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Partager une chambre à coucher est bon pour les enfants

Partager une pièce, c’est plus que de gagner de l’espace. Pour les enfants, cela peut s’avérer très constructif. 

En effet, ils peuvent apprendre à se connaître, devenir de bons amis, et aussi développer leurs aptitudes sociales, rapporte le site Parentcentral.ca, qui raconte l’histoire de plusieurs familles.
 
De nombreux parents ont fait ce choix. Certains croient d’ailleurs que cela est une bonne préparation pour les dortoirs universitaires et le mariage. 
 
Bien sûr, dans de nombreuses familles avec plusieurs enfants ou dans des petits foyers, partager une chambre à coucher est également une nécessité.
 
« Quelle que soit la raison pour laquelle on met les enfants ensemble, une chambre partagée est une bonne occasion d’apprendre sur la négociation et le compromis », a déclaré James Crist, psychologue en Virginie.
 
« Il peut y avoir aussi d’autres avantages. Quand les enfants sont dans la même pièce, ils sont plus susceptibles d’aller au lit rapidement » a précisé le docteur.
 
Les enfants peuvent aussi trouver rassurant le fait d’avoir un frère ou une sœur pour leur tenir compagnie et parler avant de s’endormir.
 
James Crist suggère aux parents de suivre certaines règles pour aider les enfants à partager une chambre avec bonheur, notamment en prévoyant un espace séparé. Il faut s’assurer que chaque enfant possède un endroit bien à lui pour mettre ses affaires.
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Moins d’allergies chez les enfants amish

En Suisse, les enfants qui grandissent dans la culture Amish souffrent moins d’asthme et d’allergies que ceux élevés sur des fermes traditionnelles, expliquent des chercheurs. 

Leur étude pourrait soutenir l’hypothèse qu’un monde trop « propre » est à l’origine d’enfants plus sensibles aux allergènes, en ville.
 
« En Europe, les enfants vivant dans des fermes traditionnelles semblent avoir une très faible prévalence à l’asthme et aux allergies », a souligné l’auteur principal de l’étude, le Dr Mark Holbreich.
 
« Chez les enfants suisses qui vivent sur des fermes, environ 25 % ont une sensibilité allergique contre 7 % chez les amish », rapporte le site Babycenter.com.
 
Les résultats de cette étude seront présentés dimanche à la réunion annuelle de l’American Academy of Allergy, Asthma and Immunology (AAAAI) à Orlando, en Floride. 
 
Deux facteurs pourraient avoir un effet protecteur contre les allergies. Le fait que ces enfants soient exposés aux grands animaux de la ferme et que cette exposition ait lieu dès leur plus jeune âge.
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Zona: les enfants atteints d’asthme plus à risque

Le Zona, qui se manifeste par des éruptions cutanées douloureuses, frappe généralement les adultes d’un certain âge, ont noté les chercheurs. 

Pourtant, les enfants souffrant d’asthme ont un risque élevé de développer un Zona, à la suite de l’infection par le virus de l’herpès zostère.
 
Les auteurs ont expliqué qu’un million d’Américains seraient infectés par le virus de l’herpès zostère chaque année. En général, c’est un problème qui frappe les hommes et les femmes âgés de plus de 60 ans ou les personnes ayant un système immunitaire affaibli.
 
Après avoir analysé de nombreux dossiers médicaux d’enfants de moins de 18 ans, les chercheurs ont constaté que les patients asthmatiques étaient 2,2 fois plus susceptibles d’avoir un cas de Zona par rapport à ceux qui ne souffraient pas d’asthme.
 
Les résultats de cette étude devraient être présentés lundi prochain à la réunion annuelle de l’American Academy of Allergy Asthma & Immunology, à Orlando, en Floride.
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Enfants: les troubles respiratoires pendant le sommeil comportent des risques

Des chercheurs de l’Albert Einstein College of Medicine of Yeshiva University ont suivi plus de 11 000 enfants pendant plus de six ans pour arriver à ces résultats. 

