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Une nouvelle étude s’attarde sur les comportements anxieux chez les parents

La science a déjà établi un lien entre des parents anxieux et des enfants anxieux, mais de nouvelles données précisent quels comportements semblent favoriser la transmission d’une génération à une autre.

Selon des chercheurs de l’Université Hopkins, la forme la plus répandue des troubles anxieux, la phobie sociale, était celle qui risquait le plus de générer de l’anxiété chez les enfants.

L’étude s’est attardée aux interactions entre 66 parents anxieux et leurs enfants de 7 à 12 ans. Les chercheurs ont observé les patients alors qu’ils collaboraient à accomplir deux tâches, et les ont évalués selon différents critères.

Parmi ceux-ci, les chercheurs ont remarqué que les parents souffrant de phobie sociale étaient moins affectueux envers leurs enfants, les critiquaient beaucoup plus et exprimaient des doutes sur les capacités de réussite des jeunes.

Ces comportements parentaux sont reconnus pour susciter de l’anxiété chez les enfants, et s’ils sont répétés, ils peuvent se transformer en un véritable trouble anxieux chez les jeunes, ont affirmé les chercheurs, selon ScienceDaily.

L’anxiété est causée par une combinaison de facteurs génétiques et liés à l’environnement. Les chercheurs ont souligné l’importance de mieux maitriser les facteurs environnementaux pour prévenir le développement de troubles anxieux chez les enfants.

Un enfant sur cinq souffre d’anxiété aux États-Unis, mais cette maladie est encore peu diagnostiquée.

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La mortalité chez les jeunes atteints du diabète est en baisse, mais toujours préoccupante

Selon une analyse publiée dans Morbidity and Mortality Weekly Report, le taux de décès reliés au diabète chez les jeunes a baissé de 61 % entre 1968 et 2009. Par contre, cette mortalité a augmenté de 1,6 % par année entre 1984 et 2009.

Le taux de décès plus bas est dû au fait que les médecins connaissent et reconnaissent maintenant mieux la maladie qu’il y a 40 ans, et que les médicaments ont été améliorés. Les chercheurs ne pouvaient toutefois pas expliquer la légère tendance à la hausse.

Les données analysées ne spécifiaient pas de quel type de diabète les jeunes étaient atteints, mais les auteurs ont noté que la grande majorité devait souffrir de diabète de type 1, selon Medscape. La plupart des décès étaient attribuables à des complications telles que l’acidocétose ou l’hypoglycémie.

« Ces données montrent des améliorations dans la mortalité reliée au diabète chez les jeunes, mais indiquent aussi qu’il y a encore un grand besoin de trouver d’autres solutions pour diagnostiquer et traiter le diabète juvénile », a expliqué l’auteure de l’analyse, Sharon Saydah, chercheuse aux Centers for Diseases Control and Prevention, une autorité en santé aux États-Unis.

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Pourquoi les enfants veulent toujours entendre les mêmes histoires

Les enfants apprennent par la répétition : c’est comme cela que leur cerveau absorbe les histoires et apprend les subtilités de la langue.

En fait, une étude surprenante a récemment révélé que les enfants retenaient plus de mots en se faisant lire la même histoire à répétition qu’en entendant différentes histoires contenant les mêmes mots.

La répétition apporte même des changements au niveau du cerveau : chaque fois que les enfants pratiquent un mot ou un concept, les liens entre les cellules cérébrales se fortifient.

Les enfants demandent aussi à entendre les mêmes histoires parce qu’en général, ils aiment reproduire la même routine. La répétition leur apporte donc du réconfort et de la sécurité émotionnelle. C’est un moyen pour eux de comprendre comment le monde fonctionne autour d’eux.

Pour ces raisons, il est souvent bénéfique de laisser les enfants entendre la même histoire souvent, en particulier si un certain livre fait partie d’une routine du dodo à laquelle l’enfant s’attend et est attaché.

Par contre, ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas non plus encourager la variété, par exemple en « négociant » avec l’enfant à l’avance (aujourd’hui c’est ton livre préféré, et demain on en choisit un nouveau). Après tout, explorer de nouveaux mots et de nouvelles idées, c’est aussi important pour son développement.

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Une seule protéine serait à l’origine de plusieurs troubles psychiatriques chez les enfants

Des chercheurs allemands ont découvert que la malformation d’une protéine spécifique liée au développement du cerveau, appelée SRGAP3, serait la cause de troubles chez les souris présentant des symptômes qui s’apparentent à certains problèmes psychiatriques et neurologiques chez les humains.

