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Une nouvelle technique permettrait d’aider les enfants avec un trouble de coordination

L’auteur de l’étude, le Dr Geoffrey Bingham, a expliqué ainsi le trouble, dont il a lui-même souffert durant son enfance : « Il n’y a aucune cause neurologique connue du trouble de coordination relié au développement, mais ce problème a des répercussions émotives, sociales et académiques. Par exemple, ces enfants ont souvent du mal à lire et à écrire, même si typiquement ils sont très intelligents », selon Medscape.

Plus de 75 % de ces enfants ne recevraient jamais de diagnostic. Le Dr Bingham a ainsi conçu un programme d’intervention pour les aider, en mettant particulièrement l’accent sur l’écriture, parce qu’il s’agissait d’une composante très importante pour le fonctionnement de ces enfants.

Le programme consistait en un appareil de réalité virtuelle en 3D muni d’un stylet, qui permettait aux enfants d’améliorer leur motricité fine de façon très précise.

Durant l’étude, 8 enfants de 7 et 8 ans qui souffraient de ce trouble ont passé 20 minutes à jouer avec l’appareil, une fois par semaine. Après 6 semaines, il n’y avait pratiquement plus de différence entre les résultats de ces enfants et ceux qui n’avaient pas de problème de coordination.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Journal of Child Neurology.

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Les enfants autistes ne vivent pas la peur de la même manière que les autres

La revue Autism Research publie les résultats d’une étude menée sur 30 enfants ayant reçu un diagnostic de trouble du spectre de l’autisme (TSA), ainsi que sur 29 enfants qui n’avaient pas la maladie.

Les chercheurs montraient aux enfants une carte jaune, puis ceux-ci recevaient une bouffée d’air dans le visage sans avertissement. Au milieu de l’expérience, les chercheurs ont changé la couleur de la carte qui précédait la bouffée d’air et ont mesuré la réponse du système nerveux des enfants, pour voir si celui-ci pouvait enregistrer le changement et prévoir ce qui s’en venait.

Les enfants avec un TSA prenaient beaucoup plus de temps que les autres avant d’apprendre et d’anticiper le changement que les autres. Ceci indiquait que le système nerveux des enfants avec un TSA ne réussissait pas à se débarrasser de la première peur de manière adéquate.

« Nous pouvons constater une forte corrélation entre l’anxiété et les comportements répétitifs. Ce que nous faisons, c’est de relier des symptômes utilisés pour diagnostiquer le TSA avec des difficultés émotionnelles, qui ne sont pas considérées comme un signe classique d’autisme », a indiqué l’auteur de l’étude, le professeur de psychologie Mickle South, tel que rapporté par Science Daily.

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La santé du bébé est influencée par la place que prend la famille pour sa mère

Pour une étude, des chercheurs ont envoyé des questionnaires à 4633 mères de milieux défavorisés, pour évaluer leurs croyances et leurs valeurs par rapport au rôle de la famille et à la responsabilité de celle-ci.

La santé des enfants a ensuite été étudiée, et les chercheurs ont découvert que pour chaque point sur la valeur accordée à la famille, les bébés avaient un poids plus élevé à la naissance de 71 grammes, et ce, indépendamment de tous les autres facteurs, par exemple le sexe du bébé.

La valeur accordée à la famille était également inversement proportionnelle au risque pour l’enfant de développer de l’asthme.

« Les croyances culturelles et les idéaux reliés à la famille peuvent être distincts de la réalité présente d’une personne. Cela nous apparaît comme une ressource culturelle, qui a un impact favorable sur la reproduction chez les mères et sur des marqueurs de santé cruciaux chez leurs enfants. Ces données suggèrent que la santé est transmise d’une génération à une autre », a expliqué l’auteure de l’étude, Cleopatra Abdou, selon Science Daily.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Social Science and Medicine.

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Des trucs pour profiter des fêtes avec ses enfants

Voici quelques idées pour y arriver cette année durant les fêtes, avec une liste compilée par Babble.

La musique de Noël : On peut faire une liste de chansons qui nous plaisent, et la faire jouer tous les jours du mois de décembre. Vous verrez que même les plus jeunes se mettront à siffler, marmonner et danser très rapidement.

