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Cet entrepreneur de 26 ans nous dévoile le secret de son succès

Anthony Gibault

À l’aube de son 5e anniversaire, l’agence Mac Média, une des seules agences québécoises à offrir des solutions numériques 360, sait nous en mettre plein la vue. Grâce à son fondateur, le multi-entrepreneur Anthony Gibault, âgé de 26 ans et papa de jumeaux, l’agence se fait de plus en plus voir dans les médias. Il faut dire qu’on est autant impressionné par l’entreprise que par l’humain derrière celle-ci, c’est pourquoi nous avons tenu à nous entretenir avec lui afin d’en apprendre davantage sur son parcours exceptionnel.

Comment tes parents ont-ils réagi lorsque tu as choisi d’abandonner l’école pour te lancer en affaires à 15 ans?

AG: Très bonne question… En fait, la vérité c’est qu’ils n’étaient pas d’accord au départ parce que j’avais la chance d’aller dans une école privée qui coûtait une certaine somme. Donc, lorsque je leur ai dit que je souhaitais sortir de mon parcours scolaire alors que j’avais de bonnes notes, ils ont doutés de moi. Par contre, après leur avoir prouvé ce que j’étais capable de faire dans mon travail, par exemple lorsque j’ai été nommé le premier vendeur au Canada de tous les Best Buy du pays pendant deux ans, je pense que ça a su les rassurer. En plus, je leur ai toujours dit que j’allais finir mon secondaire 5, et j’ai tenu ma parole. L’école conventionnelle n’était juste pas faite pour moi puisque je suis hyperactif et que je sentais que je pouvais apprendre plus vite de manière individuelle. Je me suis donc rendu à La Réussite, une école privée qui permet de finir ses études. La seule raison pour laquelle je n’ai pas mon diplôme papier, c’est parce qu’il me manque des crédits d’Éducation physique puisqu’ils n’offrent pas ces cours-là haha! Mes parents m’ont donc quand même bien accompagnés dans toutes ces décisions et je ne regrette absolument pas mon parcours. Je suis convaincu que tous les parents qui vont lire cette entrevue vont se dire « qu’est-ce que j’aurais fait si…» et je les comprends totalement.

Parlant de parents, comment arrives-tu à bien concilier entrepreneuriat et être papa de jumeaux?

AG: Honnêtement, ça va bien. J’attribue le temps nécessaire à ma famille. J’ai vraiment changé mon horaire… J’étais quelqu’un qui poussait très fort normalement pour être productif, par exemple je faisais mon rush de la journée entre 20h et 1h du matin. Évidemment, avec des jumeaux de 7 mois, il est impossible de faire ça. J’ai donc changé mon mindset, mais surtout mon horaire. Je me lève à 4h30 tous les jours pour passer au moins 2h avec mes enfants le matin avant de partir au travail. La seule façon pour moi d’y arriver ces temps-ci, c’est de TOUT mettre dans mon agenda. Les soupers entre amis, les moments avec ma mère, le temps alloué à mes enfants… Tout est bien inscrit dans mon agenda électronique. C’est un peu triste dit comme ça, mais c’est ma manière de bien concilier travail et famille. C’est très important d’être organisé puisque la vie va vite, très vite!

Pourquoi et à quel moment dans ta vie as-tu su que tu souhaitais devenir entrepreneur?

AG: Je pense que je l’ai toujours su. À la base, ma mère m’achetait des bonbons au Club Price, dorénavant Costco, et au lieu de les manger, je partais le week-end avec ma brouette et je les vendais au parc de mon secteur. J’avais à peine 10 ans quand j’ai commencé ça. Évidemment, je ne considère pas que ça fait partie de mon parcours entrepreneurial lorsque je dis que j’ai
commencé ma carrière à 15 ans, mais c’est pas mal là que je l’ai su. Aussi, il faut savoir que j’aime beaucoup parler, j’aime faire des connaissances, j’aime rencontrer des gens… Je l’ai donc toujours su et visualisé, mais je ne savais pas comment ça allait arriver. J’ai plongé initialement dans l’événementiel parce que c’est tout ce que je connaissais et de fil en aiguille j’ai commencé la gestion d’influenceurs, ensuite la conception de site web, l’immobilier, l’importation… C’est un peu comme ça que ça s’est fait naturellement en suivant mon profil de personne qui saisit toutes les opportunités. On est donc rendus là aujourd’hui, et j’ai bien hâte de voir ce que l’avenir nous réserve!

Comment as-tu fait pour que ton agence, Mac Média, se démarque des autres?

