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Les parents devraient mieux communiquer avec les médecins

Une étude rapportée par le site internet Canada.com mentionne que les parents donnent souvent des vitamines à leurs enfants, mais ne le disent pas à leur médecin, malgré les risques d’interaction avec d’autres médicaments.
 
Par exemple, la vitamine C, qui semble inoffensive, peut interagir avec les anticoagulants en prolongeant ou en augmentant leurs effets. Elle peut également augmenter l’absorption du fer et les effets des acétaminophènes. Cette vitamine ne doit jamais être prise en même temps que ces autres médicaments. Chez certaines personnes, elle interfère également avec les traitements de chimiothérapie.
 
C’est vrai qu’il est plutôt rare d’avoir ce genre d’effets avec les vitamines, mais il est toujours préférable de ne pas le cacher à son médecin. Lui seul saura si les médicaments qu’il prescrit sont sécuritaires avec les vitamines.
 
L’étude a été réalisée avec 1 804 enfants et près de 600 recevaient des vitamines de façon quotidienne, hebdomadaire ou occasionnelle.
 
Le tiers des parents ne disent pas au médecin ce qu’ils donnent à leurs enfants. Plus du tiers des enfants qui prenaient des vitamines étaient handicapés, avaient des maladies chroniques, de l’asthme, un cancer ou le diabète, donc ils recevaient d’autres médicaments.
 
De plus, il est toujours préférable de ne jamais prendre les vitamines au même moment que les autres médicaments. Dans les complications les plus sévères, certains organes peuvent être grandement affectés.
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Les petits obèses ont plus de risques de blessures

La revue Pediatrics rapporte que les jeunes enfants obèses sont plus susceptibles de se blesser aux jambes, aux chevilles et aux pieds. Chez les petits de poids normal, les blessures se situent surtout à la tête et au visage.
 
Wendy J. Pomerantz et son équipe du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center en Ohio ont noté ce phénomène, dont ils ne s’expliquent pas encore totalement les raisons.
 
Pour l’étude, les chercheurs ignoraient comment les blessures étaient survenues, mais c’était un fait, les jeunes enfants obèses avaient plus de blessures aux membres inférieurs. On croit qu’ils sont plus vulnérables en courant et en marchant et qu’ils auraient besoin de chaussures adaptées offrant un bon soutien à la cheville.
De plus, l’activité physique progressive serait préférable pour les petits dodus. Les obèses sont plus fragiles aux entorses, aux foulures et aux luxations que les petits de poids normal.
 
Par contre, pour les blessures aux membres supérieurs comme les bras, les enfants obèses et de poids normal ne présentaient pas de différences.
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Les enfants de 3 ans obèses ont plus de risques de développer des maladies cardiaques

Les enfants qui sont obèses à l’âge de 3 ans ont plus de risques d’être victimes de maladies cardiaques à long terme.
 
Selon le journal Pediatrics, une équipe de chercheurs de l’université de la Caroline du Nord ont découvert que ces petits obèses ont un taux de protéine C réactive très élevé. Ceci est un marqueur annonçant d’éventuelles maladies cardiovasculaires.
 
De plus, on a noté un taux élevé de deux autres marqueurs inflammatoires, un à l’âge de six ans et l’autre à neuf ans.
 
Selon l’étude, chez les tout-petits de 3 à 5 ans qui sont obèses, 40 % ont un taux élevé de protéine C réactive contre seulement 17 % des enfants de poids normal du même âge.
 
Chez les 15 à 17 ans qui sont également obèses, ce taux passe à 83 %, comparativement à seulement 18 % de ceux ayant un poids normal.
 
« Nous avons été surpris par ces résultats. Nous avons établi une relation entre le poids et les niveaux élevés de certains marqueurs inflammatoires à des âges plus précoces que ce que nous avions prévu. Beaucoup d’adultes savent très bien qu’être en surpoids ou obèses n’est pas bon pour eux. Mais la plupart d’entre eux ne réalisent pas que cela peut également être mauvais pour les jeunes enfants », mentionne l’auteure principale de cette nouvelle étude, Asheley Cockrell.
 
