Depuis toujours, le Canadien de Montréal tente d’inclure un maximum de partisans de tous âges en organisant de nombreuses activités pour toute la famille.
Le 7 mai prochain ne fera d’ailleurs pas exception.
En effet, une fois de plus, l’équipe marketing du Tricolore a trouvé une nouvelle façon brillante et amusante d’inclure les plus jeunes en leur permettant de prendre part à un événement privilégié pour les membres du Fan Club.
Grâce à Peintures MF, 10 membres du Fan Club et leurs parents pourront obtenir un accès privilégié sur la patinoire du Centre Bell lors de l’évènement Peinturons la glace!
En plus de pouvoir fouler la glace, ces jeunes membres pourront réaliser diverses œuvres d’art directement sur la surface glacée. De plus, ces derniers :
« […] passeront un moment exclusif avec Youppi!, recevront un petit paquet-cadeau ainsi que l’occasion de donner les premiers coups de pinceaux sur la glace pour inaugurer l’événement! »
– Canadiens de Montréal
Un moment magique en famille qui permettra à ces jeunes partisans de découvrir davantage l’univers du Canadien en plus de développer leur côté artistique.
La visite d’un père de famille chez Ashton a tourné au cauchemar lorsqu’il a découvert ce qu’il y avait dans le repas qu’il avait commandé pour son enfant.
Pierre-Luc Asselin se souviendra longtemps de sa visite dans la succursale située sur la 1ère avenue, à Québec.
En effet, il ne devrait pas y retourner pendant un bon moment.
« Merci Restaurants Chez Ashton pour être rendu aussi CHEAP (!!!) avec vos repas pour enfants! C’était la dernière fois, promis!!! 7,90$ pour ça??? », a-t-il écrit sur son compte Facebook.
Il a accompagné son message avec une photo du repas en question et force est de constater que les quantités sont assez légères.
Une publication qui a suscité plusieurs réactions chez les internautes.
« Ya cheap pis cheap! Seigneur ont est en récession », a commenté une internaute.
« Ce que tu ne sais pas, pour un souci de préserver l’environnement. Maintenant tu peux manger les contenants. Tu comprends pourquoi ils ont diminués les quantités pour être certain qu’il mange tout pour avoir un dessert », a ironisé un autre internaute.
« Le prix de l’aluminium a monté », a écrit un autre internaute.
« Une des assiettes les plus déprimantes que j’ai vues dans ma vie… », a ajouté un autre internaute.
La vie de parents comporte son lots de défis. Prendre soin d’un petit être n’est pas toujours facile. Il faut veiller à sa sécurité, le distraire, lui donner des soins de base, etc.
Parfois, il nous faudrait des yeux tout le tour de la tête et huit mains!
C’est pourquoi les parents sont si inventifs. Voici quelques-uns de leurs trucs, qui pourraient vous aider aussi!
1. Une nouille de piscine et un élastique pour sécuriser une porte
2. Un coussin pour supporter la tête d’un petit dormeur en voiture
3. Un parc de jeu sécuritaire pour bébé
4. Des autocollants pour aider l’enfant à enfiler ses chaussures sans se tromper de pied
5. Un coco Kinder pour éviter de se coller les doigts et pour conserver une sucette
6. Une plaque métallique sur le mur pour amuser bébé
7. Un truc simple pour éviter les dégâts avec le savon à bulles
8. Pour empêcher un tout-petit de fouiller dans l’armoire
9. Un truc anti-dégât avec un popcicle
10. Un panier pour éviter que Junior ne glisse dans la baignoire et pour garder ses jouets à proximité
11. Un mètre pour bloquer les tiroirs
12. Une barrière toute simple pour un escalier
13. Une nouille de piscine pour éviter les chutes en dormant
14. Pour éviter que la bibliothèque soit vidée plusieurs fois par jour
15. Indiquer les doses de médicament prises
16. Une poignée pour motiver l’aîné à rester à proximité
17. Un jeu DIY pour aider Junior à apprendre à lacer ses chaussures
18. Une vieille porte recyclée en barrière
19. Pour éviter que bébé joue dans la terre des plantes
20. Pour aider l’eau à se rendre jusqu’aux petites mains sales
Le gouvernement Legault vient de faire une annonce majeure concernant le travail des enfants au Québec, rapporte La Presse.
