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Sexisme chez les futurs parents?

Une nouvelle étude de l’Université Queen en Ontario, publiée dans the Open Anthropology Journal, révèle que les hommes veulent des garçons, et que les femmes souhaitent des filles.

Ces résultats montrent un fort penchant sexiste, malgré la prédiction des chercheurs selon laquelle ils croyaient trouver des preuves de la neutralité du genre comme étant une norme bien établie dans la culture contemporaine.

Cette tendance peut s’expliquer par le fait que les gens ont envie de laisser quelque chose d’eux-mêmes derrière eux, a notamment expliqué Lonnie Aarssen, professeur de biologie et coauteur de l’étude.

Historiquement, le docteur Aarssen a souligné que les deux sexes ont toujours eu une préférence marquée pour les garçons, car ces derniers font progresser la lignée familiale.

Toutefois, maintenant que les femmes ont du pouvoir comme jamais auparavant, elles sont libres de prévoir et d’imaginer un bel héritage familial passant par les mains des membres féminines de la lignée.

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Les malformations congénitales semblent rares chez les enfants de survivants du cancer

Les survivants d’un cancer infantile peuvent se rassurer. Selon les résultats d’une recherche publiée récemment dans le Journal of Clinical Oncology, il semble que les dommages à l’ADN, causés par la chimiothérapie et les radiations des organes reproducteurs, n’augmentent pas le risque pour leurs enfants d’hériter de ces gènes endommagés.

« Nous avons constaté que les dommages sur l’ADN en raison de radiothérapie et chimiothérapie (…) ne sont pas associés avec le risque de malformations congénitales dans la descendance génétique », a déclaré la chercheuse principale de l’étude, Lisa Signorello, qui a recueilli des données sur plus de 20 000 adultes ayant survécu au cancer et 4700 de leurs enfants.
 
Il existe tout de même des effets secondaires, mais qui sont rares. Les survivants d’un cancer infantile ont notamment un taux plus élevé d’infertilité, un risque accru d’avoir une fausse couche ou un bébé prématuré.
 
Les chercheurs ont également indiqué que 3 % des mères exposées à des rayonnements ou traitées avec une chimiothérapie ont eu un enfant avec une malformation congénitale génétique, comparativement à 3,5 % de celles qui ont survécu à un cancer, mais qui n’ont pas été exposées à ces traitements.
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Malbouffe : la publicité en ligne néfaste pour les enfants

La British Heart Foundation vient en effet de dénoncer les stratégies des marques pour vendre leurs produits.

Pour attirer les enfants, des jeux et des bannières sont notamment mis en ligne. Ces techniques inciteraient les enfants à manger plus d’aliments gras et sucrés.

Ce phénomène est inquiétant, surtout à l’heure où les petits Anglais surfent avec l’obésité.

L’association britannique explique que les enfants ne sont pas en mesure de décoder les messages publicitaires. Du coup, les petits sont tentés par les produits qu’ils voient en ligne.

Pour éviter ces tentations, de nouvelles règles devraient être adoptées par le gouvernement et certaines compagnies alimentaires. Ces mesures permettraient ainsi de protéger les enfants des dangers de la malbouffe.

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Les enfants les plus créatifs s’amusent avec les jouets les plus simples

On affirme que la manière dont le cerveau se développera chez l’enfant ne dépend pas du jouet, mais de la façon dont il l’utilisera.

Les premières années de la vie d’un enfant sont déterminantes, et les fabricants de jouets technologiques s’approprient énormément cet argument. Ils n’hésitent pas à dire aux parents que leurs enfants seront derrière les autres si leur cerveau manque d’enrichissement.

Les recherches du pédiatre de Seattle Dimitri Christakis ont bel et bien démontré que regarder un film éducatif, s’amuser avec des jouets technos et des ordinateurs — qui promettent de transformer votre bébé en petit Einstein — ne donnent pas plus de vocabulaire à votre enfant.

D’ailleurs, l’Aacadémie de pédiatrie recommande aux parents de ne pas installer leur enfant devant un écran de télé avant l’âge de 2 ans, car cela peut nuire à leur développement.

