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La publicité influence les choix alimentaires des enfants

Deux importantes associations américaines, l’American Academy of Pediatrics et l’American Psychological Association expriment leurs inquiétudes quant aux publicités visant particulièrement les enfants.

Dans un article à être publié dans le Journal of Pediatric, ces associations explorent la relation entre la publicité des chaînes de restauration rapide, l’influence des parents et les choix alimentaires faits par les enfants.

Les récriminations des organismes reposent sur une étude réalisée par l’Université Texas A&M International qui a étudié le cas de 75 enfants âgés de 3 à 5 ans.

Séparés en deux groupes, les enfants regardaient des dessins animés à la télévision, durant lesquels de la publicité de restauration rapide leur était présentée. Après le visionnement, les parents des enfants du premier groupe devaient les inviter à manger un repas santé, alors que le second groupe de parents restait neutre.

Pour le groupe d’enfants qui n’a pas été influencé par les parents, 71 % ont désiré manger de la restauration rapide, alors que ce résultat chutait à 55 % pour ceux dont les parents préféraient un repas santé.

Pour les chercheurs, il ne fait aucun doute que les encouragements des parents ont eu un rôle à jouer dans la décision des enfants. Un fait reste malgré tout, les enfants sont clairement influencés par la publicité.

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L’environnement psychosocial affecte le poids des enfants

Une nouvelle étude parue en début de semaine dans Pediatrics révèle que l’environnement dans lequel grandit un enfant peut en dire long sur d’éventuels problèmes de prise de poids.

Réalisée par une équipe de l’Université Justus-Liebig de Giessen en Allemagne, cette étude a suivi durant un an 111 familles comprenant un enfant obèse.

Les chercheurs ont enquêté sur les liens entre les problèmes familiaux, la dépression maternelle et les sentiments d’insécurité, et le non-succès rencontré dans la perte de poids à long terme chez des enfants obèses.

Les conclusions de la recherche montrent que des variables psychosociales prédisposent significativement les enfants à prendre du poids.

Parmi tous les facteurs aggravants, l’insécurité et l’anxiété maternelle sont les facteurs les plus importants.

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La famille influence notre ouverture sur les nouveautés alimentaires

Encore une fois, une recherche mentionne que les repas en famille sont d’une grande importance pour les enfants. Ils encouragent les petits à s’ouvrir et essayer de nouveaux aliments, mentionne le Science Daily.
 
Les chercheurs ont observé 75 familles pendant les repas pour déterminer les facteurs d’évolution du comportement alimentaire des enfants capricieux. Il semblerait qu’une intervention amicale entre la mère et l’enfant serait plus efficace que la pression pour faire accepter de nouveaux aliments aux jeunes.
 
Il s’agit de la première étape d’une étude à long terme. Chaque famille sera revisitée l’année prochaine pour continuer l’observation de l’évolution alimentaire des enfants.
Nous savions déjà que les repas en famille favorisent la saine harmonie et sont propices aux discussions. De plus, il a été démontré que les enfants imitent bien souvent les comportements alimentaires de leurs parents.
 
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Les enfants raffolent des goûters

Les enfants ne se passent plus des périodes de goûter maintenant. Selon une étude du site Juniorcity.net, 96 % des enfants de 1 à 6 ans raffolent des collations.
 
Les enfants de 1 et 2 ans sont des adeptes de produits laitiers qui, par conséquent, aident à leur bonne croissance.
 
Quant à eux, les plus vieux se régalent en général de gâteries sucrées au chocolat.
 
43 % des enfants prennent leur goûter sur le chemin du retour de l’école, juste avant le repas du soir.
 
On note également une différence entre les préférences des filles et des garçons. Les premières préfèrent les boissons à saveurs de fruits, alors que les garçons aiment particulièrement les boissons sucrées.
 
Malheureusement, ces mauvaises habitudes peuvent nuire à leur santé à court et moyen termes. Il serait préférable de les faire choisir de meilleures options.

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Inquiétudes alimentaires infondées

Les parents pensent souvent mieux faire en voulant le bien de leurs enfants, mais ils n’y parviennent pas toujours correctement.
 
La Société française de pédiatrie sonne l’alarme et souhaite faire une mise au point concernant de nombreuses inquiétudes infondées des parents envers certains aliments. Les croyants nocifs pour la santé de leurs petits, les parents les coupent donc de leur alimentation, créant parfois des carences.
 
Par exemple, le lait est essentiel dans la vie des enfants, notamment pour son apport en calcium qui aide au développement de bons os. Contrairement aux rumeurs, il n’est pas lié à des infections récurrentes comme les otites ou l’asthme.
 
La viande est également essentielle, car elle fournit le fer. En ce qui concerne les OGM, aucune preuve n’a été établie clairement jusqu’à maintenant concernant leur toxicité.
 
Aucune inquiétude également pour les pesticides. Même les aliments biologiques en contiennent un peu et les réglementations sont très sévères.
 
Il est également inutile de bannir le sucre. Comme pour toute bonne chose, l’équilibre est la clé, donc il suffit de ne pas tomber dans les excès.
 
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Augmentation du nombre de cas de TDAH

Les chercheurs du CDC’s National Center for Health Statistics ont analysé les dernières statistiques sur le TDAH, et ils ont remarqué que le nombre de diagnostics a passé de 7 %, de 1998 à 2000, à 9 %, de 2007 à 2009.

 

Lors de l’analyse, on a constaté que le nombre de diagnostics émis est plus grand chez les garçons que chez les filles, chez les 5 et 17 ans.