Comme les scientifiques savent que cette protéine a une fonction similaire chez l’humain, ils pensent que la SRGAP3 pourrait être liée à plusieurs maladies telles que la schizophrénie, les handicaps mentaux, le trouble du spectre autistique et l’hydrocéphalie.

Selon les chercheurs, ces problèmes sont tous causés par un problème de malformation du système nerveux, et il est maintenant établi que l’on peut tous les relier à cette protéine.

« Ces problèmes sont parmi les plus dévastateurs que peuvent vivre les enfants et les jeunes adultes », a noté l’auteur de l’étude, Dudan Bartsch, tel que rapporté par EurekAlert!. « Nous espérons que nos données serviront à mieux comprendre ces maladies, et surtout à en arriver à fournir de meilleurs traitements. »

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue médicale The FASEB Journal.

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Les enfants de cinq ans ont la générosité « stratégique »

Selon une étude américaine publiée dans le journal PLoS ONE, les enfants reproduisent un modèle bien connu chez les adultes, en modulant leur générosité en fonction du regard et de la reconnaissance des autres.

Les chercheurs ont présenté des autocollants à des enfants de cinq ans et leur ont donné la possibilité d’en offrir un ou quatre à un autre enfant du même âge. Les enfants étaient beaucoup plus susceptibles d’être généreux lorsque l’autre enfant était présent et lorsque les autocollants étaient présentés dans une enveloppe transparente plutôt qu’opaque, signifiant que l’autre enfant voyait le nombre d’autocollants qu’il allait recevoir.

Ce comportement s’est avéré exact, peu importe le nombre d’autocollants que les enfants recevaient au départ. La science a déjà établi que les adultes obéissent à ce même modèle. Les œuvres de charité reçoivent par exemple plus d’argent lorsque le public peut savoir qui a fait un don ainsi que le montant donné, tel que rapporté par MedicalNewsToday.

« Même si nous avons été surpris par la fréquence à laquelle les enfants ont eu un comportement antisocial, les conditions dans lesquelles ils ont choisi d’agir avec générosité sont vraiment intéressantes et suggèrent que les petits ont un comportement social stratégique beaucoup plus sophistiqué que nous le croyions auparavant », a observé l’auteure de l’étude, Kristin Lyn Leimbruber.

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Les jeunes et la pornographie en ligne : guide pour les parents

L’Internet a rendu la pornographie plus accessible que jamais, même pour les enfants et les préadolescents qui ne sont pas préparés à y faire face.

Selon les statistiques, 40 % des jeunes visitent au moins un site explicite chaque année. Même si une certaine curiosité sexuelle est normale et même saine, cela peut entrainer différents problèmes, allant de perturbations chez les jeunes enfants à une perception malsaine de la sexualité, des sentiments de culpabilité et de détresse au danger face à des prédateurs sexuels.

Qu’est-ce que les parents peuvent faire?

Ils devraient d’abord demander aux jeunes comment ils ont eu accès à de la pornographie pour la première fois. Si c’est avec l’aide d’un adulte, il faut rapporter celui-ci aux autorités.

Il est important de leur en parler clairement, de leur expliquer votre opinion par rapport à la pornographie, et de leur exprimer vos craintes quant à celle-ci. Toutefois, il faut éviter de transmettre un sentiment de honte aux enfants.

Ensuite, les parents devraient installer un bon filtre de contenu sur tous les ordinateurs de la maison, tout en expliquant aux jeunes pourquoi ils le font.

Les parents devraient ensuite faire une surveillance accrue de l’activité des jeunes sur l’Internet et s’assurer qu’ils comprennent bien que tout ce qu’ils font en ligne se retrouve partout et peut être très facilement retracé, selon PsychCentral.

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Une nouvelle étude s’attarde aux maux de tête chez les enfants

Les données portant sur 5671 Brésiliens âgés de 5 à 12 ans ont été analysées pour les biens de cette étude. Parmi ces enfants, 20,6 % n’avaient jamais de maux de tête. 9 % des enfants avaient des migraines épisodiques, 17,6 % avaient « probablement des migraines » non confirmées, tandis que 0,6 % avaient des migraines chroniques. Un groupe de contrôle comptait également des enfants éprouvant plutôt des maux de tête de tension.

Sans surprise, les enfants souffrant de migraines, peu importe le type, rapportaient beaucoup plus de difficultés à l’école que les enfants qui ne souffraient d’aucun mal de tête, tel que mesuré à travers leur performance par rapport à la moyenne et leur taux d’absentéisme.