AG: En fait, on n’est pas qu’une agence marketing. On est une agence en numérisation d’entreprise, la seule dans la province de Québec à ma connaissance. On ne fait donc pas que du marketing, mais aussi de la stratégie web, commerce électronique, site web vitrine, expérience client, Campagne marketing numérique 360, implantation de CRM (Customer Relationship Management) sur mesure, etc. D’ailleurs, on a implanté le CRM il y a environ 3 ans pour structurer nos clients et continuer de grandir dans la vision de numériser les entreprises. Notre dernier bébé est dans cette même optique là, c’est notre nouveau département logiciel qui a environ 2 ans. Celui-ci permet d’automatiser toutes les opérations pour augmenter la performance des entreprises. Ce qui nous différencie des autres est donc qu’on est multidisciplinaire, un peu comme ta firme d’avocat, fiscaliste, comptable, mais spécialisé dans le numérique! On ne s’arrête pas juste à garrocher une pub sur Facebook, on fait tout le système autour qui permet de créer une vraie stratégie marketing viable pour une entreprise.

Qu’est-ce que tu dirais à toi plus jeune, au moment où tu as débuté toute cette belle aventure?

AG: « Fonce! » parce que je suis en train de réfléchir à tout ce que j’ai fait pour en arriver là où je suis aujourd’hui et oui il y a des choses que je suis capable de dire que j’éviterais ou que j’irais moins vite, mais la réalité c’est que je referais tout tel quel. Ce parcours là m’a amené à aujourd’hui. Il faut que tu fasses ta marque, tes expériences et tes erreurs pour être capable d’aller au prochain niveau. Je dirais au jeune moi « Fonce, fais exactement ce que tu ferais, saisis toutes les opportunités que tu reçois ». Y’en a pas une que je n’ai pas pris; j’ai même acheté un restaurant! C’était la pire erreur de ma vie, mais je le referais quand même pour l’expérience que ça m’a amené. Il faut se rappeler que tout est un apprentissage.

Et pour finir, nous avons quelques questions en rafale pour voir nos points en commun avec toi haha!

Comment débute-tu ta journée pour être le plus productif possible? Je vérifie mes courriels, après ça je peux me concentrer sur autre chose. Deuxième étape, jouer avec mes enfants.

Quelle est la musique qui te permet d’être dans le meilleur esprit pour travailler? En ce moment, j’écoute sur repeat « Baila Conmigo », le remix de Dayvi & Victor Cárdenas. Fun fact, on met cette chanson-là dans les bureaux le lundi matin et tout le monde sait que c’est l’heure du meeting de la semaine!

Café ou boisson énergisante? Les deux! Café avant 7h am et boisson énergisante entre 8h et 10h am. Mon médecin ne sera pas content!

Quelle est ta cryptomonnaie préférée? Le Bitcoin, c’est fiable.

Télétravail ou bureau? Bureau, j’aime le contact humain. En passant, on est en mode hybride à l’agence et on recrute en ce moment pour les intéressé.e.s!

Quel est ton cocktail de fin de journée favori? Un Old fashioned, toujours. J’ai même une machine qui m’en fait un au bureau!

Pour en connaître davantage sur l’agence Mac Média et son fondateur, on vous invite à visiter leur site web juste ici. Pour vérifier les postes disponibles en ce moment au sein de l’agence, vous pouvez visiter cette page-ci.

Vous pouvez aussi vous abonner au balado d’Anthony avec comme invités Anne-Marie Losique, François Lambert, Jessika Dénommée et plusieurs autres. Bonne écoute!

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Big Brother Célébrités: Stéphane Fallu ne mâche pas ses mots en parlant de Guylaine!

L’humoriste Stéphane Fallu a malheureusement dû quitter la maison de Big Brother Célébrités après n’y être resté qu’une semaine. Bien que son élimination était sans surprise auprès du public, celui-ci a envoyé une grande dose d’amour à l’humoriste et animateur afin de lui réchauffer le coeur. N’empêche, même s’il aurait peut-être dû rester plus longtemps dans l’aventure, son destin n’était malheureusement pas entre ses mains.

Nous avons eu le bonheur de le rencontrer afin d’effectuer une courte entrevue avec lui et de lui parler de ses projets futurs. Parce qu’on va se le dire, on n’a pas fini d’entendre parler de ce personnage des plus attachants!

Stéphane Fallu, d’entrée de jeu, comment te sens-tu suite à ton élimination?