Cette étude a été réalisée auprès de 16 335 jeunes âgés de 1 à 17 ans.
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Attention avec les hot-dogs!

Un groupe de pédiatres américains met en garde les parents contre les hot-dogs.
 
Selon le magazine Pediatrics, ces aliments sont parmi les plus dangereux pour les enfants. Ils sont responsables du plus grand nombre de décès par étouffement chez les tout-petits. En 1984, une étude révélait que 17 % des décès par étouffement étaient causés par les hot-dogs.
 
Le groupe de médecins suggère fortement que les compagnies qui commercialisent les produits pour les hot-dogs tentent de repenser la forme de cet aliment si aimé des jeunes.
 
Le problème est que la forme cylindrique des hot-dogs, de même que sa texture compressible, représente un réel danger d’étouffement pour la petite gorge des enfants. Tout comme le sont certains jouets également.
 
D’ailleurs, on mentionne que les bonbons durs sont aussi dangereux, de même que le maïs soufflé, les guimauves et les raisins. En raison de leur forme et leur texture, ces aliments présentent un risque d’étouffement élevé, surtout pour les enfants.
 
Aux États-Unis, il existe un Conseil du hot-dog et de la saucisse qui a immédiatement répondu à la mise en garde des spécialistes de la santé en disant que déjà plusieurs emballages recommandent aux parents de couper les hot-dogs en petits morceaux pour leurs enfants.
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Les crises d’asthme des enfants traitées trop tard

Selon les Annals of Allergy, Asthma and Immunology, les parents ne traitent pas assez tôt les crises d’asthme de leurs enfants.
 
Des chercheurs de l’école de médecine de l’université de Washington ont découvert que les parents pourraient éviter de se rendre aux urgences s’ils intervenaient avant même que les crises d’asthme ne débutent.
 
Les universitaires notent que la majorité des parents arrivent à identifier facilement les premiers symptômes qui précèdent une crise, comme la toux, un essoufflement, des douleurs respiratoires ou encore des signes dans le comportement de leurs enfants. Par contre, les parents ne savent pas utiliser un bronchodilatateur pour permettre aux muscles des voies respiratoires de se détendre.
 
Selon la directrice du Consorsium de recherche ambulatoire pédiatrique de l’université, Jane Garbutt, si les parents intervenaient tôt, ils pourraient réduire l’intensité de la crise et même la freiner ou l’éviter. Ils s’éviteraient ainsi de nombreux déplacements vers les urgences des hôpitaux.
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Le quart des parents ont peur de discipliner leurs enfants

Une étude rapportée par le journal britannique Daily Mail mentionne que de nos jours, le quart des parents ont peur de discipliner leurs enfants par crainte de les heurter.
 
Les chercheurs constatent que la discipline répugne les pères et mères qui ont peur d’être considérés comme injustes ou trop strictes.
 
Le tiers admet également qu’ils ne veulent pas réprimander leurs enfants en public, car ils sont effrayés à l’idée que les autres personnes les trouvent trop durs avec leur progéniture.
 
2 000 parents ont été interrogés sur leurs habitudes avec leurs enfants et 55 % disent imposer moins de discipline que leurs propres parents ont fait avec eux. Le tiers ont pourtant peur qu’avec un manque de discipline, leurs enfants s’attirent des ennuis.
 
Les spécialistes rappellent que la discipline fait partie de la croissance des enfants et qu’elle est importante, car elle leur enseigne la différence entre le bien et le mal.
 
83 % des parents interrogés disent avoir grandi en respectant leurs aînés et en ayant peur des réprimandes venant de leurs parents ou de leurs enseignants. Huit sur dix affirment avoir été réprimandés une seule fois, qui a suffi pour qu’ils n’aient pas envie de recommencer.
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La publicité rend les enfants obèses

Une nouvelle étude démontre que l’obésité observée chez de nombreux enfants ne serait pas due au fait qu’ils regardent la télévision, mais plutôt à la publicité qui y est présentée.

Des experts de UCLA ont analysé les habitudes d’écoute de 4 000 enfants aux États-Unis, âgés de la naissance à 12 ans. Ils ont ainsi observé que regarder la télévision n’affectait en rien le poids actuel ou futur des enfants.

