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Les pères dépressifs ont un impact négatif sur les enfants

Les enfants ayant un père dépressif sont plus susceptibles d’avoir des problèmes affectifs ou comportementaux, selon une nouvelle étude.

La plupart des recherches antérieures ont porté sur des mères déprimées, ont expliqué les chercheurs de la NYU School of Medicine.

Cette étude, publiée en ligne dans le Maternal and Child Health Journal, a suivi des ménages américains. Les résultats ont montré qu’environ 25 % des enfants dont la mère et le père avaient montré des signes de dépression ont eu des problèmes émotionnels ou comportementaux.

Ces résultats mettent en lumière « la nécessité urgente de reconnaître le rôle des pères dans la vie des enfants et des familles », a expliqué l’auteur de l’étude, le Dr Michael Weitzman.
 
Le meilleur prédicateur de la dépression chez les pères est le chômage. Les papas sans emploi étaient 6,5 fois plus susceptibles d’être déprimés.
 
Les pères jouent un rôle très important dans la vie des enfants et des familles. « Ils sont trop souvent oubliés dans nos efforts pour aider les enfants », mentionne l’un des chercheurs.
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Jeux vidéo : pas si efficaces que ça pour les enfants

L’étude intitulée Impact du jeu vidéo actif sur l’activité des enfants en bonne santé physique, publiée en ligne dans Pediatrics, montre en effet que l’activité physique des enfants n’est pas vraiment stimulée par ces jeux.
 
Pour arriver à ces conclusions, les auteurs ont suivi 87 enfants âgés de 9 à 12 qui ont joué à des jeux inactifs et actifs.
 
Les jeux actifs qui ont été donnés aux enfants incluaient la Wii Fit Plus et Dance Dance Revolution.
 
Un jeu vidéo actif est un jeu dans lequel les enfants font réellement de l’activité physique tout en jouant, comme la danse, les quilles, la boxe ou le tennis.
 
L’étude a montré que les enfants qui ont joué à des jeux actifs ne présentaient pas de niveaux plus élevés d’activité physique que ceux qui avaient joué à des jeux inactifs.

Par ailleurs, les chercheurs croient qu’en jouant à ces jeux, les enfants sont moins susceptibles d’être actifs à d’autres moments, comme en jouant dehors avec leurs amis ou en se joignant à une équipe sportive.

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Enfants : l’obésité et l’asthme auraient un lien avec l’ethnie

Les enfants et les adolescents qui sont en surpoids ou obèses sont plus susceptibles de souffrir d’asthme que ceux qui ont un poids santé, explique une nouvelle étude de Kaiser Permanente Southern California publiée dans l’édition en ligne de la revue Obesity.
 
L’étude, qui a suivi plus de 681 000 enfants âgés de 6 à 19 ans a souligné le fait que l’association entre l’asthme et l’indice de masse corporelle (IMC) varie selon la race et l’ethnicité.
 
Par exemple, l’étude a révélé que l’association entre l’IMC et l’asthme était plus faible pour les Afro-Américains. Les chercheurs ont constaté que la plus forte association entre l’IMC et l’asthme a été identifiée chez les jeunes d’origine hispanique.

Cette étude montre qu’il y a un lien entre l’obésité infantile et l’asthme. Elle explique que des facteurs liés à la race et l’ethnicité, en particulier pour les jeunes hispaniques, peuvent modifier cette relation, a notamment déclaré l’auteure principale de l’étude, Mary Helen Black.

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Adoption : la plupart des familles sont satisfaites

Pour analyser le niveau de satisfaction des adoptions en Andalousie, deux enquêtes à six ans d’intervalle ont été réalisées auprès des familles.

Les résultats montrent que la majorité des familles sont contentes de leur choix. En effet, 77,7 % d’entre elles ont déclaré que leur vie était plus épanouie, et 91,9 % considèrent que l’adoption a eu des répercussions positives. Seulement 37 % considèrent que la vie de famille est davantage compliquée.

Les deux enquêtes montrent également que l’opinion des enfants est liée à celle de leurs parents. « Lorsque les parents sont satisfaits de l’adoption, nous avons constaté que les enfants sont également contents de leur vie », a déclaré l’un des auteurs.

