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Les frères et soeurs d’un autiste auraient des troubles liés

Une nouvelle étude ayant porté sur près de 3 000 enfants (1 235 familles) présuppose des répercussions familiales provenant de l’autisme, comme présenté dans l’American Journal of Psychiatric.

Il en est ressorti qu’environ un enfant sur cinq ayant un frère ou une soeur autiste présente, pour sa part, des troubles du langage ou de l’élocution.

Le docteur John Constantino, professeur de pédiatrie et de psychiatrie à l’École de médecine de l’Université Washington à Saint-Louis, a dirigé cette recherche.

Pour corroborer ses découvertes, il souligne que des études plus mineures avaient déjà abordé ce point. En effet, il a été démontré que des enfants faisant partie d’une famille au sein de laquelle l’autisme avait été diagnostiqué avaient un retard de langage.

De plus, même si ces enfants ne sont pas systématiquement atteints, ils ont 22 fois plus de chances de développer des troubles et des retards.

Plus d’un enfant autiste vivait au sein de 10,9 % des familles étudiées et 20 % d’entre elles avaient des enfants non diagnostiqués, mais qui avaient un retard de langage.

Il semble donc que les recherches vont tendre de plus en plus à découvrir un réel syndrome de l’autisme.

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Les enfants immigrants décrochent moins

Le rapport déposé par le Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur (COQES) comprend aussi quelques bémols sur le sujet.

En effet, comme nous l’apprend Parentcentral.ca, les élèves provenant des Caraïbes et d’Amérique latine auraient plus tendance à décrocher. Les Chinois, quant à eux, constituent le groupe le moins touché par le décrochage scolaire.

Le Conseil préconise donc de venir en aide aux étudiants en variant leurs professeurs, en les aidant à cibler leur choix professionnel plus tôt et en augmentant le nombre d’employés d’encadrement.

C’est dans le même ordre d’idée que le président du COQES, Harvey Weingarten, voit en la diminution du décrochage scolaire une meilleure posture de notre économie. Le lien entre la prospérité et le nombre de personnes diplômées a déjà été démontré.

Le rapport Post-High School Pathways of Immigrant Youth est le résultat d’une compilation de données par cinq professeurs ontariens. D’après cet écrit, il semble que les immigrants accordent plus de valeur à l’éducation, car les parents en possèdent souvent déjà plus que les Canadiens en général.

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Les jeux vidéo responsables de blessures

Des entorses aux chevilles et à l’épaule, de nombreuses blessures au pied : les effets néfastes des jeux vidéo ont été relevés dans le cadre d’une recherche, nous apprend Healthychildren.

Cette étude a été présentée aujourd’hui à l’American Academy of Pediatrics (AAP) National Conference and Exhibition, à San Francisco.

Afin de bien analyser les enjeux possibles de consoles telles que la Wii de Nintendo, des personnes de tous âges (de 1 mois à 86 ans) ont été suivies de janvier 2004 à janvier 2009.

Au total, 696 blessures reliées à ce type de jeu ont été rapportées. L’âge moyen auquel survenaient les incidents était 16,5 ans. On a dénombré 604 événements liés aux jeux vidéos traditionnels et 92 à ceux interactifs. On comptait finalement un peu plus d’hommes impliqués que de femmes (un peu moins de 7 %).

Les blessures à l’épaule, au genou et au pied ont beaucoup plus tendance à se produire lorsqu’un participant ou une participante jouait à un jeu vidéo interactif.

Le directeur de cette recherche, le médecin et auteur Patrick O’Toole, suggère fortement que les enfants de moins de 10 ans soient supervisés lorsqu’ils s’adonnent à ce tout nouveau genre d’activité.

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Les enfants allergiques vivent de l’intimidation

On peut lire sur parentcentral.ca que le tiers des enfants souffrant d’allergies alimentaires subissent des insultes par rapport à leur condition. Les résultats d’une étude sur le sujet ont été présentés dans l’édition d’octobre des Annals of Allergy, Asthma & Immunology.

La plupart du temps (dans 80 % des cas), ce sont d’autres enfants qui causent préjudice. Cela peut même aller jusqu’à des attaques physiques.

L’étude a été dirigée par le Dr Scott Sicherer, professeur de pédiatrie au Jaffe Food Allergy Institute de l’École de médecine Mount Sinai. Il dit par ailleurs remarquer ce phénomène tous les jours dans sa pratique.

Pour la présente recherche, son équipe a analysé 353 questionnaires remplis par des parents ou tuteurs d’enfants qui souffrent d’une allergie alimentaire. La plus courante de celles-ci était aux arachides.

Ils ont ainsi relevé que 35 % de ces enfants avaient déjà vécu du harcèlement, sous toute forme. Le nombre baisse à 24 % si l’on inclut les enfants de moins de 5 ans.

Dans 65 % des cas, des signes de dépression et d’embarras ont été remarqués chez les enfants allergiques à la suite de ces incidents malheureux.

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Les parents, meilleurs qu’avant?

Darcia Narvaez en est venue à cette conclusion surprenante, nous apprend Famili.fr. Elle a comparé les principes d’éducation de la préhistoire et du 21e siècle pour constater que le rôle de parent se serait effrité au cours de ces milliers d’années.

Les propos de la psychologue controversée ne sont pas partagés par tous. Selon elle, notre façon d’élever nos enfants a créé « une brisure dans le coeur de générations entières ».

Elle fait ici référence au fait que nous laissons nos bébés dans des sièges d’auto et des poussettes et que nous les laissons pleurer, alors qu’autrefois, il en était tout autrement.

En effet, dans la préhistoire, les bébés étaient allaités sur une très longue période, en plus d’être continuellement dans les bras de leur mère, ce qui a fait en sorte qu’ils bénéficiaient réellement de chaleur humaine.

