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Les antipsychotiques ont des effets nocifs chez les jeunes

Publiés dans la revue JAMA, les résultats d’une étude concernant les effets des antipsychotiques chez les jeunes ont de quoi inquiéter.

272 patients de 4 à 19 ans ont été analysés. Ils n’avaient jamais pris d’antipsychotiques avant l’étude et chacun avait différents problèmes, soit des troubles de l’humeur (47, 8 %), une schizophrénie (30,1 %) ou des comportements agressifs et destructeurs (22,1 %)

Tous ont reçu différents types d’antipsychotiques pendant 12 semaines, sauf quinze d’entre eux qui ont refusé. Ils ont alors été étudiés comme groupe échantillon.

Au bout de onze semaines, ceux qui avaient reçu l’antipsychotique olanzapine avaient une prise de poids de 8,5 kilos. Avec la quétiapine, elle était de 6 kg. Avec la rispéridone, la prise de poids était de 5,3 kg en moyenne et ceux ayant reçu l’aripirazole avaient vu leur poids augmenter d’environ 4,3 kilos. Le groupe échantillon n’avait eu qu’une prise de poids moyenne de 200 grammes.

De plus, les chercheurs ont noté une augmentation du cholestérol et de triglycérides dans le sang de ceux qui avaient pris l’olanzapine et la quétiapine.

Des résultats plutôt inquiétants quand on sait que le surpoids occasionne de nombreux problèmes de santé.

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Les enfants avec un excès de poids ne sont pas moins actifs

À partir des données de Statistique Canada, l’Institut canadien de l’information sur la santé a comparé les habitudes de vie des jeunes de 6 à 17 ans.

Les résultats sont plutôt surprenants, puisqu’ils démontrent que les enfants ayant un surplus de poids ne seraient pas moins actifs que les jeunes ayant un poids normal.

La différence serait plutôt que les garçons en surpoids ont tendance à passer plus de deux heures par jour devant la télévision ou l’ordinateur et les filles consomment moins de cinq portions de fruits et légumes quotidiennement.

Les jeunes ayant un surplus de poids et ceux affichant un poids normal ont déclaré le même genre d’activité à raison d’une heure par jour.

Selon les experts, cela démontre toute la complexité du phénomène de l’obésité, puisqu’il n’est pas seulement le résultat d’un mode de vie sédentaire.

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Les sucreries mèneraient à la violence

Le British Journal of Psychiatry a dévoilé les résultats d’une étude controversée sur les effets de l’alimentation des enfants sur leur comportement une fois à l’âge adulte.

Des chercheurs de l’Université de Cardiff, au pays de Galles, ont analysé 17 415 Britanniques nés en 1970. Ils ont conclu que les enfants de 10 ans qui mangeaient des bonbons ou du chocolat tous les jours avaient un taux de condamnation pour violence plus élevé lorsqu’ils étaient âgés de 29 à 34 ans.

Parmi ces personnes violentes, 62 % avaient mangé des sucreries presque quotidiennement durant leur enfance. Chez les personnes non violentes, 42 % avait reçu leur dose quotidienne de sucre.

On explique ce comportement en mentionnant que donner des sucreries aux enfants tous les jours les empêche d’apprendre à patienter pour obtenir ce qu’ils veulent et cela les pousse à avoir un comportement impulsif.

Toutefois, cette étude est décrite comme totalement absurde par la Fédération britannique des industries alimentaires et boissons. Selon elle, la violence découle de facteurs beaucoup plus profonds, comme l’environnement et l’éducation.

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Effets nocifs des médicaments sur les enfants

Le magazine Pediatrics dévoile les résultats plutôt inquiétants d’une étude effectuée par des chercheurs de l’Hôpital pour enfants de Boston.

En effet, bien que les effets secondaires des médicaments courants soient plutôt légers et temporaires, ils pourraient s’avérer plus nocifs chez les enfants.

Sur une période de 10 ans, on a observé que plus de 500 000 enfants par année sont traités en clinique ou aux urgences pour des effets indésirables des médicaments.

Les plus grands risques touchent surtout les moins de 4 ans. On note souvent des éruptions cutanées et des gastro-entérites. 52% des cas ont une réaction allergique qui est découverte parce que le médicament a été ingéré pour la première fois. 22 % des enfants se retrouvent à l’hôpital pour des complications.

On recommande donc une plus grande vigilance et un accès plus facile à la liste de tous les effets secondaires possibles.

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Les femmes de plus en plus belles

Voilà une nouvelle qui risque de faire sourire la gent féminine. Les scientifiques ont découvert qu’au cours de l’évolution, les femmes ont tendance à devenir de plus en plus belles, alors que les hommes auraient le même attrait que leurs ancêtres des cavernes.

