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Y a-t-il un lien entre le cododo et l’obésité infantile?

Une étude des hôpitaux universitaires de Copenhague au Danemark, présentée au Congrès européen sur l’obésité à Lyon en France, révèle que les enfants qui n’ont jamais pu se blottir contre leurs parents dans le lit conjugal après un réveil durant la nuit sont trois fois plus à risque d’être obèses que ceux qui ont droit à ce privilège.

Les observations ont été recueillies auprès de 500 enfants danois âgés de 2 à 6 ans qui présentaient un risque accru de surpoids parce qu’ils avaient un poids à la naissance élevé, que leur mère était obèse avant de tomber enceinte ou que leur mère était défavorisée.

Les enfants qui ont droit au cododo se sentent plus en sécurité, et cela peut les protéger de l’obésité, avancent les chercheurs qui précisent que le sentiment de rejet peut entraîner un excès de poids.

Mentionnons que des recherches antérieures tentaient de démontrer que le cododo accentuait l’obésité infantile. Toutefois, cette récente étude met à jour le contraire.

Bien que l’étude ait associé le faible indice de masse corporelle au cododo, les chercheurs n’ont pas pu prouver qu’il y avait un lien direct de cause à effet entre le deux.

Les résultats doivent demeurer préliminaires jusqu’à publication dans une revue médicale.

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Le poids avant la grossesse peut influencer l’intelligence des enfants

Des recherches antérieures ont démontré que l’obésité chez une femme avant la grossesse pouvait avoir un effet négatif sur les organes du fœtus comme le cœur, le foie et le pancréas.

Parce que le développement du fœtus est sensible aux caractéristiques physiologiques de la mère, des chercheurs de l’Université de l’Ohio ont tenté de savoir si l’obésité maternelle pouvait également affecter le cerveau du fœtus.

À la suite de tests en mathématiques et lecture réalisés sur 3412 enfants âgés de 5 à 7 ans, on a conclu que les enfants nés d’une mère obèse avaient une fonction cognitive plus faible.

En effet, ces petits ont obtenu en moyenne trois points de moins en lecture et deux points en moins dans leurs résultats de mathématiques à des examens généralement utilisés pour analyser la fonction cognitive des bambins.

Il a été démontré que les fillettes et les ainés d’une famille où la mère est obèse auraient des aptitudes cognitives légèrement supérieures aux garçons et aux enfants qui naissent en deuxième ou troisième, mais tout de même inférieures aux enfants nés de mères avec un poids santé.

L’enquête parue en ligne dans le journal Maternal and Child Health appuie également les études qui suggéraient que des facteurs socio-économiques (scolarité et salaire de la mère, milieu familial, etc.) jouent aussi un rôle sur les aptitudes cognitives de l’enfant.

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Ces parents qui regrettent d’avoir eu des enfants

« Si c’était à refaire, je ne le ferais pas » et « Sans enfant, je suis beaucoup plus heureux » sont des citations que vous avez peut-être déjà entendues dans votre entourage.

Ces mots prennent tout leur sens avec un sondage réalisé par RTL.be/Ivox en Belgique. Cette enquête a permis d’établir que 13 % des parents belges — et probablement une proportion équivalente dans d’autres pays — regrettent leur choix de vie.

Il semblerait même que le temps n’arrange pas les choses, car il y aurait plus de remords chez les parents plus âgés. Parmi ces 13 % de parents qui déplorent la parentalité, 6 % sont de jeunes parents de moins de 30 ans, et 14 % ont de 30 à 49 ans.

Il a été démontré que le niveau d’études pouvait également avoir un impact sur la façon dont était vécu le rôle de parents. En effet, ce sont 17 % des parents au niveau d’éducation plus faible qui regrettent, contre moins de 10 % des parents au niveau d’éducation plutôt élevé.

Alors que la société dresse un tableau parfait de la famille, du bonheur d’avoir des enfants et du sentiment de réalisation que la parentalité peut apporter à un couple, une mère de deux enfants, Corinne Maier, déçue par la maternité, a écrit le livre No Kid : quarante raisons de ne pas avoir d’enfant.

Pour ceux et celles qui se sentiraient jugés, anormaux ou qui aimeraient se comparer pour se consoler, découvrez les différentes raisons valables de ne pas procréer, selon cette auteure.

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Une fondation qui a la santé mentale des enfants à coeur

Ils sont connus au Québec, mais ils sont surtout des parents d’enfants souffrant de maladies mentales.

Dans le cadre de la Semaine nationale de la santé mentale, qui se déroule du 7 au 11 mai, Guy Lafleur, Sophie Prégent et Sylvie Lauzon agissent respectivement à titre de porte-parole et marraines d’honneur pour faire connaître les enjeux de ces problèmes de santé et proposer des solutions d’aide aux familles concernées par cette difficile réalité.