Aujourd’hui, les parents sont, selon elle, des êtres égoïstes qui sont moins empathiques.

Par ailleurs, madame Narvaez croit que les problèmes d’hyperactivité sont dus au fait que les enfants ne vont presque plus à l’extérieur.

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Les enfants talentueux ne réussissent pas tous

La professeure Joan Freeman a suivi 210 enfants considérés comme talentueux de l’enfance à la vie adulte. Elle a démontré qu’ils ne réussissent pas tous comme promis, rapporte le Daily Mail.

Elle a suivi ces enfants à qui l’on reconnaissait des habiletés remarquables en mathématiques, en musique ou en art de 1974 jusqu’à aujourd’hui.

Il ressort de cette étude de très longue durée que seulement 3 % d’entre eux ont atteint les sommets qu’on leur prévoyait lorsqu’ils étaient jeunes. Sur les 210 candidats, environ six ont atteint la réussite d’une façon conventionnellement acceptée.

Le plus souvent, ce sont des événements de la vie qui ont fait en sorte que ces personnes n’ont pas atteint pas la réussite.

Par exemple, les surdoués se voient souvent manquer leur vie d’enfant. Justement à cause de leurs grands talents, ils vivent trop de pression de la part de leurs parents ou se retrouvent seuls, étant retirés des classes normales. L’échec et l’abandon sont donc voulus, dans de nombreux cas, car les jeunes veulent ainsi suivre leurs propres choix.

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Posséder un chien permet de garder vos enfants actifs

Les bienfaits de la présence d’un chien dans la vie d’un enfant ont été prouvés depuis longtemps. Maintenant, l’American Journal of Public Health affirme qu’un chien permet à l’enfant de demeurer actif.
 
Jouer à la balle, faire une promenade, jouer avec son chien au soccer ou à la lutte sur le tapis sont autant d’activités que les enfants s’amusent à faire avec leur ami à quatre pattes.
 
Une étude britannique effectuée auprès de 2 065 enfants révèle de ceux qui ont un chien sont 50 % moins susceptibles d’avoir un problème de poids.
 
37 % des enfants disent promener leur chien au moins une fois par semaine. Posséder un chien peut aider toute la famille à demeurer plus active, notamment avec des balades quotidiennes.
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Nouveau programme pour protéger les enfants de la fumée secondaire

L’organisme Famille sans fumée lance un nouveau programme au Québec afin de sensibiliser le public aux risques que représente la fumée secondaire pour les enfants.
 
Au Québec, les petits sont deux fois plus exposés à la fumée que dans les autres provinces du Canada.
 
Cette fumée contient 4 800 substances chimiques, dont 60 sont reconnues comme pouvant causer des cancers. C’est le cas de la nicotine, de l’ammoniac et du goudron par exemple.
 
Les enfants respirent plus rapidement que les adultes et absorbent donc plus de substances toxiques; voilà pourquoi ils sont plus à risques. De plus, leur système immunitaire n’est pas encore complètement développé.
 
Les enfants qui vivent dans des familles où il y a des fumeurs sont plus à risques de souffrir d’asthme ou de faire des bronchites.
 
Pour les femmes enceintes et leur futur enfant, la fumée secondaire est aussi dangereuse. Elle peut provoquer des fausses couches ou des naissances prématurées. Pour le fœtus, elle ralentit le débit sanguin vers le cerveau et peut également affecter le développement du cœur, des poumons et des systèmes nerveux et digestif.
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Les parents homosexuels ressentent plus de pression

Les experts demandent de soutenir davantage les familles de couples du même sexe. Ces parents peuvent ressentir plus de pression sur le fait d’élever un enfant hétérosexuel.
 
Le journal Family Process affirme que les couples homosexuels sentent encore que pour prouver qu’ils sont de bons parents, leurs enfants doivent absolument être hétérosexuels. Pourtant, la fréquence de l’homosexualité n’est pas plus élevée chez un couple de même sexe qu’un couple hétérosexuel.
 
La société devrait changer de mentalité, car des recherches ont prouvé que les enfants qui grandissent au sein d’une famille avec un couple de gais, lesbiennes, bisexuels ou transgenres sont psychologiquement sains. De plus, ils sont souvent meilleurs à l’école et ont une incidence à avoir moins de problèmes sociaux que leurs pairs.
 
Ces familles différentes ne devraient donc pas être jugées aussi sévèrement ni pointées du doigt, mais plutôt recevoir le même soutien que les familles traditionnelles.
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Les enfants jurent de plus en plus jeunes

Des données récoltées par des chercheurs britanniques et présentées au Symposium sociolinguistique révèlent que dès l’âge de 2 ans, les enfants commencent à jurer.
 
Bien qu’ils ne savent pas vraiment ce que signifient ces blasphèmes, ils répètent les mots qu’ils entendent. Malheureusement, les chercheurs ont constaté que les deux tiers des adultes utilisent des mots grossiers à la maison et qu’il y en a même une panoplie à la télévision.
 
Selon leur recherche, on retrouve cette même grossièreté au sein du gouvernement. Le président américain Barack Obama a dit lui-même en entrevue vouloir connaître qui doit « avoir un coup de pied au cul » pour la marée noire dans le golfe du Mexique.
 
Kanye West, Mel Gibson et Charlie Sheen ont été cités en exemple comme ayant des comportements scandaleux, alors que les médias s’en servent volontiers pour divertir le public.
 
Il n’est dont pas surprenant que dès 2 ans, les petits imitent ce qu’ils entendent. Le phénomène devient de plus en plus criant lorsqu’ils atteignent 3 ou 4 ans.