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Le triclosan peut augmenter le risque d’allergies chez les enfants

Des scientifiques ont analysé des échantillons d’urine provenant d’enfants de 10 ans et ont pu observer une association entre des niveaux de triclosan élevés et la rhinite allergique chez ceux-ci.

Le triclosan est un agent antibactérien apparu il y a quatre décennies et couramment utilisé dans les produits cosmétiques et de soins, par exemple le savon à mains et le dentifrice.

Environ 50 % des enfants avaient des traces détectables de triclosan dans leur urine. Les chercheurs ont estimé que 85 % du triclosan provenait de produits cosmétiques, incluant le dentifrice dans une proportion de 75 %.

Le triclosan peut modifier la flore bactérienne sur la peau, dans la bouche et dans les intestins des enfants. Un changement dans la composition de cette flore peut mener à l’élimination de « bonnes bactéries », ce qui peut augmenter le risque de développer des allergies. La muqueuse de la bouche est particulièrement propice à l’absorption du triclosan.

Une étude menée récemment aux États-Unis est arrivée aux mêmes résultats, avec toutefois une plus grande proportion d’enfants exposés.

Le triclosan est également sur la liste des produits considérés comme ayant un fort potentiel cancérigène, participant au développement des bactéries résistantes aux antibiotiques et étant reconnu pour être un perturbateur endocrinien.

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Nourrir les bébés de poisson pour contrer l’asthme

Pediatrics publie les résultats d’une étude démontrant que les bébés qui ont du poisson au menu à l’âge de six à douze mois ont un risque moindre de développer plus tard des problèmes d’asthme.

Cet effet était plus marqué chez ces bébés que chez ceux qui mangeaient du poisson pour la première fois avant six mois, ou encore après 1 an.

Des chercheurs néerlandais ont analysé les données provenant de 7210 enfants, séparant ceux-ci en trois groupes, selon l’âge auquel ils avaient commencé à manger du poisson.

Comparant ces données avec des symptômes d’asthme lorsque les enfants atteignaient l’âge de quatre ans, les chercheurs ont observé que les bébés du groupe 6-12 mois avaient un risque d’asthme 36 % moins élevé.

« Il semble y avoir une fenêtre d’exposition idéale chez les bébés de 6 à 12 mois, durant laquelle la consommation de poisson réduit les risques d’asthme », a dit l’auteure de l’étude, Jessica Kiefte-de Jong.

Le Dr Bernard Kinane, un pneumologue qui n’a pas participé à l’étude, a ajouté que les résultats identifiant la période d’exposition idéale entre 6 et 12 mois « avaient du sens, puisque c’est à cet âge que le système immunitaire fait son éducation ».

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Les produits ignifuges reliés à des retards du développement neurologique chez les enfants

Les chercheurs ont analysé les échantillons sanguins provenant de 279 femmes durant leur grossesse puis à l’accouchement, et ont fait de même avec leurs enfants lorsque ceux-ci avaient atteint l’âge de 7 ans. À partir de 5 ans, ces enfants ont subi des tests évaluant leur développement neurologique.

Les résultats « montrent qu’il y a une relation proportionnelle entre les niveaux de produits ignifuges de la mère durant la grossesse et ces problèmes chez les enfants », selon les auteurs de l’étude, menée pour les Centers for Disease Control américains.

97 % des Américains ont des niveaux sanguins détectables de ces produits, selon EurekAlert!.

Les produits ignifuges étudiés faisaient partie de la classe des polybromodiphényléthers, qui contient plus de 200 composés chimiques à base de brome. Ceux-ci sont couramment utilisés, entre autres dans les meubles rembourrés, les tapis et les appareils électroniques.

Ces produits chimiques sont facilement transférés dans l’environnement et sont soient respirés ou ingérés par la poussière, se logeant ensuite dans les cellules graisseuses.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Environmental Health Perspectives.

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Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables aux toxines contenues dans les aliments

Dans une étude publiée dans la revue Environmental Health, des chercheurs ont mesuré le niveau d’exposition à des toxines trouvées dans des aliments courants chez les adultes et les enfants, puis ont déterminé la fréquence à laquelle ces aliments étaient consommés.

Les enfants étaient particulièrement vulnérables aux toxines étudiées, c’est-à-dire l’arsenic, les dioxines, le DDE et la dieldrine.

Ainsi, 100 % des 364 enfants âgés de 2 à 7 ans ayant participé à l’étude excédaient les niveaux jugés sécuritaires pour prévenir le cancer, et ce, pour l’ensemble de ces toxines. Plus de 95 % des enfants dépassaient également le niveau de risque acceptable pour l’acrylamide, une toxine contenue dans les frites et les croustilles.

