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Situation pré-immigration : impact important sur les enfants immigrés

Ce sont les conclusions auxquelles sont parvenus les chercheurs à la Pennsylvania State University. Les résultats se retrouvent dans la section Spécial immigration de la revue Child Developpement, édition septembre/octobre 2012.

Selon eurekalert.org, les critères évalués font partie du New Immigrant Survey (États-Unis), qui a été soumis à plus de 2100 enfants âgés de 6 à 12 ans. Les parents faisaient également partie du sondage.

Les données relevées différaient d’un groupe d’immigrants à l’autre, selon la provenance, notamment. L’éducation des parents, la profession et le statut d’emploi étaient les principales caractéristiques analysées. De plus, le niveau de stimulation cognitif avec l’enfant et le niveau de connaissance préalable de la langue du pays d’adoption contribuaient également aux résultats.

En résumé, les familles ayant un bon statut social, une bonne éducation et un revenu substantiel avant l’immigration se retrouvent défavorisées en regard des ressources du nouveau pays. Les emplois leur sont moins favorables.

Au contraire, les familles de parents peu scolarisés ou sans emploi se retrouvent dans un environnement où l’emploi est plus facile et les ressources plus avantageuses. Ainsi, les enfants de ces familles, même après la seconde génération d’immigrants, sont favorisés dans leur réussite et leurs réalisations sociales.

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Comparaison du développement académique d’immigrants dans 4 pays

C’est ce que présentent les résultats d’une étude rapportée par eurekalert.org, publiée dans l’édition d’octobre du journal Child Development.

Elizabeth Washbrook, principale auteure du projet et conférencière en éducation à l’University of Bristol, y mentionne les différences observées : « En dépit de différences importantes quant aux ressources accordées aux parents immigrants et dans les règles de sélection et différentes politiques d’établissement, il existe des similitudes importantes dans le comportement et le développement des enfants de 4 et 5 ans provenant de parents immigrants et ceux de parents résidents ».

« La différence majeure réside dans l’apprentissage de la langue, surtout si la langue maternelle, au lieu de la langue officielle, est constamment utilisée à la maison », poursuit Washbrook.

Ainsi, il est expliqué que les enfants immigrants rencontrent les mêmes problèmes comportementaux et sociaux que les autres enfants (hyperactivité, comportement antisocial).

L’étude de grande envergure a été menée auprès de 40 000 enfants nés entre 2000 et 2004 par des chercheurs de l’University of Bristol, de la Columbia University, de la London School of Economics and Political Sciences, de l’University of New South Wales, de l’Université d’Ottawa et d’un institut indépendant.

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Interdire la fessée au Canada

Encore de nos jours, on estime à 50 % le nombre de parents nord-américains qui donnent la fessée à leurs enfants. Selon une ancienne loi, c’est la responsabilité du parent de discipliner physiquement son enfant.

Cependant, selon parenting.com, le Canadian Medical Association Journal (CMAJ) espère que cette loi, vieille de 120 ans, soit changée d’ici peu.

L’éditeur en chef du CMAJ, John Fletcher, vient de faire paraître un éditorial intitulé Positive Parenting, Not Physical Punishment (éducation parentale positive, sans châtiment physique).

« Il s’agit d’une excuse constante pour les parents de s’accrocher à une méthode inefficace pour discipliner l’enfant, alors que de meilleures approches sont proposées », explique John Fletcher.

Au Canada, c’est 50 % des parents qui donnent encore la fessée aux enfants, alors qu’aux États-Unis, 70 % des mères avouent avoir utilisé la discipline physique au moins une fois. Cela va pourtant à l’encontre de l’American Academy of Pediatrics, qui s’y oppose catégoriquement.

Au-delà du territoire nord-américain, plus de 30 pays ont interdit les châtiments corporels à la maison, incluant la Nouvelle-Zélande, le Soudan et l’Autriche.

Fletcher affirme qu’il s’agit de la seule solution « humaine »; on doit interdire cette pratique.

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Trop manger : les enfants sont sous pression

Que ce soit pour terminer leur assiette, manger de force des légumes qu’ils ne veulent pas avaler ou simplement les obliger à se nourrir lorsqu’ils n’ont pas faim, ces mauvaises habitudes sont le fruit, bien souvent, d’une mauvaise conception de la faim et de la satiété.