En effet, le ministre du Travail, Jean Boulet, a présenté aujourd’hui le projet de loi 19 qui a pour objectif d’encadrer le travail des enfants.
Information majeure de ce projet de loi: les enfants qui n’ont pas 14 ans n’auront pas le droit de travailler.
Il y aura tout de même des exceptions, précise La Presse.
En effet, les activités en lien « à une prolongation de la vie scolaire, familiale, et qui comportent peu de risques pour leur santé » seront autorisées. Aider l’entreprise familiale et faire du gardiennage font partie des exceptions tout comme travailler dans des colonies de vacances.
La Presse souligne que le projet de loi 19 prévoit également de réglementer la quantité d’heures travaillées par les enfants âgés entre 14 et 16 ans.
En effet, ils ne pourront travailler pas plus de 17 heures par semaine pendant l’année scolaire et pas plus de 10 heures entre le lundi et le vendredi. Une nouvelle réglementation qui devrait être appliquée dès la rentrée scolaire du mois de septembre prochain.
Pour justifier le contenu du projet de loi 19, Jean Boulet explique s’être appuyé notamment sur les recommandations du Comité consultatif du travail et de la main-d’œuvre.
Aujourd’hui est un grand jour. Pour plusieurs parents d’ici et d’ailleurs, c’est le retour en classe et/ou en milieu de garde. Je ne dirai pas « tant attendu », dans les circonstances, puisque cette situation unique est remplie d’ambivalence et de tergiversations. Plusieurs enverront leurs enfants avec appréhension. D’autres avec satisfaction. Et certains les garderont encore quelques jours additionnels à la maison. Il n’y a pas de bon ou de mauvais choix.
Après la tempête hivernale de lundi, au tour de nos émotions d’être en tourbillon. Je n’élaborerai pas sur l’aspect politique de la chose, mais si je puis me permettre un seul commentaire – ce que j’oserai faire, à l’encre de mon cœur de mère-, c’est qu’il importe de bécoter abondamment vos enfants ce soir, et tous ceux à venir, quoi qu’il vous en coûte.
Que ce soit au retour de l’école, alors qu’ils auront vécu une journée exigeante et pleine d’excitation. Que ce soit au coucher, alors qu’ils auront eu une autre rude journée de conciliation parent-maisonnée. Qu’il soit 16h, 20h ou au beau milieu de la nuit, lorsqu’ils seront éveillés par un trop-plein cérébral ou un cauchemar infernal. Accueillez leur pleine charge d’émotions. Sans bouclier, sans sablier. Soyez indulgents face aux exaspérations, à l’écoute inactive des consignes, faute de fatigue, et aux crises qui interrompent votre souper ou votre discussion avec votre douce moitié. Ils seront bouleversés par la nouveauté, les horloges bien serrées ou la météo qui les rendra captifs encore de l’écran ou de la maisonnée.
Câlinez vos grands et petits, en manque de contacts humains depuis des lustres, sans laisser paraître votre inquiétude, quant au lendemain. Serrez-les dans vos bras, sans craindre le virus ingrat. Respirez doucement le parfum de leur cou, tout en restant au parfum, en ce qui a trait aux éléments en fusion et implosion dans leur tout petit corps volcanique.
Vos chéris connaîtront une semaine complexe, saupoudrée de petits et grands moments de bonheur.
Ils auront besoin de vos oreilles, pour entendre les récits de leur palpitante ou difficile journée. Ils auront besoin de vos yeux, pour superviser les devoirs, apprécier leurs œuvres d’art ou même pour constater de nouveaux tics nerveux. Ils auront besoin de votre voix, pour raconter une histoire tendre, le soir venu, ou chanter à tue-tête, pour détendre leur esprit trituré par l’immensité du changement. Ils auront, surtout, besoin de vos bras, pour apaiser leur être, sans dédain, sans presse, sans soucis à laisser transparaître. Pour calmer leurs pleurs d’épuisement, éteindre un feu de déception, guérir leur cœur écorché par l’isolement ou par un(e) ami(e) qui n’a plus d’intérêt, simplement.
