Catégories
Uncategorized

Les enfants autistes reçoivent souvent des médicaments pour traiter des symptômes psychiatriques associés

Pediatrics publie les résultats d’une nouvelle étude révélant que lorsque les enfants ayant un trouble du spectre de l’autisme (TSA) ont des symptômes psychiatriques associés tels que l’anxiété et l’irritabilité, ceux-ci sont beaucoup plus susceptibles d’être médicamentés.

L’étude a analysé les données provenant de 2853 enfants et jeunes de 2 à 17 ans ayant reçu un diagnostic de TSA. Parmi ceux-ci, 80 % des enfants qui présentaient des symptômes psychiatriques recevaient des médicaments, tandis que seulement 15 % des autres enfants en recevaient aussi. De 70 à 95 % des enfants avec un TSA ont aussi au moins un diagnostic psychiatrique, selon PsychCentral.

Plusieurs études et analyses récentes ont semé un doute sur l’efficacité de ces médicaments pour le TSA. Même si beaucoup plus de garçons que de filles souffrent de ce trouble, l’étude a indiqué que le taux de prescription était similaire entre les sexes.

Les auteurs de l’étude ont conclu que « les prescriptions des médecins pour traiter le TSA et ses symptômes psychiatriques associés continueront probablement à augmenter dans le futur ».

Catégories
Uncategorized

Des problèmes de lecture pour les enfants de mères fumeuses

Pour une étude, les données provenant de plus de 5000 enfants britanniques âgés de 7 ans ont été analysées, et leur performance a été mesurée pour 7 tâches reliées à la lecture, par exemple la vitesse, l’épellation et l’identification des mots.

Les données ont été ajustées pour tenir compte de 16 facteurs externes, comme le statut socio-économique et le tabagisme de la mère. Puis, les tests ont été refaits à l’âge de 9 ans.

Les chercheurs ont constaté que si une classe était composée d’enfants provenant de milieux similaires, un enfant dont la mère avait fumé durant sa grossesse se trouvait 7 rangs plus bas qu’un enfant dont la mère ne fumait pas, pour ce qui est de la compréhension et de l’exactitude en lecture.

« Ce n’est pas une petite différence, c’est une grande différence durant un temps critique pendant lequel les enfants sont évalués et commencent à comprendre ce que c’est de réussir », a indiqué l’auteur de l’étude, le professeur de pédiatrie Jeffrey Gruen, selon Science Daily.

Les résultats ont été publiés dans le Journal of Pediatrics.

Catégories
Uncategorized

Devriez-vous payer vos enfants pour les tâches domestiques?

Pour :

Il peut s’agir d’un bon moyen de les initier à la finance et aux budgets. S’ils veulent se procurer quelque chose qu’ils aiment, ils devront travailler pour l’avoir, économiser et calculer.

C’est en leur laissant faire leurs erreurs financières qu’ils apprendront des leçons, beaucoup mieux que si nous les protégeons de ce genre d’erreurs.

Contre :

Il est normal que les enfants participent aux tâches dans la maison, selon leur âge. Ils ne devraient pas nécessairement recevoir de l’argent pour cela, parce que ce n’est qu’une participation normale, pour laquelle la famille met la main à la pâte.

Les enfants qui reçoivent une paye pour les tâches pourront aussi en venir à s’attendre à être payés pour le moindre effort.

Les enfants sont trop jeunes pour savoir ce qui est bon pour eux. Par exemple, leur laisser s’acheter une tonne de bonbons avec l’ensemble de leur « paie » ne sert personne.

Catégories
Uncategorized

Quelques bonnes manières que vous devriez apprendre à vos enfants

o Dire « s’il vous plaît » et « merci » quand on demande et on reçoit quelque chose.

o Ne pas interrompre les adultes lorsqu’ils parlent, sauf s’il s’agit d’une urgence.

o Si l’on doit interrompre, on peut commencer sa phrase par « Excusez-moi ».

o Si l’on a des doutes sur quelque chose, on demande la permission.

o On garde ses opinions négatives pour soi, particulièrement sur la nourriture.

o On ne doit pas faire de commentaires sur les caractéristiques physiques des autres, sauf si c’est pour leur faire un compliment.

o Si un adulte demande comment ça va, on répond et on lui demande ensuite en retour.

o Cogner à la porte avant d’entrer si celle-ci est fermée.

o Ne pas utiliser de gros mots.

o Toujours être gentils avec les autres enfants.

o Couvrir sa bouche lorsqu’on éternue ou on tousse, et ne pas se jouer dans le nez.

o Si un adulte demande un service, on le fait sans rouspéter.

o Si quelqu’un nous aide, on lui dit merci.

