un impact sur les problèmes de dos des jeunes, mais aussi le mode de vie sédentaire et le faible tonus musculaire.

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Le surpoids des femmes enceintes pourrait se transmettre à leur enfant

Les poupons dont la mère aurait eu un surplus de poids durant la grossesse seraient plus enclins à devenir obèses et à être moins en santé que les autres enfants, et ce, tout au long de leur vie, selon une analyse publiée dans le journal Circulation.

En fait, le surpoids de la mère peut également affecter la pression sanguine qu’aura son enfant, ainsi que le niveau de cholestérol et de sucre dans le sang de ce dernier. Ces dérèglements peuvent mener au diabète et aux accidents vasculaires cérébraux, entre autres.

Ces résultats inquiètent les experts britanniques, puisque 15 % des femmes enceintes en Angleterre ont un grave surplus de poids.

« Nous savons que ce qui se passe tôt dans la vie du foetus a des conséquences de longue durée sur la santé des adultes », explique Hagit Hochner, chercheur principal de cette étude et docteur à l’Université hébraïque de Jérusalem.

De plus, l’exposition du foetus à de hauts taux de sucre et de gras peut mener à des changements dans le contrôle de l’appétit et de l’accumulation de gras dans le corps de l’enfant à naître.

Rappelons également que les femmes enceintes souffrant d’obésité et de diabète sont plus à risque de mettre au monde un enfant atteint d’autisme ou d’un autre trouble neurologique.

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Les mères intolérantes au gluten font-elles des enfants schizophrènes?

C’est l’étrange constat qu’ont fait des scientifiques de l’Institut Karolinska en Suède et du Centre de l’enfance de l’Université Johns Hopkins à Baltimore. Les résultats sont parus dans The American Journal of Psychiatry.

Les enfants nés d’une mère ayant des niveaux anormalement élevés d’anticorps à la protéine de gluten de blé avaient près de deux fois plus de risque de développer la schizophrénie plus tard dans la vie, par rapport aux enfants qui avaient des niveaux normaux d’anticorps de gluten.

Pour en arriver à cette conclusion, des échantillons de sang néonatal d’enfants nés entre 1975 et 1985 ont été analysés pour voir les niveaux d’anticorps IgG dans les produits laitiers et céréaliers qui leur avait été transmis.

Parmi les 764 dossiers de naissance, 211 personnes avaient développé des psychoses et troubles délirants tels que la schizophrénie.

Les scientifiques tiennent à préciser que même s’il y a un lien fort, l’intolérance au gluten chez la mère n’est pas assurément source de maladie mentale chez l’enfant.

Selon les experts, l’exposition à certains éléments avant et pendant la grossesse et après la naissance peut préprogrammer la santé physique et psychique de l’adulte. Le mode de vie et les gènes ne seraient donc pas les seuls facteurs qui peuvent influencer la santé mentale d’une personne à l’âge adulte, selon eux.

Par le passé, il a été prouvé que les schizophrènes étaient plus susceptibles de souffrir de la maladie coeliaque, une maladie auto-immune rare caractérisée par une sensibilité au gluten.