Catégories
Uncategorized

Les enfants ont besoin d’un minimum de sept minutes d’exercice intense par jour

Des chercheurs ont fait porter des appareils mesurant le niveau d’activité physique à plus de 600 enfants pendant une semaine. Le poids, la circonférence de la taille et la pression artérielle de ceux-ci ont aussi été mesurés régulièrement.

Les données indiquent que les enfants passaient environ 70 % de leur temps à faire des activités sédentaires, 23 % à faire de l’activité physique légère, 7 % à faire de l’exercice modéré, et seulement 0,6 % à faire de l’exercice vigoureux.

Les garçons étaient moins sédentaires que les filles, et plus les enfants passaient du temps à faire de l’exercice intense, moins ils étaient en surplus de poids.

« Notre recherche démontre que les enfants n’ont pas besoin de beaucoup d’activité physique intense pour en tirer les avantages. Mais ces sept minutes doivent être vraiment intenses pour prévenir le gain de poids, l’obésité et tous les problèmes reliés. Et ce que nous avons découvert, c’est que la plupart des enfants n’en faisaient pas assez », a noté l’auteur de l’étude, Richard Lewanczuk, un chercheur en médecine et dentisterie pour l’Université de l’Alberta.

Les résultats ont été publiés dans le journal Archives or Pediatrics & Adolescent Medicine.

Catégories
Uncategorized

Les maux de tête chez l’enfant ne signifient pas forcément qu’il a besoin de lunettes

(Relaxnews) – Lorsqu’un enfant se plaint de maux de tête, surtout lorsqu’il fait ses devoirs ou regarde l’ordinateur, de nombreux parents pensent qu’il a besoin de lunettes. Or, une étude montre que ce n’est pas forcément le cas.

Des chercheurs de la clinique ophtalmologique de l’Albany Medical Center de New York ont passé en revue les dossiers médicaux de 160 enfants, qui avaient fait l’objet d’une consultation à plusieurs reprises à cause de maux de tête.

Leurs résultats n’ont pas trouvé de corrélation entre ces migraines et un besoin de correction visuelle. Même les enfants qui portaient déjà des lunettes de vue n’avaient pas forcément besoin d’une plus forte correction, alors qu’eux aussi avaient mal à la tête.

Même si les chercheurs n’ont pas exploré les autres causes possibles de ces maux, ils ont trouvé que dans la plupart des cas, les migraines s’estompaient avec le temps, que les patients portent ou non des lunettes à un moment de leur enfance. Le suivi médical a montré que les maux de tête s’amélioraient dans près de 77 % des cas.

« Nous espérons que notre étude aidera à rassurer les parents. Dans la plupart des cas, les maux de tête de leurs enfants ne sont pas reliés à des troubles de la vue, et la plupart d’entre eux se dissiperont avec le temps », a expliqué le docteur Zachary Roth, responsable de cette étude.

Il ajoute : « Cette information devrait être utile aux médecins de famille et aux pédiatres responsables de la santé des enfants, ainsi qu’aux parents ».

Le Dr Roth a présenté cette étude à l’occasion du congrès annuel de l’American Academy of Ophthalmology, qui s’est déroulé du 10 au 13 novembre à Chicago.

Catégories
Uncategorized

Des protéines cérébrales mutantes sont en lien avec l’autisme

Des chercheurs néo-zélandais ont découvert un lien entre l’autisme et des protéines du cerveau ayant subi une mutation. Ces protéines, appelées Shank3, seraient responsables d’une absence de communication entre certaines cellules cérébrales.

Cette découverte ouvre une piste intéressante, parce qu’elle signifie que la recherche devrait se concentrer sur ces protéines mutantes, disent les scientifiques dans un article publié dans la revue médicale Journal of Neuroscience. En poursuivant leurs travaux, ceux-ci pourraient par exemple arriver à rétablir le fonctionnement normal de ces cellules et redonner des habiletés cognitives aux enfants sévèrement touchés par le trouble.

« Les cellules cérébrales sont extrêmement “sociables” et “se parlent” sans arrêt », a expliqué la chercheuse Jo Montgomery. « Ce que nous avons démontré, c’est que lorsque ces mutations reliées à l’autisme se produisent, le fonctionnement des synapses dans le cerveau est modifié, et ces cellules ne répondent pas. C’est un sujet de recherche important en ce moment, étant donné qu’on ne connaît pas encore la cause de l’autisme », a-t-elle ajouté, tel que rapporté par PsychCentral.