Par ailleurs, les chercheurs ont trouvé certaines variables qui sont liées à des difficultés dans l’adoption. Par exemple, la satisfaction est plus faible dans les cas où les parents ont un niveau plus élevé d’éducation, car ils ont des attentes plus élevées. Les mères sont moins affectueuses et attentionnées, et les enfants peuvent rencontrer des problèmes de comportement.

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Bonbons : attention aux nanoparticules de dioxyde de titane

Les nanoparticules de dioxyde de titane (TiO2) sont le nouveau cauchemar des parents. Les enfants en consommeraient notamment en mangeant des bonbons et autres douceurs, rapporte le site Santelog.com.
 
Dans les friandises, ce n’est pas le sucre qui est cette fois-ci montré du doigt par les scientifiques, mais bien la teneur en nanoparticules de dioxyde de titane. Les enfants en consommeraient plus que les adultes, car ils mangent régulièrement des bonbons.

Les sucreries sont parmi les produits qui ont le plus fort taux de dioxyde de titane, indique une nouvelle étude publiée dans Environmental Science & Technology, la revue de l’American Chemical Society.

Le Pr Paul Westerhoff de l’Arizona State University et son équipe indiquent que le dioxyde de titane se retrouve dans de nombreux produits de consommation comme les dentifrices ou encore les crèmes solaires.

Le dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire est classé cancérigène possible pour l’homme par le Centre International de Recherche sur le Cancer depuis 2007.

Soulignons que la plupart des shampooings et déodorants contiennent les niveaux les plus bas en titane.

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Les enfants pauvres boivent trop de jus

Pour lutter contre l’obésité infantile et la carie dentaire, l’American Academy of Pediatrics recommande que les enfants âgés de 6 ans et moins consomment une seule portion de jus de fruits par jour.
 
Il a été constaté qu’environ 50 % des enfants, dans des familles à faible revenu, buvaient deux fois plus de jus, expliquent les chercheurs de l’University of Michigan C.S. Mott Children’s Hospital National.
 
Le sondage a demandé aux parents, tous niveaux de revenu confondus, la quantité de jus que leurs enfants consomment chaque jour. Dans l’ensemble, 35 % des parents ont signalé que leurs enfants, âgés de 1 à 5 ans, buvaient deux tasses ou plus de jus par jour.
 
Près de la moitié des parents dont le revenu familial était inférieur à 30 000 $ par an ont déclaré que leurs enfants buvaient deux tasses ou plus de jus par jour.
 
En revanche, seulement 23 % des parents ayant des revenus de 100 000 $ ou plus ont mentionné que leurs enfants avaient bu trop de jus.
 
« L’obésité infantile et les problèmes dentaires sont plus fréquents chez les enfants dont les familles ont de faibles revenus », a notamment expliqué Sarah Clark, coauteure de l’étude.
 
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Découvrez les coulisses du Biodôme

Au Biodôme de Montréal, tout est prêt pour accueillir les petits et les plus grands pendant la semaine de relâche.
 
Vous pourrez participer au Rallye des coulisses. Cette activité vous fera découvrir l’envers du décor de ce lieu incroyable du 3 au 11 mars prochain.
 
À cette occasion, vous rencontrerez les employés qui vous parleront de leur passion : les animaux et la préservation des différents écosystèmes.
 
Sur place, vous découvrirez notamment la clinique vétérinaire, la cuisine des animaux et les laboratoires de recherche qui sont des lieux interdits au public en temps normal. Ne ratez pas cette occasion d’apprendre comment les employés soignent les animaux.
 
Le Biodôme recrée les plus beaux écosystèmes des Amériques, la forêt tropicale, l’érablière des Laurentides, le golf du Saint-Laurent, de même que les régions subpolaires des Amériques : les côtes du Labrador et les îles subantarctiques.
 
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Le sommeil des enfants, jamais assez?

Des chercheurs australiens sont arrivés à la conclusion que les enfants n’atteignent jamais la quantité de sommeil recommandée pour leur âge, et ce, depuis toujours.

L’équipe a analysé 246 études s’étendant sur plus d’un siècle et portant sur les changements dans les recommandations de sommeil des petits et sur leurs habitudes réelles. Les résultats ont été publiés dans le Pediatrics.

