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Gérer le décalage horaire des enfants

Planifier un voyage avec des enfants peut être un peu plus compliqué, mais il ne faudrait pas non plus oublier de penser au décalage horaire qu’ils auront à subir, selon la destination choisie.

Alors que les bébés de moins de 6 mois n’y sont pas vraiment exposés, car ils ont leur propre horloge interne qui fait souvent fi des cycles de jour et de nuit, voici quelques trucs pour aider les enfants plus âgés à récupérer rapidement, proposés par le site Magicmaman.

D’abord, choisissez si possible un vol de nuit. Ainsi, les petits n’auront pas à rester actifs et éveillés durant le trajet. Ils arriveront probablement à dormir, ce qui les aidera dès le départ à régler leur rythme sur le nouveau qui les attend. Ils emmagasineront également des heures de sommeil, qui compenseront ensuite la difficulté à s’endormir pour les trois premiers jours du voyage.

En effet, tout comme les adultes, les petits ont besoin de 3 à 4 jours d’adaptation en arrivant sur place. Vous pouvez donc décaler petit à petit l’heure du coucher pour arriver à la bonne heure tout doucement. Ainsi, au lieu de les tenir éveillés lorsqu’ils n’en peuvent plus et que leur humeur change, retarder le dodo de 15 ou 30 minutes par jour permet d’atteindre l’heure locale sans trop perturber le sommeil.

Finalement, bien gérer l’heure des repas permet aussi d’enrayer le décalage horaire. Sans obliger les enfants à manger à l’heure dite dès le premier jour, vous pouvez, ici aussi, tenter de les faire patienter un peu, en proposant de petites collations notamment.

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L’intimidation touche davantage les enfants avec des problèmes de comportement

Les élèves qui reçoivent une éducation spéciale concernant des troubles du comportement sont plus susceptibles d’être victimes d’intimidation que les autres élèves qui suivent un enseignement général. Ils sont également plus enclins à intimider d’autres élèves, selon une nouvelle étude américaine.

Cette recherche publiée dans The Journal of School Psychology met en avant la complexité de l’intimidation et les défis à relever pour résoudre ce problème, a déclaré l’auteure principale de l’étude, Susan Swearer, professeure de psychologie scolaire à l’Université de Nebraska-Lincoln.

Ces résultats brossent un tableau assez sombre pour les élèves handicapés en termes d’actions d’intimidation, a notamment indiqué Susan Swearer.

La recherche a suivi plus de 800 étudiants en éducation spécialisée et générale, âgés de 9 à 16 ans, dans neuf différentes écoles primaires, intermédiaires et secondaires. Plus de 38,1 % ont indiqué qu’ils avaient été intimidés par d’autres élèves.

« Une culture de respect, de tolérance et d’acceptation est notre seul espoir pour réduire l’intimidation chez tous les jeunes d’âge scolaire », indiquent les auteurs de l’étude.

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Les enfants ont besoin du soutien de leur père

Les papas doivent montrer leur intérêt dans l’éducation de leurs enfants pour qu’ils s’épanouissent normalement.

Les mères font d’énormes sacrifices pour bien élever leurs enfants, mais on oublie souvent que les pères doivent aussi participer à leur éducation, explique le site Medicmagic.net.

De nombreux pères estiment qu’élever un enfant n’est pas une chose facile. Leur part de responsabilité est grande : ils ont des messages majeurs à transmettre à leur progéniture, surtout à leurs fils, pour les aider à affronter la vie.

Les pères doivent montrer à leurs enfants qu’ils les aiment inconditionnellement, même s’ils empruntent de mauvais chemins.

Les papas doivent donc les soutenir et leur montrer la profondeur de leur amour. La présence des pères est primordiale pour que les enfants aient une bonne estime d’eux-mêmes. Le rôle du père est essentiel pour leur appréciation.

Enfin, parler de sexualité avec son enfant peut sembler tabou, mais là encore, il ne faut pas négliger cette partie de l’éducation. Le sexe fait partie de la vie, et il faut répondre aux premières questions sans gêne. Discuter de sexualité est fondamentalement important pour éviter les éventuels problèmes sexuels plus tard.

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Faites plaisir à vos enfants cet été

D’abord, laissez un peu tomber les repas santé — sans exagérer, bien sûr. Une ou deux fois par mois, vous pouvez les laisser manger un repas moins santé. Ils vous adoreront si vous leur permettez de manger du gâteau pour dîner, et vous n’aurez pas à faire de repas.