Catégories
Uncategorized

Comment amener vos enfants à s’ouvrir

Leur poser les bonnes questions : Essayez de formuler les demandes d’une manière qui les pousse à vous en dire un peu plus. Par exemple, « Avec qui as-tu joué à la récréation aujourd’hui? »

Passer du temps ensemble : Le meilleur moment pour leur poser des questions, c’est peut-être lorsque vous faites des activités ensemble, par exemple durant une marche ou lorsque vous faites un bricolage.

Demander aux enfants de tenir un journal : Les enfants plus vieux aimeront peut-être avoir un cahier où ils pourront écrire quelques lignes chaque jour sur leur temps passé à l’école.

En faire un jeu : Par exemple, vous pouvez leur raconter trois anecdotes de votre journée, incluant une qui est fausse. Les enfants doivent deviner laquelle, puis faire de même.

Faire de l’écoute active : Soyez à l’affût de petits commentaires que vos enfants pourraient faire ici et là, sur les enseignants ou d’autres élèves. Il pourrait s’agir là d’un point de départ pour une conversation.

Catégories
Uncategorized

Comment amener vos enfants à s’ouvrir

Leur poser les bonnes questions : Essayez de formuler les demandes d’une manière qui les pousse à vous en dire un peu plus. Par exemple, « Avec qui as-tu joué à la récréation aujourd’hui? »

Passer du temps ensemble : Le meilleur moment pour leur poser des questions, c’est peut-être lorsque vous faites des activités ensemble, par exemple durant une marche ou lorsque vous faites un bricolage.

Demander aux enfants de tenir un journal : Les enfants plus vieux aimeront peut-être avoir un cahier où ils pourront écrire quelques lignes chaque jour sur leur temps passé à l’école.

En faire un jeu : Par exemple, vous pouvez leur raconter trois anecdotes de votre journée, incluant une qui est fausse. Les enfants doivent deviner laquelle, puis faire de même.

Faire de l’écoute active : Soyez à l’affût de petits commentaires que vos enfants pourraient faire ici et là, sur les enseignants ou d’autres élèves. Il pourrait s’agir là d’un point de départ pour une conversation.

Catégories
Uncategorized

Un lien entre l’allergie aux arachides et statut socio-économique des enfants

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 8306 patients américains, dont 776 avaient un niveau élevé d’anticorps aux arachides. L’allergie aux arachides était en général plus fréquente chez les garçons, ainsi que chez les enfants provenant de minorités ethniques.

Une autre conclusion peut-être un peu plus surprenante provenait du fait qu’un revenu familial élevé était associé à un risque beaucoup plus grand de souffrir d’allergie aux arachides.

Ce résultat semble confirmer une hypothèse émise par de nombreux allergologues : plus le niveau d’hygiène est élevé dans une maison, moins les enfants sont exposés aux germes durant leur petite enfance, et plus il y a de chances de développer un problème d’allergie.

« Même si plusieurs enfants peuvent développer une tolérance aux produits allergènes à mesure qu’ils grandissent, seulement 20 % de ceux-ci vont pouvoir surmonter une allergie aux arachides », a expliqué l’allergologue Stanley Fineman, selon Medical News Today.

Les résultats ont été présentés au congrès annuel de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology.

Catégories
Uncategorized

Des résultats mitigés reliés aux suppléments de fer et d’oméga-3 chez les enfants

Dans le cadre de l’étude, 321 enfants provenant d’Afrique du Sud ont reçu un supplément de fer ou un supplément d’oméga-3, ou encore les deux. Les enfants, âgés de 6 à 11 ans, avaient tous un déficit important de ces éléments avant de recevoir les suppléments.

Après 8 mois, les enfants qui souffraient d’anémie ont démontré des améliorations de leur mémoire et de leurs aptitudes d’apprentissage. Dans des tests de mémoire, ils ont par exemple réussi à se souvenir de 2 mots sur 12 de plus qu’auparavant.

Les résultats étaient plus mitigés pour les enfants qui avaient une carence en fer, mais sans anémie et qui ont aussi reçu des oméga-3. Les filles dans cette condition ont plutôt eu des résultats pires qu’avant, tandis que les garçons ont légèrement amélioré leur performance.

Toujours selon les résultats de l’étude, il n’y avait aucun avantage associé aux suppléments d’oméga-3.

L’auteure, Jeannine Baumgartner, a expliqué que puisque le nombre d’enfants dans chaque catégorie, par exemple ceux qui souffraient d’anémie, était relativement petit, les résultats doivent être interprétés avec précaution.