Couper soi-même son sapin : Même si ce n’est pas tout le monde qui a accès à cette option, ceux qui l’ont devraient absolument le faire! Pour les enfants, c’est absolument magique.

Prendre des photos : En plus de créer des souvenirs, les photos nous obligent à être dans l’instant présent.

Regarder des livres et des vidéos : Ceux-ci mettent vraiment les petits dans l’ambiance.

Écrire au Père Noël : On le fait pour les plus petits, ou on leur laisse faire un dessin du cadeau qu’ils souhaitent.

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Des produits chimiques dans l’eau et les aliments pourraient causer les allergies alimentaires

Les produits chimiques en question, les dichlorophénols, sont également utilisés pour produire les pesticides, donc ils se retrouveraient aussi dans certains fruits et légumes.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue médicale Annals of Allergy, Asthma and Immunology. L’étude a inclus 2000 enfants de 6 ans et plus. Environ 400 de ces enfants avaient une allergie alimentaire, et plus de 1000 d’entre eux avaient une allergie environnementale.

Selon les chercheurs, ceux qui avaient une ou plusieurs sensibilités à des aliments avaient un niveau de dichlorophénols beaucoup plus élevé dans le sang que ceux qui n’avaient aucune allergie alimentaire.

« Même si la manière dont l’étude a été réalisée ne nous permet pas hors de tout doute de conclure que les pesticides sont responsables des allergies, celle-ci soulève certainement des doutes sérieux et justifie de poursuivre la recherche », a dit le Dr Kenneth Spaeth, directeur du centre de médecine occupationnelle et environnementale d’un hôpital dans l’État de New York, selon Consumer Healthday.

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Les enfants subissent beaucoup plus de tests de diagnostic qu’avant

Pediatrics publie les résultats d’une étude à laquelle ont participé plus de 63 000 enfants entre 2001 et 2009. Le pourcentage des enfants qui ont passé un tomodensitomètre (aussi souvent appelé un « scan »), par exemple, a augmenté de 34 %.

Les chercheurs ne pouvaient pas prouver que ces tests étaient vraiment nécessaires. Ceux-ci étaient surtout effectués dans un contexte hospitalier, particulièrement lorsque l’enfant se présentait à l’urgence avec des blessures ou des traumatismes, des symptômes gastro-intestinaux ou des anomalies congénitales.

En particulier, durant la durée de l’étude, les enfants étaient 4,22 fois plus susceptibles de subir ces tests dans un contexte hospitalier plutôt que s’ils visitaient une clinique, et 2,73 plus susceptibles s’ils étaient à l’urgence. Les enfants avec des anomalies congénitales avaient quant à eux 67 % plus de chances, par rapport à la décennie précédente.

« La controverse reliée au risque de cancer plus élevé, particulièrement pour les enfants, demande que des pratiques claires soient établies, et que ces tests soient évalués afin de réduire une exposition non nécessaire à la radiation », a expliqué l’auteure, la Dre Jeannie Huang, selon MedPageToday.

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Les enfants subissent beaucoup plus de tests de diagnostic qu’avant

Pediatrics publie les résultats d’une étude à laquelle ont participé plus de 63 000 enfants entre 2001 et 2009. Le pourcentage des enfants qui ont passé un tomodensitomètre (aussi souvent appelé un « scan »), par exemple, a augmenté de 34 %.

Les chercheurs ne pouvaient pas prouver que ces tests étaient vraiment nécessaires. Ceux-ci étaient surtout effectués dans un contexte hospitalier, particulièrement lorsque l’enfant se présentait à l’urgence avec des blessures ou des traumatismes, des symptômes gastro-intestinaux ou des anomalies congénitales.

En particulier, durant la durée de l’étude, les enfants étaient 4,22 fois plus susceptibles de subir ces tests dans un contexte hospitalier plutôt que s’ils visitaient une clinique, et 2,73 plus susceptibles s’ils étaient à l’urgence. Les enfants avec des anomalies congénitales avaient quant à eux 67 % plus de chances, par rapport à la décennie précédente.

