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Les enfants autistes seraient plus anxieux

De plus, ces enfants auraient des réactions sensorielles atypiques à la lumière, aux sons et aux textures, selon les chercheurs de l’Université du Missouri.

« Ces problèmes peuvent avoir de véritables impacts sur la vie quotidienne. Les enfants stressés peuvent être angoissés et réticents devant de nouvelles activités, et ceux avec des problèmes sensoriels peuvent avoir de la difficulté à se concentrer ou à participer dans des environnements trop stimulants », explique un professeur adjoint de psychologie et psychologue clinique de l’enfant, Micah Mazurek.

Selon lui, les médecins devraient être conscients de ces problèmes reliés à l’autisme et traiter leurs jeunes patients en conséquence, tandis que les parents devraient être attentifs à ces symptômes pour mieux les diriger.

Rappelons que traiter l’anxiété chez les enfants avec l’ordinateur et sans médicaments serait désormais possible.

Le programme créé s’appelle Attention Bias Modification (ABM). Il réduit l’anxiété en attirant l’attention des enfants sur autre chose, de façon à réduire leur tendance à insister sur des menaces potentielles et à changer leur façon de penser.

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Les enfants atteints de maladies du rein ont les artères trop épaisses

Ce problème, appelé athérosclérose carotidienne, est généralement observé chez les adultes ayant un taux de cholestérol élevé et d’hypertension non traitée.

Toutefois, pour les enfants atteints d’une forme modérée de maladie des reins en souffriraient aussi.

Ces résultats inquiètent les experts puisqu’ils signifient que la maladie cause des dommages aux vaisseaux sanguins bien plus tôt qu’ils l’avaient estimé.

« L’hypertension et le cholestérol non traités augmentent les risques de dommages vasculaires à long terme chez n’importe quel enfant, mais chez les enfants atteints de maladie du rein, ils peuvent faire des ravages beaucoup plus graves », explique la scientifique principale derrière cette étude, Tammy Brady.

Aussitôt la maladie diagnostiquée, ces enfants devraient donc être surveillés de près et traités pour l’hypertension et le cholestérol afin de réduire les risques de complications sérieuses.

Rappelons que les bébés prématurés sont plus enclins à souffrir de maladies rénales. La prématurité aurait un impact sur le développement des reins. Un moins grand nombre de néphrons serait produit, car ceux-ci se multiplient durant les dernières semaines de la grossesse.

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Le bisphénol A, omniprésent et responsable de l’obésité infantile

L’étude menée auprès de 3000 enfants et adolescents est plutôt inquiétante. La recherche, effectuée par la New York University School of Medicine, conclut à une corrélation probante entre la détection dans l’urine d’une forte concentration de BPA et la prévalence à l’obésité.

Ainsi, durant l’étude, plus de 90 % des jeunes âgés de 6 à 19 ans présentait une concentration de BPA détectable dans leur urine. Pour déterminer le lien entre le taux de concentration et les risques d’obésité, l’indice de masse corporel (IMC) était également pris en considération.

Or, les résultats publiés par le Dr Leoardo Trasande de la NYU School of Medicine, selon santelog.com, démontrent clairement que le taux élevé de BPA augmente le risque d’obésité chez les enfants de plus de deux fois et demie.

Ce n’est pas tant cette information qui choque, que le fait que le bisphénol A est omniprésent, et ce, jusque dans les préparations de lait que les nourrissons boivent. Il s’agit d’un produit chimique environnemental, interdit dans certains pays, du moins pour la nourriture pour bébé.

Le Dr Trasande a même indiqué que plusieurs études ont déjà traité du sujet, indiquant même que le BPA pouvait perturber de nombreux mécanismes métaboliques. Seulement, le lien avec l’obésité infantile n’avait pas encore été mis en lumière.

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6 façons de rendre les devoirs moins pénibles

Voici 6 trucs qui vous aideront à rendre la tâche moins fastidieuse et qui fera comprendre à vos enfants qu’ils doivent se responsabiliser.

Devoirs pour petits et grands : Instaurez un climat de devoirs familiaux. Pendant que votre enfant fait ses devoirs, indiquez-lui que vous devez faire les vôtres : liste d’épicerie, paiement de comptes, rebords de pantalon, etc.

À chacun ses forces : Partagez les matières scolaires avec votre conjoint/conjointe. Vous êtes bon en mathématiques, elle est bonne en français et en anglais. Responsabilisez votre enfant à consulter le bon parent, selon la matière qu’il maîtrise.