Catégories
Uncategorized

Les plus jeunes de la classe risquent plus d’éprouver des problèmes

Les chercheurs ont constaté qu’en 4e année, les enfants qui se trouvaient dans le tiers des plus jeunes d’une classe étaient deux fois plus susceptibles d’avoir de mauvais résultats dans des tests standardisés en langue et en mathématiques.

Ceux-ci avaient également deux fois de chances de prendre des médicaments pour le trouble de déficit d’attention ou d’hyperactivité en septième année, comparativement au tiers des plus vieux.

« Les dates d’anniversaire pour l’entrée à l’école entrainent nécessairement une différence d’âge allant jusqu’à 12 mois entre les élèves d’une même classe », a noté la chercheuse Helga Zoëda, selon MedPageToday. « À 5 ans, cette différence est considérable par rapport à l’âge de l’enfant et explique une différence de maturité et de performance entre les plus jeunes et les plus vieux de la classe. »

Cette différence tend à persister jusqu’à l’âge de 14 ans, ont ajouté les auteurs, précisant que ces facteurs « devraient entrer en ligne de compte lorsqu’on évalue la performance et le comportement des enfants à l’école, afin d’éviter que les petits prennent inutilement des stimulants. Ceux-ci ne devraient pas recevoir une étiquette qu’ils garderont toute leur vie simplement parce qu’ils sont immatures face à leurs pairs plus âgés ».

Catégories
Uncategorized

Plus de problèmes de poids chez les enfants en garderie

1649 enfants âgés de 18 mois à 4 ans, correspondant à un échantillon représentatif de la société québécoise, ont participé à l’étude. Ceux-ci étaient classés selon différentes catégories : 30 % étaient dans une garderie en installation, 35 % fréquentaient une garderie en milieu familial, 11 % étaient sous la supervision d’un membre de la famille élargie, 5 % avaient une nounou, et 19 % restaient avec leurs parents.

Les chercheurs ont ensuite effectué un suivi du poids et de la taille des enfants, jusqu’à ce que ceux-ci atteignent l’âge de 10 ans. Les enfants qui avaient fréquenté la garderie étaient ainsi environ deux fois plus à risque que les autres d’être en surpoids.

Les résultats ont été ajustés pour tenir compte de facteurs externes tels que le statut socio-économique des parents, la durée de l’allaitement, l’indice de masse corporelle de la mère et le statut d’emploi de celle-ci. Malgré tout, le risque a perduré, ce que les chercheurs ne pouvaient pas vraiment expliquer.

« Les parents ne doivent pas s’inquiéter, mais ils peuvent simplement s’assurer que leurs enfants mangent bien et sont actifs », a rassuré l’auteure, la Dre Sylvana Côté, citée par Science Daily.

Les chercheurs ont toutefois voulu préciser qu’ils croient fermement que la garderie a un potentiel important de réduire des problèmes de poids chez les enfants, en faisant la promotion d’un mode de vie sain.

Catégories
Uncategorized

Apprendre à nager en bas âge pour un développement plus rapide

Les chercheurs ont envoyé un sondage aux parents d’environ 7000 enfants de moins de cinq ans, puis 180 enfants âgés de 3 à 5 ans ont participé à de nombreux tests pour évaluer leurs habilités.

Les enfants qui savaient nager atteignaient plus rapidement des jalons physiques importants du développement, comme la marche, et ils ont obtenu de meilleurs résultats pour les habiletés visuelles et motrices, les problèmes mathématiques, l’expression orale ainsi que la prélecture.