En effet, le pourcentage serait passé de 9,9 % à 12,3 % chez les garçons et de 3,6 % à 5,5 % chez les filles. Autre constatation, l’augmentation du nombre de cas a largement été observée chez les enfants vivant dans des ménages aux revenus inférieurs à la moyenne. Le nombre de cas pour les ménages sous le seuil de la pauvreté était supérieur à 10 %, comparativement à 7,9 % pour les familles plus aisées.

Comme les recherches antérieures indiquaient que plusieurs enfants présentant tous les symptômes de TDAH n’avaient pas été diagnostiqués faute d’avoir accès aux soins de santé, par exemple, il est difficile pour les chercheurs d’affirmer avec certitude que cette augmentation n’est pas liée à une détection accrue du trouble déficitaire.

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Plus de pommes et moins de frites dans les menus

Michelle Obama, qui milite contre l’obésité, a souligné l’initiative des restaurants McDonald’s aux États-Unis.
 
La chaîne de restauration rapide a annoncé des changements dans la composition des menus pour enfants et réduira de 20 % les calories de ceux-ci.
 
Dorénavant, les menus pour enfants seront automatiquement accompagnés d’un sachet de pommes coupées et d’une boisson chocolatée à base de lait écrémé. Si vous ne souhaitez pas avoir la boisson, vous recevrez deux sachets de pommes. De plus, la portion de frites sera réduite.
 
McDonald’s s’est donné pour mission d’adopter des choix plus santé dans son menu. L’an prochain, les restaurants américains présenteront une vaste campagne nutritionnelle.

D’ici 2015, le géant de la restauration rapide s’engage à réduire sa quantité de sel dans les repas et pour 2020, ce sont les sucres et les graisses qui vont être diminués.

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Les grands-parents sont plus sécuritaires en voiture avec les enfants

Alors que les responsables de l’étude sur les risques d’accident de voiture impliquant des enfants s’attendaient à ce que ceux-ci soient plus en sécurité avec leurs parents, les données indiquent tout le contraire.

L’étude publiée dans le journal Pediatrics a fait l’objet d’une analyse de données sur une période de 5 ans. La recherche a été menée aux États-Unis par l’hôpital pour enfants de Philadelphie et les informations recueillies incluaient tout accident de la route avec un enfant de moins de 16 ans à bord.

« Les résultats sont complètement inattendus », explique le docteur Fred M. Henretig, un physicien en médecine d’urgence, principal responsable de l’étude.
 
En effet, celui-ci indique que les grands-parents devraient être moins à l’affût de la façon, par exemple, d’attacher un enfant dans son siège ou moins concentrés sur la route.
 
Cependant, la différence des statistiques est si minime entre les accidents impliquant les parents et ceux dont la responsabilité revient aux grands-parents qu’on se demande en quoi ceux-ci apportent une utilité.
 
Leurs spéculations, pourtant faciles à déduire, comprennent le fait que les grands-parents sont plus portés à garder des distances avec les autres voitures, à conduire moins rapidement ou à conserver leurs deux mains sur le volant.
 
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Les enfants qui déjeunent sont moins souvent obèses

De multiples documentations mettent l’accent sur l’importance du petit déjeuner, surtout chez les enfants. Dans l’édition de juillet de l’International Journal of Obesity, une recherche effectuée en Chine vient appuyer les faits en affirmant que la prise du déjeuner prévient l’obésité chez les enfants.

Plus de 68 000 élèves de Hong Kong ont participé à l’étude, durant laquelle les chercheurs ont établi le lien direct entre l’obésité et les jeunes qui ne prennent pas leur déjeuner.
 
Le surpoids chez les jeunes est devenu une préoccupation mondiale et il est important de modifier rapidement cette mauvaise habitude alimentaire, qui constitue un changement simple pour éviter les éventuels problèmes de rondeurs.
 
À titre de preuve, lors de la recherche, il a été prouvé que les enfants de 9 et 10 ans qui passaient par-dessus le déjeuner présentaient une prise de poids supplémentaire importante entre 11 et 12 ans, en comparaison avec leurs autres camarades de classe. Ces résultats sont significatifs tant chez les garçons que chez les filles.
 
Tant pour les adultes que pour les enfants de tous âges, le déjeuner, surtout lorsqu’il est constitué d’un bon apport en protéines, élimine la sensation de carence de l’organisme.
 
Autrement, l’organisme se met en alerte et de lui-même, il emmagasine plus de graisses en prévision d’un nouvel épisode de jeûne.
 
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Laissez vos enfants se chamailler

Bien que le brouhaha créé par les échanges tumultueux de nos enfants contribue à un environnement familial bruyant et agaçant, ces échangent permettraient à nos bambins d’assurer un bon développement à leur futur succès.

En effet, Independent.ie rapporte qu’une étude effectuée par le Centre de recherche pour la famille de l’Université de Cambridge a conclu que les enfants qui se querellent développent de meilleures habiletés de résolution de problèmes.
 
La docteure Claire Hughes, auteure d’un nouveau livre basé sur la recherche, explique : « Plus les frères et sœurs sont combatifs, même avec les plus jeunes, plus l’apprentissage les dirige vers la compréhension des rouages complexes de la communication et les subtilités du langage ».
 
Il s’agit en fait d’un laissez-passer direct vers la maturité émotionnelle, qui leur servira tant dans leurs relations personnelles que professionnelles.
 
Néanmoins, la recherche stipule que ces querelles doivent être associées à des motifs valables, les arguments demeurant un effort à la résolution du problème, et doivent également se terminer par la réconciliation.
 
L’étude s’est étendue sur une période de 5 ans, où des enfants âgés de 2 à 6 ans étaient évalués selon leur développement cognitif et social.
 
« Plus les enfants se fâchent l’un contre l’autre et plus ils apprennent à canaliser leurs émotions, puisqu’ils prennent conscience de l’impact émotionnel sur l’autre », affirme la docteure Hughes.