Honnêtement, c’est certain que j’ai trouvé ça rough. Sur le coup, tu es vraiment dans le jeu. Tu ne sais pas comment les gens vont prendre ton jeu. Dans la maison, j’avais le sentiment que je m’étais planté. Je me suis tellement fait tasser, je n’ai pas vraiment pu jouer, je me disais que j’étais plate… Ce n’était pas ça mon but. Je ne voulais pas jouer la partie comme je l’ai joué. Quand je suis sortie et que j’ai vu la réaction des gens […] 36 heures plus tard […] la grande vague d’amour… je ne pensais pas l’avoir. Je suis le premier surpris. […] Si tu es dans un groupe d’amis dans un souper et que toutes les fois où tu parles, les gens lèvent les yeux, tu vas rentrer chez toi et avoir l’impression que ce souper avait mal été. C’est un peu comme ça que je me sens, mais c’est ça le jeu. […] Les gens me disaient « on t’aime, mais t’es arrivé trop tard ». Quand Martin m’a dit « Toi, je te connais depuis 10 ans et eux, j’ai l’impression que ça fait plus longtemps », ça, ç’a m’a mis un couteau dans le coeur en partant.

Quand tu étais en entrevue avec Marie-Mai, on t’entendait réagir à la vidéo de Guylaine. Qu’aimerais-tu lui dire présentement?

Je ne dirais pas « bla, bla, bla », haha. Je comprends que c’est un jeu, je comprends qu’elle voulait me sortir parce que j’étais une « menace », mais je n’avais pas d’appui et aucune alliance, donc, je n’étais pas vraiment une « menace ». […] Le jeu c’est ça, tu élimines le monde que tu veux éliminer au début […], mais je l’ai trouvé trop intense, il faudrait qu’elle trouve le ton. Guylaine, trouve le ton, parce que tu n’as pas dit les bons mots. […] Tu peux vouloir éliminer quelqu’un et ç’a l’air sympathique, mais elle, elle joue fort. […] Elle attaque à la gorge. Mais après, c’est correct parce que c’est un jeu. […] Je savais qu’elle disait des choses sur moi, mais je ne voulais pas la confronter, parce que je savais que je ne pouvais pas l’attaquer en retour. Pas en arrivant à la deuxième semaine. […] Mais au moins, j’ai mis le doute dans la tête des gens et ça, je suis super content. Je l’ai dit à Claudia, je l’ai dit aux sportifs avant de sortir. […] J’ai dit à Hugo « Tu sais qu’elle te materne présentement, mais éventuellement, tu le sais qu’elle va se retourner contre toi ». Ils le savent, mais ils veulent juste jouer au bon moment. […] Je me suis senti mal en disant le « bla, bla, bla », parce que c’était un peu passif/agressif, j’étais dans l’émotion, dans le jeu. Je ne voulais pas dire de mauvais commentaires, comme je ne suis pas fâché. […] Si Guylaine gagne, je serai super content pour elle. Par contre, c’est certain qu’on va jaser après, haha!

Les autres célébrités semblaient dire que ton arrivée tardive dans la maison était injuste, bien que tu n’y étais pour rien. Crois-tu que recevoir l’immunité à ton arrivée aurait été acceptable dans ton cas?

Moi je suis quelqu’un qui suit les règles quand je joue à un jeu. Alors si les règles étaient ainsi, je respecte vraiment ça et je veux jouer comme ça. Je l’accepte. Mais je trouve ça dommage que je n’aie jamais fait aucun défi du patron. J’ai vraiment eu une expérience atypique. Je ne pense pas avoir vu ça dans la franchise de Big Brother. La production n’y est vraiment pour rien. […] J’assume tout ça. Je sais aussi que je suis un gars sensible. Je suis impliqué. À ‘un moment, j’ai juste pensé à mon fils qui m’avait dit avant de partir « papa, peu importe ce qui arrive, reste là! Ne te fâche pas, ne parle pas contre les gens ». Et je m’étais un peu dit ça. J’aurais peut-être joué un peu snaky, mais jamais en blastant des gens. J’aurais définitivement attaqué les gens, mais je l’aurais fait avec une sorte de gentillesse. Pas en m’acharnant et en faisant du bullying. Mais en même temps, je ne suis pas fâché et je leur souhaite juste du bien!

S’il y avait un Big Brother Célébrités : All Stars, y participerais-tu?

Pour le moment, je veux décanter… Ç’a été difficile. […] Je ne veux pas partir sur ça, mais je me suis un peu senti de retour au secondaire, quand rien ne fonctionne et que tu te fais tasser. […] Mais encore une fois, il ne faut pas extrapoler. […] Dans la maison, à un certain moment donner, je voulais juste dire « ce que vous faites, c’est de l’intimidation, de l’exclusion ». Mais en même temps, c’est un jeu. J’allais là pour jouer. Je n’allais pas là pour l’argent. Toute cette expérience, ce n’était qu’un jeu en fin de compte.

Quand tu as franchi la porte de la maison de Big Brother Célébrités, qu’est-ce qui se passait dans ta tête?

