Catégories
Uncategorized

Les bonnes manières à table pour tous les âges

De 1 à 3 ans : À cet âge, les enfants ont besoin de rappels constants. Pour eux, le repas, comme le reste, est un jeu, et les parents doivent répéter les consignes et les conséquences. Un autre conseil : ne donner aux enfants de cet âge que quelques morceaux à la fois. Comme ça, moins de risque que la nourriture se retrouve partout!

De 3 à 5 ans : Dans ce groupe d’âge, on retrouve des petits difficiles et des escargots. Le meilleur moyen de les faire manger correctement, c’est la pratique. Il est aussi possible de leur demander de vous répéter les règles et de pratiquer le renforcement positif – lorsqu’ils ont un bon comportement et mangent bien, félicitez-les!

De 5 à 8 ans : C’est l’âge où l’on peut commencer à pratiquer l’art de la conversation à table. Les enfants hériteront de bonnes habitudes pour la vie durant si le repas familial est un moment agréable de partage et d’échange.

8 ans et plus : À cet âge, on raffine les manières, par exemple en expliquant qu’on ne mange pas avant que tout le monde soit servi et qu’on n’apporte pas son iPad à table. Les « grands » doivent aussi comprendre qu’ils donnent l’exemple aux plus petits.

Catégories
Uncategorized

L’automutilation chez les jeunes est différente de celle des adultes

Pour le bien d’une étude, un chercheur a relevé les résultats d’un sondage mené auprès de 1000 jeunes. 40 % de ceux-ci avaient déjà eu un comportement d’automutilation.

Toutefois, seule une faible proportion de ceux-ci le faisaient sur une base régulière et d’une manière qui pouvait ressembler à l’automutilation chez les adultes qui ont un trouble de santé mentale.

« Il est important que les écoles et les professionnels de la santé sachent comment aider les jeunes qui s’automutilent. Ils doivent savoir réagir correctement et ne pas les juger tous de la même manière. Chez plusieurs jeunes, cette pratique peut être relativement inoffensive et souvent temporaire. Cela peut être vu comme une certaine forme d’expérimentation, ou encore refléter des problèmes qui ne sont pas vraiment sérieux », a affirmé l’auteur de l’étude, le psychologue Jonas Bjärehed, selon PsychCentral.

Par contre, le Dr Bjärehed a également affirmé que de plus en plus de jeunes éprouvent des problèmes reliés au stress et à la maladie mentale, ajoutant que si les jeunes s’automutilent, ils ont un risque plus grand de récidiver et d’en arriver à un problème.

Les résultats de cette étude, réalisée en Suède, ont récemment été présentés comme soutien à une thèse de doctorat à l’Université de Lund.

Catégories
Uncategorized

Le tabagisme durant la grossesse n’influence pas la consommation des enfants

Même si plusieurs études discernent un nombre plus élevé d’enfants ayant des problèmes d’abus d’alcool ou de drogues avec des mères qui ont fumé durant leur grossesse, les auteurs d’une nouvelle méta analyse ne croient pas qu’il y ait là un lien de cause à effet.

Les chercheurs ont analysé deux échantillons de jeunes représentatifs, un aux États-Unis et un en Suède. Dans l’étude américaine, les chercheurs ont relevé si les jeunes affirmaient fumer ou encore consommer de l’alcool et de la marijuana, ainsi que s’ils avaient commencé cette consommation avant l’âge de 14 ans.

Dans l’étude suédoise, les chercheurs se sont plutôt attardés à des événements comme une condamnation reliée à la consommation ou encore à une admission à l’hôpital pour des problèmes d’alcool ou de drogue.

Malgré les contextes différents, les deux études sont arrivées à des conclusions similaires, ce que les chercheurs ont décrit comme étant « remarquable ». Toutefois, il leur a été impossible de démontrer hors de tout doute qu’il existait un lien entre les deux problèmes.

La donnée la plus marquante provenait du fait qu’entre frères et sœurs d’une même famille, le risque de problèmes de consommation restait le même, et ce, même si la mère avait cessé de fumer entre ses grossesses.

Les auteurs de l’analyse ont expliqué que ces données « suggèrent fortement que le risque plus élevé de problèmes de consommation avait pour cause des facteurs familiaux », tel que rapporté par MedPageToday.