Leur étude a démontré que les jeunes enfants avec des troubles respiratoires du sommeil sont plus susceptibles de développer des troubles du comportement comme l’hyperactivité et l’agressivité, ainsi que des symptômes émotionnels et des difficultés avec les relations entre pairs.
 
L’étude a été publiée en ligne dans la revue Pediatrics. « C’est la meilleure preuve à ce jour que le ronflement, la respiration buccale et l’apnée du sommeil peuvent avoir de graves conséquences comportementales et socioaffectives sur les enfants », a déclaré l’un des responsables de l’étude.
 
« Les parents et les pédiatres doivent être vigilants face à ces troubles respiratoires pendant le sommeil chez les jeunes enfants, dès leur première année de vie ». Si les parents soupçonnent ce genre de symptômes, ils devraient demander à leur pédiatre si leur enfant a besoin d’être évalué par un oto-rhino, suggèrent les chercheurs.
 
Environ 1 enfant sur 10 ronfle régulièrement et 2 à 4 % souffrent d’apnée du sommeil, selon l’American Academy of Otolaryngology.
 
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TDAH: mauvais diagnostic pour certains jeunes

Selon une nouvelle étude canadienne, certains enfants en classes primaires pourraient avoir reçu un mauvais dépistage de TDAH. 

Les chercheurs ont découvert notamment que les garçons nés en décembre étaient 30 % plus à risque de recevoir un diagnostic de TDAH que ceux nés en janvier de la même année. 
 
Ces taux soulèvent la question à savoir si des enfants moins matures se font injustement diagnostiquer, explique l’un des chercheurs de la Therapeutics Initiative à l’Université de Colombie-Britannique. Selon lui, un manque de maturité pourrait ne pas être bien interprété dans certains cas.
 
L’étude a été réalisée sur près d’un million d’enfants de la Colombie-Britannique. Les chercheurs ont examiné les dossiers médicaux d’enfants âgés de six à 12 ans, nés entre le 1er décembre 1997 et le 30 novembre 2008.
 
D’autres études, cette fois-ci américaines, ont démontré un lien entre le fait d’être le plus jeune dans une classe et celui de recevoir un diagnostic de TDAH. Les scientifiques canadiens voulaient s’assurer que le phénomène existait également au Canada.
 
Les personnes atteintes d’un trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité ont notamment des difficultés à se concentrer et à mener à terme certaines tâches.
 
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Santé dentaire: le nettoyage des dents de lait est essentiel

Pour éviter les caries, un brossage en douceur s’impose quotidiennement, même en bas âge. Nettoyer les dents de lait des enfants doit devenir un réflexe. 

Le nettoyage doit se faire matin et soir, à l’aide d’une compresse, accompagné d’une brosse souple pour les molaires, explique le site Famili.fr.
 
Les premières années, le brossage doit être effectué par les parents, puis lorsque l’enfant est en mesure de le faire par lui-même, il doit toujours être sous la supervision d’un adulte pour éviter les blessures.
 
Attention aux mauvaises habitudes! Par exemple, pour éviter les caries, les enfants ne doivent pas grignoter avant d’aller au lit. Même après un jus de fruits, il faut se laver les dents.
 
Fin 2011, lors du congrès de l’Association dentaire française (ADF), les experts ont souligné l’importance d’une consultation chez le dentiste dès que l’enfant est âgé d’un an. La prévention demeure la meilleure façon d’éviter les caries chez les petits.
 
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L’école maternelle serait bonne pour les minorités

La maternelle serait bénéfique pour les enfants des minorités et issus de familles à faibles revenus, selon une étude américaine publiée dans la revue Psychological Science.

L’école maternelle est très importante, en particulier pour les enfants qui viennent de minorités, de familles pauvres ou de foyers où les parents ne fournissent pas beaucoup de stimulation mentale, selon l’étude qui a suivi près de 600 familles.

Par ailleurs, parmi les enfants des familles aisées et de foyers avec des environnements plus stimulants, les chercheurs n’ont pas constaté de différence entre ceux qui sont allés à l’école maternelle et ceux qui n’y sont pas allés.