L’étude, mentionnée sur le site medicalnewstoday.com, indique que les jeunes enfants âgés de 2 à 4 ans, dont au moins l’un des parents est obèse ou en surpoids, peuvent éviter l’obésité plus tard. Pour ce faire, les parents doivent appliquer la technique « DOR » ou Division de responsabilité.

Le principe a pour but d’enseigner aux parents à laisser l’enfant choisir la quantité de nourriture qu’il souhaite ingérer, sans le forcer à se gaver. S’il n’a pas faim au repas, il faut l’accepter.

Il a été démontré que les parents en surpoids qui suivaient un régime pour modifier leurs habitudes alimentaires étaient plus enclins à forcer leurs enfants à manger, puisqu’il s’agissait d’aliments santé. En contrepartie, les parents qui appliquaient le principe DOR transmettaient un meilleur enseignement de bonnes habitudes alimentaires à leurs enfants.

Le Dr Agras, qui a mené l’étude, affirme que tout parent « doit améliorer ses efforts pour enseigner la façon adéquate de se nourrir, en choisissant des aliments santé. Mais dans tous les cas, il faut éviter de mettre de la pression pour que l’enfant se nourrisse ».

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Les enfants malheureux deviennent des adultes matérialistes

Ainsi, les listes de cadeaux pour les anniversaires ou pour Noël semblent inoffensives, mais en réalité, elles peuvent démontrer le degré d’insatisfaction d’un enfant. S’il est malheureux, il aura tendance à étirer la liste et à tout vouloir.

Parenting.com rapporte que selon l’auteure principale de la recherche, Suzanna Opree, les enfants américains sont exposés à plus de 40 000 publicités à la télévision, et ce, annuellement. Elle expliquait à HealthDay : « La publicité semble enseigner aux enfants que la possession d’objets améliore le bonheur ».

C’est donc un cercle vicieux. Malheur et tristesse combinés au matérialisme ne mènent à rien de positif. « Des études précédentes ont indiqué que les adultes insatisfaits sont matérialistes, mais les personnes matérialistes sont également plus insatisfaites ou plus malheureuses dans leur vie », mentionne Opree.

Éviter ce cycle oppressant tôt dans la vie de l’enfant est la responsabilité du parent. Celui-ci doit mettre l’accent sur les sources positives, sur la joie, l’amour et l’amitié, plutôt que d’acheter le bonheur avec des objets.

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Les enfants asthmatiques plus souvent victimes d’intimidation

Malheureusement, les moqueries se transforment facilement en harcèlement. Les conclusions émises lors du congrès de l’ERS (European Respiratory Society) abondent en ce sens, selon le site Quotidien du médecin.

L’étude, intitulée Room to Breath (De l’espace pour respirer), a été menée notamment par Will Carroll et ses collègues du Derbyshire Children’s Hospital au Royaume-Uni.

Selon Carroll, « il est nécessaire que les médecins parlent avec les jeunes patients asthmatiques du harcèlement à l’école ou ailleurs, ainsi que d’autres domaines de leur vie où l’asthme pourrait avoir un impact ».

Ce n’est pas une situation qui est unique à l’asthme. Tout enfant ayant une affection médicale particulière est sujet à l’intimidation. Les différentes raisons ont été listées lors de l’étude des 943 questionnaires émis lors de la recherche. Ceux-ci concernaient les enfants de plus de 7 ans.

Deux facteurs principaux ont été retenus. De l’un, le sentiment omniprésent de tristesse chez l’enfant, qui le rend plus vulnérable, ainsi que sa faible participation aux activités sportives. Ce sont là deux éléments qui pointent l’enfant du doigt bien malgré lui.

Bien entendu, plusieurs autres pistes doivent être étudiées plus en profondeur. Les parents surprotecteurs, par exemple, ont un effet aggravant sur la façon dont l’enfant se perçoit et doivent également être pris en compte.

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Quelques activités pour le bon développement de vos enfants

D’abord, le site propose d’écrire des lettres au crayon sur un carton, puis de donner à l’enfant des objets texturés, comme des fèves ou des pâtes non cuites, afin qu’il trace la lettre en plaçant ces articles sur votre trait de crayon.

Apprenez-lui à mesurer des choses avec des objets du quotidien. Par exemple, couchez-le et alignez près de lui des pommes afin de lui montrer sa taille en nombre de pommes.

Vous pouvez aussi lui apprendre des mots en collant un peu partout dans la maison des papiers sur lesquels vous écrirez le nom des objets. Sinon, vous pouvez inventer des comptines avec des mots de vocabulaire.