J’étais nerveux. J’étais excité. Moi je pensais que j’arrivais et que je faisais le défi du patron. Éventuellement, j’ai appris que je ne le faisais pas. J’ai été déséquilibré. […] J’ai aussi été coupé de la technologie quand j’ai été isolé. Une fois que je suis finalement rentré dans la maison, j’étais tellement content d’être là! […] Mais j’ai senti dès le début que je n’avais aucune possibilité. Les gens que je connaissais d’en dehors de l’aventure m’ont rapidement dit qu’ils ne s’allieraient pas avec moi.

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Quelle était ta stratégie première à ton arrivée? En avais-tu une?

Oui… Si j’étais arrivé au début, j’aurais eu une tout autre stratégie que celle-là. Au départ, je voulais être la personne sociale; je voulais faire du BBQ, parler avec tout le monde, les écouter, mais je ne voulais pas leur donner une raison de me sortir. Mais c’est ça aussi le jeu! J’ai beaucoup essayé d’atteindre P-L, parce que c’est un gros joueur et je voulais qu’il mette Michelle sur le bloc. […] Dans la maison, à part Guylaine, Michelle est backée. Elle ne sortira pas. Les sportifs la back et vont le faire jusqu’à la fin. Leur alliance est vraiment solide. Si Michelle n’avait pas été isolée, j’aurais passé la semaine à tenter de la faire craquer.

Avec qui aurais-tu aimé t’allier?

Stéphanie, Karl, Éléonore, Claudia, Valérie, Eddy et Catherine Peach. Je pense qu’on aurait fait une alliance qui a l’air hyper faible, mais qui aurait été hyper forte. J’aurais aussi aimé, chaque semaine, mettre un des deux sportifs sur le bloc, jusqu’à ce qu’un d’entre eux sorte. J’aurais mis Hugo, Marc-Antoine et Martin Vachon. […] Les célébrités ne semblent pas réaliser que ces gars-là sont très forts. Ils vont tout gagner et éliminer les gens les uns après les autres.

Même si tu n’es resté qu’une toute petite semaine, le public s’est rapidement attaché à toi et a exprimé sa déception dimanche soir, lors de ton départ. Comment reçois-tu cette dose d’amour?

Je suis très touché, je ne m’attendais définitivement pas à ça. Ça fait longtemps que je fais ce métier-là. J’en ai fait des trucs, mais j’ai tout le temps été atypique. J’ai une carrière atypique. Je ne suis pas le gars qui gagne des prix. Je ne suis pas dans une grosse gang. Je suis là parce que je travaille fort. Si je suis encore là, ce n’est pas parce que j’ai vendu 100 000 billets, mais bien parce que je n’arrête pas de travailler.

Tu participeras à En direct de l’univers prochainement, quelle est LA chanson que tu aimerais que l’on interprète pour toi et qui aimerais-tu voir l’interpréter?

C’est malade! C’est irréel. Mes réseaux sociaux explosent, les gens disent sans cesse qu’ils m’aiment. J’ai tellement hâte de répondre aux gens. Je suis reconnaissant. […] Wow, il y a tellement de chansons que j’aimerais me faire chanter. […] J’aimerais beaucoup que Jean-Leloup me chante une chanson de Jacques Brel. J’aime vraiment les choses qui clash! C’est vraiment ça que je veux. Je veux de la poésie, des beaux mots. Aussi, j’aime le hip-hop à cause de mes enfants, donc j’aimerais avoir un medley de ce genre-là. Mais c’est complètement irréel pour moi. Quand je regarde En direct de l’univers, je me dis « mon Dieu que ces gens-là sont importants ». Et là, ce sera moi prochainement. Je ne le réalise pas.

As-tu des projets futurs que tu aimerais partager avec le public?

J’ai enregistré un podcast l’été dernier. Le titre est Ça s’peut que je l’échappe, et quand je l’ai enregistré, ce n’était pas encore clair que j’allais faire Big Brother Célébrités. Ça m’a vraiment pris du temps avant de dire oui. […] Mon podcast remet vraiment les choses en perspective sur la réalité d’un humoriste. Pas nécessairement comment on se sent quand on monte sur scène, mais comment on se sent face à l’échec, au stress, ou autres genres d’émotions. Je l’ai fait pour que ce soit drôle. […] je pense sincèrement à en enregistrer d’autres […] même à faire des podcast live. […] Mon dernier show, Pus d’signal a été capté. Ma tournée est terminée et présentement, je suis en écriture de mon prochain show.

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Revenons à Big Brother Célébrités, qui, selon toi, sera le top trois à la finale? Et qui remportera Big Brother Célébrités 2?