Catégories
Uncategorized

Différentes réactions des enfants face aux catastrophes naturelles

Dans une étude toujours en cours, 141 enfants fréquentant une école dans un quartier de la Nouvelle-Orléans très affecté par l’ouragan Katrina en 2005 ont été évalués pour détecter un syndrome de stress post-traumatique (SSPT), 24 et 30 mois après l’événement. Les chercheurs les ont également évalués peu après le passage de l’ouragan Gustav, qui a frappé en 2008.

Environ 25 % des enfants ont dit qu’ils avaient regardé « beaucoup » de programmation télé sur Gustav, alors que 31 % en avaient regardé « énormément ».

La quantité d’information regardée était directement reliée à des symptômes du SSPT, mais les chercheurs ont remarqué que les enfants qui avaient des antécédents d’anxiété, de détresse et de perception qu’ils étaient en danger risquaient beaucoup plus que les autres de réagir fortement aux images présentées.

« Les professionnels de la santé qui ont de jeunes patients avec des problèmes d’anxiété tels que le trouble de stress post-traumatique devraient peut-être s’assurer que les parents comprennent les effets potentiels des médias sur ceux-ci », ont noté les chercheurs, selon ScienceDaily.

Ces données préliminaires ont été publiées dans la revue Psychological Science.

Catégories
Uncategorized

Les médicaments contre le TDAH ne causent pas de problèmes cardiaques sévères chez les enfants

Une nouvelle étude ayant analysé les données provenant de plus de 55 000 enfants américains qui avaient reçu un traitement pour le TDAH a relevé les « événements cardiovasculaires » chez ces enfants.

Bien que l’étude ait constaté que ces enfants avaient consulté un médecin pour des problèmes cardiovasculaires 20 % plus souvent que des enfants ne prenant pas ces médicaments, les problèmes « graves » tels que le décès ou l’hospitalisation n’étaient pas plus fréquents.

« Les spécialistes se posaient la question depuis une dizaine d’années », a expliqué l’auteure de l’étude, Almut Winterstein, citée par MedicalNewsToday.

La psychiatre Regina Bussing a toutefois rappelé que cette étude ne s’attarde qu’aux effets à court terme des médicaments, et que les conséquences possibles à long terme ne sont toujours pas connues.

Elle conseille donc aux parents de cesser la médication et de consulter un médecin si l’enfant présente un symptôme inhabituel.

Le Ritalin et l’Adderall, qui sont tous les deux des stimulants du système nerveux central, sont les deux médicaments les plus souvent prescrits pour le TDAH.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le British Medical Journal.

Catégories
Uncategorized

Une troisième dose de vaccin RRO pourrait prévenir des épidémies d’oreillons

Lors d’une épidémie locale d’oreillons ayant affecté la région de New York en 2010, les autorités en santé publique ont mené une campagne d’immunisation additionnelle du vaccin RRO, parmi des enfants et adolescents qui avaient déjà reçu les deux doses recommandées.

Grâce à cette intervention ponctuelle, le taux d’infection parmi tous les jeunes ayant reçu le vaccin est passé de 4,93 % à 0,13 %, tandis que le taux d’infection dans la population générale a diminué de 75,6 %.

Les chercheurs ont présenté les résultats de cette expérience dans la revue Pediatrics.

Des épidémies d’oreillons sont à prévoir dans l’avenir, même parmi la population d’enfants vaccinés, ont prévenu les chercheurs. Ceci à cause de facteurs tels que des problèmes avec les vaccins, une immunité qui diminue avec le temps ou alors une forte concentration de la population, selon Medscape.

Toutefois, les chercheurs affirment que cette seule étude n’est pas suffisante pour justifier que toute la population reçoive une 3e dose du vaccin pour l’instant, ajoutant que « d’autres études seraient nécessaires pour vérifier et confirmer ces données ».

Catégories
Uncategorized

La fièvre inexpliquée chez les tout-petits est majoritairement d’origine virale

76 % des enfants ayant participé à l’étude, qui s’étaient présentés à l’urgence avec de la fièvre sans cause apparente, avaient une infection d’origine virale.

51 % de ces tout-petits, âgés de 2 à 36 mois, ont quand même reçu des antibiotiques, même si ceux-ci n’ont aucun effet sur les virus.

Parmi les virus notés, l’adénovirus, une infection respiratoire, était le plus fréquent, ce qui a surpris les chercheurs, suivi par l’entérovirus, une infection gastro-intestinale.

Un autre résultat inattendu : une proportion significative des enfants avait aussi jusqu’à 4 virus, ce qui a poussé les chercheurs à demander que de nouveaux tests soient créés pour permettre de bien identifier la source de la fièvre chez les jeunes enfants.