Laissez-lui vous expliquer le problème plutôt que de le régler pour lui : Votre enfant ne comprend pas? Demandez-lui quel est le problème à régler, et ce qu’il ne saisit pas. Vous serez surpris de voir que bien souvent, il trouvera lui-même la réponse. N’oubliez pas de le féliciter!

Aidez-le à trouver la réponse : S’il est tout près, mais n’arrive pas à résoudre puisqu’il manque un élément, aidez-le à formuler d’autres hypothèses, ou d’autres façons d’approcher le problème.

N’étirez pas la sauce : Il est bien de laisser l’enfant trouver lui-même ses réponses, mais si vous étirez la sauce, plutôt que de parfois lui donner les réponses, vous risquez des tensions en escalade. L’important, c’est de conserver une ambiance d’entraide.

Respectez vos limites : Sachez à quel moment l’enfant est réellement en difficulté et qu’il ne vous est plus possible de l’aider. Un spécialiste ou de l’aide aux devoirs sera peut-être nécessaire.

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Doit-on forcer nos enfants à déjeuner?

La première solution consiste à trouver des alternatives au déjeuner habituel. Les toasts et les céréales ne passent plus? Pensez à innover un peu, sans que cela vous prenne 30 minutes chaque matin. Des fruits coupés à l’avance, un yogourt et un morceau de fromage avec des granolas secs qui mettent un peu de croquant, ou encore un smoothie.

De nombreuses recettes de smoothies sont proposées sur le Web. Choisissez celles qui contiennent le plus de vitamines et de protéines. Si votre enfant refuse toujours d’avaler son déjeuner, prévoyez des collations qui éviteront les fringales pendant l’avant-midi, inutile de lui forcer la main.

Selon psychoenfants.fr, ses forces l’abandonneront inévitablement et il sera incapable de se concentrer. S’il ne mange pas suffisamment, il se retrouvera en hypoglycémie rapidement et se sentira fatigué toute la journée. Préférez donc les sucres lents comme le pain entier et les biscottes, qu’il pourra manger facilement entre deux cours.

Discutez avec votre enfant de la raison pour laquelle il doit déjeuner, en mentionnant les effets physiologiques, mais aussi les effets sur son comportement.

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Les enfants migraineux enclins à la dépression à l’âge adulte

L’étude, menée au Brésil auprès de 1856 enfants âgés de 5 à 11 ans, apporte des résultats concluants. Plus les migraines sont fréquentes, plus les chances de développer un désordre comportemental sont élevées.

Selon medicalnewstoday.com, c’est ce que rapporte le directeur du Glia Institute de São Paulo, Marco Arruda, en collaboration avec Marcelo Bigal du Albert Einstein College of Medicine à New York.

Arruda explique : « Plus de 3 % des enfants souffrent de fréquents maux de tête dès la petite enfance, jusqu’à l’adolescence. Une étude ultérieure avait déjà démontré le lien avec les problèmes physiques et mentaux tels que l’hyperactivité, les problèmes d’attention, la dépression et l’anxiété ».

Cependant, les chercheurs affirment que la fréquence et la durée des migraines n’avaient pas été considérées auparavant. Maintenant que ces résultats confirment cette théorie, il sera possible, dans le milieu médical, de mieux traiter ces enfants de façon préventive.

Néanmoins, d’autres recherches plus poussées devront être menées afin de déterminer de façon plus précise l’impact des migraines infantiles sur le comportement psychologique adulte.

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20 minutes d’activité intense pour éviter le diabète chez les enfants obèses

L’obésité et le diabète sont non seulement bien souvent reliés, mais l’obésité est désormais considérée que l’une des maladies principales aux États-Unis. Au cours de cette étude, ce sont 222 jeunes de 7 à 11 ans qui ont accepté de participer.

Le groupe de jeunes a été divisé en 3. Le premier groupe ne changeait rien à son cadre de vie, le second groupe devait suivre un programme d’exercice intense de 20 minutes, et le dernier testait les bienfaits d’un programme d’exercice quotidien de 40 minutes.

Les résultats, publiés dans le Journal of the American Medical Association, démontrent que 20 minutes d’exercices intenses quotidiennement, sur une période aussi courte que 3 mois, réduisent considérablement le risque associé au diabète de type 2.