En contrepartie, les blocs, qui existent depuis si longtemps, aident à améliorer le vocabulaire. Les enfants qui jouent avec des blocs ont un meilleur langage, car ils ont la chance d’interagir avec les parents, relatent des études en 2007.

Les enfants ont besoin de jouer avec des jouets tangibles, de se créer des scénarios, de poser des questions et d’échanger. Les médecins sont gravement inquiets que la relation parents-enfants soit abandonnée au détriment de la technologie, qui ne développe pas les aptitudes et la créativité de l’enfant.

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Sondage : les parents ne protègent pas leurs enfants de l’Internet

Les enfants manquent d’accompagnement sur Internet. C’est clairement ce qui ressort d’un sondage réalisé l’été dernier par la firme Cefrio. Ce dernier a été rendu public le 13 décembre dernier à Montréal.

Des chiffres inquiétants révèlent que 80 % des parents d’enfants de 3 à 12 ans affirment que l’Internet peut être une source de danger en matière d’exploitation sexuelle des enfants. Cinquante pour cent des parents interrogés étaient prêts à confirmer que leurs enfants ont déjà eu accès à des images sexuelles ou violentes.

Un parent sur cinq croit que son enfant pourrait être en contact avec un cyberprédateur, ou encore être victime d’intimidation, mais 40 % des enfants de 10 à 12 ans ont tout de même une page personnelle sur un site de type Facebook.

De même, les trois quarts des enfants (et jusqu’à 90 % des 10 à 12 ans) sont actifs sur Internet. Souvent, dès l’âge de 3 ans, un contact est déjà créé avec les nouvelles technologies.

Cinquante pour cent des parents avouent ne pas discuter des dangers associés à l’Internet avec leurs enfants, et les trois quarts affirment ne pas utiliser davantage de logiciels de contrôle parental.

Sur cette dernière statistique troublante, les autorités et organismes d’aide rappellent aux parents qu’il est fortement conseillé de placer l’ordinateur au salon ou à la cuisine, afin d’y jeter un coup d’œil fréquemment.

N’hésitez pas à être présents quand vos enfants se créent un profil, activez les outils de contrôle parental et sensibilisez-les aux divers dangers et au caractère public d’un texto ou d’une image captée par webcam.

700 signalements de cas d’exploitation sexuelle d’enfants sur Internet sont reçus chaque mois chez l’organisme Cyberaide.ca (associé au Centre canadien de protection de l’enfance). Imaginez à la grandeur de la planète…

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Des jouets sonores pour enfants seraient dangereux

Une équipe de l’association Hear the World et de l’université allemande d’Aalen a analysé les sons de certains jouets pour enfants et a constaté que certains pouvaient nuire aux capacités auditives des petits.
 
Bien que la majorité ne dépassait pas le seuil critique de 95 décibels, certains pouvaient aller jusqu’à 130 décibels, ce qui correspond au nombre de décibels qu’émet un avion au décollage.
 
Les voitures téléguidées, les boîtes à musique, les figurines électroniques et les téléphones pour enfants ne sont pas sans danger, dans quelques cas.
 
« En moyenne, les enfants jouent d’une demi-heure à une heure avec le même jouet. Les volumes supérieurs à 95 décibels peuvent être considérés comme potentiellement dangereux, équivalents au passage d’un train. À partir de 100 décibels, un niveau critique est atteint et peut conduire à une perte auditive temporaire », explique l’audioprothésiste Christina Canepa au journal Ouest France.
 
Ces problèmes peuvent faire en sorte que les enfants ne supportent plus d’être dans des environnements calmes et ont également du mal à fixer leur attention.
 
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Le petit déjeuner important pour tous

De nombreuses études dans le monde ont démontré l’importance du petit déjeuner, surtout pour les enfants et les adolescents. Cerin confirme également ces données, mais ajoute que même les adultes bénéficient d’un bon petit déjeuner.
 
Après avoir suivi 110 000 enfants pendant deux ans à Hong Kong, des chercheurs concluent que ceux qui consommaient un petit déjeuner avaient un indice de masse corporelle moindre que ceux qui sautaient ce premier repas de la journée.
 
En France, avec 7154 jeunes de 11 à 15 ans, on parvient aux mêmes résultats.
 
