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Marie-Claude Barrette: Un possible retour à la télé et son rôle de grand-mère!

HollywoodPQ a eu le privilège d’interviewer Marie-Claude Barrette en marge du lancement de la deuxième saison de La grande messe, dont elle fait partie.

Généreuse, elle se livre notamment sur sa grande écoute, son possible retour à la télévision ainsi que sur son rôle de grand-maman!

De plus, l’animatrice nous dévoile des détails croustillants et intéressants sur son podcast, Ouvre ton jeu.

Pour découvrir l’entrevue, c’est juste ici!

Bonne écoute!

Nous remercions Marie-Claude pour ce moment fort agréable!

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Janette Bertrand: «Je voulais me guérir moi»

La seule et unique Janette Bertrand a été l’artiste invitée de l’émission Pour une fois, où elle a eu droit à quatre entrevues avec différentes personnalités, dont Sophie Grégoire, Véronique Cloutier, Ricardo Larrivée et Élise Guilbault.

Un moment très intéressant en compagnie de la grande dame qui s’est confiée sur sa vie professionnelle et personnelle, ainsi qu’aux répercussions qu’elle a inconsciemment eues sur certaines personnes.

C’est à la requête d’Élise que Janette abordait le sujet de son expérience en tant que véritable influenceuse sociale, un rôle qu’elle porte depuis des années, afin de déterminer si elle trouvait parfois cette responsabilité pesante.

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Capture Télé-Québec

«Je ne trouve pas ça lourd, parce que je ne le sais pas que je fais ça. Je ne suis pas consciente. Moi, je suis entrée dans la vie avec bien des complexes, bien des problèmes. Je voulais me guérir moi et je me suis aperçue qu’en me guérissant moi, je pouvais en guérir d’autres. Mais pas plus que ça…», témoigne en premier lieu l’autrice.

«Moi, je suis toujours surprise quand un homme sur la rue, par exemple me… mon vieux complexe me dit: Qu’est-ce qu’il me veut? Et l’homme me dit: Vous m’avez fait accepter mon homosexualité. Je dis: Moi ça? Je ne me souviens pas quand j’ai fait ça (…) je n’étais pas consciente de ça. Pas du tout», termine avec humilité Janette Bertrand.

Un moment chaleureux entre les deux grandes Québécoises.

Janette a-t-elle eu un impact dans votre vie?

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Capture Télé-Québec

Pour voir l’entrevue complète, rendez-vous sur le site officiel de Télé-Québec!

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Entrevue Pier-Luc Funk: On ramassera demain, son projet de film et la quête de l’équilibre et de la réussite

HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec le sympathique et charismatique Pier-Luc Funk en marge du lancement de la nouvelle émission de variétés qu’il anime, soit On ramassera demain, diffusé tous les jeudis à 21h sur les ondes de Télé-Québec.

Pier-Luc et toute l’équipe de production ont répondu à plusieurs questions, tous ensemble, dans une formule de table ronde lors de cet événement où nous avons eu la chance de visiter la maison où a été tournée l’émission!

@hollywoodpq

La nouvelle émission sera diffusée chaque jeudi à 21h sur les ondes de Télé-Québec! 🤩🏠 @On ramassera demain #home #maison #décoration #housetour #fyp #pourtoi #visite #party

♬ La belle vie – Sacha Distel

Lors de ce moment privilégié, l’animateur dévoilait notamment que d’une émission à l’autre, les sketchs seront différents et que les jeux auxquels joueront celui-ci et ses invités varieront tout autant. Par exemple, lors d’un épisode, nous retrouvons Nathalie Simard et Pier-Luc autour d’une game de beerpong-questions, un moment favori de Pier-Luc Funk.

Plusieurs artistes seront des partys de Pier-Luc soit le maire de Québec Bruno Marchand, Mona de Grenoble, Phil Roy, Christine Morency, Catherine Brunet, Marc Hervieux, Bianca Gervais, Antoine Pilon et plusieurs autres!

Ensuite, HollywoodPQ a eu la chance d’avoir un moment en tête à tête avec Funk, qui s’est confié sur plusieurs sujets, notamment sa participation à LOL: Qui rira le dernier?, l’écriture de son film, Entre deux draps et plus encore…

HollywoodPQ: «Peux-tu me parler de ton expérience à LOL: qui rira le dernier?»

Pier-Luc Funk: «(…) c’était super le fun, c’est un show vraiment, très, très spécial à faire (…) moi j’étais sûr que je serais super bon, que j’allais être super bon et que je serais vraiment capable de ne pas rire. Il y a tellement une ambiance quand tu es dans ce salon-là du manoir et qu’il ne faut pas que tu ries et que tout le monde essaie de te faire rire et que tu n’as même pas le droit de sourire et que là il y a des affaires qui se passent… c’est vraiment un état d’esprit que ne retrouvera pas ailleurs!»

HPQ: «Quand tu sais que n’as pas le droit, c’est plus tentant aussi, j’imagine?»

PLF: «La première heure, c’est la plus tough! La première heure, il y a tellement d’éliminations dans notre saison, parce que justement, le monde flanche parce que juste quand ça commence on dirait que tu as le goût de rire et tu es comme: Pourquoi j’ai le gout de rire? et tu es juste stressé, tu es nerveux et tu ne veux pas te faire pogner (…) Ce qui est le plus tough, c’est plus la dernière heure, la dernière heure tu es comme: C’est tu un mauvais rêve ce que je suis en train de vivre ou c’est comme la réalité

PLF: «Au début, ça commence et c’est de la belle nervosité et ça finit et c’est une grande psychose… mais, non, c’était vraiment le fun à faire!»