L’étude ne veut pas dire que les parents avec de faibles revenus sont mauvais, soulignent les chercheurs.

La Fondation Nemours explique comment les parents peuvent aider les enfants à s’adapter à l’école maternelle. En effet, cette étape de la vie offre de nombreux avantages.

Pour les enfants, cela peut être un endroit idéal pour interagir avec leurs pairs et apprendre des leçons de vie précieuses telles que la façon de partager.

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Enfants prématurés : la lourde responsabilité des parents

Les obstétriciens sont fortement influencés par les choix de la famille, rapporte une étude publiée en mars dans The American Journal of Obstetrics and Gynecology.

Les parents peuvent prendre la décision de prolonger une grossesse ou de faire une intervention comme la césarienne.
 
Mettre au monde de grands prématurés comporte des risques : la moitié des bébés ne survivent pas, et la moitié de ceux qui survivent ont un handicap neurologique modéré à sévère.
 
Une étude antérieure a d’ailleurs montré la volonté des obstétriciens pour l’accouchement par césarienne à 24 semaines. Cette technique a augmenté les chances de survie de 3,7 fois.
 
Les auteurs de l’étude ont constaté que la décision obstétricale pour les prématurés est principalement influencée par les préférences du patient. La plupart des établissements n’ont d’ailleurs pas de politiques officielles sur les normes de pratique pour les soins des prématurés.

Par ailleurs, les médecins ont signalé qu’il est plus difficile de conseiller les patients avec moins d’éducation ou qui ne parlent pas la même langue.

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Les enfants américains consomment trop de sucre

Un nouveau rapport des CDC (Centers for Disease Control and Prevention) montre que 16 % de l’apport calorique total quotidien des enfants et des adolescents vient du sucre ajouté dans les aliments et les boissons.
 
Les chercheurs ont suivi la consommation des enfants et des adolescents de 2005 à 2008. Les chiffres montrent que le sucre vient à 59 % des aliments et 41 % des boissons.
 
Fait intéressant dans le rapport, les enfants et les adolescents mexicains américains ont une consommation plus faible de sucre que leurs homologues de race blanche et noire, peut-être en raison notamment des traditions alimentaires.
 
Par ailleurs, le sucre semble être aimé par toutes les classes de revenu. Les chercheurs ont constaté peu de différence sur la base du ratio revenu/pauvreté.
 
Rappelons qu’une alimentation riche en sucre est liée à tout un tas de problèmes comme l’obésité, l’hypertension artérielle, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux.
 
La situation est inquiétante, puisqu’un tiers des enfants aux États-Unis et environ un cinquième dans d’autres pays, comme la France, sont classés comme étant obèses.
 
Ces résultats sont publiés dans The National Health and Nutrition Examination Survey, qui est considéré comme la référence pour les habitudes alimentaires

 

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Enfants autistes : un régime sans caséine ni gluten peut être bénéfique

« La recherche a montré que les enfants atteints du TSA ont souvent des symptômes gastro-intestinaux », a déclaré Christine Pennesi, étudiante en médecine au Penn State College of Medicine.

Avec ce type de régime, certains parents ont noté une amélioration des symptômes physiologiques et des comportements sociaux de leurs enfants.

L’autisme peut être plus qu’une maladie neurologique. « Il y a de fortes connexions entre le système immunitaire et le cerveau », selon l’un des chercheurs.

« Alors que davantage de recherches sont nécessaires, nos résultats suggèrent qu’un régime sans gluten et sans caséine pourrait être bénéfique pour certains enfants », a déclaré Christine Pennesi. « Il est également possible qu’il existe d’autres protéines, comme le soja, qui sont problématiques pour ces enfants. »

Cette nouvelle recherche, publiée en ligne ce mois-ci dans le journal Nutritional Neuroscience,pourrait donner l’occasion aux parents de parler avec leur médecin de ce type de régime pour leurs enfants.