Même si les enfants qui provenaient de milieux plus favorisés ont mieux performé que ceux provenant de milieux modestes, tous les enfants ont quand même bénéficié des cours de natation. Il n’y avait pas de différence marquée entre les garçons et les filles.

« Plusieurs de ces habiletés sont celles qui préparent les jeunes enfants à la transition vers l’éducation formelle comme l’école », a expliqué l’auteure de l’étude, la professeure Robyn Jorgensen, selon Science Daily.

L’étude a été menée en Australie, en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis, sur une période de trois ans.

Catégories
Uncategorized

Quoi faire quand votre enfant ne mange pas son lunch

Il est commun pour les enfants de grignoter seulement quelques bouchées, particulièrement si leur dîner est suivi d’une période de récréation. La diététiste Jennifer House explique qu’il s’agit d’une occasion très « sociale » pour les enfants. Ils veulent se changer les idées par rapport à leurs leçons, échanger avec leurs amis, et ils sont pressés de se retrouver dans la cour.

À l’école, contrairement à la maison, les enfants n’ont personne pour leur dire de manger tous les légumes, alors ils profitent de cette petite liberté, affirme la diététiste de Calgary, qui se spécialise dans les familles.

Essayez d’abord d’en parler, de leur rappeler l’importance d’une bonne nutrition. Au lieu d’en faire une bataille, indiquez-leur les points positifs : s’ils mangent, ils auront plus d’énergie, ils grandiront mieux, ils seront capables de mieux jouer et d’apprendre.

Vous pouvez également demander aux enfants de participer à faire leur lunch, et varier le contenu de celui-ci.

Catégories
Uncategorized

La caféine et les enfants

Les enfants, comme les adultes, ont des réactions différentes à la suite de l’absorption de caféine. Certains peuvent avoir une plus grande concentration et une vivacité d’esprit accrue, alors que d’autres peuvent devenir irritables, être incapables de s’endormir et avoir des palpitations, même avec une petite dose.

Il est difficile d’établir une dose « sécuritaire » pour les enfants, mais le mieux est de limiter la caféine le plus possible. Lorsque les enfants prennent un aliment qui en contient, il faut s’assurer qu’il y a un laps de temps suffisant pour leur permettre de bien l’éliminer avant le coucher. Cette période dure généralement de 3 à 4 heures.

La caféine est présente dans le café, le thé, le cacao, les boissons gazeuses, les thés glacés et les boissons énergisantes. Même s’il est peu probable qu’un enfant boive une tasse de café, il ne faudrait pas non plus négliger son apport dans d’autres aliments, par exemple certains desserts.

Le chocolat (de 15 à 80 mg par portion) et les boissons gazeuses (de 30 à 40 mg par portion) demeurent les aliments à surveiller chez les enfants. Santé Canada recommande qu’un enfant de 7 ans ne dépasse pas une dose de 50 mg par jour.

Catégories
Uncategorized

Le triclosan peut augmenter le risque d’allergies chez les enfants

Des scientifiques ont analysé des échantillons d’urine provenant d’enfants de 10 ans et ont pu observer une association entre des niveaux de triclosan élevés et la rhinite allergique chez ceux-ci.

Le triclosan est un agent antibactérien apparu il y a quatre décennies et couramment utilisé dans les produits cosmétiques et de soins, par exemple le savon à mains et le dentifrice.

Environ 50 % des enfants avaient des traces détectables de triclosan dans leur urine. Les chercheurs ont estimé que 85 % du triclosan provenait de produits cosmétiques, incluant le dentifrice dans une proportion de 75 %.

Le triclosan peut modifier la flore bactérienne sur la peau, dans la bouche et dans les intestins des enfants. Un changement dans la composition de cette flore peut mener à l’élimination de « bonnes bactéries », ce qui peut augmenter le risque de développer des allergies. La muqueuse de la bouche est particulièrement propice à l’absorption du triclosan.

Une étude menée récemment aux États-Unis est arrivée aux mêmes résultats, avec toutefois une plus grande proportion d’enfants exposés.

Le triclosan est également sur la liste des produits considérés comme ayant un fort potentiel cancérigène, participant au développement des bactéries résistantes aux antibiotiques et étant reconnu pour être un perturbateur endocrinien.