Au Québec, alors que les problèmes mentaux et les troubles du comportement semblent pousser comme des champignons chez les jeunes, que le besoin est de plus en plus criant et que la science a encore de la difficulté à mettre le doigt sur la source de ces problèmes neurologiques, une seule fondation vient en aide exclusivement aux enfants et adolescents atteints de maladies mentales.

Chaque année, la Fondation les petits trésors, qui existe depuis 1980, mène un combat sans fin dans la société pour faire connaître sa mission. Spectacles-bénéfices, conférences, tournois de golf, bals et soirées thématiques sont des événements qui permettent d’amasser des fonds pour venir en aide aux jeunes qui ont besoin de soutien et surtout d’un diagnostic précoce pour tenter d’éviter que la maladie mentale brime leur vie entière.

Il est prouvé qu’au Québec, un enfant sur six souffre de problèmes mentaux. Parmi les petits qui vivent au sein d’une famille monoparentale ou recomposée, environ un enfant sur trois a des troubles émotifs importants. Chez les moins de 10 ans, 10 % d’entre eux auraient déjà eu des pensées suicidaires.

Cliquez ici pour avoir plus de détails sur la Semaine nationale de la santé mentale et le rôle de la Fondation les petits trésors.

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La fatigue à l’école pourrait être liée à un trouble d’apprentissage

C’est ce que révèle une étude publiée sur Psychcentral.com. En fait, les enfants ayant des troubles de l’apprentissage, de comportement ou d’attention seraient les plus susceptibles de développer de la fatigue excessive durant le jour (EDS).

Aussi, les chercheurs ont déterminé qu’une série de facteurs pouvaient contribuer à l’EDS. Ils ont souligné que l’obésité, les symptômes d’inattention, la dépression et l’anxiété ainsi que la difficulté des parents à s’endormir étaient des aspects qui pouvaient contribuer à l’EDS, et ce, même parmi les enfants n’ayant pas de temps de sommeil réduit ou d’apnée du sommeil.

« Les faiblesses dues au EDS dans le fonctionnement cognitif et comportemental peuvent avoir de sérieux impacts sur le développement d’un enfant. Reconnaître et traiter l’EDS peut offrir de nouvelles stratégies pour s’attaquer à certains des problèmes neurocomportementaux les plus communs chez les jeunes enfants qui vont à l’école », explique l’auteure principale de la recherche, la Dre Susan Calhoun.

De plus, 15 % des enfants ont normalement une EDS. Ce pourcentage est cependant plus élevé parmi les enfants ayant des troubles d’apprentissage, de comportement ou d’attention, selon les experts.

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Pas d’enfants pour Brooklyn Decker

« J’aime les bébés et j’ai aimé jouer une femme enceinte, mais j’ai eu aussi beaucoup de plaisir à retirer le gros ventre à la fin de la journée. Ça a en quelque sorte satisfait mon envie d’avoir un bébé. C’était très amusant, mais ce n’est pas pour bientôt », a dit Brooklyn Decker à Access Hollywood, faisant le parallèle entre elle et son rôle dans What To Expect When You’re Expecting.

Pour l’instant, Decker compte se concentrer sur le grand écran. Avec Battleship et What To Expect When You’re Expecting, qui sortiront le 18 mai, la carrière de Decker au cinéma semble prendre son envol.

« C’était seulement mon deuxième film, alors je me sens encore nouvelle dans le milieu. Et c’était vraiment la première fois que je jouais devant un écran vert, que je faisais une scène d’action […] Et d’être là, à Pearl Harbor, ça avait l’air si vrai et ça a ajouté tellement de poids au projet. Nous en sommes très fiers, nous sommes très excités », dit-elle à propos de Battleship.

Rappelons que Decker et Roddick sont mariés depuis 2009. Le joueur de tennis américain a auparavant fréquenté l’actrice Mandy Moore, de qui il s’était séparé en 2004, après deux ans de vie commune.

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Déceler les dépendances des enfants dès trois ans

En fait, les enfants susceptibles de développer de telles dépendances montreraient déjà des signes d’instabilité avant la maternelle.

Parue dans la revue Psychological Science, l’étude en question révèle que les enfants ayant un tempérament perturbé seraient deux fois plus à risque d’être dépendants au jeu ou à des substances illicites à l’âge de 21 et 32 ans que des enfants équilibrés.

Les experts ont analysé le comportement, le parcours intellectuel, économique et psychologique de plus de 1000 sujets, de leur naissance jusqu’à l’âge de 32 ans.

Dix pour cent de ces enfants, à trois ans, avaient un tempérament perturbé. Ils avaient un manque de contrôle d’eux-mêmes, des humeurs changeantes et un comportement impulsif, entre autres.

Les scientifiques ont constaté qu’une fois adultes, les mêmes personnes avaient encore un sentiment d’isolement et une tendance au pessimisme. De plus, ils montraient une dépendance au jeu ou à la drogue.

À l’issue de cette recherche, les chercheurs ne peuvent pas encore expliquer ce lien entre le tempérament durant l’enfance et les dépendances à l’âge adulte. Ils supposent cependant que le jeu est une échappatoire aux émotions négatives ressenties.