Ils ont trouvé que la quantité de sommeil recommandée pour les enfants avait baissé avec les années, encore plus significativement pour les nourrissons, les 4 à 8 ans et les 14-15 ans. En même temps, et presque au même rythme, le temps de sommeil réel avait aussi diminué au fil des ans, perdant environ 70 minutes au cours du 20e siècle.

Selon Lisa Anne Matricciani et ses collègues de l’Université de l’Australie du Sud à Adélaïde, les recommandations d’heures de sommeil pour les enfants de tous les groupes d’âge ont toujours excédé ce qui était rapporté comme quantité de sommeil réelle observée chez les petits.

Que les enfants profitent d’une bonne quantité de sommeil a toujours été une préoccupation pour tous, alors que l’on craint depuis longtemps que les stimulations de la vie moderne affectent négativement les plus jeunes. Comme la lecture et la radio étaient pointées du doigt à une autre époque, la télévision et l’Internet sont les coupables tout désignés aujourd’hui.

Malgré le fait que le manque de sommeil chez les enfants est associé à une série de conséquences néfastes, les chercheurs ont précisé que la relation entre la quantité de sommeil et ces effets ou encore les mécanismes menant à des résultats négatifs ne sont pas encore bien compris.

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Vivre séparément pour maintenir une relation amoureuse

Selon une nouvelle étude de l’Université de l’Ohio publiée dans le journal Family Relations, lorsque des couples vivant en concubinage avec des enfants décident de ne plus vivre ensemble, cela ne signifie pas nécessairement que leur relation amoureuse est terminée et qu’ils renoncent complètement à l’idée d’être un couple et une famille à part entière.

Cette relation amoureuse qui continue dans des foyers différents pourrait être très bénéfique pour les enfants et pour la famille, explique l’étude.

Il semblerait que les enfants dont les parents sont toujours amoureux et vivent séparément sont portés à aller voir plus souvent, de leur propre gré, le parent chez qui ils vivent moins.

L’étude a démontré que l’implication et la présence du père sont bonnes et très importantes pour l’enfant. Ce mode de vie favoriserait donc le bien-être et la satisfaction de tous.

Les couples qui sont restés connectés même s’ils vivent séparément ont tendance à avoir une meilleure relation d’investissement et d’entraide les uns envers les autres, ce qui peut se traduire par du temps de qualité partagé, un compte bancaire commun et même, dans certains cas, avoir un autre enfant ensemble.

Moins de chaos au sein des familles serait également au rendez-vous. Ces relations d’investissement rendent d’ailleurs les couples moins à risque de se séparer totalement, dévoile l’étude. En effet, les couples ont 22 % plus de chance de vivre une rupture définitive s’ils vivent dans le chaos.

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L’anesthésie en lien avec l’hyperactivité chez les enfants?

Les enfants exposés à deux anesthésies ou plus avant l’âge de trois ans ont deux fois plus de risque d’être atteint d’un TDAH qu’un autre enfant qui n’a jamais eu à vivre ce genre de situation, décrit une étude observationnelle publiée dans le Mayo Clinic Proceedings.

En effet, les enfants qui n’avaient pas été exposés à l’anesthésie et la chirurgie avant l’âge de trois ans avaient 7,3 % de chances d’être confrontés à un TDAH. Le taux après une seule exposition à l’anesthésie demeurait approximativement le même.

Cependant, pour les enfants qui avaient eu deux ou plusieurs expositions à l’anesthésie et la chirurgie, le taux de TDAH augmentait à 17,9 %, et ce, peu importe les facteurs démographiques.

C’est lorsque le comportement et des changements dans le cerveau de jeunes animaux se sont produits, à la suite d’une chirurgie avec anesthésie, que la curiosité des scientifiques a été piquée.

David Warner, un médecin anesthésiste pédiatrique à la Clinique Mayo, et instigateur de l’étude observationnelle, tient à mentionner que l’anesthésie n’est pas pour autant une cause définitive du déclenchement du TDAH.

Il rappelle que son étude est observationnelle et que plus d’examens seront faits par sa clinique ultérieurement pour établir les autres facteurs qui pourraient être responsables de la fréquence plus élevée du TDAH chez les enfants avec de multiples expositions à l’anesthésie.