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Les enfants uniques plus à risque de devenir obèses

Les enfants uniques seraient en fait deux fois plus susceptibles de devenir obèses que les enfants qui ont des frères et soeurs.

L’étude a évalué l’indice de masse corporelle de 12 700 enfants européens de deux ans jusqu’à neuf ans pour en arriver à cette conclusion.

Selon les chercheurs, ce risque accru pourrait venir du style de vie différent des enfants uniques.

« Les enfants uniques jouent moins dehors, vivent souvent dans des ménages ayant un faible niveau d’éducation et sont plus susceptibles d’avoir des télévisions dans leur chambre », expliquent les auteurs.

Les chercheurs envisagent de mener une seconde étude qui permettra de cibler les causes exactes de ce risque élevé.

Rappelons que l’obésité dérèglerait l’horloge circadienne du corps — reliée aux cycles du sommeil —, entraînant une puberté précoce. L’obésité en début de puberté peut affecter le pancréas, le foie et d’autres glandes endocrines.

Il existe une corrélation entre la puberté précoce et les cancers des organes reproducteurs ainsi que le diabète, entre autres.

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Les enfants gênés désavantagés académiquement

En fait, les enfants gênés et repliés sur eux-mêmes tôt à la maternelle auraient de moins bonnes aptitudes académiques et apprendraient plus lentement au fil des années, d’après des chercheurs de l’Université de Miami, dont l’étude est publiée dans le Journal of School Psychology.

« Les enfants qui sont très introvertis à la maternelle ont tendance à “disparaître au sein de la classe”. […] Il apparait que tandis que ces enfants ne causent pas de problèmes à l’école, ils ne participent pas aux activités de classe et aux interactions, où presque tout l’apprentissage se fait à cet âge », explique la coauteure de l’étude, Elizabeth R. Bell.

Contrairement à eux, les enfants plus bruyants attireraient davantage l’attention du professeur et bénéficieraient de stratégies d’éducation spécifiques.

Les scientifiques espèrent donc convaincre les parents de ne pas seulement préparer les enfants à la maternelle en leur apprenant l’alphabet, mais aussi en leur apprenant à être à l’aise avec les autres.

Rappelons qu’une hormone pourrait bien aider les gens timides dans le futur. Les scientifiques s’intéressent de plus en plus à l’ocytocine, une hormone qui pourrait changer la vie des introvertis.

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Les enfants uniques plus susceptibles de réussir

« Une faible fertilité et un haut niveau socio-économique déterminent une meilleure réussite socio-économique pour la descendance sur quatre générations », peut-on lire dans cette étude conduite par des chercheurs britanniques et suédois.

En fait, les experts ont davantage remarqué le lien entre la réussite et le nombre d’enfants chez les familles aisées.

« La faible fertilité des parents et un haut niveau socio-économique induisent des notes plus élevées à l’école, un meilleur parcours éducatif et des revenus supérieurs », explique-t-on.

Cependant, un lien si fort entre les enfants uniques et les familles moins bien nanties n’a pas pu être observé.

Les enfants uniques issus de familles pauvres n’apportent que peu de bénéfices pour les générations suivantes puisque leur succès dépendrait de facteurs « plus vastes de société ».

Rappelons que les enfants uniques n’ont pas du succès uniquement dans leur vie professionnelle. Selon l’auteure et psychologue Emmanuelle Rigon, les enfants uniques sont souvent des amis fidèles que la solitude aura rendus plus forts, leur montrant à apprécier davantage la vie de groupe.

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Les femmes d’affaires négligeraient l’alimentation de leurs enfants

Une étude menée par un économiste de la santé a démontré que les mères américaines avec des emplois à temps plein passaient 3 h 30 de moins par jour que les mères au foyer à cuisiner, faire l’épicerie et jouer avec leurs enfants.

De plus, les femmes d’affaires achèteraient davantage de repas déjà préparés ou commanderaient plus souvent des repas pour emporter.

Toutefois, les experts affirment que tout le blâme ne revient pas aux femmes.