Leurs problèmes scolaires étaient également plus élevés que ceux des enfants qui souffraient de maux de tête de tension.

L’auteur de l’étude, le Dr Marcelo Bigal, s’est dit intéressé par les problèmes neurologiques se cachant peut-être derrière ces migraines et pouvant « causer non seulement la douleur associée aux migraines, mais aussi des troubles sensoriels qui mènent à des difficultés d’apprentissage », a-t-il expliqué à Medscape.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Neurology.

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Comment les parents peuvent se tenir au courant de la technologie

Face aux nouvelles technologies, les parents ont souvent la sécurité de leurs enfants en tête, mais sont parfois un peu dépassés eux-mêmes. Mais les parents devraient définitivement se tenir au courant de ces nouvelles réalités, et participer activement à celles-ci, disent les experts.
 
Si vous montrez que vous vous intéressez à leur « vie en ligne », vos enfants seront peut-être plus enclins à se sentir responsables de leurs actions. Par exemple, ils éviteront probablement de dire certaines choses regrettables sur Facebook s’ils savent que vous verrez celles-ci.
 
Il ne faut pas non plus hésiter à leur poser des questions. Les enfants adorent sentir qu’ils en connaissent plus que nous sur certains sujets. Il ne faut pas hésiter à tirer avantage de ce fait pour apprendre ce qui est nouveau, ce qui est populaire, comment ça fonctionne…
 
Vous pouvez aussi demander de l’aide à d’autres parents autour de vous, qui ont plus de facilité – ils pourront vous donner une liste de sites, d’applications, et de jeux vidéo que les jeunes adorent.
 
Ils pourront peut-être même vous faire une critique de ceux-ci, avec les pour et les contres ainsi que les dangers potentiels.
 
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Les experts recommandent un supplément de vitamine D pour les enfants et les femmes enceintes

Un pédiatre anglais expert des problèmes reliés à la carence en vitamine D lance un message aux médecins et aux parents, afin d’éviter une épidémie de rachitisme. Le Dr Benjamin Jacobs considère que certaines populations spécifiques, incluant les enfants et les femmes enceintes, devraient prendre un supplément de vitamine D.

La carence en vitamine D peut mener au rachitisme, mais aussi à des convulsions reliées à un manque de calcium ou même à de l’insuffisance cardiaque. Même à un degré léger, un déficit de cette vitamine peut causer une faiblesse musculaire ou de la douleur aux os chez les enfants, et même causer un retard dans la marche chez les bébés.

Le Dr Jacobs estime que le manque de reconnaissance de ce problème est « inacceptable », selon MedicalNewsToday. De nombreuses autorités anglaises se préoccupent du problème depuis quelque temps. Une campagne de sensibilisation est même en cours dans ce pays.

Un sondage récent a révélé qu’une personne sur 10 souffrait probablement d’une carence de cette vitamine, incluant les deux tiers de ceux-ci à un degré potentiellement grave.

Le corps humain ne peut produire de vitamine D, mais obtient plutôt celle-ci à travers l’exposition au soleil. Dans plusieurs endroits dans le monde, incluant l’Angleterre, mais aussi le Canada durant l’hiver, la faible lumière peut facilement mener à des carences.

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L’intimation entraine des conséquences à long terme

Selon une analyse réalisée par le Crime Victims’ Institute, avoir été victime d’intimidation est relié à problèmes de santé générale, des troubles de santé mentale, des problèmes de comportement, des troubles alimentaires, du tabagisme, de l’abus d’alcool et même des problèmes d’itinérance.

Les auteurs de l’analyse recommandent d’investir dans des programmes d’aide aux victimes ainsi que dans les programmes de prévention. Ces programmes devraient apporter une aide immédiate, à la fois physique et psychologique, aux victimes.

Même s’il s’agit d’une aide à court terme, l’auteure Leana Bouffard a souligné que « ce type d’investissement pourrait avoir l’avantage supplémentaire de réduire les effets nuisibles à long terme trouvés dans cette étude ainsi que dans d’autres. Ceci pourrait diminuer les coûts associés à la victimisation sur le système de santé et pour la société en général », tel que rapporté par ScienceDaily.

La présente analyse se base sur une étude à long terme menée sur un large échantillon représentatif des jeunes adultes américains. Parmi ceux-ci, 19 % disaient avoir déjà été victimes d’intimidation.