Également, vous pouvez laisser vos enfants veiller plus tard le soir. Couchez-les une demi-heure ou une heure plus tard qu’à l’habitude. Pour les adolescents, vous pouvez revoir l’heure de leur couvre-feu à la hausse, mais faites attention, il faut tout de même garder le contrôle.

Pour ce qui est du réveil, comme les enfants dépenseront beaucoup d’énergie et seront épuisés le soir, il est possible qu’ils n’aient pas envie de se réveiller. Laissez-les dormir un peu et profitez de ces heures de répit pour vous adonner à vos passe-temps favoris.

Puis, laissez-les jouer à ce qu’ils veulent, dans la mesure où c’est sécuritaire. Prenez aussi du temps pour vous. Ce moment peut également vouloir dire de faire une activité différente de celle de vos enfants, tout en restant dans la même pièce qu’eux.

Rappelons que si vous avez une piscine, il est important de bien surveiller vos enfants. Plusieurs accidents et décès sont survenus après que des enfants aient été blessés par le drain de piscines privées ou publiques.

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Les enfants qui aident dans la cuisine mangent mieux

Les chercheurs de l’Université de l’Alberta suggèrent que les enfants qui font le repas avec leurs parents seraient portés à faire de meilleurs choix plus tard concernant leur alimentation.

L’étude a montré que les enfants qui aidaient à préparer le repas étaient plus conscients de l’importance de faire de bons choix concernant l’alimentation.

Le coauteur de la recherche, Paul Veugelers, soutient que les enfants qui mangent mieux aident au bon développement de leurs os et de leurs muscles, apprennent plus et ont une meilleure estime d’eux-mêmes.

« Les bons aliments sont importants pour nous. Ils empêchent de prendre du poids et plus important encore, empêchent le développement de maladies chroniques. […] L’objectif primordial de notre travail est de baisser le fardeau de la maladie chronique dans notre société », explique-t-il.

Si vous ne pouvez pas faire participer vos enfants dans votre cuisine, vous pouvez toujours les inscrire à des clubs de cuisine ou à des cours sur le sujet, d’après les experts.

Rappelons aussi que le simple fait de sourire en mangeant des fruits ou des légumes pourrait inciter vos enfants à faire de même.

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Comment soigner les piqures d’insectes?

D’abord, en cas de piqures de moustiques, de punaises ou de taons, le pédiatre Michel Odièvre explique que l’enfant ne court aucun danger. Ces piqures ne font qu’apparaitre une petite rougeur là où a été faite la piqure.

Ensuite, pour les piqures de chenilles processionnaires, qui entrainent une urticaire qui démangera énormément votre enfant, il recommande de laver avec une compresse humide et d’appliquer des corticoïdes sur la piqure durant un ou deux jours.

Toutefois, s’il s’agit plutôt de piqures d’abeilles, de guêpes ou de frelons, la douleur peut être intense, et une lésion de la peau peut même s’étendre sur une plus grande zone autour de la piqure. Il est important de bien désinfecter la piqure, d’y appliquer de l’eau froide et de la cortisone, puis de retirer le dard de l’insecte de la peau de l’enfant.

Si l’enfant s’est fait piquer dans la bouche ou la gorge, s’il a l’habitude d’avoir de sévères réactions à ces piqures — un oedème laryngé ou un spasme bronchique, par exemple — les parents doivent administrer de l’adrénaline en sous-cutané ou encore des corticoïdes.

Rappelons qu’il est préférable de toujours avoir un nécessaire d’adrénaline injectable au cas ou l’enfant ferait une réaction sévère. De plus, certains insectes peuvent propager le paludisme, la leishmaniose ou encore la maladie du sommeil. La prévention est donc le moyen le plus efficace d’éviter les mauvaises surprises.

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Les parents stressés au boulot nourrissent moins bien leurs enfants

En fait, l’étude a regroupé des familles parmi lesquelles certaines mères travaillaient à temps plein. Pour les femmes dans cette situation, les repas familiaux étaient plus rares que chez les autres ménages. De plus, ces mamans servaient plus de malbouffe à leurs enfants et encourageaient moins leurs adolescents à manger de bonnes choses.

De plus, comme elles travaillaient davantage, elles prenaient moins le temps pour cuisiner et mangeaient moins de fruits et de légumes.

Chez les pères qui travaillaient à temps plein, peu de différences ont été observées, sinon qu’ils disposaient de moins de temps pour se faire à manger.