HPQ: «Étais-tu content des choix des autres personnalités invitées?»

PLF: «Oui! Kath Levac, Rosalie, Stéphane (…) Fabien, c’est tous des gens que j’adore et qui me faisaient peur, mais que j’étais content qu’ils me fassent peur, parce que c’est quand même le fun d’être dans ce show-là avec des gens qui te font rire pour de vrai. Je pense que c’était une belle mouture et je pense que tout le monde qui a fait le show était très content du résultat et trouvait que c’était vraiment une belle année et tant mieux! Nous autres, on s’est juste prêtés au jeu, comme les belles petites marionnettes que nous sommes!»

HPQ: «Qui est LA personne qui a failli le plus te faire rire?»

PLF: «Ah c’est Stéphane Rousseau, 100%! (…) Moi, Stéphane, c’est… il a comme une répartie et un ton, c’est son tac au tac qui me fait rire et il est toujours en train de penser à des gags (…) C’est vraiment lui la personne la plus dangereuse, mais en même temps il est dangereux pour lui-même, donc!»

HPQ: «Big Brother est-ce que c’est quelque chose qui t’intéresserait?»

PLF: «(…) J’ai fait le spécial Fantastiques, j’ai tellement aimé ça! Je pense que je ne le ferai pas pour ma carrière, parce que ce n’est pas super bon d’arrêter de travailler pendant trois mois et je ne sais pas si c’est l’image que je veux donner au public, de moi constamment, qui se lève le matin avant d’aller faire une épreuve (rires) pour de vrai, c’est mon genre, j’aimerais ça!»

HPQ: «Je pense qu’il y a beaucoup de gens qui aimeraient te voir y participer!»

PLF: «(…) Quand j’ai fait la journée Big Brother des Fantastiques, j’ai adoré ça faire le jeu, je suis vraiment un gars de challenge, je suis vraiment un gars d’épreuves. Je pense que je suis un gars qui aime parler de stratégies, j’adore jouer, je suis vraiment un joueur, donc!»

HPQ: «Et de gang aussi?»

PLF: «Oui, mais je ne serais pas capable de faire le show avec tout le monde, je pense (…) s’il y avait une mouture et qu’il y avait bien du monde que j’aime et des amis qui acceptaient de faire Big Brother, on dirait que je serais game (…)»

HPQ: «Toi et Virginie (Ranger-Beauregard) travailliez ensemble sur Entre deux draps. Est-ce que c’est difficile de travailler avec sa conjointe?»

PLF: «Bien, non. On a fait ce projet-là comme deux comédiens. C’est sur qu’on a utilisé notre complicité pour faire les sketchs, mais c’est beaucoup… c’est notre job! On a fait notre job du mieux que l’on pouvait! C’est pas notre vie et on fait notre job.»

HPQ: «Tu dis que ce n’est pas votre vraie vie, mais est-ce que ça ressemble un peu à ça, votre chimie de couple?»

PLF: «Bien non! (rires) c’est beaucoup exagéré, il y a des situations… mais, oui, il y a des situations comme n’importe lequel (…) il y a des petits bouts de nous là-dedans, c’est sûr!»

HPQ: «Refaire partie d’un projet avec Matthieu Pepper, c’est quelque chose qui te tente?»

PLF: «100%. J’ai tellement aimé travailler avec Matthieu, j’ai tellement trouvé qu’on pensait pareil, qu’on a le même genre d’humour et qu’on est contagieux. Dès qu’on finissait une prise, j’allais voir Matthieu et je lui parlais et j’étais comme: Qu’est-ce qu’on peut faire pour essayer de rendre ça le plus drôle possible? On rajoute-tu ce gag-là? On rajoute-tu cette affaire-là? Lui aussi il est intense et je pense qu’il veut le meilleur résultat possible et c’est vraiment le fun. Je me relancerais dans un autre projet avec lui demain matin!»

HPQ: «On a tous une définition différente de la réussite. Penses-tu avoir réussi à l’atteindre?»

PLF: «C’est vraiment une bonne question… parce que je pense que toute ma vie… quand j’étais petit, mon but c’était d’atteindre la réussite et je pense que tu te rends compte qu’il n’y a aucun projet qui va combler cette affaire-là! Il n’y a aucun moment, où tu vas… ce sentiment-là, tu vas peut-être l’avoir deux semaines. Tu finis un beau projet et tu es vraiment fier et tu vas retourner chez vous pendant deux semaines et être comme: Yes, je l’ai fait, ça s’est bien passé! Et deux semaines après, tu vas être comme: OK, mais qu’est-ce que je fais là? C’est comme si tu ne l’atteignais jamais, le bout. Je pense que j’ai appris beaucoup de ça (…) Donc, là, je fais juste des affaires que j’aime, qui me rendent bien, que j’ai le goût de travailler, mais il y a d’autres choses à ça. Si tu cours après un but précis qui est un sentiment, tu vas réaliser que tu peux travailler toute ta vie et que tu ne l’atteindras jamais. Ça, c’est moi! (…)»

HPQ: «Tu travailles sur un film. Peux-tu me dire quel genre de film?»

PLF: «Oui. C’est une comédie dramatique que j’écris avec Jean-Carl Boucher (…) Ça fait longtemps qu’on travaille dessus, on attend des sous pour le faire, j’espère qu’il y a un diffuseur qui va nous faire confiance et qui va nous donner de l’argent pour qu’on puisse faire ce film-là, qui est le genre de comédie que l’on n’a pas beaucoup au Québec (…)»

HPQ: «Dans ce film-là, on ne te verra donc pas à l’écran?»

