Selon Science Daily, une étude a été présentée du 14 au 17 juillet à la réunion scientifique annuelle de la Société de tomodensitométrie cardiovasculaire à Denver. Il s’agit d’une percée technologique de l’imagerie coronarienne.
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Psychcentral.com mentionne que cette recherche, qualifiée « d’intrigante », associe le tempérament de l’enfant en bas âge à la réponse hormonale selon deux types psychologiques définis. Le tempérament du faucon et celui de la colombe.
Il s’agit de deux comportements opposés, développés par une réaction chimique en relation avec la surproduction (colombe) ou l’arrêt de production (faucon) de cortisol dans l’organisme à la suite de l’exposition à un grand stress.
Dans l’étude publiée en ligne dans le journal Development and Psychopathology, le psychologiste et meneur de la recherche, Patrick Davies, explique l’objectif. « Les différentes réactions engendrées sont tant comportementales que chimiques et peuvent provenir de l’évolution génétique de la réponse au stress léguée par nos ancêtres. Par contre, ces comportements ne sont pas nécessairement adaptés à l’environnement familial dans lequel vivent les enfants ».
Alors que le type « colombe » agit de façon prudente, vigilante et soumise lorsqu’il est confronté au stress, le type « faucon » est audacieux et démontre assurance et agressivité.
L’étude a été menée auprès de 201 jeunes enfants de 2 ans, provenant de familles démunies avec des profils socioéconomiques similaires. Les candidats étaient régulièrement exposés à différents niveaux d’agression entre leurs parents.
Les résultats, lorsque les jeunes ont été placés dans une simulation de même nature, ont clairement séparé le groupe en colombes et en faucons. Ainsi, les colombes étaient plus affectées par les menaces, alors que les faucons y réagissaient avec véhémence.
Bientôt la retraite pour Lil Wayne?
Le rappeur Lil Wayne, qui est facilement l’un des artistes les plus occupés de la planète, songerait déjà à la retraite. Ses multiples emplois l’obligent à passer trop de temps loin de la maison, ce qu’il juge comme étant une injustice pour ses enfants qui ne verraient pas assez souvent leur père.
Au magazine XXL qui l’interrogeait dernièrement, Wayne a déclaré : « Je vais arrêter quand je serai encore au top. Je vais m’arranger pour que vous me désiriez lorsque je me retirerai. Je pense sincèrement que ma carrière est injuste pour mes enfants. En toute franchise, c’est la vérité. Donc, vers 30, 31, 32 (ans), je devrai me préparer (à me retirer).
Lil Wayne, qui est âgé de 28 ans, est l’un des artistes hip-hop les plus demandés depuis la sortie de son premier album, The Block Is Hot, en 1999.
Il avance même que son prochain opus, Tha Carter IV, dont la sortie a été plusieurs fois repoussée, pourrait bien être l’un de ses derniers.
En parallèle de sa vie de célébrité, Angelina Jolie a été nommée ambassadrice du Haut commissariat pour les réfugiés des Nations Unies (UNHCR). Dans le cadre de son rôle humanitaire, l’actrice de 36 ans a effectué hier (19 juin) une visite-surprise dans deux îles de la mer Méditerranée.
Les habitants des îles de Malte et de Lampedusa, dont un nombre incalculable d’enfants, vivent une vague sans précédent de demandes d’asile afin de fuir la famine et les bouleversements politiques en Afrique.
Plus qu’une visite de courtoisie, People rapporte que Angelina Jolie a entamé des discussions avec le gouvernement afin de prendre les mesures qui s’imposent pour offrir des conditions de vie humaines aux familles, mais surtout aux enfants.
Entre-temps, elle participait à deux cérémonies pour commémorer ceux qui ont tenté de trouver un refuge sécuritaire. Les propos de Jolie, rapportés dans le journal local Malta Today, sont les suivants : « Les habitants ne veulent que la liberté. De notre côté, nous poursuivons nos discussions avec le gouvernement et tentons de trouver une solution ».
Selon le UNHCR, plus d’un million de personnes ont quitté la Libye depuis le début de la crise et plus de 16 000 d’entre elles ont tenté de traverser la Méditerranée dans des embarcations surchargées.
Gwyneth Paltrow regrette l’achat de la Wii
Gwyneth Paltrow nous rassure, même les mères célèbres s’arrachent les cheveux lorsqu’il s’agit de diriger l’attention de leurs enfants ailleurs que devant une console de jeux. Ainsi, l’actrice et chanteuse regrette d’avoir cédé et de s’être procuré une Wii de Nintendo.
Paltrow avoue que Apple et Moses, qui ont respectivement 7 et 5 ans, sont collés à l’écran et ne veulent rien faire d’autre. L’actrice a même écrit sur sa page Twitter : « Comment dois-je faire pour les retirer de là? J’ai juré qu’il n’y aurait jamais de console de jeu dans ma maison et maintenant, c’est comme une drogue pour eux. »
Female First rapporte que l’actrice de 38 ans a été particulièrement prise de court par l’une des réponses faisant suite à son cri du cœur. On lui aurait répondu : « Envoie-les en réhabiwiitation ». Façon claire de dire à Paltrow que beaucoup de parents sont aux prises avec cette problématique et qu’ils y font face sans demander de l’aide sur Twitter.
D’autre part, la mère de la vedette, Blythe Danner, ne semble pas être d’un grand soutien pour sa fille. Elle a simplement répondu aux médias : « Ils sont réellement parfaits, ce sont de merveilleux enfants ».
Bien qu’elle avoue que son divorce ait été l’un des pires qui soient, Denise Richards veut que l’on retienne avant tout qu’elle a vécu une merveilleuse histoire d’amour avec Charlie Sheen.
Rappelons que Charlie Sheen a récemment été congédié de la télésérie Two and a Half Men pour les raisons que l’on connaît, puis traité en centre de réadaptation pour ses problèmes de dépendance.
Brad Pitt admet ses erreurs
Des chercheurs affirment que les résultats d’une étude démontrent que les enfants « très joyeux » ont une vie plus courte que leurs compagnons plus calmes. Le Telegraph rapporte que la principale raison à cela réside au niveau des choix effectués plus tard dans leur vie adulte.
En effet, les enfants anormalement heureux, et ce, à des moments inappropriés, seraient plus enclin à développer une bipolarité ou à effectuer des choix de vie dangereux ou nocifs pour leur santé.
L’analyse, provenant de plusieurs universités, remonte aux années 1920, les enfants choisis ayant été suivis jusqu’à leurs vieux jours. En outre, les chercheurs ont découvert que le fait de tenter d’être heureux se soldait par un comportement d’autant plus dépressif.
La professeure June Gruber, coauteure du département de psychologie de l’Université Yale, explique : « Lorsque l’on tente les exercices proposés par nos lectures et que ceux-ci ne fonctionnent pas, nous éprouvons de la déception et la joie s’en trouve diminuée, contrairement à l’effet escompté. »
En résumé, la clé du bonheur consiste à entretenir des relations sociales gratifiantes avec nos proches et nos amis. Le reste n’est qu’illusion.