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L’asthme et la sédentarité

Une étude, menée par la Dre Carol A. Mancuso et son équipe, nous apprend que seulement le quart des personnes asthmatiques pratiquent un sport régulièrement, ce qui rend les autres trois quarts plus susceptibles de souffrir de surcharge pondérale.

Ces résultats inquiètent les chercheurs qui croient que les asthmatiques sont dans un cercle vicieux. « L’obésité a un effet néfaste sur l’asthme, qui lui provoque une certaine sédentarité, qui elle prédispose à l’obésité », déplore la Dre Manusco.

Parmi les 258 sujets ayant participé à la recherche, seulement 25 % d’entre eux respectaient les recommandations en matière d’exercice physique. Ainsi, 40 % des patients étaient obèses, 29 % souffraient d’embonpoint et 31 % avaient un indice de masse corporelle normal.

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La puberté entraîne la sédentarité

Une vaste recherche, menée auprès de 1 000 enfants américains, prouve que les enfants deviennent de plus en plus sédentaires à mesure qu’ils grandissent.

Alors que 90 % des jeunes de 9 ans bougent de deux à trois heures quotidiennement, ce taux chute à 3 % lorsqu’ils passent le cap des 15 ans.

D’ailleurs, les chercheurs déplorent qu’environ 66 % de leur échantillonnage ne suivent pas les recommandations des experts en matière d’exercice physique, soit 90 minutes d’activités physiques par jour.

Parmi les raisons qui justifient cette sédentarité, on retrouve le travail rémunéré; 50 % des adolescents travaillent de 10 à 15 heures par semaine. Jeux vidéos, télévision et ordinateur sont aussi pointés du doigt par les scientifiques.

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De la « petite vache » pour de meilleures performances

Des chercheurs associés à l’Université de Loughborough, en Angleterre, pourraient avoir percé à jour le succès du nageur Michael Phelps.

En effet, leur recherche conclut qu’une cuillerée de bicarbonate de soude rend les nageurs plus rapides lorsqu’ils en consomment avant d’entrer dans l’eau.

Pour l’auteur principal de cette recherche, le Dr Jonathan Folland, ce phénomène serait attribuable à l’augmentation du pH dans le sang et à la réduction de l’acidité produite dans les muscles durant un effort physique intense.

Les vertus du bicarbonate de soude ne sont toutefois pas miraculeuses et ne permettraient de gagner que quelques poussières de secondes. De plus, il semble que la célèbre poudre blanche peut aussi provoquer de la diarrhée.

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L’exercice contre les migraines

Une recherche publiée dans Headache et menée par le Dr Volker Busch de l’Université de Regensburg, en Allemagne, se penche sur les effets de l’exercice sur les migraines. S’il en réduit la durée, il n’influe pas sur l’intensité des migraines.

Le Dr Busch déplore que plusieurs publications sur les migraines recommandent l’entraînement physique, mais que ces consignes ne soient pas appuyées par des études solides à ce chapitre.

Selon lui, il n’existe aucun lien significatif entre la diminution des maux de tête et un programme régulier d’entraînement. « En raison de plusieurs paramètres, comme le peu d’études réalisées en la matière, la difficulté de poser un diagnostic et les données comme telles sur les migraines, nous ne pouvons pas établir que l’exercice est bénéfique pour lutter contre cette condition », a-t-il conclu.

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Les gènes modifiés par les habitudes de vie

Changer ses habitudes de vie n’est pas seulement bénéfique pour l’état de santé, mais aussi pour le bagage génétique, selon des chercheurs américains.

Ces derniers ont observé 30 hommes atteints d’une forme bénigne du cancer de la prostate ayant décidé de ne pas suivre les traitements traditionnels comme la chirurgie ou la radiation.

Pendant trois mois, les sujets ont apporté des changements radicaux à leurs habitudes de vie en ajoutant plusieurs portions de fruits et de légumes, de fibres et de soja à leur menu quotidien. En plus de modifier leur alimentation, ils ont adopté un programme quotidien de marche et de méditation.

Il en résulte une modification génétique de 500 gènes. Pour le Dr Dean Ornish du Preventive Medicine Research Institute de Sausalito, cette découverte peut grandement encourager les personnes fatalistes qui se croient frappées du cancer uniquement en raison de l’hérédité.

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Les raisons derrière la sédentarité

Douleurs articulaires, manque de temps et d’argent sont autant de raisons évoquées par la population canadienne pour justifier ses habitudes sédentaires, selon un récent sondage mené par la Coalition d’une vie active pour les aîné(e)s (CVAA), la Canada’s Association for the 50+ (CARP) et le Programme Patients-partenaires contre l’arthrite.