PLF: «Oh oui! Oh oui, je l’écris et je joue dedans et Jean-Carl aussi!»

HPQ: «Qu’est-ce que je peux te souhaiter pour l’année 2024?»

PLF: «Plus de balance, je pense, d’être mieux balancé!»

HPQ: «Que veux-tu dire par là?»

PLF: «Dans tout, dans ma tête, dans mon travail, dans mon 0/100, peut-être plus un 75/25, peut-être un juste milieu, ça pourrait être bien!»

Merci à Pier-Luc Funk pour ce généreux moment dans lequel il s’est ouvert avec franchise et générosité!

Ne manquez pas On ramassera demain, diffusé tous les jeudis à 21h sur les ondes de Télé-Québec.

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Entrevue Mélanie Maynard: «Je suis semi-retraitée!»

Un entretien généreux et franc avec l’unique Mélanie Maynard.

La très sympathique Mélanie Maynard a accepté notre invitation afin d’ouvrir un dialogue ouvert et honnête sur la relation qu’entretiennent certains médias avec les artistes, un sujet que l’animatrice n’hésite jamais à commenter.

La star nous parle également de ses projets à venir, incluant le retour ou non de Sucré Salé, et en profite pour nous révéler qu’elle est «semi-retraitée»!

Découvrez l’entrevue juste ici!

Un très grand merci à Mélanie Maynard pour son temps et sa générosité lors de cet entretien.

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Entrevue Mathieu Dufour: Chanteurs masqués, sa vie amoureuse et le rôle à la télé qui lui a fait couper ses cheveux!

«Les candidatures sont ouvertes!»

Nous avons eu la chance de nous entretenir avec Mathieu Dufour en marge de son expérience à Chanteurs masqués, puisque lors du dernier épisode nous avons découvert qu’il se cachait sous le costume du cône orange.

C’est lors de cette entrevue que nous avons pu également aborder ses futurs projets, mais aussi son statut de célibataire… sujet sur lequel il en profite pour lancer une belle invitation!

HollywoodPQ: Comment as-tu trouvé ton expérience?

Mathieu Dufour: «L’expérience de rêve (…) J’ai vraiment aimé ça pour vrai. C’est vraiment le fun. Il y a tout l’aspect secret de tout cela, le fait de devoir se cacher, le fait de ne pas pouvoir parler à personne là-bas. Les gens ne savent pas qui je suis, ils viennent me chercher dans un parking plus loin en char. Tout cet aspect-là était comme très le fun pour moi, qui aime ça jouer à la cachette, qui est un grand enfant!»

Il avouait également qu’il n’avait pas eu d’attente dans l’aventure! Il n’était pas déçu d’être parti dans les premiers, mais tout de même content de ne pas avoir été éliminé le premier.

MD: «Je suis content de l’avoir fait (…) tout était comme parfait! (…) C’est le fun en studio aussi, ça, c’est une autre partie des raisons pour lesquelles j’ai aimé faire ce show-là. Enregistrer des tounes en studio, on n’a pas la chance de faire ça… donc c’était vraiment le fun.»

Par la suite, Mathieu nous dévoilait que malgré le fait qu’il est monté sur la scène du Centre Bell, pour un spectacle présenté sur Netflix, il aime tous les projets, gros ou petits!

MD: «Je tripe autant de faire un spectacle dans une salle de 100 personnes que devant 15 000 personnes au Centre Bell. Honnêtement, je suis un gars de défi, puis j’ai beaucoup d’ambition, donc les limites sont infinies (…) Chaque projet est différent, je n’ai jamais eu de show à moi encore. Je me suis fait proposer des affaires, qui me ressemblaient moins un peu, mais tout ça, d’avoir un show de télé… il reste plein, plein, plein d’étapes. Je ne suis pas à court d’idées pantoute (…) Il y a beaucoup de choses que je n’ai pas encore touchées dans ce métier-là. Dans le sens où il n’y a jamais un moment où je me dis: Qu’est-ce que je vais faire?»

HPQ: «Tu n’as aucune limite?»

MD: «Non, c’est ça. La seule limite, c’est qu’il faut que ce soit le fun!»

Nous pourrons d’ailleurs voir Mathieu en tant que comédien dans une nouvelle série dont on ignore, pour l’instant, les détails et pour l’occasion, il a dû faire un changement drastique!

Une nouvelle qu’il nous confiait lorsqu’on lui demandait son secret pour sa magnifique chevelure…

MD: «(…) Je les ai coupés pour le rôle que je vais jouer dans (…) J’ai enlevé un bon 8 pouces!»

HPQ: «C’est un rôle au cinéma ou à la télé?

MD: Ce n’est pas annoncé encore… mais à la télé!

Avez-vous hâte de découvrir de quoi il s’agit?

Nous avons par la suite, également pu aborder sa vie amoureuse… et avis aux intéressés!

HPQ: «Est-ce qu’on peut parler de ton statut de célibataire? Est-ce que tu date? Quand on est Math Duff, ça doit être difficile de dater? As-tu peur des fois que les gens…»

MD: «Bien, en fait, mon compte Tinder a été banni à vie, parce que des gens me signalaient en disant que je n’étais pas le vrai (…) Ça fait trois, quatre ans, ça fait longtemps quand même. Mais, non, je te dirais que c’est assez relax là-dessus. Honnêtement, ma vie va vite. Je n’ai même pas le temps de voir mes amis, puis ma famille (…) Donc, de prendre un moment pour aller dater un inconnu, ça ne me tente pas pantoute pour l’instant. Je suis confiant qu’anyway, ça viendra de manière organique (…) donc, je ne cours pas après ça.»