De plus, rappelons que les enfants souffrant du trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité sont deux à trois fois plus enclins à avoir des problèmes de dépendance.

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Les enfants souffrants d’arthrite seraient plus sujets aux infections

Les victimes aux prises avec de l’arthrite juvénile idiopathique sont plus souvent hospitalisées pour cause d’infection, selon une étude qui apparait dans l’Arthritis & Rheumatism, un journal de l’American College of Rheumatology.

En fait, ce sont les stéroïdes qu’on leur prescrit qui augmenteraient de façon significative les risques d’infections.

L’arthrite est une inflammation des jointures qui cause de la douleur, de l’enflure, de la raideur et qui peut mener jusqu’à l’invalidité.

Les experts estiment que plus de 300 000 enfants sont victimes d’arthrite aux États-Unis. Bien que les traitements immunosuppresseurs, comme les stéroïdes, soient utilisés dans le traitement de la maladie, les risques d’infections qu’ils comportent sont moins bien connus.

« Un traitement sans stéroïdes pourrait réduire les risques d’infections sérieuses chez les enfants atteints d’arthrite juvénile idiopathique », explique le docteur de l’Université d’Alabama de Birmingham et chef de la recherche, Thimothy Beukelman.

Rappelons que les enfants atteints d’arthrite juvénile idiopathique ont un risque quatre fois plus élevé de développer des tumeurs malignes cancéreuses que les autres enfants qui n’ont pas cette maladie ou encore que ceux qui souffrent d’un autre problème de santé, comme l’asthme ou un trouble de l’attention avec hyperactivité.

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Est-ce que les adultes mangent mieux lorsqu’ils sont parents?

Pour arriver à cette conclusion, les régimes de 2500 personnes ont été analysés entre 1985 et 1993, aux fins d’études sur ce qui pouvait provoquer des maladies coronariennes.

C’est en comparant le groupe de non-parents au groupe témoin de parents que les chercheurs ont constaté qu’aucun des groupes ne démontrait de différences ou de changements significatifs dans son alimentation.

Les résultats sont parus en ligne dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetic.

Les parents sont derrière les non-parents en ce qui a trait à la consommation moins élevée de gras saturés. Il y a eu une faible diminution de 2,1 % chez les non-parents, tandis que les parents ont connu une réduction de 1,6 % en apport de gras saturés.

Les chercheurs croient que cette situation est due au fait que les parents sont quelque peu influencés dans leurs achats par les demandes et goûts de leurs enfants, qui désirent souvent des aliments plus riches en sucre et en gras.

En revanche, les deux groupes continuaient leurs mauvaises habitudes en consommation de calories, de fruits et légumes, de boissons sucrées ou de restauration rapide, et ce, qu’ils aient des enfants ou non.

Les chercheurs de l’Université de l’Iowa affirment que la parentalité n’a pas d’effets défavorables sur les régimes des adultes, mais pas d’améliorations non plus. « Parents ou non, le régime des adultes demeure généralement médiocre », lancent-ils.

Les spécialistes rappellent que les données ont été recueillies il y a une vingtaine d’années et que les résultats peuvent avoir changé.

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Comment faire aimer les légumes à ses enfants?

« Il arrive que l’on doit montrer ou faire goûter jusqu’à une quinzaine de fois un légume à un enfant pour qu’il l’adopte dans son alimentation », confie Geneviève Dulude de l’Université de Montréal, dont la thèse porte sur les attitudes et les comportements de la mère québécoise, l’alimentation et le poids de l’enfant préscolaire.

En effet, le combat entre l’adulte, l’enfant et l’assiette a pour origine la néophobie ou peur des nouveaux aliments. Les enfants refusent de goûter un aliment, car ils ne le connaissent pas.

Pour remédier à cette situation, la diététiste conseille aux parents de varier les achats et les recettes. Transformer le traditionnel brocoli cru et au goût peu plaisant en brocoli sauté dans un poulet teriyaki et en brocoli broyé dans le pâté au poulet peut être un exemple.

Si votre enfant résiste au brocoli un premier soir, ne lui présentez pas jour après jour le bouquet vert dans son assiette afin de le convaincre. Attendez une semaine, apprêtez-le d’une autre façon et, entre-temps, faites-lui découvrir la carotte, le navet, le chou-fleur, etc.

« Le parent qui démontre de l’enthousiasme quant au plaisir de manger certains aliments augmentera leur acceptation auprès de l’enfant », affirme la diététiste àl’Agence Science Presse.

L’autorité, l’obstination, la négligence ou le chantage émotif à la saveur de récompense du genre « Tu n’auras pas de dessert si tu ne manges pas tout » ne fait que rendre la situation pire, selon l’experte.

Des questionnaires remplis par 122 mères québécoises d’enfants âgés de 3 à 5 ans ont permis de voir que près d’un tiers d’entre elles qualifient l’heure du repas de pénible.