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Nous le savons, lorsque la qualité de l’air est médiocre, cela affecte les symptômes de l’asthme et des maladies respiratoires, surtout chez les enfants, pour qui les voies respiratoires sont plus petites et le système immunitaire pas encore entièrement développé.
Une étude faite à Atlanta démontre que lors des journées où le niveau d’ozone et des polluants sont plus élevés, les hospitalisations d’urgences chez les enfants asthmatiques augmentent.
Selon l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, des chercheurs ont découvert que la poussière du désert est transportée à travers le monde, à partir du Sahara en Afrique, par exemple. Or, cette poussière aggrave le niveau de polluants dans l’air, donc les symptômes d’asthme, surtout chez les jeunes enfants.
Bien qu’il n’y ait pas encore de preuve comme quoi la poussière du désert est directement liée aux problèmes respiratoires, il est clair qu’elle n’aide pas en alourdissant les polluants, car elle contient des composants inflammatoires pour les voies respiratoires.
Dès leur plus jeune âge, les enfants commencent à se trémousser. Entre 12 et 24 mois, ils sont capables de se tenir debout, de marcher, et ils commencent à avoir un équilibre. Ainsi, lorsqu’ils entendent leur chanson préférée ou écoutent leur émission favorite, ils se lèvent et se trémoussent.
Selon ce que rapporte MedicMagic, cela est dans le but de démontrer leurs capacités aux autres, y compris à leurs parents.
Ils sont naturellement attirés par le rythme, même dans l’utérus où ils entendent le rythme et les battements de cœur de leur mère.
Si leur petite danse s’accompagne d’applaudissements et de rires, cela signifie qu’ils sont satisfaits de leur performance. Ils seront encore plus heureux, si leurs parents et leur entourage dansent avec eux.
Entre un an et deux ans, leurs capacités motrices augmentent, et ils sont capables de se secouer de haut en bas en demeurant les pieds au sol.
La danse permet de stimuler leur développement physique, elle améliore leur coordination et encourage l’expression de leur créativité, selon une étude. De plus, si votre petit se met à se trémousser, vous aurez droit à un beau spectacle.
Une nouvelle étude révèle que les enfants qui marchent chaque matin pour se rendre à l’école sont moins stressés pour leur journée en classe que ceux qui sont conduits en voiture ou en autobus.
De plus, la marche est une activité physique, verte et peu coûteuse. Elle permet de diminuer la fréquence cardiaque et la pression artérielle, deux facteurs qui peuvent mener à des maladies cardiovasculaires plus tard.
Selon des chercheurs de l’Université de Buffalo, le processus des maladies cardiovasculaires débute dès l’enfance : il est donc important de trouver des moyens de freiner son évolution. L’activité physique est un excellent protecteur, et la marche est sans doute la plus accessible des activités.
Des études précédentes ont démontré que les enfants qui marchent pour se rendre à l’école étaient plus alertes et prêts à travailler lorsqu’ils arrivent en classe.
Une petite étude rapportée par le journal Diabetologia démontre que le diabète de type 2 peut affecter le cerveau, y compris celui de jeunes enfants.
Auparavant, les enfants étaient plus susceptibles de souffrir du diabète de type 1, communément appelé le diabète juvénile, mais avec le nombre grandissant d’enfants obèses, souvent lié au diabète de type 2, on retrouve des cas de plus en plus jeunes. Maintenant, 40 % des cas de diabète chez les enfants sont de type 2.
Des chercheurs ont évalué les capacités cognitives de jeunes obèses diabétiques et non-diabétiques, et ont constaté que les diabétiques avaient notamment plus de difficultés à penser.
Chez l’adulte aussi on avait noté que le diabète de type 2 affectait les capacités à apprendre et à retenir.
Bien qu’il n’y ait pas de preuves définitives et qu’on ne s’explique pas encore très bien pourquoi le diabète de type 2 affecte le cerveau, certains affirment que cela nuirait à l’apport de sang vers le cerveau.
La bonne nouvelle est que ces effets négatifs s’estompent, lorsque le diabète de type 2 s’efface. Il est donc important que les enfants perdent du poids.
Il semblerait que des centaines de milliers d’enfants dans le monde aient reçu de faux diagnostics d’allergies alimentaires, en raison de tests non fiables, mentionnent les experts.
Selon le Daily Mail, ces tests ont été vendus majoritairement sur Internet. Malheureusement, les diagnostics pour des allergies alimentaires n’étaient pas concluants. Résultats? Des centaines de milliers de jeunes enfants ont été soumis à un régime très restrictif totalement inutilement, afin de leur éviter de consommer des produits à base d’œufs, d’arachides, de lait, de poisson et de blé.
Ce qui a conduit certains enfants à être sous-alimentés, en raison de nombreuses restrictions.
Les experts mettent en garde les parents contre ces tests, et ajoutent que les médecins généralistes devraient tenter d’intervenir plus tôt pour trouver des allergies possibles.
On rappelle que les tests d’allergies peuvent être très longs et demandent des tests sanguins et cutanés avec les allergènes possibles, avant de déterminer celui qui pose problème.
Malheureusement, les faux diagnostics ont mené trop d’enfants à être mal nourris.
Des scientifiques ont comparé les bactéries intestinales de jeunes enfants de l’Union européenne et des régions éloignées du Burkina Faso. Ils ont découvert une différence assez importante qui expliquerait la disparité des maladies chroniques et de l’obésité.
En effet, selon le Proceedings of the National Academy of Sciences, les microbes vivants dans l’intestin peuvent entrainer un taux élevé d’allergies, de maux d’estomac chroniques, et même l’obésité, chez les enfants vivants dans les pays riches industrialisés.
L’alimentation y est pour beaucoup. Au Burkina Faso, par exemple, les enfants consomment peu de viande, notamment.
Ces résultats démontrent qu’il serait important de développer encore plus les produits avec probiotiques, afin de tenter de rééquilibrer la flore intestinale des individus.
Par le passé, plusieurs études ont lié ce type de bactéries à l’inflammation, et qu’elles affectaient aussi l’appétit.
Bien que les maladies infectieuses sont moins nombreuses dans les pays développés, on assiste à l’apparition de nouvelles maladies, ou plus d’allergies, de maladies auto-immunes ou inflammatoires de l’intestin, et ce, dès le plus jeune âge.