Puis, montrez-lui déjà à ranger ses jouets et à s’organiser. Faites un calendrier où vous numéroterez les jours de 1 à 7 pour chaque semaine et demandez-lui quel jour on est tous les matins.

Quand vous allez en ville, dites-lui quelle est la spécialité, ce que l’on vend dans les magasins où vous arrêtez.

Vos enfants aimeront prendre part à une chasse au trésor ou encore regarder un album photo d’amis et de la famille, pour l’aider à développer sa mémoire des noms et des visages.

Rappelons aussi qu’une fois l’enfant rendu à l’école, vous pouvez l’inscrire à un cours de musique puisque jouer d’un instrument durant l’enfance améliore la façon dont le cerveau fonctionne à l’âge adulte.

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Le stress nuirait à la capacité d’apprentissage des enfants

En fait, les enfants qui vivent dans la pauvreté, dont les parents divorcent ou qui ont des parents sévères auraient plus de difficulté à apprendre que les autres.

Le haut niveau d’hormones reliées au stress influencerait le développement des circuits du cerveau des enfants et engendrerait une inhibition des fonctions cognitives comme la planification, l’impulsion, le contrôle des émotions et l’attention, qui sont toutes importantes dans l’apprentissage.

« Même si les parents pauvres peuvent fournir des soins adaptés, ils sont moins susceptibles de le faire à cause des réalités de leur situation et, potentiellement, de leur propre niveau de stress élevé », explique Clancy Blair de l’Université de New York.

Les scientifiques croient que de trouver des façons de réduire ce stress à la maison et à l’école pourrait améliorer le bien-être et le bonheur des enfants, leur permettant d’avoir plus de succès sur le plan scolaire.

Rappelons que les gens stressés ou dépressifs voient leur cerveau perdre du volume, ce qui expliquerait pourquoi certains développent des troubles affectifs et cognitifs.

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Aider les enfants qui redoublent une année scolaire à s’ajuster

Vous pouvez d’abord être positif à propos de cette nouvelle situation. Faites comprendre à l’enfant que cette année sera moins stressante pour lui puisqu’il aura plus de temps pour apprendre.

Ensuite, travaillez sur l’estime de soi de votre enfant. Comme il se comparera à ses amis qui ont avancé d’une année, tentez d’attirer son attention sur les matières dans lesquelles il est meilleur.

Puis, rendez les contacts avec ses nouveaux camarades plus jeunes moins difficiles en en invitant quelques-uns à la maison, par exemple. Si ces anciens amis lui manquent, dites-lui qu’il peut les retrouver à la récréation.

Toutefois, il faut éviter de blâmer votre enfant pour son échec. Tentez plutôt de l’encourager.

Évitez donc aussi d’être découragé vous-même. En tant que parent, vous devriez vous concentrer sur l’objectif, soit que votre petit réussisse son année scolaire et s’épanouisse.

Rappelons qu’un enfant est plus efficace et plus confiant en classe si un adulte lui confirme qu’il a droit à l’échec. Les experts croient que « les enseignants et les parents devraient mettre l’accent sur le progrès des enfants plutôt que de se concentrer uniquement sur les notes et les résultats des tests », pouvait-on lire dans une précédente étude.

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Les enfants atteints de troubles neurologiques plus susceptibles de décéder de la grippe

Les enfants atteints de désordres du développement ou de troubles neurologiques comme l’épilepsie et la paralysie cérébrale auraient constitué 43 % des décès d’enfants dus au virus H1N1 durant la pandémie de 2009.

En fait, ces enfants ont souvent des problèmes reliés aux fonctions de muscles qui affectent la respiration, la toux et la déglutition.

Ainsi, ils ne peuvent pas chasser les sécrétions de leurs voies respiratoires, les rendant particulièrement vulnérables à la pneumonie, selon l’étude publiée dans Pediatrics.

L’étude a également fait ressortir l’importance de la vaccination en démontrant que 3 % seulement des enfants avec un problème neurologique qui ont succombé à la grippe avaient reçu un vaccin contre la souche pandémique de la maladie.

Rappelons que les femmes qui allaitent, grâce au lait maternel qui améliore le système immunitaire du bébé, rendent déjà leur enfant moins susceptible d’attraper la grippe, entre autres maladies.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) soutient que l’allaitement maternel « est l’un des moyens les plus efficaces de préserver la santé et d’assurer la survie de l’enfant ».