Les chercheurs ont également noté des fruits et légumes qui contenaient un très haut niveau de pesticides : les tomates, les pêches, les pommes, les poivrons, les raisins, la laitue, le brocoli, les fraises, les épinards, les poires, les haricots verts ainsi que le céleri. Les produits laitiers en contenaient aussi beaucoup.

« Nous voulions nous attarder aux enfants parce qu’une exposition en bas âge peut avoir des effets à long terme sur de nombreuses maladies. Les autorités calculent maintenant les risques en se basant uniquement sur l’exposition à des contaminants individuels. Mais nous voulions comprendre l’effet cumulatif de l’exposition à ces contaminants. Ces résultats montrent que nous devons empêcher l’exposition des jeunes enfants à des toxines multiples si l’on veut diminuer leur risque de cancer », a expliqué l’auteur de l’étude, Rainbow Vogt, tel que rapporté par Medical News Today.

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Activité spéciale en famille au Spa Eastman

D’ordinaire, les centres de soins et de balnéothérapie sont interdits aux tout-petits. La fondatrice du Spa Eastman, Jocelyna Dubuc, a souhaité faire profiter les enfants d’une belle détente en compagnie de leurs parents. Une offre généreuse qui a attiré plus de gens que prévu.

Ainsi, la fin de semaine du 9 au 11 novembre accueillait les familles dans un contexte de détente, de ressourcement et de découvertes pour petits et grands. Des activités tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, notamment de la méditation active, qui consiste à faire une marche guidée, tout en relaxant.

Madame Dubuc, lors du tour du propriétaire offert à BUM Interactif Groupe, s’est dite étonnée que les enfants s’adaptent aussi bien à l’environnement. D’ailleurs, une maman qui était assise dans la salle centrale, aménagée de plusieurs tables de massage, a chaleureusement remercié la fondatrice. Sa petite fille, étendue sur l’une des tables, profitait d’un mini-soin offert par le personnel qualifié. Habituellement hyperactive, la fillette était en état de totale relaxation.

Durant le weekend, des conférences avec naturopathes et ostéopathes ont été offertes à cette clientèle spéciale afin d’initier les parents aux bienfaits de la médecine alternative. De plus, à travers les découvertes culinaires, assistées du chef lui-même, les enfants et parents découvraient de nouveaux fruits, épices et légumes, prônant la saine alimentation.

Une activité qui aura lieu à nouveau en juillet 2013, pour le plus grand bonheur des parents et enfants. Un bien-être exceptionnel, qui aura permis à ces petites boules d’énergie de recevoir un cadeau inestimable. Celui du bien-être intérieur qui, trop souvent, n’est offert qu’aux adultes.

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Des remèdes naturels à utiliser quand vos enfants ont un rhume

Des tisanes. Lorsqu’ils ont un rhume, les enfants ont besoin de boire beaucoup de liquide, pour prévenir la déshydratation. Si vos enfants refusent de boire de l’eau, vous pouvez essayer une tisane de menthe ou de gingembre (évidemment, pas trop chaude). La vapeur aidera à dégager les voies respiratoires, et ces tisanes sont reconnues pour stimuler le système immunitaire.

De la soupe poulet et nouilles. On connaît tous le réconfort psychologique apporté par cet aliment (presque) magique. Mais si vous préparez le bouillon avec un peu d’ail, de thym, de romarin et de sauge, la soupe aura également des propriétés antibactériennes.

De la vapeur. Un humidificateur dans la chambre ou encore un bain chaud avec la porte fermée auront le même effet : diminuer la congestion. Vous pouvez également ajouter quelques gouttes d’essence d’eucalyptus à l’un ou à l’autre, ce qui aidera à éliminer le mucus.

N’oubliez pas également que même s’il n’a aucun effet sur le rhume, le vaccin est le meilleur moyen de prévenir la grippe, une maladie aux symptômes beaucoup plus marqués.

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Les enfants qui subissent de la violence ont une moins bonne santé une fois adultes

Des chercheurs ont d’abord émis comme hypothèse que le stress vécu durant l’enfance modifiait la réponse au stress, ce qui, à long terme, exposait davantage les individus à la maladie.

130 personnes, âgées de 65 ans en moyenne, ont été interrogées sur des événements éprouvants vécus récemment, mais aussi durant leurs premières années de vie. Des échantillons sanguins ont ensuite été prélevés pour évaluer trois marqueurs biologiques.