« Le stress au travail peut affecter plusieurs sphères de la vie, incluant le temps pour les repas et leur qualité », dit la professeure en science et politique de la nutrition à la Tufts University de Boston, Alice Lichtenstein. Selon elle, les enfants devraient apprendre à cuisiner.

Toutefois, peu importe si elles travaillaient à temps plein ou non, les femmes passaient toujours plus de temps à cuisiner.

Rappelons également que plus des deux tiers des parents ne font presque pas d’exercice physique et ne montrent donc pas l’exemple à leurs enfants.

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Les enfants moins populaires pourraient devenir obèses

Le fait de ne pas être populaire à la petite école ne fait pas seulement que ternir le quotidien des enfants. Des chercheurs suédois ont trouvé que les enfants plus malmenés par leurs camarades vers l’âge de dix ans sont plus susceptibles de souffrir d’obésité et de plus haute pression sanguine lorsqu’ils auront 40 ans.

Ces effets de l’impopularité apparaissent davantage chez les femmes.

Cependant, ces problèmes de santé n’apparaissent pas uniquement chez les enfants ayant subi de l’intimidation, puisque le simple fait d’être tenu à l’écart, isolé des autres, peut les entraîner.

Et ce n’est pas tout. Les chercheurs ont étudié plus de 900 jeunes de 16 ans pendant 27 ans. À la fin de l’étude, publiée dans PLoS ONE, les problèmes de santé des jeunes laissés pour compte dépassaient l’obésité et les troubles de la pression sanguine, puisqu’ils ont aussi diagnostiqué le diabète, les carences en bon cholestérol ainsi que de mauvais gras dans le sang des enfants touchés.

Rappelons également qu’avant l’âge de 12 ans, les enfants qui sont victimes d’intimidation sont quatre fois plus susceptibles que les autres de s’automutiler.

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Un scanneur très tôt pour détecter l’autisme

En fait, on pourrait voir cette différence dès l’âge de six mois. Cela rassure les experts, puisque l’autisme n’est généralement diagnostiqué qu’à l’âge de deux ou trois ans.

L’étude, offrant de nouveaux indices pour faire le diagnostic plus tôt, est la preuve que les symptômes de l’autisme peuvent être améliorés avec une intervention faite rapidement après la naissance.

De plus, cet âge est le meilleur pour garantir une efficacité du traitement, selon le chercheur de l’Institut Neurologique de Montréal à l’Université McGill, Alan Evans. « L’enfance est le moment où le cerveau s’organise et où les connexions se développent rapidement », dit-il.

De plus, « la différence entre les enfants à haut risque qui développaient l’autisme et ceux qui ne le développaient pas n’était pas spécialement dans les voies de développement de la matière blanche — les chemins de fibres qui connectent les régions du cerveau », d’après le docteur Evans.

Un scanneur permettrait donc de mieux observer le développement du cerveau et de mieux cibler l’autisme.

Rappelons que selon les experts du Centre d’autisme et troubles connexes au Kennedy Krieger Institute de Baltimore, certains signes chez les bébés pourraient aider les parents à décerner la maladie. Par exemple, s’il sourit peu, babille rarement, ne répond pas à son nom ou n’établit pas de contact visuel, il est peut-être autiste.

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Les produits chimiques augmentent les risques d’eczéma

Les phtalates utilisés dans les planchers de vinyles se retrouvent dans l’organisme de toutes les mères, selon une étude du Columbia Center for Children’s Environmental Health rapportée sur Eurekalert.org.

Le produit nocif, appelé BBzP, est utilisé aussi dans les cuirs artificiels et se disperse dans l’air des maisons.

« Malgré que des facteurs héréditaires, des allergènes et l’exposition au tabac soient reconnus pour contribuer à l’eczéma, notre étude est la première qui montre que l’exposition prénatale au BBzB est un facteur de risque », explique l’auteur de la recherche, Allan C. Just.

L’eczéma se caractérise par une peau sèche et rougie dans le visage, sur la tête ou sur les mains et les pieds des tout-petits. C’est une affection désagréable et très commune chez les enfants.

L’étude, effectuée sur des mères et des enfants afro-américains et dominico-américains, a permis de démontrer que les bébés des femmes afro-américaines étaient doublement susceptibles d’avoir de l’eczéma.

Rappelons que les scientifiques prétendent que les femmes enceintes qui prennent des huiles de poisson pendant la grossesse peuvent protéger leur futur bébé de l’eczéma.