HPQ: «Tu ne veux pas tomber sur un psychopathe non plus?»

MD: «Non, c’est ça, exactement! Mais, si jamais les gens veulent déposer leur candidature, si les gens sont des candidats intéressés, ils peuvent toujours envoyer un CV!»

HPQ: «On peut leur dire de slider dans tes DM avec un CV?»

MD: «Bien, honnêtement, quelqu’un qui est comme confiant et entreprenant, c’est intéressant. Des fois, les gens sont comme impressionnés: Ah, mon Dieu, c’est Math Duff! Mais, c’est ça, si les gens sont intéressés, les candidatures sont ouvertes!»

Un beau moment en compagnie de Mathieu Dufour.

Nous le remercions grandement et nous lui souhaitons le meilleur pour la suite!

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Entrevue Guylaine Tremblay: La petite vie, Testament et un automne bien chargé!

«On est une gang qui s’aime beaucoup!»

HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec Guylaine Tremblay en marge du visionnement de presse des deux premiers épisodes de la nouvelle mouture de La petite vie, disponible depuis le 3 octobre, sur ICI Tou.tv Extra!

Lors de notre entrevue, nous avons pu discuter de son expérience lors des tournages, mais aussi de ses nombreux autres projets!

HPQ

HollywoodPQ: «Comment c’était de retrouver tous vos collègues pour tourner cette nouvelle mouture?»

Guylaine Tremblay: «Ça a été un grand bonheur, parce que c’est quelque chose d’assez exceptionnel dans un cheminement, dans une carrière! Jamais je n’aurais pensé renouer avec Caro et tous mes amis de La petite vie donc quand Claude (Meunier) nous a appelés pour parler du projet, tout le monde a dit oui tout de suite! C’est sûr, parce qu’on est une gang qui s’aime beaucoup! Ça a été vraiment un grand bonheur!»

HPQ: «De le faire sans Serge Thériault, comment vous avez trouvé ça

GT: «Bien, on se préparait psychologiquement, on le savait qu’il ne serait pas là, donc on s’est dit: Bon Serge, il ne sera pas là! Donc, on était prêt! C’est sûr qu’après, il y a eu le départ de Michel (Côté)… on était en train d’enregistrer quand Michel est parti. Donc, ça, ça été aussi un grand coup, mais c’est la vie (…) je pense que Michel et Serge… dans le cas de Serge, il était au courant du projet, il était très content et Michel aussi, il aurait voulu le faire s’il avait été correct!»

HPQ: «Vous avez joué dans Testament. Est-ce que vous pouvez me parler de votre expérience?»

GT: «Ah ben oui! Écoute, ça a été super! J’étais honorée de tourner avec Denys Arcand. C’est quand même un homme d’une importance considérable dans le cinéma québécois! Quand il m’a appelée, j’ai dit: Ben oui, ben oui, je vais y aller! Ça a été un grand, grand bonheur de le voir aller dans toute son énergie, sa bonne humeur et son envie de se questionner sur l’époque dans laquelle on vit et moi j’ai adoré ça. J’ai beaucoup adoré travailler avec lui!»

HPQ: «Ce n’est pas le seul projet que vous aviez dernièrement, parce que vous étiez en spectacle de théâtre solo (Les étés souterrains)!»

GT: «Ouais, moi j’ai un automne un peu fou! Je t’avoue que c’est tout ou rien notre métier des fois donc je viens de finir un solo au théâtre, je tourne Les belles-sœurs, je reprends mon spectacle à partir du 8 octobre de J’SAIS PAS COMMENT J’SAIS PAS POURQUOI, d’Yvon Deschamps et je fais le Bye Bye!»

HPQ: «Où est-ce que vous trouvez le temps de dormir dans tout ça? (rires)»

GT: «C’est curieux, hein! Parce que plus on travaille, plus on a du temps! Parce qu’on est plus organisé (rires) on n’a pas le choix! (…) Moi, je viens que je compartimente tout, ce qui fait qu’au bout de la journée je fais: Oh wow, j’ai eu le temps de tout faire!, alors que quand je suis en vacances, j’ai le temps de rien faire (rires)!»

HPQ: «Est-ce qu’il y a beaucoup de temps réservé à vos petits-enfants dans votre horaire?»

GT: «Oh crime, oui. J’en prends par exemple, ça je m’en garde du temps. C’est essentiel et je le sais aussi qu’à partir du mois de décembre, je n’ai plus rien! Ce sera des vacances illimitées, je ne sais pas quand ça va s’arrêter! Alors tu l’acceptes mieux le rush dans ce temps-là! (…) la famille c’est primordial!»

Merci à Guylaine pour ce généreux moment et nous lui souhaitons le meilleur pour la suite!

Rappelons que La petite vie est disponible dès maintenant sur ICI Tou.tv Extra et sera diffusée ultérieurement sur ICI Télé.

Vous pouvez vous procurez des billets pour le spectacle J’SAIS PAS COMMENT J’SAIS PAS POURQUOI, juste ici!

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Entrevue Eve Côté: Ses (nombreux) projets, sa relation avec Marie-Lyne Joncas et son expérience d’animatrice

HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec l’humoriste et désormais animatrice Eve Côté en marge de la diffusion de la nouvelle émission qu’elle anime, soit Plus ou moins misérable.