« La controverse reliée au risque de cancer plus élevé, particulièrement pour les enfants, demande que des pratiques claires soient établies, et que ces tests soient évalués afin de réduire une exposition non nécessaire à la radiation », a expliqué l’auteure, la Dre Jeannie Huang, selon MedPageToday.

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Les traumatismes vécus durant l’enfance modifient l’ADN

C’est bien connu que les enfants qui ont vécu des traumatismes ou des sévices risquent beaucoup plus que les autres de souffrir d’anxiété et de troubles psychiatriques plus tard. Plusieurs maladies, dont les maladies mentales, sont causées par une interaction entre les gènes et l’environnement.

Les résultats d’une nouvelle étude révèlent que la prédisposition génétique influence largement le fait de développer un problème psychiatrique ou non.

L’étude a porté sur environ 2000 personnes ayant vécu des traumatismes sévères, certains durant l’enfance, et d’autres plus tard dans leur vie. Le tiers de ceux-ci souffraient de syndrome de stress post-traumatique, et le risque de développer cette maladie était directement relié à la sévérité de l’abus ainsi qu’à des variantes spécifiques du gène FKPP5. Ce gène est responsable de la manière dont les individus réagissent au stress.

Tel que rapporté par Science Daily, les chercheurs allemands ont montré que ces variantes génétiques faisaient une différence au point de vue physiologique pour ceux qui étaient affectés, particulièrement dans leurs cellules nerveuses.

En réaction au stress extrême, les personnes qui possèdent cette variante vivent un changement permanent de leur ADN, appelé une modification épigénétique. Cette modification n’était présente que chez les individus qui avaient vécu ces traumatismes durant l’enfance, et pas chez les autres.

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Un traitement controversé de l’autisme peut être dommageable pour la santé

Des chercheurs mettent en garde les parents, après avoir analysé les résultats de cinq études portant sur la chélation, un traitement intraveineux qui permet soi-disant d’éliminer les éléments toxiques comme le mercure du corps humain. En tout, les études portaient sur 82 enfants, âgés de 3 à 14 ans, qui avaient reçu ce traitement pendant un à sept mois.

Les effets secondaires étaient nombreux et potentiellement dangereux, par exemple la fièvre, les vomissements, l’hypertension et l’hypotension, l’arythmie cardiaque et l’hypocalcémie. Ce dernier effet peut être mortel, parce qu’il cause des arrêts cardiaques, ce qui s’est malheureusement produit avec un jeune de 5 ans ayant participé à une des études.

La chélation est particulièrement problématique parce que la théorie voulant que l’autisme soit causé par une accumulation de mercure dans l’organisme n’a même pas été prouvée, a expliqué Tonya Davis, la coauteure de l’étude.

« Utiliser la chélation pour enlever des métaux du corps humain afin d’améliorer les symptômes de l’autisme peut être vu comme étant non fondé et illogique », a-t-elle ajouté, selon Science Daily.

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Des outils pour éviter que les jeunes soient tentés par la malbouffe

L’obésité chez l’enfant n’est pas unique à l’Europe. Cependant, la firme TEMPEST, regroupant plusieurs chercheurs, dont Liliya Nureeva de l’Université Aarhus, a choisi de se pencher sur les outils nécessaires pour enrayer la tentation à la base.

La raison est simple, on ne peut pas éliminer la malbouffe, les sucreries et autres collations malsaines. Il faut donc s’attaquer à la tentation de céder à ces gâteries déjà prêtes à consommer et faciles à se procurer.

La première solution consiste à responsabiliser l’enfant sur ses propres habitudes alimentaires et le faire participer activement à la solution pour améliorer sa santé.

Selon Nureeva, « certains enfants s’octroient, par exemple, le droit de manger des sucreries seulement le weekend, alors que d’autres s’obligent à manger des fruits chaque jour. Il est important qu’ils déterminent eux-mêmes une partie de leurs limites ».

Dans un livre de poche qui sera publié d’ici la fin de l’année, la firme TEMPEST décrira de nombreux trucs et astuces pour aider les enfants à se départir de leurs mauvaises habitudes alimentaires, mais également des trucs pour les parents, professeurs ou tout autre adulte en contact avec les enfants.

Le problème demeure complexe, mais TEMPEST a bon espoir de diminuer considérablement les catalyseurs de la tentation.