Bien que les Canadiens soient conscients qu’une vie active est bénéfique pour leur santé, 8,5 millions d’entre eux prévoient être moins actifs dans 20 ans. Ce pessimisme, qui touche particulièrement les personnes aux prises avec l’arthrose, est en partie attribuable à la peur des douleurs chroniques, souvent associées au vieillissement.

En effet, 81 % des arthritiques s’attendent à ce que leurs douleurs articulaires augmentent avec l’âge.

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Les muscles et les os, premiers touchés par la sédentarité

Le quotidien La Presse nous apprend que la musculature et l’ossature sont les premières structures touchées par les effets négatifs de la sédentarité.

En l’absence d’exercice physique, les muscles subissent une atrophie comme lorsqu’on porte un plâtre. Ainsi, 225 g de masse musculaire par année s’envolent dès qu’une personne ayant atteint la trentaine est sédentaire. Cette perte est alors souvent compensée par une augmentation des tissus gras.

Ce phénomène s’explique par la dégradation des protéines des muscles peu utilisés. Ceci provoque un effet d’entraînement, car les tendons faiblissent ensuite sous l’effort et le coeur doit alors compenser durant un exercice physique.

La sédentarité a aussi des effets sur les os, particulièrement les tibias, les péronés, les fémurs et les vertèbres lombaires. Ces derniers ont besoin de la gravité terrestre et de la traction des muscles qui y sont attachés.

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Une bactérie s’infiltre dans les gymnases

Le SARM communautaire peut s’infiltrer dans le sang et provoquer une septicémie, ou encore, provoquer une pneumonie s’il atteint les poumons, rapporte Le Soleil.

L’infection causée par le SARM se contracte par contact direct, par l’intermédiaire d’une coupure ou d’une plaie. Que notre santé soit bonne ou mauvaise n’a donc pas d’influence sur les risques d’infection.

Les symptômes les plus courants sont les rougeurs, l’enflure et l’apparition de gros abcès.

Aucun cas d’infection contractée dans un vestiaire sportif ou un gymnase n’a encore été rapporté au Québec, contrairement aux États-Unis. Des infections ont cependant été recensées chez des personnes ayant eu recours à des drogues intraveineuses.

« Il ne faut pas arrêter de vivre à cause du SARM communautaire. La bactérie est moins à risque que l’influenza, mais il y a quand même des précautions à prendre. Comme de ne pas partager sa serviette et les équipements sportifs telles les épaulettes, les genouillères, etc. », indique le Dr Jasmin Villeneuve, spécialiste des maladies infectieuses à la Direction régionale de santé publique de Québec.

PasseportSanté.ca conseille notamment de bien se laver les mains avant et après la séance d’exercices, de porter des vêtements longs et des sandales dans la douche.

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La minceur motive

Une recherche menée par l’Université Mount Allison, au Nouveau-Brunswick, démontre que le degré de motivation à suivre un entraînement physique est plus élevé chez les personnes minces que chez celles qui ont quelques kilos à perdre.

L’auteur principal de cette étude, le Dr Terry Belke, mentionne : « Bien qu’il puisse y avoir de fortes incitations – sociales et cognitives – à s’entraîner pour une personne au poids excessif, cela peut ne pas être suffisant pour lui permettre de surmonter le désir instinctif de s’asseoir et de se relaxer. »
 
Il semble que plus le poids baisse, plus il y a un élément gratifiant à poursuivre un entraînement physique dans le but de perdre plus de poids.
 
Le Dr Belke croit également que notre mode de vie sédentaire peut expliquer la hausse de l’obésité. « Nous sommes entourés, en tout temps, d’aliments riches en calories, et nous n’avons pas besoin de travailler dur pour nous les procurer. »

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Un entraînement calme les douleurs au cou

Des chercheurs danois du National Research Centre for the Working Environment, de Copenhague, suggèrent aux femmes qui ont souvent des douleurs au cou et dans la région des trapèzes de soulever des poids et de suivre un entraînement physique afin d’atténuer ces douleurs.

« La venue de l’ordinateur au travail a fait exploser les douleurs chroniques au cou », note le Dr Lars L. Andersen, l’auteur principal de cette recherche.
 
Son équipe a demandé à 48 femmes âgées de 30 à 60 ans, aux prises avec des douleurs chroniques au cou, de suivre pendant 10 semaines deux méthodes de conditionnement physique : un entraînement musculaire avec des haltères et un programme d’entraînement physique avec un vélo ergomètre.
 
Après 10 semaines, la douleur a diminué de 71 % dans le premier groupe de sujets et de 79 % chez les femmes qui suivaient la deuxième méthode.
 
La recherche est publiée dans l’édition de janvier de la revue Arthritis Care and Research.