Lors de notre entrevue, nous avons pu en apprendre davantage sur son expérience en tant qu’animatrice dans ce nouveau jeu télévisé et sur sa relation avec son amie et collègue Marie-Lyne Joncas!

De plus, la généreuse artiste s’est ouverte sur le défi Rallye Trophée Roses des Sables, sur sa participation aux Gala Les Olivier, sur son parcours scolaire ainsi que sur la naissance d’un projet très spécial…

HollywoodPQ: «Tu es l’animatrice de la nouvelle émission Plus ou moins misérable. Peux-tu nous parler du jeu?»

Eve Côté: «En fait, je pense qu’on est plusieurs à aimer regarder des vidéos de monde qui se pète la gueule ou lire des nouvelles insolites sur des serpents qui ont été trouvés quelque part! C’est toutes des affaires comme ça qu’on a rapatriées (…) et, ensuite de ça, on a soumis ces nouvelles-là, ces vidéos-là, à trois psychologues! Des experts en comportements humains qui les ont analysées selon (…) la douleur physique, le choc émotionnel et l’impact psychologique à long terme. Ils ont attribué une note sur l’échelle de la misère de 0 à 100! Nous, on s’amuse avec ça! On doit essayer de trouver la note la plus près de la note qui a été attribuée par les experts (…) Il y a trois joutes avant la ronde finale (…) et gagner 3000$»

HPQ: «Comment as-tu trouvé ton expérience en tant qu’animatrice dans ce jeu-là?»

EC: «J’ai adoré ça! Dans le fond, c’est deux équipes, deux équipes de deux, une personne du public et un artiste dans chaque équipe. Et, j’ai des solides blagueurs qui m’accompagnent! J’ai Billy Tellier, Guillaume Pineault, Jean-Francois Mercier, Mehdi Bousaidan, Marie-Lyne Joncas, Korine Côté, Marie-Soleil Dion, Varda Étienne, des bons blagueurs, là!»

HPQ: «Est-ce que tous les épisodes sont déjà filmés?»

EC: «Oui, toute la première saison est filmée! Ça a été super! Moi, je rêvais d’animer un quiz, donc, quand j’en ai eu l’opportunité, j’étais bien énervée! On rit et tout ça, mais je garde quand même le contrôle (…) Toute la mécanique du quiz, j’ai adoré ça!»

HPQ: «Il y a Marie-Lyne qui fait partie de l’émission. Toi et elle allez participer au défi Roses des Sables. Peux-tu nous en parler?»

EC: «Oui! On a été approchées pour être porte-parole! Ça, c’est plein d’équipages de deux filles qui s’en vont faire un défi. Je pense qu’il y a 28 équipages québécois (…) Nous, on a été approchées comme porte-parole, mais on avait l’option de faire la compétition! On a fait: Oui, parfait, on devient porte-paroles, mais on fait la compétition! Donc, on se lâche les deux en side by side et, à date, je ne sais pas trop c’est quoi! On a une formation de boussole et de roadbook pour essayer de se démêler (…) évidemment! C’est un grand défi de passer huit jours dans le désert à coucher dans des tentes et après ça, se lever et repartir dans le rally, une expérience autant humaine que physique (…)»

HPQ: «Ça va se dérouler au Maroc, ça?»

EC: «Oui, exactement! Dans le coin de Marrakech. D’ailleurs, ça a brassé pas mal (…)»

HPQ: «Est-ce que ça te fait peur de t’en aller là-bas?»

EC: «C’est sur que ça va être un drôle de climat, dans le sens où ces gens-là viennent de vivre un drame! Mais, c’est sur que l’expérience du désert et de rencontrer une autre culture, c’est super excitant.»

HPQ: «Qu’est-ce que tu penses qui sera le plus difficile dans ce défi?»

EC: «Moi, j’ai zéro sens de l’orientation, mais c’est moi qui vais conduire! C’est Marie-Lyne qui va nous diriger. On est quand même forte de six ans de tournée! On a été à plein de places. On s’est déjà ramassées sur une piste de ski-doo en char avec un GPS (…) mais, qu’est-ce qui va être le plus difficile, j’ai l’impression, ça va peut-être être la température! Ça a l’air qu’il fait super chaud dans le jour et la nuit, c’est quand même froid!»

HPQ: «Vous avez été longtemps en duo toi et Marie-Lyne. Est-ce que ça a déjà nui à votre amitié?»

EC: «Ah! Bien oui, bien oui! On en a parlé souvent (…) À un moment donné, quand tu es tout le temps, tout le temps avec la même personne, que tu travailles, que tu passes tes journées dans le char (…) c’est sur que nous autres on s’est chicané vraiment beaucoup! Au cours de ces six ans-là, on a appris à se connaître, on a appris à apprendre c’était quoi le langage de l’autre! Parce que des fois, on dit la même affaire, mais dans des mots différents. Donc, la chicane pognait pour rien (…) On a vraiment grandi de cette relation-là. Donc, je crois que ça va être bon pour nous pendant le défi! Il y a plusieurs filles qui nous écrivent sur Instagram: Attention, c’est dur sur une amitié! Je suis partie avec ma meilleure amie et on ne se parle plus… Mais, là, on a déjà tout traversé ces grosses chicanes-là, à se dire nos quatre vérités en pleine face, ça devrait bien aller!»

HPQ: «Ça a été un grand succès Les grandes crues. As-tu déjà eu l’impression d’être (trop) associée à Marie-Lyne?»