Quant au groupe qui pratiquait une activité intense pendant 40 minutes, les bienfaits étaient plus notables, il va de soi. Cette période d’exercice permettait d’attaquer la masse graisseuse, mais pas seulement en surface. La graisse abdominale profonde, plus dangereuse pour la santé, était également réduite.

Cependant, la Dre Catherine Davis, psychologue de la santé à l’Institute of Public and Preventive Health à l’Université des Sciences de la santé de la Géorgie, insiste sur l’intensité de l’activité : « Ce n’est pas tant la durée que la constance de l’intensité de l’activité qui affiche le meilleur résultat ».

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Le sel cause de la haute pression chez les enfants

En effet, mythealthnewsdaily.com rapporte que selon le guide alimentaire américain, un enfant ne devrait pas consommer plus de 2300 mg de sel quotidiennement.

Les résultats de cette recherche, publiés aujourd’hui dans le journal Pediatrics, sont clairs. Même pendant les analyses, les enfants de 8 à 18 ans qui consommaient le plus de sel présentaient déjà une pression plus haute que ceux qui avaient une meilleure alimentation. Ces résultats sont encore plus alarmants chez les enfants obèses.

Pour vulgariser, les enfants qui consomment la même quantité de sel qu’un adulte sont 2 fois plus à risque de développer de la haute pression. Cependant, il est difficile de contrôler son apport en sodium si l’on mange régulièrement dans les restaurants, selon les chercheurs. Plus de 75 % du sel que l’on consomme provient des aliments transformés ou des restaurants.

Les informations ont été recueillies entre 2003 et 2008 auprès de 6235 enfants. Ceux-ci répondaient simplement à des questions relativement à ce qu’ils avaient mangé dans les quelques jours précédant le sondage.

37 % des participants étaient obèses ou en surpoids, et 15 % faisaient de la haute pression ou affichaient un résultat à la limite de la haute pression.

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Gain de poids des jeunes enfants après le retrait des amygdales

La recherche a été menée par la Dre Stacey Ishman, otorhinolaryngologiste à l’Université Johns Hopkins à Baltimore. 115 enfants de 6 mois à 18 ans ont participé à l’étude. Un gain de poids moyen de 2 à 5 livres a été observé dans les six mois suivant l’opération.

Cependant, la prise de poids la plus importante se situait chez les enfants âgés de 2 à 6 ans, particulièrement si l’enfant était de poids normal ou inférieur à la moyenne avant l’intervention.

Ainsi, l’étude suggère que les parents d’enfants en surpoids n’ont pas à s’inquiéter outre mesure. Il faut simplement s’assurer d’une réduction d’apport calorique à la suite de la chirurgie.

Aucune corrélation probante n’a été déterminée quant au retrait des amygdales et du gain de poids observé. Cependant, la Dre Ishman émet l’hypothèse que ceux qui ont eu recours à l’opération en raison de multiples inflammations à la gorge trouvaient plus facile de manger par la suite. Il apparaît donc logique, dans ces cas, que l’enfant prenne du poids.

Les résultats, selon myhealthnewsdaily.com, seront présentés à la conférence annuelle de l’American Academy of Otolaryngology – Head an Neck Surgeons, à Washington, D.C.

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Conséquences de l’anesthésie chez les enfants de moins de 3 ans

L’étude a été menée à partir d’une recherche ultérieure, la Western Australian Pregnancy Cohort. En fait, les données y recensaient déjà les petits ayant subi une ou plusieurs anesthésies avant l’âge de 3 ans, chez des enfants nés entre 1989 et 1992.

Sur les 2608 enfants qui ont participé à cette étude plus récente, 321 d’entre eux avaient été exposés à l’anesthésie générale. Les facteurs examinés étaient le développement du langage, les fonctions cognitives, les habiletés motrices et le comportement à l’âge de 10 ans.

Selon Pediatrics, les résultats ont démontré que les enfants anesthésiés, même une seule fois, obtenaient des scores moins élevés quant à l’expression verbale et au raisonnement abstrait. Malheureusement, ces problématiques persistaient à long terme. À l’âge de 10 ans, ces mêmes retards étaient observés.

En conclusion, les résultats démontrent la corrélation entre l’anesthésie et les conséquences neuropsychologiques chez l’enfant, et ce, à moyen terme. D’autres études seront nécessaires pour vérifier si ces lacunes se répercutent jusqu’à l’adolescence et l’âge adulte.