Ouf… Je pense que Hugo va se rendre dans le top trois. Il joue vraiment bien. […] Je crois aussi que Michelle et Martin ont des chances. Je pense que Martin risque de se faire sortir, mais en même temps, il travaille avec Michelle, alors j’ai hâte de voir. Si ces deux-là sont capables de ne pas se faire éliminer d’ici les prochaines semaines, ils pourraient assurément se rendre en finale. […] Aussi, Tranna est une force tranquille. Si elle continue son jeu, elle pourrait se rendre en finale.

** Notez que les propos du candidat ont été légèrement modifiés afin de rendre l’article facile à la lecture. **

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OD dans l’Ouest: Jolie-Ann raconte sa cohabitation avec Patrice et Carol-Anne dans la maison des exclus!

Mercredi soir dernier à OD Dans l’Ouest, c’est une élimination de filles qui a été effectuée suite à la défaite de celles-ci lors du dernier ODéfi qui était axé sur leurs connaissances générales. C’est sans surprise que la photo de Jolie-Ann se trouvait dans l’enveloppe. C’est donc la magnifique jeune femme qui a malheureusement dû quitter l’aventure.

Bien que nous sommes tristes de la voir partir, nous sommes heureux pour elle, car Jolie-Ann a pu retrouver son fils qui lui manquait grandement.

C’est avec joie que nous nous sommes entretenus avec l’Abitibienne afin de parler de son élimination, mais aussi, de son expérience à Occupation Double.

Jolie-Ann, avant de débuter ton aventure, tu avais l’espoir de rendre ton fils fier de sa mère. Est-ce un objectif accompli?

Bonne question! Mon fils me connait bien. Il sait que j’ai du caractère […] Mon but était de mettre plus en valeur mon rôle de mère, mais aussi de protéger mon fils […] Je voulais vraiment qu’il sache que maman va prendre soin de lui à l’avenir quand elle va faire son choix d’hommes ou de femmes. Je suis resté fidèle à moi-même et c’est ce qui me rend fière. […] De parler de lui, de parler du fait que j’ai eu un enfant jeune et que ça a changé ma vie, ça fait la personne que je suis aujourd’hui. Donc oui, mission accomplie.

Tu as mis en lumière les communautés autochtones avec tes importantes connaissances personnelles, est-ce que les candidats et les candidates étaient derrière toi pour te supporter dans cette quête?

Oui, vraiment! Même qu’avant le tapis rouge, j’ai expliqué aux filles l’histoire des pensionnats et mon histoire personnelle aussi. Les filles étaient vraiment ouvertes et super touchées. Je pense qu’elles ont appris des choses avec moi.

Tu as passé quelque temps dans la maison des exclus, est-ce qu’il y a eu des rapprochements entre toi et Patrice?

Ahah! Quand je suis arrivée dans la maison des exclus, ça faisait trois jours que Carol-Anne et Patrice étaient arrivés et la production m’avait fait croire que j’allais être seule, alors je suis restée super surprise quand je les ai vus en arrivant! […] J’étais contente de voir Patrice, parce que j’avais l’impression que l’on s’était laissés sur une mauvaise note. Alors, je voulais qu’on se parle afin de régler ça. […] Patrice c’est un gars super avec de belles valeurs. Il aime le monde, il est super généreux et il a un grand coeur. Je suis tellement contente d’avoir pu le découvrir. Mais non, on n’a pas eu de rapprochements.

Comment s’est passée ta cohabitation avec Carol-Anne?

Je pense qu’elle était surprise de me voir. On s’est parlé et elle m’a avoué qu’elle avait embrassé Patrice. […] Personne ne me doit rien non plus et je sais qu’ils ont tous les deux eu une aventure difficile alors tant mieux s’ils ont trouvé du réconfort l’un avec l’autre. 

Que retiens-tu le plus de ton aventure?

Que j’ai encore du travail à faire pour gérer mes émotions! 

Qu’aurais-tu fait différemment dans ton aventure?

Je n’aime pas avoir de regret… […] De prendre du recul avant de prendre une décision. De ne pas laisser la colère m’emporter. Par exemple, quand je me suis chicané avec Patrice, ma réaction était de le mettre dans l’enveloppe. Donc, peut-être d’apprendre à prendre du recul avant d’agir. Ne pas laisser mes émotions gérer mon comportement.

Quatre nouveaux candidats et candidates seront dévoilés ce soir, aurais-tu préféré rester à OD Dans l’Ouest afin de voir si une connexion était possible avec l’un.une d’eux.d’elles?

Non! Ahah! Il y avait tellement de drama dans les maisons. Tous les soirs il y avait des filles qui pleuraient et je me disais « Mais qu’est-ce que je fous ici? Maman ourse a un petit ourson à protéger », haha. Alors non. Aussi, je ne me sentais plus à ma place…

Avec quelle fille aurais-tu pu développer une relation sérieuse?