EC: «Pas du tout! Bien, c’était peut-être vrai il y a quatre ou cinq ans, mais quand on est partie en duo c’était déjà clair dans nos têtes qu’on voulait aussi avoir nos projets solos (…) Marie-Lyne a eu des projets solos plus rapidement que moi, mais, écoute, j’ai toujours eu des petits contacts aussi! Ça va super bien, mon show solo, ça marche à fond et j’ai fait de la radio pendant quatre ou cinq ans (…) Ça va super bien chacun de nos côtés et les projets qu’on a en duo qui s’en viennent, c’est super intéressant et super stimulant aussi!»

HPQ: «Tu m’as parlé de projets en duo. Est-ce que tu peux en parler?»

EC: «C’est sur qu’on travaille fort sur une série télé! C’est sur que, quand on parle de série télé, c’est toujours des processus qui sont super longs, mais, ultimement, ça devrait voir le jour!»

HPQ: «Une série humoristique, j’imagine?»

EC: «Absolument! Carrément dans l’humour!»

HPQ: «Tu vas coanimer Les Olivier avec Cathy Gauthier. Est-ce que tu as l’impression que le choix d’animateur a été pris en prenant en considération la controverse du dernier gala?»

EC: «Ça, je ne pourrais pas te dire! Je sais que c’est le 25e anniversaire des Olivier cette année, donc ils voulaient avoir quelqu’un de la nouvelle génération d’humoristes et quelqu’un d’une autre génération d’humoristes, qui est Cathy! Nous, à la commande, c’est de faire un grand gala rassembleur, mais c’est sûr qu’ils engagent quand même Eve Côté et Cathy Gauthier, donc il y aura assurément des gags coup de poing dans ce gala-là, mais on ne veut pas blesser personne, on veut inclure tout le monde (…)»

HPQ: «Tu as dit à Je viens vers toi avoir fait un an de techniques policières, pourquoi avoir arrêté et t’être dirigé vers l’humour?»

EC: «Pendant techniques policières, qui est un cours collégial, j’étais au cégep et il y avait eu un appel de candidature pour Cégeps en spectacle! J’ai participé à ça, j’ai fait la demi-finale, je me suis rendue en finale et j’ai gagné pour le Cégep de Rimouski! À travers ça, il y avait un concours d’humour à Dégelis (…) Je me suis inscrite et j’ai gagné aussi! Je me suis inscrite à l’École de l’humour et ils m’ont accepté. Donc, là, j’étais comme: «OK, on dirait que la vie me parle. Ça a toujours été un rêve, c’est vraiment ça que je voulais faire (…)»

HPQ: «Pour conclure, que dirais-tu pour inciter les gens à écouter Plus ou moins misérable?»

EC: «Mon Dieu, c’est un show! On rit, on a du fun, on rit du malheur des autres, c’est tout le temps le fun, on se compare et on se console. Les invités sont bons et tu vois du monde full heureux de gagner 3000$! C’est un bonbon (…) C’est vraiment un feel good show

Enfin, rappelons qu’Eve Côté est en tournée partout au Québec avec son spectacle Côté Eve et que vous pouvez vous procurer des billets juste ici!

Ne manquez pas Plus ou moins misérable tous les lundi à 19h30 sur Noovo!

Merci à Eve pour ce beau moment!

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Entrevue Gino Chouinard: Son départ de Salut Bonjour et sa vie de famille

Le lancement de la programmation 2023-2024 de TVA avait lieu récemment et nous avons eu la chance de rencontrer Gino Chouinard!

L’animateur s’est notamment ouvert sur son départ de Salut Bonjour, en 2024, sur sa vie de famille, mais aussi sur ses futurs projets.

Un moment fort sympathique et intéressant en sa compagnie!

HollywoodPQ: «Cette année nous avons appris, il y a quelques mois déjà, que tu quitterais, en 2024, Salut Bonjour. Comment te sens-tu face à ça? Te sens-tu prêt?»

Gino Chouinard: «Oui! Oui, je considère qu’après l’été que je viens de passer, que c’était la bonne décision à prendre. Parce que c’est long de recharger des batteries, après une saison d’autant d’heures de direct, à la télé, et je pense, que plus les années avancent, moins mes batteries se rechargent vite. Je suis très à l’aise avec ça, c’est une bonne décision. Je suis dû pour essayer d’autres choses (…)»

Gino tenait toutefois à spécifier un point important à ses fans!

GC: «Je ne suis pas à la retraite en passant! Il y a plein de gens qui me disaient ça, cet été! C’est drôle, je pense que c’est l’affaire à laquelle j’ai répondu le plus souvent: Hey, tu n’es pas à la retraite toi? Quand est-ce que tu pars à retraite? Donc, j’ai vécu ma liberté 55 sans arrêt.»

HPQ: «Tu aurais trouvé ça long, prendre ta retraite à un si jeune âge?»

GC: «J’aurais trouvé ça long, effectivement. J’ai bien envie de travailler encore, puis longtemps en plus!»

HPQ: «Tes enfants sont-ils contents de cette décision?»

GC: «Mes enfants trouvent ça drôle, ils se sont demandés: Ça va faire bizarre papa quand tu vas être là le matin. Là, j’ai dit: Que voulez-vous dire? Bien, on n’est pas habitués de t’avoir avec nous! J’ai dit: Ça va être le fun, ça va faire changement! Parce que Marilou, je suis allé l’adopter en Chine pendant que j’étais déjà à Salut Bonjour. Je n’ai jamais été là le matin en semaine pendant les premières années d’école ni de garderie. J’étais-là beaucoup l’après-midi par contre. J’allais les chercher à l’école, on faisait les devoirs et tout. C’est une autre dynamique, j’ai hâte de me coucher quand mon corps est fatigué et de me réveiller quand mon corps est reposé.»