Au final, quoiqu’il en coûte, rendez-vous disponibles, cette semaine. Au meilleur de vous-mêmes, malgré le stress, la charge mentale et tout ce qui préoccupe votre fonction cérébrale. Rendez-vous disponibles physiquement, certes, mais surtout, mentalement. Au diable le souper gastronomique. Prenez plutôt le temps d’être auprès d’eux, puisque ces moments de réconfort et d’excitation à partager consolideront votre relation et vous valoriseront mutuellement. Et quelle que soit la musique à laquelle vous ferez face cette semaine, allez-y un jour à la fois, à coup de bisous et de câlins généreux.
Récemment, je vous suggérais des activités kid-friendly dans le Kamouraska et dans la région de Rimouski que nous avons découvertes pendant nos vacances. Après ces deux arrêts, nous nous sommes éloignés du fleuve pour nous diriger vers le Témiscouata. Et là aussi, évidemment, nous avons trouvé de beaux endroits parfaits pour les familles!
Le Parc national du Lac-Témiscouata
Les parcs de la Sépaq sont toujours agréables à visiter, et le Parc national du Lac-Témiscouata ne fait pas exception! Le secteur du Grand Lac Touladi (magnifique!) a été le favori des enfants. Nous avons loué un pédalo pour nous promener sur le lac, et Coco et Bout d’Chou ont affirmé à de nombreuses reprises qu’il s’agissait du plus beau jour de leurs vies. De retour sur la terre ferme, ils ont profité de la belle plage, essayé d’attraper des poissons dans l’eau peu profonde et joué dans le coin jeu, avant de se diriger vers le sentier des Curieux de nature, un petit sentier d’hébertisme avec mini-tyrolienne et mur d’escalade.
Le lendemain, nous avons loué des vélos dans le secteur de l’Anse-à-William. Nous avons choisi de rouler sur le sentier Grey-Owl, plat et facile, mais il y a plusieurs sentiers cyclables entre lesquels choisir. En plus, la location de vélos pour enfants et de remorques à vélo est gratuite à la Sépaq, alors ça vaut vraiment la peine!
Le parc Clair Soleil
Avec des enfants, un parc, c’est toujours gagnant. Un parc comme le parc Clair Soleil, ça l’est encore plus! Les enfants qui ont besoin de dépenser de l’énergie ont un grand espace vert pour le faire, et ils peuvent choisir entre différentes sections avec des structures de jeu et même des jeux d’eau. De plus, le parc est situé sur une rue où se trouvent plusieurs endroits où acheter de quoi boire ou manger, comme la boulangerie Tentations gourmandes ou la crèmerie Les folies glacées (Coco et Bout d’Chou nous parlent encore de leur tornade!).
La plage municipale de Cabano
Je triche un peu, parce que la plage était fermée en raison de mauvaise qualité d’eau lors de notre passage. Coco et Bout d’Chou ont été très déçus parce qu’elle était vraiment bien aménagée! L’espace de baignade est délimité par un quai à partir duquel on peut descendre à l’aide d’une échelle ou carrément se lancer à l’eau en utilisant une glissade. Les espaces de stationnement ne manquent pas, il y a un vestiaire où se changer et on va se le dire, l’eau est plus chaude que celle du fleuve! C’est également un bon endroit où admirer l’immense Lac Témiscouata, surtout au coucher du soleil. Nous ne manquerons pas de nous y baigner la prochaine fois que nous serons à Cabano!
Avez-vous d’autres suggestions d’activités dans le Témiscouata?