Aucune, malheureusement. Il n’y avait pas de fille ouverte d’esprit par rapport à ça. […] Mon girl crush était Amélie, mais il n’y avait pas de possibilité pour du sérieux.

Si l’occasion se présentait, referais-tu Occupation Double?

Non! C’est tellement un contexte où tes limites psychologiques sont poussées à l’extrême. Ça m’a appris beaucoup, mais honnêtement, je ne le referais pas. […] J’aimerais mieux faire du cinéma…

Embrasse / Marie / Élimine.

J’élimine Audrey, je marie Stevens et j’embrasse Patrice!

** Notez que les propos de la candidate ont été légèrement modifiés afin de rendre l’article facile à la lecture. **

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Hollywood PQ

Rosalie Ayotte voulait chanter une de ses compositions à la finale de Star Académie

Éric Myer

Dimanche dernier marquait la fin des demi-finales à Star Académie alors que c’est Lunou Zucchini qui a gagné le coeur du public, ce qui voulait donc dire que Rosalie Ayotte ainsi que Queenie Clément devaient plier bagage et quitter le manoir de Waterloo. C’est lors d’une courte entrevue que l’autrice-compositrice-interprète Rosalie s’est entretenue avec HollywoodPQ.

Comment te sens-tu face à ton évincement de dimanche dernier?

Je n’ai aucun problème avec ça. Je suis super satisfaite de mon parcours et de tout ce que j’ai accompli à l’Académie. Je repars la tête haute et je suis fière de partir après avoir chanté l’une de mes compositions.

De quoi es-tu le plus fière?

Le fait d’avoir pu faire mes compositions, ça me rend fière. Je me considère très chanceuse d’avoir pu chanter mes propres chansons dans une émission de télé d’une aussi grande envergure. En plus, quand j’étais en danger et que j’avais interprété l’une de mes chansons, le public m’a sauvée et c’est à ce moment que j’ai compris que c’était la chose à faire. Je ne m’attendais tellement pas à ça.

Avais-tu l’intention de faire une composition lors de la grande finale?

Oui. Si ma composition avait été une deuxième fois appréciée par le public, c’est certain que j’en aurais fait une troisième pour la finale!

Avec laquelle ou lequel de tes professeurs aimerais-tu le plus collaborer?

Ariane Moffatt. On a un peu la même vibe. J’adore sa musique et ses textes. Elle est une excellente autrice-compositrice-interprète. Elle est fascinante, ce serait définitivement avec elle que j’aimerais collaborer.

Avec laquelle ou lequel des académiciens aimerais-tu le plus collaborer?

Queenie et Lunou. Elles sont les deux académiciennes avec lesquelles je suis le plus proche. Je crois que notre trio pourrait vraiment être le fun; Queenie pourrait rapper et faire les notes très hautes, Lunou, elle, pourrait faire les voix un peu plus graves!

Que représente Star Académie pour toi maintenant, versus ce que ça représentait avant ton arrivée?

Avant de faire Star Académie, je ne m’attendais pas à autant changer en tant qu’être humain. Je m’attendais à m’améliorer en tant qu’artiste, mais c’est fou à quel point j’ai évolué en tant que personne, en étant moi-même. Je me suis laissée aller plus que je pensais. J’ai osé plein de trucs et je pense que c’est vraiment une belle leçon de vie que je peux appliquer dans ma vie et pas nécessairement juste dans la musique!

Nous avons très hâte de voir ce que le futur réserve à Rosalie, mais nous avons surtout hâte d’entendre de nouvelles chansons de la belle!

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Queenie Clément fait le point de son aventure à Star Académie

Éric Myer

Dimanche dernier marquait la fin des demi-finales à Star Académie alors que c’est Lunou Zucchini qui a gagné le coeur du public, ce qui voulait donc dire que les autres demi-finalistes, Queenie Clément ainsi que Rosalie Ayotte, devaient rentrer chez elles. HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec chacune d’elles, le temps d’une courte entrevue.

Queenie, maintenant que tu es sortie, qu’est ce que représente Star Académie pour toi?

Ça représente le fait d’aller atteindre nos rêves malgré tous les doutes et les inquiétudes… J’ai aussi compris que la plupart du temps, nous sommes la raison pour laquelle les choses ne fonctionnent pas. Dans le sens où parfois, c’est en nous qu’il faut faire le plus confiance et il faut foncer. Si l’on veut vraiment y arriver, tout part de nous.

Quel a été ton plus grand challenge à l’Académie?

Définitivement, le français. Pas parce que je ne comprends pas la langue, mais surtout le fait qu’il faut chanter dans cette langue en suivant le tempo et le rythme, la mélodie et les temps… Ce n’est pas simplement de savoir parler le français, mais c’est d’appliquer toute la technique autour de ça, aussi. Je continue d’apprendre de nouveaux mots tous les jours et je suis contente de le faire. Je travaille si fort… Ça devient de plus en plus facile aussi.