« L’incapacité à bien distinguer les patients qui souffrent d’une infection d’origine bactérienne de ceux qui ont un virus peut pousser les médecins à prescrire des antibiotiques quand même », a noté le Dr Joshua Colvin, selon Medscape.

« Nous espérons qu’une plus grande reconnaissance des infections virales pourra réduire de beaucoup la prise des antibiotiques chez ces enfants. »

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Pediatrics.

Catégories
Uncategorized

Petit guide des activités parascolaires

Il est louable de vouloir développer les compétences de nos enfants et leur estime d’eux-mêmes, mais il faut savoir quand c’est trop. Voici quelques conseils, tels que rapportés sur Parenting Squad.

Selon un sondage récent, 90 % des enfants âgés de 9 à 13 ans se disent « stressés parce qu’ils sont trop occupés ».

L’American Academy of Pediatrics, une sommité mondiale sur le sujet, rappelle l’importance pour les enfants d’avoir des temps libres et du temps pour jouer simplement et être en famille, affirmant que ceci est vital pour le développement sain de leur cerveau.

Alors, combien d’activités un jeune devrait-il faire? Cela dépend de l’enfant, de sa personnalité, de son âge et de ses intérêts. Il est possible de proposer plusieurs activités et de laisser l’enfant en choisir une ou quelques-unes, en établissant un calendrier équilibré qui convient à tout le monde.

Après une période d’essai variant d’un mois à une session, vous pouvez ensuite vous asseoir ensemble et revoir les activités. L’enfant veut-il continuer? Certaines activités lui plaisent-elles plus que d’autres?

Puis, périodiquement, les parents peuvent évaluer si leur enfant paraît stressé et ajuster le volume d’activités en conséquence.

Catégories
Uncategorized

Une analyse met en lumière les particularités de l’intimidation virtuelle

Une méta-analyse de 15 études sur le phénomène de l’intimidation virtuelle vient d’être publiée dans la revue médicale Behavioral Difficulties. Celle-ci révèle que cette nouvelle forme d’intimidation est maintenant largement répandue dans les écoles et présente ses caractéristiques particulières.

L’intimidation virtuelle obéit au même « abus de pouvoir systémique » que sa forme traditionnelle, mais est indirecte, et les moyens technologiques lui permettent même parfois d’être anonyme, ce qui ajoute au tourment des victimes.

 L’intimidateur voit rarement la réaction de sa victime, et est donc encore moins conscient des conséquences de son comportement. L’auditoire de l’intimidateur est aussi beaucoup plus vaste.

Les chercheurs s’attardent aux facteurs émotifs et comportementaux complexes qui entrent en jeu à la fois pour l’intimidateur et sa victime, affirmant par exemple que les cyberintimidateurs montraient un « désengagement moral » encore plus grand que celui des intimidateurs traditionnels.

Les enfants qui sont heureux à l’école risquent moins de devenir des victimes, ont également affirmé les chercheurs, selon Science Daily, sans toutefois élaborer sur les facteurs pouvant rendre les enfants moins heureux en milieu scolaire et les liens potentiels de ceux-ci avec l’intimidation.

Catégories
Uncategorized

Peu importe la méthode d’apprentissage de la propreté choisie, les résultats sont les mêmes

Des chercheurs viennent de publier une étude qui tente de clore un débat vieux de presque cent ans sur l’apprentissage de la propreté, en affirmant que peu importe la méthode choisie, il ne semble pas y avoir d’influence sur les accidents urinaires chez les enfants.

Les chercheurs ont spécifié qu’il y a deux méthodes générales reliées à l’apprentissage de la propreté : celle initiée par le parent, souvent plus hâtive, et celle où le parent attend que l’enfant se dise prêt.

Ceux-ci ont analysé des données sur une population d’enfants âgés de 4 à 12 ans qu’ils ont séparés en deux groupes, ceux qui n’avaient pas d’accidents urinaires une fois l’apprentissage de la propreté terminé, et ceux qui souffraient d’incontinence ou de problèmes urinaires. Ils ont découvert qu’il n’y avait aucun lien entre ces problèmes et la méthode choisie.

Les chercheurs ont conclu que leur étude « révèle que le débat sur la meilleure méthode n’était pas basé sur des preuves scientifiques, mais plutôt sur des opinions. Nos résultats devraient rassurer les parents qui craignaient que les problèmes urinaires chez leurs enfants soient reliés à un apprentissage de la propreté incorrect. Ce n’est pas le cas », a dit le Dr Joseph Barone, selon Medical News Today.