La situation ne serait pas mieux pour les pères hommes d’affaires, puisque ceux-ci passeraient seulement 13 minutes par jour à faire ce genre d’activités, tandis que les pères au foyer en passeraient 41.

« Ce n’est pas correct d’associer la hausse du taux d’obésité chez les enfants aux mères, étant donné que les pères comblent si peu les manques », indique l’auteur de la recherche, John Cawley.

Rappelons que les spécialistes soutiennent qu’avant l’âge de six ans, le parent joue un grand rôle d’influence et d’exemple concernant l’alimentation de son enfant. Il s’agit également d’une période où les papilles gustatives des petits se développent. Il faut donc les habituer à adopter de bons aliments très tôt.

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Partir en voyage d’affaires avec vos enfants

D’abord, avant de partir avec toute la famille, assurez-vous que l’hôtel où vous logerez a une piscine. Vos enfants risquent de s’ennuyer dans un hôtel qui n’en a pas.

Puis, attendez-vous à ne pas pouvoir bénéficier de votre budget par jour alloué par la compagnie qui vous emploie. Habituellement, cela sert à payer vos repas, mais avec toute la famille, cet argent se divise. Comme votre employeur exigera une facture de vos repas, vous devrez être créatif afin de trouver une raison à la présence des repas de votre famille sur la facture.

Ensuite, préparez-vous à aller au lit plus tôt. À moins que votre compagnie ne vous ait payé une suite, vous dormirez dans la même pièce que vos enfants, qui doivent aller au lit vers 20 h 30.

De plus, attendez-vous à recevoir les critiques de vos collègues. Plusieurs d’entre eux vous ennuieront avec leurs commentaires désobligeants ou vous feront vous sentir coupable de ne pas aller prendre un verre avec eux, par exemple.

Rappelons que les voyageurs d’affaires qui partent avec leur famille sont de plus en plus nombreux. Selon l’Association de l’industrie du voyage d’Amérique, les voyages d’affaires effectués en famille ont augmenté de 250 % entre 1990 et 2000.

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Les enfants de race noire et latine en moins bonne santé

En fait, davantage de mauvaises habitudes de vie et de comportements dangereux seraient recensés parmi les jeunes de race noire et latine de dix ans.

De plus, les scientifiques croient que l’école fréquentée par les enfants, l’éducation des parents et leur revenu influencent la santé des enfants.

Les experts ont étudié plusieurs facteurs de la vie de ces enfants, notamment la violence dont ils étaient témoins. Ils ont découvert, entre autres, qu’un enfant de race noire sur cinq et qu’un enfant de race latine sur dix avaient été témoins d’une situation de menace ou d’une blessure par arme à feu. Chez les enfants de race blanche, ce chiffre était d’un sur vingt.

Les enfants de race noire étaient également plus susceptibles de fumer ou de boire de l’alcool. Puis, un enfant de race noire ou latine sur trois était obèse, peut-on lire dans l’étude publiée dans le New England Journal of Medicine.

Les experts croient que les écoles seraient le meilleur endroit où inculquer de bonnes habitudes aux enfants.

Rappelons que les enfants de race noire ont plus de fractures aux bras puisque leur mode de vie, souvent, ne leur permet pas d’absorber assez de vitamines D. La densité de leurs os est donc moins bonne.

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Limiter le temps de télévision pour contrer l’obésité

En fait, les chercheurs de l’Obesity Prevention Center de l’Université du Minnesota sont intervenus sur les comportements liés à la balance d’énergie dans le corps, comme le temps de télévision, la consommation de boissons sucrées, de malbouffe ou encore l’activité physique.

Ils ont découvert que les jeunes adolescents qui avaient eu des heures de visionnement limitées avaient perdu du poids en un an.

Les résultats soulignent donc que les parents qui limitent les heures de télévision chaque jour aident leurs enfants à garder un poids santé.

« Cette étude est une preuve importante que de réduire les heures de télévision est une stratégie de prévention du gain de poids efficace que les parents peuvent utiliser pour prévenir l’excès de poids chez leurs enfants en changeant l’environnement familial et les règles d’écoute de la télévision à la maison », explique la principale chercheuse derrière cette étude, Simone A. French.