Les gens qui avaient vécu de la violence durant leur enfance et avaient été stressés récemment avaient un niveau deux fois plus élevé d’un marqueur appelé IL-6, comparativement aux gens qui n’avaient pas été maltraités, même s’ils avaient aussi vécu un stress récent.

Le professeur en psychologie Jean Philippe Gouin a expliqué que « si la production de marqueurs inflammatoires comme le IL-6 est essentielle à la lutte contre les infections, une surproduction peut entrainer le développement de troubles. Une production exagérée peut donc donner lieu à un état physiologique qui, au fil des ans, augmente le risque de maladie cardiovasculaire ».

L’étude a été publiée dans Annals of Behavioral Medicine.

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La pneumonie continue à faucher trop d’enfants dans le monde

Des experts internationaux provenant de la Global Coalition Against Child Pneumonia ont demandé que plus d’efforts soient faits pour lutter contre la pneumonie infantile. La maladie a causé la mort de 1,3 million de personnes en 2011 seulement.

« La pneumonie peut être prévenue et elle peut être guérie. Mais elle reste la cause la plus importante des décès chez les enfants dans le monde, et ce, depuis trop longtemps », a affirmé le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon.

Ce dernier a lancé une campagne mondiale appelée Every Woman Every Child, qui a donné plus de 20 milliards à des organismes œuvrant pour la santé des femmes et des enfants, et qui a pour objectif de sauver 16 millions de vies d’ici 2015.

99 % des décès infantiles reliés à la pneumonie se produisent dans les pays en voie de développement. Ceux-ci n’ont pas toujours les moyens de prévenir la maladie par des vaccins, de bonnes mesures d’hygiène ainsi que par la promotion de l’allaitement exclusif.

Des antibiotiques existent aussi pour guérir les cas de pneumonie, mais les experts notent que moins d’un tiers des enfants atteints reçoivent ce traitement, et seulement une infime minorité qui le reçoit a accès à une formule appropriée pour les enfants, selon Medical News Today.

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Les médecins ont besoin d’aide pour mieux traiter les commotions chez les enfants

La revue médicale Pediatrics rapporte les résultats d’un sondage mené auprès de 145 médecins de famille ou œuvrant dans une clinique traitant des urgences. Parmi ceux-ci, 91 % avaient traité au moins un enfant qui avait une commotion cérébrale, et 92 % ont recommandé au moins un patient à un spécialiste des commotions durant les trois mois précédents.

Les auteurs du sondage ont noté que les médecins avaient obtenu des résultats très variables dans la manière de reconnaître les signes et les symptômes des commotions cérébrales.

Ils ont également souligné que les cliniques familiales sont le meilleur endroit pour traiter et effectuer un suivi par rapport aux commotions, mais doivent connaître le protocole à mettre à place.

Le nombre de commotions cérébrales chez les enfants a quadruplé depuis 2009, a révélé l’auteur, le Dr Mark Zonfrillo, tel que rapporté par Medical News Today.

Un programme spécial de formation sur les commotions cérébrales a été instauré cette année par des experts provenant d’un hôpital pour enfants de Philadelphie, permettant à plus de 100 médecins de se familiariser avec les exigences reliées à cette condition.

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Les enfants qui habitent dans des milieux défavorisés risquent plus d’être obèses

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 17 530 enfants de 5 ans, qui vivaient dans 4700 quartiers différents partout aux États-Unis. Ils ont ajusté les résultats pour tenir compte du statut économique de la famille, de la composition de celle-ci, du niveau d’éducation de la mère ainsi que du temps passé par l’enfant à regarder la télévision.

Malgré ces ajustements, les enfants qui vivaient dans des quartiers pauvres avaient 28 % plus de chances d’être obèses, et les enfants vivant dans les quartiers de classe moyenne avaient 17 % plus de chances, comparativement aux enfants vivant dans les quartiers affluents.

Selon l’étude, le fait de vivre dans un quartier à forte proportion ethnique réduisait quant à lui le risque d’obésité de 20 % pour les enfants.

« Nous savons qu’il existe des caractéristiques spécifiques pour les familles et les enfants qui sont associées à l’obésité. Ces relations sont plutôt bien comprises, mais nous ne comprenons pas encore parfaitement l’influence du milieu et de la communauté, par exemple les caractéristiques sociales et démographiques du milieu dans lequel les gens vivent », a expliqué le sociologue Justin Denney, selon MedicalNewsToday.

Près de 32 % des enfants américains sont en surpoids ou obèses. Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue Social Science & Medicine.