Un horaire matinal pour Salut Bonjour qu’il n’hésite d’ailleurs pas à qualifier de difficile…

GC: «Le réveil et le coucher étaient un enjeu, ils commençaient à me vider.»

HPQ: «De la fatigue accumulée aussi?»

GC: «Oui, il y a cela, mais en même temps c’est du plaisir accumulé aussi! Je quitte Salut Bonjour avec des souvenirs d’équipe extraordinaires, avec du bonheur, des moments de fous rires. Pour moi, c’est ce qui me reste en tête, les belles équipes avec qui j’ai travaillé.»

HPQ: «Est-ce que tu as de nouveaux projets en tête?»

GC: «Non. Je n’en ai pas encore. Puis, se serait trop tôt pour moi. Ce qui veut dire que là, j’ai échangé avec des gens, TVA a peut-être de l’intérêt aussi à me proposer des trucs, mais là, je suis à l’étape de faire Salut Bonjour d’abord. Je ne veux pas négliger ce que je fais là, mais je suis aussi à l’étape de regarder et d’écouter (…) Je ne veux juste pas faire la même chose!»

HPQ: «Prendre une pause aussi entre les deux?»

GC: «Oui, peut-être, mais je ne me sens pas… je te dirais, s’il se présente un beau défi rapidement, je ne sens pas le besoin de prendre une pause. Si le beau défi est à la hauteur, je vais prendre peut-être du temps l’été prochain pour faire des choses, mais mon plaisir de travailler est assez grand que j’ai envie de faire autre chose.»

Ce qui va lui manquer le plus? Son équipe!

GC: «C’est clair que mon équipe va me manquer parce que c’est comme une mini communauté. On peut appeler ça une famille. Nous, on appelle ça le noyau dur de Salut Bonjour. C’est une mini communauté ensemble, puis même si on ne se voit pas souvent en dehors du travail, on passe la moitié de notre journée ensemble.»

Gino nous confirme par ailleurs qu’il n’est pas au courant des discussions à l’interne sur qui pourrait le remplacer

Merci à Gino Chouinard pour ce beau moment!

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Entrevue Léane Labrèche-Dor: Le décès de sa mère, son expérience sur Les hommes de ma mère, et sa relation avec Anik!

HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec Léane Labrèche-Dor en marge du visionnement de presse du film Les hommes de ma mère d’Anik Jean, dans lequel elle incarne le personnage principal Elsie.

Lors de cette entrevue, l’actrice et humoriste s’est notamment ouvert sur la perte de sa mère, le deuil, mais aussi sur la relation qu’elle entretient avec Anik… ainsi que sur son expérience de tournage avec ses co-stars!

HPQ: «Anik t’a demandé de jouer Elsie, pourquoi est-ce que tu crois que tu étais le bon choix?»

Léane: «Ben je ne sais pas si c’était le bon choix, mais j’étais très contente d’être le choix! C’était un personnage que je sentais que je comprenais plein d’affaires, de ses réactions, de sa personnalité, de son parcours, de ce qu’elle vivait, donc c’est sûr que j’avais plein de petits corridors où j’avais envie d’aller travailler (…) Après ça, je pense aussi que j’étais le bon choix pour Anik, mais ça aurait peut-être été un autre réal, qu’il aurait peut-être choisi quelqu’un d’autre! Je pense aussi qu’il y avait la connivence qu’on avait l’une avec l’autre et la vision que j’avais d’Elsie, ça rimait à la vision qu’elle avait d’Elsie (…) Est-ce que j’étais le bon choix? I dont know

HPQ: «Toi et Anik vous êtes amies dans la vie, est-ce que tu avais peur que de travailler avec elle ça, vienne ébranler votre amitié?»

Léane: «(…) Ce qui me faisait le plus peur, c’est de la décevoir à un point tel où ça pouvait créer un ombrage, mais je pense que ça n’aurait pas été possible, parce que j’avais trop envie d’être à l’écoute de ce qu’elle voulait, je pense qu’elle avait trop envie que le film soit le fun, dans l’expérience pour tout le monde! Je finissais toutes mes journées en disant: Est-ce que tu es contente?, chaque scène j’étais comme: Si toi tu es contente, moi je suis contente! (…) C’est son premier film (…) C’est le fun parce que c’est mon amie, mais je pense que pour n’importe qui que c’est son premier film, il y a un désir de faire un… ça reste quand même le moment où toi tu vas te définir donc il y a comme un truc que tu veux que cette personne-là se sente en contrôle, se sente confortable avec ce que tu lui donnes, là l’amitié ça faisait juste décupler ça, même d’un côté positif, parce que j’avais vraiment envie qu’elle se sente heureuse et qu’elle soit fière de cette affaire-là!»

HPQ: «Comme Elsie, tu as perdu ta maman… Est-ce que de jouer ce personnage-là, ça t’a fait revivre des moments difficiles de ta vie?»