Ce sont plutôt les publicités qui influencent directement le poids des téléspectateurs. Une différence marquée des comportements a été observée lorsque les enfants regardaient la même émission, provenant de la télévision (avec publicités) et d’un DVD (sans publicités).

Les effets pervers de la publicité à la télévision seraient encore plus marqués sur les enfants de moins de 7 ans.

Selon l’étude, le samedi matin, une plage horaire largement consacrée aux émissions pour jeune public, les enfants sont soumis à de la publicité sur la nourriture toutes les cinq minutes. 95 % des aliments présentés dans ces publicités concernent de la nourriture moins bonne pour la santé.

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La bipolarité chez les parents affecte les enfants

Les enfants dont les parents souffrent de troubles bipolaires (sautes d’humeur sévères ou maniacodépression) ont huit fois plus de risques de souffrir d’un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH), rapporte l’American Journal of Psychiatry.
 
De plus, ces jeunes enfants ont également six fois plus de chances d’avoir deux troubles mentaux ou plus par rapport aux enfants dont les parents ont une santé mentale normale.
 
Pour l’étude, on a recruté 121 enfants âgés de 2 à 5 ans de 83 parents ayant des troubles bipolaires et 102 enfants du même groupe d’âge de 65 parents n’ayant aucun antécédent de troubles mentaux.
 
Les chercheurs en arrivent à la conclusion qu’il y a plus de risques de TDAH et d’autres troubles psychiatriques chez les enfants dont les parents ont ce genre de problèmes.
 
Bien que le diagnostic de troubles mentaux chez les enfants en bas âge demeure controversé, il a été démontré que des enfants de deux ans peuvent être dépressifs et avoir des troubles de santé mentale.
 
La santé mentale des parents affecte donc clairement celle de leurs enfants.
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Rappel des sièges d’auto Dorel

Le site de Transports Canada a émis un communiqué informant les consommateurs d’un rappel de sièges d’auto pour enfants de la compagnie Dorel distribution Canada, une division des Industries Dorel.
 
Le siège Maxi-Cosi Mico présente un risque de détachement lorsqu’il est posé sur sa base amovible. Même enclenché, il ne serait pas toujours verrouillé et pourrait se détacher en cas d’arrêt brusque ou de collision.
 
Aucun incident ou plainte n’a encore été rapporté au Canada. Le problème a été détecté lors d’essais de collision de Transports Canada. On a ensuite fait enquête pour s’apercevoir qu’il y avait un réel problème.
 
Les gens peuvent garder le siège s’ils le veulent, il est par contre important de s’assurer que la poignée grise « Tirer pour dégager », sur le côté du siège, est bel et bien enclenchée et verrouillée chaque fois que vous y installez votre enfant.
 
Les personnes inscrites à la liste de Dorel recevront une trousse de réparation gratuite avec la marche à suivre. Les non-inscrits peuvent contacter Dorel au 1-877-657-9546 pour recevoir cette trousse gratuitement.
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La semaine de 4 jours est trop épuisante pour les enfants

L’Académie nationale de médecine en France a rédigé un rapport concernant la semaine de quatre jours instaurée dans les écoles du pays depuis septembre 2008. Selon l’étude, cela est trop épuisant pour les jeunes enfants et ne respecte pas leur horloge biologique.
 
Dans certaines écoles, on a établi les jours de classes à quatre par semaine. Seulement, cinq jours par semaine sont beaucoup mieux, car cela représente moins d’heures à l’école quotidiennement.
 
Le rapport démontre que la semaine de quatre jours est défavorable aux enfants. Elle les désynchronise totalement, le lundi et le mardi matin surtout, ce qui diminue grandement leur vigilance.
 
Selon l’Académie, la France devrait plutôt adopter un calendrier de 180 à 200 jours de classe, ce qui diminuerait toutefois les grandes vacances scolaires. De plus, selon leur âge, les élèves ne devraient pas passer plus de 4 à 6 heures sur les bancs d’école par jour.
 
Par ailleurs, le ministère de l’Éducation refuse de se mêler du dossier, laissant plutôt le choix aux conseils scolaires.