Que comptes-tu faire à ta sortie?

Je vais lancer mon premier album. J’avais commencé à travailler sur cet album bien avant mon arrivée à l’Académie. C’est sûr que c’est difficile de travailler en pleine pandémie et les studios étaient fermés, mais maintenant que je suis sortie de l’Académie et que je suis officiellement une vraie chanteuse, j’ai l’intention de terminer et de sortir cet album. Sinon, j’avais écrit une télésérie dans laquelle il y aurait quelques chansons que j’ai écrites également. Ce serait une série en français, mais aussi en anglais, pour bien montrer les deux communautés. J’aimerais aussi inclure les chansons d’autres artistes au fils des épisodes.

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À quel genre d’album peut-on s’attendre de Queenie?

R&B, soul… je veux également inclure le rap. Je tiens à faire un album dans les deux langues. Quelques chansons en français et certaines chansons en anglais. Regardez Céline Dion, par exemple, elle l’a fait, haha!

Quelle est la différence entre la Queenie d’avant Star Académie et celle d’après?

Celle d’avant Star Académie se doutait vraiment du potentiel qu’elle avait. La Queenie d’après, elle est maintenant beaucoup plus sûre qu’elle peut atteindre ses buts. J’ai déjà fait la majorité des choses que je voulais faire, dont chanter avec Lara Fabian, Ariane Moffatt, d’être à la télé sur le réseau TVA… j’ai déjà fait beaucoup de choses dont je rêvais.

Quelle chanson aurais-tu faite pour la grande finale de dimanche prochain?

J’aurais interprété ma première composition, Terminer, que j’ai écrite pendant mon aventure à l’Académie.

Une chose est claire, on est loin d’avoir fini d’entendre parler de l’excellente Queenie, qui a su se démarquer avec sa persévérance ainsi que sa voix qui est digne des plus grandes stars internationales.

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Jacob Roberge est fier de lui suite à son élimination à Star Académie

Éric Myer

Le spectacle de variétés de Star Académie de dimanche soir marquait l’élimination double de Guillaume Lafond ainsi que de Jacob Roberge. HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec Jacob, le temps d’une courte entrevue.

Au lendemain de ton élimination, comment vas-tu?

Ça va très bien. Je l’ai vraiment bien pris. Je suis super excité de toutes les opportunités que j’aurai à partir de maintenant! Je suis content de pouvoir interagir avec les gens qui m’ont suivi pendant les dernières semaines. On était vraiment enfermés, alors de voir tout l’amour qu’on reçoit, c’est vraiment glorifiant et j’ai juste hâte de redonner cet amour au public.

Qu’est-ce qui t’a impressionné le plus à Star Académie?

De jouer sur scène avec l’Orchestre Métropolitain, dimanche dernier. Quand Lara Fabian chante et qu’elle te regarde dans les yeux… ça n’a pas de prix.

Avec lequel des professeurs retravaillerais-tu le plus?

Lara Fabian, définitivement. J’aimerais beaucoup faire un duo avec elle. Soit sur un album, soit sur la scène.

Comment entrevois-tu l’avenir de ta carrière ?

Je travaillais déjà sur deux albums avant mon entrée à l’Académie. Un avec mon band rock où l’on célèbre vraiment les années 80 et un autre en solo dans le style de rock progressif un peu dans le genre de Pink Floyd et Harmonium. Ce sont vraiment mes deux projets à court terme, sinon, j’aimerais beaucoup composer pour d’autres artistes, mais aussi pour des films. J’aimerais beaucoup y écrire la musique. Les opportunités sont infinies et je ne voudrais pas me limiter à quelque chose de spécifique.

De quoi es-tu le plus fier en sortant de Star Académie?

Je suis fier d’avoir relâché mon fou à Star Académie. J’étais vraiment un gars très gêné en arrivant, mais au fil des semaines, l’Académie est vraiment devenue comme notre maison. J’ai dû apprendre à ne pas avoir peur de ce que les autres pensent. Le fait qu’il n’y avait pas de public m’a beaucoup aidé aussi, je crois.

À quel genre d’album peut-on s’attendre de Jacob Roberge?

Pour l’instant, je me dirige plus vers le rock avec mon band. Mais pour mon album solo, c’est plus pop progressif, avec quelques ballades où l’instrumental est vraiment puissant. J’aimerais aussi éventuellement faire un album de Noël un peu de style jazz et classique…

Avec quel artiste as-tu aimé jouer le plus?

Je dirais Mario Pelchat, Bruno Pelletier ainsi que l’Orchestre Métropolitain.