« La question se pose à savoir si donner des suppléments à des enfants d’âge scolaire n’est pas déjà trop tard pour voir des résultats bénéfiques sur leur performance cognitive », a-t-elle ajouté, selon Medscape.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

Catégories
Uncategorized

Les enfants cardiaques tendent à rester avec leur spécialiste même une fois adultes

Selon un récent sondage mené auprès des cardiologues pédiatriques membres de l’American Board of Pediatrics, plus des trois quarts d’entre eux continuaient à suivre au moins 20 patients de plus de 18 ans.

Les autorités en santé recommandent qu’une transition formelle entre le médecin pédiatrique et un spécialiste pour adultes soit faite entre 18 et 21 ans.

Les médecins interrogés ont aussi indiqué que leur pourcentage de patients adultes diminuait proportionnellement à l’âge de ceux-ci : par exemple, seulement 13 % des médecins avaient au moins 20 patients âgés de 40 ans et plus. Cette tendance signifie que le transfert vers un cardiologue pour adultes se fait généralement bel et bien, mais plus tard que ce qui est recommandé.

La raison la plus souvent citée pour poursuivre la relation avec les patients une fois devenus adultes était un attachement émotif envers ceux-ci ou envers leurs parents. Par contre, un manque de personnel qualifié pour traiter les patients adultes souffrant de maladies cardiaques congénitales était aussi mentionné par 76 % des médecins.

Les cardiologues pédiatriques ont noté qu’ils auraient besoin de plus de ressources pour bien effectuer la transition, ajoutant que la mise en place d’équipes de soins multidisciplinaires serait souhaitable pour ces patients, tel que rapporté par MedPageToday.

Catégories
Uncategorized

Ce que vos enfants aiment de l’école, et ce qu’ils détestent

Ce qu’ils aiment

o Les enseignants inspirants : Un bon prof, ça fait toute la différence.

o Les activités parascolaires

o Les sorties : Le changement dans la routine, ça fait toujours du bien.

o Socialiser : Les amis, ça reste une des parties les plus importantes de l’expérience scolaire.

o Les expériences : Elles tendent à marquer l’imaginaire, de la transformation d’une chenille en papillon aux tentatives culinaires.

o La récréation : Pas de grosse surprise ici!

o Les arts et le bricolage : Explorer son côté créatif est toujours populaire.

o L’éducation physique : Bouger tout en s’amusant, quoi de mieux?

 

Ce qu’ils n’aiment pas

o Les devoirs : C’est parfois difficile pour eux de se remettre à étudier une fois à la maison.

o Les sujets trop faciles : Certains petits curieux en herbe voudraient en apprendre plus.

o Aller dehors lorsqu’il fait très froid

o Ne pas avoir assez de temps pour diner

o Les mathématiques

o Le silence : Celui-ci cause apparemment des maux de tête à certains enfants.

Catégories
Uncategorized

Identifier les enfants à risque de développer l’épilepsie à la suite de convulsions

Selon une étude réalisée par l’autorité en santé américaine, National Institutes of Health, des imageries du cerveau effectuées quelques jours après qu’un enfant ait fait des convulsions fébriles prolongées peuvent révéler des lésions au niveau de l’hippocampe, une partie du lobe temporal en lien avec l’épilepsie.

3 à 4 % des enfants ont des convulsions fébriles lorsqu’ils font de la forte fièvre, et si cette condition est habituellement bénigne, les médecins croient qu’elle augmente le risque d’épilepsie.

30 à 40 % des enfants qui ont eu un ou des épisodes de convulsions fébriles durant 30 minutes ou plus développeront ainsi ce trouble neurologique plus tard.

Dans le cadre de l’étude, 191 enfants ont passé un test de résonnance magnétique quelques jours après des convulsions fébriles, prolongées ou non. Parmi ceux qui avaient fait des convulsions fébriles prolongées, 11,5 % présentaient des lésions à l’hippocampe, tandis qu’on pouvait observer des anormalités de cette structure cérébrale chez 11,5 % des enfants. Seulement 2,1 % des enfants qui avaient fait des convulsions simples avaient ces problèmes.

45,2 % des enfants ayant plutôt passé un encéphalogramme présentaient aussi des anormalités, et il y avait une corrélation entre les résultats des deux tests, ont noté les chercheurs, selon Medical News Today.

Les données ont été publiées dans la revue médicale Neurology.