Un des grands bonheurs de la vie de parent, ce sont les premières fois de nos petits coeurs. Premier sourire, premier bisou, premiers pas, premier mot. On n’en fait jamais le tour. Elles se succèdent à un rythme effréné, viennent nous surprendre au milieu des nuits écourtées ou entre deux bouchées de toasts froides.
Chaque première fois est unique, précieuse; chacune est un événement qu’on veut chérir à jamais. On s’empresse de prendre des photos, de texter toute la famille : « Il a mis un bout de banane dans sa bouche !!! » Ce sont de petits fragments de miracles. Des morceaux de banal pourtant extraordinaires. Parce que c’est incontestable : il n’y a rien de plus magnifique que voir un petit être évoluer, apprendre, se développer. Juste rien.
Les premières fois ont leur revers, dont on ne parle jamais : les dernières fois. Les dernières fois arrivent généralement sans prévenir, elles aussi. Comme les premières fois, elles sont parfois source de réjouissance, mais le plus souvent, elles sont source de mélancolie. Et surtout, à la différence des premières fois, on ne sait pas quand on en est témoin. On ne les constate qu’après coup.
On les banalise d’abord. Tiens, il n’a pas mouillé sa couche cette nuit. Tiens, elle a oublié de me faire un câlin avant de partir pour l’école. Puis le temps passe. La vie continue. Et un jour on y repense. Parfois longtemps après le fait. Parfois jamais. C’est peut-être pour ça qu’elles sont si cruelles : parce qu’elles nous dérobent ces derniers moments dont on aurait voulu profiter.
Le dernier « je t’aime Maman » lancé sans pudeur, en public.
Le dernier dessin offert en cadeau avec un sourire débordant de fierté.
Les dernières supplications pour se faire lire un livre à voix haute.
La dernière main tendue pour saisir la nôtre en marchant dans la rue.
Ce n’est pas un refus d’avancer, pas vraiment. C’est simplement le rêve d’une pause, le temps de dire adieu aux instants qui ne reviendront jamais. Parce qu’ils étaient si parfaits, les mots zozotés avant que le son « s » soit maîtrisé et les heures de symbiose dans la chaise berçante. On voudrait pouvoir les garder indéfiniment, ne jamais les oublier.
Les dernières fois sont toujours douloureuses. On ne s’y habitue pas, mais on n’a pas le choix de suivre le mouvement. Parce que chaque jour, les enfants changent, grandissent, se transforment en eux-mêmes.
Ah, les enfants des années 1990, ceux qui ont grandi à l’époque de la Nintendo, des Pokémon et de la mode plus que douteuse, tout en étant fascinés (et un peu apeurés) par Barney le dinosaure mauve.
Eh bien, pour vous donner une idée, les gens nés en 1990 ont maintenant 30 ans. Ce sont (biologiquement, du moins) des adultes! Puis, de plus en plus, les 90′skids ont des enfants. Ce sont donc des PARENTS!
Pour s’amuser, j’ai consulté certaines de mes collègues TPL Moms, qui sont aussi des 90′s kids, pour vous pondre cette savoureuse liste de 10 indices que vous êtes un enfant des années 1990 devenu parent.
1- Vous jouez à Pokémon Go avec vos enfants, mais c’est surtout pour votre plaisir nostalgique.
2- Vous avez fait écouter à vos enfants Harry Potter alors qu’ils étaient un peu trop jeunes, ce qui leur a fait peur.
3- Vous jouez à Mario Kart avec vos enfants et prenez un malin plaisir à les battre.
4- En outre, vous refusez que vos enfants jouent sur VOTRE partie; vous ne voulez pas qu’ils gâchent votre progrès!
5- Vous cherchez désespérément les élastiques avec deux billes pour faire les parfaites lulus vintage.
6- Vos enfants écoutent très souvent (parce que c’est vous qui l’imposez) les films préférés de votre enfance tels que Histoire de jouets, Le roi lion ou, pendant les Fêtes, Maman, j’ai raté l’avion! D’ailleurs, quand la plateforme Disney+ a été lancée, vous débordiez de joie.