The Sunday Times rapporte qu’une série d’études conclut que les belles femmes ont plus d’enfants que leurs homologues moins jolies et que ces filles rendues adultes ont aussi tendance à devenir plus attrayantes et à répéter le modèle de leur mère.

Les études ont porté sur l’attrait physique et le lien avec le succès de la reproduction chez l’humain. Les belles femmes avaient jusqu’à 16 % plus d’enfants que les autres et donnaient surtout naissance à des filles. Les données ont été recueillies sur 1 244 femmes et 997 hommes qui ont été suivis pendant quatre décennies.

Par ailleurs, les résultats démontrent que chez les hommes, la beauté n’est pas un critère pour la reproduction, puisque les adonis n’avaient pas plus d’enfants que les autres. Comme quoi les hommes ne subissent pas le même genre de pression concernant la beauté.

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L’asthme chez les enfants lié au surplus de poids chez les mères

Selon une recherche de l’Institut national de la santé publique et de l’environnement des Pays-Bas, les enfants sont plus à risque de développer de l’asthme si un ou les deux parents ont un historique de la maladie et que la mère a un surplus de poids.

L’étude a porté sur 4 000 enfants qui ont été suivis de la naissance jusqu’à l’âge de huit ans. Les mères avaient environ 30 ans et 21 % d’entre elles présentaient un indice de masse corporelle supérieur à 25.

Les résultats démontrent que si la mère est en surpoids avant la grossesse et qu’un ou les deux parents sont asthmatiques, l’enfant a 65 % plus de risques de le devenir également. Par contre, si les parents ne souffrent pas de l’asthme, il n’y aurait aucun lien.

Malgré tous les progrès, la maladie est responsable de 5 000 décès par année aux États-Unis.

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Trop de télévision peut causer l’asthme

Une étude a été réalisée afin de déterminer le lien entre la santé respiratoire des jeunes et les activités sédentaires, comme regarder la télévision.

Les conclusions, publiées dans la revue britannique Thorax, démontrent que les enfants qui regardent plus de deux heures de télévision par jour ont plus de risque de développer de l’asthme.

Pour les 3 000 enfants, examinés de leur naissance jusqu’à l’âge de 11 ans, tous les cas d’asthme développés entre 3 et 7 ans étaient causés par la sédentarité des enfants.

6 % de ceux qui ne faisaient pas d’asthme avant l’âge de 3 ans ont développé les symptômes avant d’atteindre 11 ans.

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Le goût est génétique

Une étude réalisée par le Collège de Londres démontre que les gênes sont responsables de la peur qu’éprouvent les enfants à goûter de nouveaux aliments.

Le Dr Jane Wardle, directrice de l’unité de comportement sanitaire et coauteure de l’étude, a étudié le comportement de 5 390 paires de jumeaux identiques et dizygotes.

Son étude conclue que les jumeaux ayant le même bagage génétique avaient la même réaction, contrairement aux faux jumeaux, lorsqu’ils expérimentaient de nouvelles saveurs. L’environnement et les aliments proposés par les parents ne jouent donc pas un rôle aussi important que l’hérédité.

Toutefois, le Dr Jane Wadle se veut rassurante pour les parents en précisant que la néophobie, ou la phobie des nouveaux aliments, est une étape normale du développement chez les enfants âgés entre deux et trois ans. Cette aversion pour la nourriture peut même être observée chez des gamins de cinq ans.

La directrice adjointe du Centre Rudd sur la politique alimentaire et l’obésité de Yale, le Dr Marlene Swartz, va dans le même sens et affirme : « Le patrimoine génétique de votre enfant va largement influencer ses dispositions à manger de nouveaux aliments. C’est comme apprendre à faire de la bicyclette. Certains enfants ont plus de mal à apprendre et ont besoin de plus de temps, mais ça vaut toujours la peine de le leur enseigner. »

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L’hypertension chez les enfants

Selon une étude parue dans le Journal of the American Medical Association, l’hypertension artérielle est dangereuse et peut endommager des organes comme les reins si elle n’est pas contrôlée.

Chez les enfants, la détection de l’hypertension est importante, car elle pourrait aussi signaler d’autres problèmes de santé au niveau endocrinien, rénal ou cardiaque.

Les chercheurs de la Case Western Reserve University in Cleveland ont observé 14 000 enfants âgés de trois à 18 ans. Parmi l’échantillon observé, 507 avaient une élévation anormale de la pression que le sang exerce sur les parois de leurs artères. Aussi, 367 d’entre eux n’avaient pas été diagnostiqués avant, et ce, en dépit d’au moins trois examens médicaux.

Selon le Dr Matthew Hansen et ses collègues, le matériel médical devrait être modernisé afin de comparer les examens précédents avec plus de minutie. Ainsi l’hypertension serait plus facilement détectée chez les enfants.