Léane: «Ce n’était pas difficile, ben en même temps peut-être que l’aurait été plus si ça ne faisait pas longtemps, mais ça fait quand même (…) Ça fait plus de temps que je vis sans ma mère, que ce que je vis avec ma mère! Il y a eu un cheminement qui s’est fait et je pense qu’au contraire c’était intéressant d’avoir ça dans ma petite besace et de pouvoir aller chercher certains trucs et de surtout pouvoir avoir l’opportunité de montrer comment ça peut se vivre (…) Il n’y a pas juste une façon de vivre un deuil et moi la façon dont je l’ai vécu ce n’est peut-être pas la même que ce que toi tu aurais fait donc c’est le fun de pouvoir mettre son petit grain de sel (…) Quand je dis que les deux se côtoient, moi ben j’ai eu le plus gros fou rire de ma vie aux funérailles de ma mère avec un ami qui ne connaissait pas le Notre Père, il était à côté de moi et il faisait juste les fins de phrases et ça me faisait rire au bout (…) Il y a de ça aussi dans le grand déchirement, dans le grand deuil (…)»

HPQ: «Est-ce que tu as rencontré des difficultés dans l’interprétation de ton personnage?»

Léane: «Ben, il y a des difficultés dans l’interprétation de chacun des personnages (…) Parce que je veux voir des défis, parce que je veux m’en donner, on ne veut pas toujours faire la même affaire, on ne veut pas non plus que ce soit comme (…) Le but ce n’est pas que ce soit bébé fafa, le but ce n’est pas non plus de se mettre des bâtons dans les roues si il y a des chemins qui se font facilement (…) Il y a plein de défis! C’est niaiseux mais c’est la première fois que je fais un film un peu romantique, où il y a une histoire un peu d’amour, pis j’étais comme: Ah comment est-ce que moi j’interagis là-dedans, comment est-ce je suis capable d’apporter?(…) Ce n’est pas mon casting du tout, le premier rôle de fille cute qui se fait un chum, vraiment pas! On ne m’a jamais demandé de travailler ça donc j’étais comme: Ok comment j’y arrive, ça fais-tu du sens, j’ai tu l’air un peu twit ?(rires). Au final, avec les autres, là c’est avec Jean-Simon, j’étais comme: Crime on va se parler! et c’était tellement facile, la relation parce qu’on s’entend bien, parce qu’on se connaît donc ça ça aidé! Mais oui, il y a tout le temps plein de petits pièges! Est-ce que je les évite tous? Non! Je suis tombé dans plein de pièges c’est sûr, sûr, sûr (…) Je pense que c’est le fun quand on essaie de les trouver, de les voir et de les éviter, je trouve que c’est une des parties le fun de mon métier!»

HPQ: «Justement dans une entrevue avec Le journal de Montréal, tu avais dit t’être senti intimidé par tes co-stars comment tu as fait pour passer par-dessus ça!»

Léane: «À un moment donné, il faut quand même que tu travailles, il faut que tu punch-in à la job, dans le sens où tu fais: Bon, là c’est correct faut y’aller! Mais j’ai quand même profité (…) C’est quand même le fun de profiter de se sentir choyé de travailler avec ces gens-là! Parce que l’intimidation vient de là, si c’était des gens que je ne respecte pas, si c’était des gens que je n’avais pas admirés, je ne serais pas intimidé, donc de juste savourer cette petit affaire-là et après ça il faut se concentrer et faire les affaires! On ne peut pas juste être gaga en regardant Colm Feore arriver sur le plateau (…) Après ça, c’était comme de se nourrir de ça, de se nourrir de ce que ces gens-là font, comment ils travaillent, l’expérience qu’ils ont et de faire: Ben je suis chanceuse

HPQ: «Si tu voulais inciter les gens à venir voir le film le 4 août, qu’est-ce que tu leur dirais?»

Léane: «Ben sincèrement, c’est vrai pour ce film-là, mais je pense que c’est vrai pour plusieurs films! L’expérience du cinéma pour moi c’est comme aller au spa, dans le sens où on sort du salon pour aller vivre des émotions en grandeur extrême et c’est tellement beau un film (…) Tout le monde qui se rend dans une salle avec un Pop-corn, se faire raconter une histoire collectivement, dans un geste collectif d’avoir vu un film avec un gros écran, une musique, un dosage de son et d’image, de lumière (…) C’est vraiment trippant! Sincèrement, pour moi c’est de rencontrer les personnages et de rencontrer l’histoire deux fois plus que quand on est à la maison! (…) Moi, je me souviens quand j’étais jeune, c’était mon activité préférée aller au cinéma, je prenais l’autobus avec mon petit change et j’allais au cinéma sur le Boulevard Taschereau! J’allais voir des films avec mes amis et j’étais comme: Men, pourquoi? c’est dommage que ça se perde, en vieillissant, c’est dommage que ça se perde avec pleins de nouvelles façons de regarder des films (…) J’inciterais les gens à venir vivre ces émotions-là dans le cocon de la noirceur du cinéma, dans ce que c’est enveloppant d’être dans un grand écran comme ça, tu rentres dans l’histoire c’est fou (…)»

Un gros merci à Léane pour sa belle générosité et on a très hâte de la revoir prochainement, tant à l’écran qu’en personne!

Le film Les hommes de ma mère, d’Anik Jean, est en salles dès le 4 août.

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OD: Entrevue avec Sabrina!

À la suite du passage de Sabrina d’Occupation double dans l’aventure, HPQ a eu la chance de s’entretenir avec elle et par le fait même d’obtenir son opinion sur divers sujets…

Dans l’entrevue, l’ex-candidate nous révèle avec qui elle ne se serait pas bien entendue dans la maison des filles!

De plus, Sabrina nous donne sa vision face au rejet des nouvelles filles dans l’aventure.

Découvrez les réponses à vos questions en visionnant l’entrevue!