7- Vous êtes excités de lire vos vieux livres d’enfance à vos enfants, mais ils sont davantage attirés par les nouveaux livres aux couleurs beaucoup plus attrayantes!
8- Vous avez conservé vos Polly Pocket et vous demandez régulièrement à vos enfants d’y jouer avec vous.
9- Vous achetez des rouleaux aux fruits Fruit-O-Long en dessert spécial à vos enfants et vous pensez être le parent le plus cool au monde (vos parents ne voulaient jamais vous en acheter!).
10- Vous étiez plus excité que vos enfants quand vous avez vu en magasin le jouet Puppy Surprise.
En bonus, on se doit de mentionner le retour en force de Passe-Partout: depuis que cette émission est revenue en ondes, vos enfants regardent les émissions, ont les pyjamas et écoutent la playlist Spotify dans l’auto.
Vous le constatez, les 90′s kids sont connus pour être des personnes nostalgiques.
Faites-vous partie de cette bande? Vos enfants aiment-ils les classiques de votre enfance?
Quand j’étais enceinte de ma plus vieille, j’avais un chien que j’adorais : un Pitsky (une race croisée entre le Pitbull et le Husky). Malheureusement, durant mon troisième trimestre de grossesse, il est tombé malade et est décédé rapidement. Je me suis laissé le temps de vivre mon deuil tout en sachant que j’aurais un autre chien un jour.
En effet, je voulais que mes enfants grandissent avec un meilleur ami canin (en plus de leurs trois amis félins, hihi)! Je savais d’ailleurs que c’était rempli d’avantages pour le développement de l’enfant. Ainsi, quand mon deuxième enfant a eu un an et que le quotidien de notre famille est devenu plus régulier, j’ai décidé que c’était le temps d’accueillir un nouveau chien dans notre famille.
D’abord, mon conjoint et moi avons établi ce que nous cherchions comme chien : nous voulions un moyen ou gros chien qui ne jappe pas trop, qui aime bouger et, évidemment, une race qui s’entend généralement bien avec les enfants. Pendant plusieurs semaines, j’ai fouillé les refuges (entre autres grâce au site génial Les Pattes Jaunes, qui répertorie les refuges éthiques du Québec). Selon mes valeurs, je me devais de considérer l’option d’adopter un chien de refuge en premier. Or, j’ai dû me rendre à l’évidence que cette option n’était pas possible pour ma famille présentement : aucun refuge n’acceptait d’avoir des familles adoptives avec de jeunes enfants comme les miens.
Ma deuxième option a été de bien magasiner l’endroit où j’allais adopter mon chien. Je voulais un endroit qui traite leurs animaux comme de petits rois. J’ai eu la chance de trouver rapidement une animalerie qui faisait affaire avec des éleveurs géniaux qui auraient bientôt des chiots Labradoodle. J’ai pris le temps de bien me renseigner sur cette race pour découvrir avec plaisir qu’elle correspondait à tout ce que je cherchais!
Bref, nous avons adopté une petite chienne Labradoodle que nous avons nommée Patate à vélo, en l’honneur du meilleur livre pour bambins, de la formidable autrice Élise Gravel. Pendant que nous attendions que Patate soit assez vieille pour arriver dans notre famille, je me suis préparée en regardant plusieurs vidéos pour élever un chien selon mes valeurs, par exemple pour la mettre propre ou lui apprendre les consignes de base puis la bonne entente avec les chats et les enfants. Je crois que cette préparation est une étape nécessaire avant l’arrivée du chiot! Cela a permis que tout se passe merveilleusement bien à son arrivée.
Finalement, je m’étais fait prévenir par plusieurs personnes qu’avoir un chiot était beaucoup de travail. Par contre, les choses sont beaucoup plus faciles que ce à quoi je m’étais attendue suite à ces avertissements. Oui, ma petite Patate a de nombreux besoins, comme celui de sortir dehors régulièrement. Or, j’ai intégré cela à ma routine avec les enfants et nous avons beaucoup de plaisir lors de nos grandes marches en famille!
Vos animaux de compagnie s’entendent-ils bien avec vos enfants?