Aux États-Unis, 31 % des enfants ont un poids plus élevé que la normale ou sont obèses, selon une étude nationale réalisée entre 2003 et 2006.

Rappelons que les enfants qui regardent trop la télévision auront de moins bonnes capacités physiques dans le futur.

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Les troubles de l’alimentation à la hausse

C’est ce que révèle un rapport de l’Agency for Healthcare Research and Quality.

Selon la diététicienne Page Love, en entrevue à CNN, les enfants qui ont de tels troubles sont faibles, montrent des signes de malnutrition, ont des niveaux de fer très bas et affirment perdre des cheveux.

Selon la psychologue Dina Zeckhausen, tout l’engouement des parents, des écoles et des gouvernements pour combattre l’obésité joue un rôle dans ce phénomène.

« Il y a tellement d’emphase sur l’obésité que nous risquons de produire beaucoup d’anxiété chez les enfants autour de leur poids », rapporte-t-elle.

Plutôt que de mettre les enfants qui ont un surpoids au régime, elle recommande de les inscrire à un sport et de les nourrir plus sainement à la maison.

Les enfants à risque de développer des troubles de l’alimentation sont souvent anxieux, ont des tendances compulsives et sont sujets à des pressions externes comme l’intimidation ou le divorce.

Rappelons que selon une récente étude, la moitié des filles et le tiers des garçons seraient prêts à tout pour avoir un corps parfait ou pour atteindre le poids idéal. Un garçon sur dix prendrait donc des stéroïdes pour devenir musclé, et une fille sur huit prendrait des pilules pour maigrir, des laxatifs, par exemple.

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Les bras cassés synonymes de faiblesse osseuse chez les enfants noirs

Les jeunes enfants de race noire ayant des fractures aux bras avaient, durant l’étude, une moins haute densité minérale des os que les autres enfants.

En fait, les fractures de l’avant-bras étaient reliées à une carence en vitamine D plus élevée de 3,5 fois que la normale.

« Étant donné que 90 % du pic de la masse osseuse est atteint à l’âge de 18 ans, une santé des os déficiente durant l’enfance affecte négativement la minéralisation des os chez l’adulte et peut augmenter le risque d’ostéoporose et des fractures qui y sont reliées », peut-on lire dans l’étude.

De plus, les chercheurs affirment que plus de chutes seraient liées à une mauvaise coordination motrice ou à des carences au niveau de la densité des os et leur capacité à supporter du poids. Selon eux, d’autres recherches seront nécessaires.

Rappelons qu’une carence en vitamine D est non seulement liée à une faiblesse osseuse, mais aussi musculaire.

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Comment gérer le pleurnichage de vos enfants

Pleurnicher n’est pas une stratégie consciente des enfants. Avec le temps, ils remarquent qu’ils ont toute l’attention de leurs parents s’ils se mettent en colère et crient.

Toutefois, afin d’éviter qu’un petit s’emporte lorsque vous ne lui répondez pas tout de suite — lorsque vous êtes au téléphone, par exemple —, faites-lui signe que vous l’avez vu, que vous êtes occupé et que vous serez à lui dans une minute.

Parfois, l’enfant s’impatiente tout de même. Vous devriez donc vous dire qu’il n’essaie pas volontairement de vous irriter, mais qu’il cherche de l’aide.

« Répondez avec des “affirmations au je” et modélisez la façon dont vous voulez que votre enfant vous parle. Dites quelque chose comme “Je n’aime pas ça quand tu pleurniches. Si tu veux un verre de lait, dis-le comme ça”. Ensuite, modélisez les mots et le ton exacts que vous souhaitez que votre enfant emploie », explique l’éducatrice et psychologue du développement, Becky Bailey.

Si l’enfant continue à geindre, essayez d’analyser ce qui peut causer ce comportement et de saisir le message qu’il traduit.

Rappelons que les enfants n’ont pas tendance à sympathiser avec les enfants pleurnicheurs. En fait, dès l’âge de trois ans, les enfants pourraient faire la différence entre ceux qui se plaignent pour rien et ceux qui ont une raison valable de le faire.