Selon une étude menée auprès de plus de 500 enfants âgés de 4 à 11 ans, les parents auraient systématiquement tendance à considérer que les enfants sont moins inquiets et plus optimistes qu’ils ne le sont vraiment.
Pour le pédiatre Harvey Karp, il est préférable d’avoir une attitude détendue face à la situation, puisque téter procure aux enfants un « merveilleux sentiment de réconfort et de calme », selon Today’s Parent.
Selon lui, sucer son pouce risque beaucoup plus de provoquer des problèmes d’orthodontie, mais il reste qu’un jour ou l’autre, il faudra encourager l’enfant à se débarrasser de cette béquille.
Commencer lentement : Au lieu de couper la suce d’un coup, on peut le faire graduellement, en commençant pendant la journée, et en terminant par le dodo. On peut aussi limiter l’usage de la suce seulement lorsque l’enfant est vraiment stressé ou qu’il a de la peine.
Être positif : Le Dr Karp affirme que le meilleur moyen d’encourager et de faire des compliments à un jeune enfant est de le faire indirectement. On peut par exemple dire à quelqu’un d’autre, en s’assurant que l’enfant entend : « Il est vraiment bon, il n’a presque plus besoin de sa suce! »
Planifier le grand jour : On peut préparer l’enfant à une journée où la suce sera abandonnée pour de bon, par exemple un anniversaire ou une occasion spéciale. On peut aussi lui donner un cadeau en échange de sa suce.
Les enfants d’alcooliques sont notamment 4 fois plus susceptibles de devenir à leur tour alcooliques ou toxicomanes que les autres. Voici quelques pistes pour les épauler dans cette épreuve, selon PsychCentral.
Trouver de l’aide pour le parent alcoolique : Lorsque c’est possible, c’est la meilleure chose qui puisse arriver, pour lui comme pour sa famille.
Trouver de l’aide pour l’enfant : Il existe des groupes de soutien ou des thérapeutes et psychologues qui peuvent les assister et leur faire sentir qu’ils ne sont pas seuls.
Expliquer la maladie : Les enfants doivent savoir que l’alcoolisme est une maladie, causée par une combinaison de facteurs génétiques, environnementaux, émotifs, etc., et que ce n’est pas leur faute.
Démontrer de la compassion : Peu importe la manière dont ils réagissent face au problème, les enfants savent que ce qu’ils vivent n’est pas juste, et ils ont besoin de compassion et de respect.
Privilégier la routine : La prédictibilité de certains rituels, comme le souper en famille à la même heure, peut leur apporter une certaine stabilité.
Cultiver la résilience : Il est possible pour ces enfants d’en arriver à mener une vie normale, s’ils apprennent à communiquer, à mettre l’accent sur le positif, à se distancer de la dynamique familiale dysfonctionnelle et à trouver du soutien auprès d’adultes sains.
Identifier les problèmes : Il peut y avoir des causes très diverses, d’un trouble d’apprentissage non diagnostiqué à un manque de connaissances, à un besoin d’apprendre à étudier et à s’organiser.
Reconnaître des causes externes : Parfois, le problème n’est pas scolaire, mais vient d’ailleurs. Y a-t-il eu de l’intimidation, une maladie, l’arrivée d’un nouveau frère ou d’une sœur, un déménagement, une séparation, etc.?
Parler à l’enseignante : Celle-ci pourra sûrement vous donner beaucoup d’information sur le comportement de votre enfant à l’école, ou encore pourra vous diriger vers des ressources appropriées. C’est toujours mieux de former une équipe pour le bien de votre enfant.
Participer : C’est bien connu, les enfants dont les parents participent activement à leur éducation réussissent beaucoup mieux à l’école.
Engager un professeur : Un apprentissage directement axé sur votre enfant peut faire une différence énorme dans sa progression et lui inculquer des connaissances et des stratégies qu’il ne pourrait tout simplement pas apprendre dans une classe de 20 à 30 enfants.
Une étude révèle que les traumatismes au cerveau, fréquents chez les enfants qui tombent ou qui font du sport, pourraient mener certains jeunes à devenir des criminels.
Les chercheurs ont appelé ces blessures une « épidémie silencieuse », affectant le jugement des individus ainsi que leurs habiletés sociales, ne leur permettant plus de maitriser leurs impulsions.
C’est ainsi qu’un sondage auprès de prisonniers adultes britanniques a révélé que 60 % d’entre eux avaient déjà souffert d’un traumatisme crânien durant l’enfance.
Cette proportion est nettement plus élevée que dans la population générale, ont remarqué les chercheurs, ajoutant que les problèmes neurodéveloppementaux tendaient également à être beaucoup plus présents chez les gens ayant commis un crime.
Les conséquences associées à ces troubles incluent les difficultés d’apprentissage et de communication, ainsi que des problèmes comportementaux et émotifs.
« Même si les enfants qui ont souffert de traumatismes au cerveau ou de problèmes neurodéveloppementaux peuvent reconnaître la différence entre le bien et le mal, ils ne peuvent peut-être pas comprendre les conséquences de leurs gestes et ne sont pas capables de maitriser leurs comportements », a affirmé Maggie Atkinson, la commissaire responsable des enfants en Angleterre, tel que rapporté par le Daily Mail.