Les Finlandais, eux, ont étudié le rôle de chacun des repas de la journée auprès de 600 jeunes de 9 à 11 ans. Ils concluent que c’est le petit déjeuner qui a le plus d’influence sur le gain de poids.
 
Au Brésil, sur les 16 à 20 ans, c’est le petit déjeuner qui fournit le plus grand apport en calcium et en vitamine D.
 
Finalement, chez les personnes dans la vingtaine, on observe que celles qui prennent un petit déjeuner ont tendance à manger moins aux repas suivants.
 
Ce premier repas de la journée demeure donc d’une importance cruciale pour tous.
 
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Des cours de cuisine pour lutter contre l’obésité

Intégrer des cours de cuisine dans les programmes scolaires pourrait aider à lutter contre l’obésité.
 
Dans les trente dernières années, le taux d’obésité a triplé. Voilà pourquoi il est plus important que jamais de transmettre de bonnes habitudes alimentaires dès l’enfance.
 
Selon le Journal of Nutrition Education and Behaviour, l’idée de cuisiner en classe permettrait de faire découvrir de nouveaux aliments, de nouvelles cultures et de mieux accepter la variété alimentaire. De plus, les enfants apprennent à travailler en équipe avant de s’asseoir ensemble pour manger ce qu’ils ont fait.
 
Les recherches démontrent que d’apprendre à cuisiner tôt fait en sorte que cela n’est pas considéré comme une corvée plus tard.
 
Selon l’étude rapportée, on note même que les cours de cuisine aideraient à mieux comprendre le contenu des différentes matières scolaires. Il y a donc des avantages considérables à intégrer les cours de cuisine aux programmes scolaires.
 
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Trop d’antiacides pour les bébés

Trop souvent, on analyse moins bien les symptômes d’un bébé avant de prescrire des antiacides. Les pédiatres concluraient trop rapidement à un reflux gastro-œsophagien quand un bébé est irritable, qu’il a souvent des reflux et qu’il pleure beaucoup.

Comme nous le lisons dans The Journal of Pediatrics, on devrait préférer une réflexion plus longue avant de prescrire de tels médicaments, car tous les comportements ciblés du bébé ne constituent pas nécessairement des symptômes du reflux gastro-œsophagien.

Au cours des 10 dernières années, le nombre de bébés de moins de 12 mois qui prennent des médicaments antiacides a considérablement augmenté, même si l’on approuve une telle procédure uniquement pour des enfants d’au moins 1 an.

En fait, la majorité des reflux ne seraient pas acides. Il semble que les pédiatres se conformeraient aux inquiétudes des parents et prescriraient des médicaments sans pousser suffisamment leur investigation.

De plus, le reflux est une réalité chez les bébés en santé, et il se résorbe au fil du temps. Quant aux pleurs constants et à l’irritabilité, ils font habituellement partie du développement normal de l’enfant, et ce, particulièrement lorsqu’il a de deux à cinq ans.

Il semble que les prescriptions d’antiacides chez les bébés soient une autre manière de médicaliser la normalité.

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Le stress amenuise votre rôle parental

Une récente étude parue dans Development and Psychopathology nous explique que le stress peut avoir de grandes répercussions sur le rôle parental. Un stress chronique ferait en sorte que des problèmes quant au comportement parental surgissent.

En exemple, on donne celui d’une mère quant à la réponse corporelle au stress de longue durée. Ce dernier viendrait à changer la façon dont le corps d’une mère réagit aux demandes d’un jeune enfant. Cela fait en sorte que son rôle parental est plus difficile à assumer.

D’autre part, on a relevé les effets certains de la pauvreté comme de la dépression sur la psychologie d’une personne, et l’on comprend mieux pourquoi quelqu’un réagit de telle ou telle façon s’il est sous pression, que celle-ci soit d’ordre économique ou psychologique.

On a déjà démontré l’effet du stress sur les enfants ainsi que son impact sur le développement de certaines maladies, une fois l’âge adulte atteint. C’est toutefois la première fois que l’on étudie ses effets sur la façon d’élever des enfants. Encore une fois, on comprend que le stress se vit tant au niveau physique que mental.