Les écouter : Ça peut sembler paradoxal, mais il est primordial d’écouter nos émotions par rapport aux peurs. Il ne faut pas montrer aux enfants que toute peur est négative, parce qu’une certaine dose de peur (face à un animal inconnu, par exemple) est nécessaire dans la vie. Il faut plutôt les aider à maîtriser ces émotions.
Montrer comment trouver l’équilibre : Ce n’est pas facile, mais l’idéal est d’enseigner à l’enfant que c’est bon d’exprimer ses peurs plutôt que de les cacher, mais sans non plus réagir de façon trop intense.
Ne pas les ridiculiser : Il est parfois tentant de rire un peu de ces peurs, qui nous paraissent tellement inoffensives. Cependant, c’est une stratégie à éviter à tout prix, car en plus d’avoir peur, l’enfant n’osera plus en parler.
Être patient : Ça peut être long pour un tout-petit de réussir à affronter ses peurs. Il est mieux de faire de petits pas à la fois.
Faire du renforcement positif : Encourager chaque petit progrès et montrer notre fierté devant leurs efforts.
Selon une étude publiée dans la revue médicale Pediatric Obesity, les enfants qui obtiennent une heure additionnelle de sommeil par jour ont 30 % moins de chances d’être obèses.
Ceux qui possèdent des appareils électroniques dans leurs chambres, par exemple des téléviseurs, ordinateurs, jeux vidéo et téléphones cellulaires, avaient également beaucoup plus de chances d’être en surpoids.
L’étude a été menée en Alberta auprès de 3400 enfants de cinquième année. La moitié d’entre eux possédaient un téléviseur, un lecteur de DVD ou une console de jeu dans leur chambre, alors que 21 % avaient un ordinateur, et 17 % avaient un cellulaire. 5 % des enfants possédaient tous ces appareils.
57 % des jeunes ont affirmé qu’ils se servaient de ces appareils tard le soir, alors qu’ils étaient censés dormir. Les enfants qui possédaient un appareil avaient 1,5 fois plus de chances d’être obèses, tandis que cette statistique grimpait jusqu’à 2,6 fois plus de chances si les enfants avaient trois appareils.
L’auteur de l’étude, Paul Veugelers, s’est adressé aux parents en disant que « si vous voulez que vos enfants aient un style de vie plus sain et dorment mieux, sortez la technologie de leur chambre », selon le Science Daily.
C’est ce que révèle les résultats d’une étude effectuée par la Dre Sharon Bout-Tabaku et ses collègues du Nationwide Children’s Hospital et de l’Ohio State University aux États-Unis.
Selon medicalnewstoday.com, les chercheurs démontrent que les enfants obèses avec des douleurs aux membres inférieurs ont une qualité de vie et une santé moindres que les enfants obèses qui ne sont pas aux prises avec cette souffrance.
Lors de l’étude, 175 enfants obèses ont participé au processus. De ce nombre, 51 ressentaient de la douleur aux membres inférieurs. En tenant compte de l’âge, du sexe, de la motricité physique, du niveau d’exercice et de la santé psychosociale de l’enfant, ceux qui souffraient obtenaient visiblement des résultats plus bas.
Ainsi, les enfants obèses ayant des douleurs étaient plus ciblés émotionnellement, socialement et relativement à l’environnement scolaire. Cependant, le niveau de la forme physique n’était pas nécessairement influencé.
L’auteure conclut donc : « Nos découvertes soutiennent l’importance de la recherche sur la douleur des membres inférieurs quant à l’évaluation de la santé des enfants obèses. Cette douleur joue un rôle important lors de la prise en charge pour la perte de poids ou les programmes d’exercice physique ».
Brad Pitt a importé pour 8000 $ de nourriture britannique pour ses enfants, simplement parce qu’ils aiment « tellement » ces mets traditionnels.
Ainsi, malgré le fait que Maddox, Pax, Zahara, Shiloh et les jumeaux Knox et Vivienne se trouvent dans leur demeure familiale du sud de la France, ils mangent ce qu’ils veulent. Ils sont tombés amoureux des fèves cuites, tartes et autres mets qui ne sont malheureusement pas cuisinés en France.
Une source a justifié en disant : « Après avoir vécu si longtemps au Royaume-Uni, ils en ont eu assez de la nourriture française ».
« Brad a regardé en ligne et a trouvé une compagnie britannique qui livre des mets préparés. […] Il a rempli deux congélateurs complets. »
Brad Pitt et Angelina Jolie sont reconnus pour gâter leurs enfants. Mieux encore, Jolie a déclaré récemment qu’elle souhaitait devenir leur « amie » lorsqu’ils seront adolescents.
« Je veux qu’ils sachent que peu importe la situation, ils peuvent me parler. Je serai honnête avec eux. C’est le mieux que je peux faire. »
Jolie, 37 ans, est plus stricte avec ses filles que ses garçons, alors que Pitt, 48 ans, se fait complètement mener par ses fillettes.