En terminant, quel est le mot qui décrirait ton expérience à Star Académie?

Grandir!

On a hâte de découvrir ce que Jacob nous réserve et d’entendre ses albums qui sont déjà en préparation, mais aussi, on a très hâte de faire notre sapin de Noël sous la reprise des classiques du temps des fêtes qu’interprétera Jacob!

En coulisses

Psst : Pour suivre Jacob sur Instagram, c’est par ici!

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Guillaume Lafond repart la tête haute de Star Académie

Éric Myer

Dimanche soir, lors du gala d’élimination de Star Académie, c’est Guillaume Lafond ainsi que Jacob Roberge qui ont été éliminés, alors que William Cloutier a gagné sa place en finale. HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec Guillaume, le temps d’une sympathique entrevue.

Guillaume, comment te sens-tu face à ton élimination d’hier soir?

Ça va super bien, sérieusement. Je suis fatigué, je n’ai dormi qu’une heure et demie, mais je tiens le coup!

Qu’est-ce qui te rend le plus fier quand tu repenses à ton parcours à Star Académie?

Mon évolution. Au début, je n’y croyais pas. Je ne pensais vraiment pas entrer à l’Académie. Quand le public a voté pour moi, c’était vraiment une surprise. Je suis quelqu’un d’assez gêné, alors le fait qu’il y ait des caméras partout, tout le temps était assez intimidant. Je ne parlais pas trop au début, je ne prenais pas vraiment ma place non plus. Mais éventuellement, je suis devenu à l’aise et j’ai été capable de me laisser aller. Allant même jusqu’à danser partout et à me sentir chez moi!

Qu’as-tu appris de plus surprenant par rapport à toi-même?

Avoir gagné de l’assurance et de la confiance. Je ne pensais vraiment pas être capable de livrer la marchandise, alors le fait d’être devenu un peu plus confiant, c’est ça qui me rend fier.

À quoi peut-on s’attendre de ta part après Star Académie?

Je veux faire le plus de spectacles possible. Je le dis depuis un moment. Je prends ça tranquillement, je veux faire de belles rencontres, trouver de bons musiciens avec qui jouer… Je connais tous les aspects pour avoir une carrière d’artiste et je ne veux pas faire ça tout seul. La promo, le booking, l’écriture, la production, etc. Je veux vraiment prendre le temps de bien m’entourer. Mon but est vraiment d’apprendre en essayant des choses différentes.

Comment accueilles-tu ta soudaine popularité?

Je ne sais pas. Sérieusement, je n’en ai aucune idée. Je suis quelqu’un de très humble dans la vie, alors ce qui me fait le plus peur est que les gens pensent que je ne suis pas humble. Je ne sais pas comment prendre le fait que je sois populaire, je ne le réalise pas encore. Je ne veux pas avoir l’air de quelque chose que je ne suis pas. J’ai définitivement hâte de parler au public.

De quoi as-tu le plus peur maintenant que les caméras sont éteintes?

J’ai peur de mal m’entourer ou d’embarquer dans un projet qui va me mettre des barrières. Je veux explorer plusieurs options, je ne veux pas être catégorisé par une seule chose. Je ne veux pas faire les choses trop vite et signer n’importe quoi. Je veux vraiment être sûr de moi et d’aimer tout ce que je fais. Je fais de la musique, parce que ça me passionne et ça me fait vivre, alors je ne veux jamais perdre ça.

Quel conseil as-tu reçu dans ton aventure qui t’a marqué le plus et que tu n’oublieras pas?

C’est à ma première évaluation, à la semaine trois. Je n’avais pas vraiment eu d’interactions avec les professeurs et lors de cette évaluation, j’ai vraiment pu leur parler seul à seul et écouter ce qu’ils avaient à dire. Ils m’ont dit qu’ils me trouvaient bon et que j’avais tout ce qu’il fallait pour réussir, que je devais simplement me faire confiance et foncer. J’ai réalisé que les professeurs croyaient en moi et voyaient vraiment du bon en moi. Aussi, Gregory Charles m’a conseillé de faire un plan professionnel et de suivre ce plan-là. Alors, depuis la semaine trois, je ne fais que penser à ce plan.

En terminant, quel est maintenant ton but ultime?

Faire des spectacles, tester des chansons pour un potentiel album. Je veux faire des festivals, des bars, des petites salles, des marinas, haha! Juste avoir une proximité avec le public et le rencontrer. Je veux vraiment sentir mon public et l’avoir devant moi.

Bien qu’on est loin d’être inquiets pour Guillaume, on lui souhaite tout de même la meilleure des chances et on a hâte d’aller le voir en spectacle!

En coulisses

Psst : Voici les chansons que les académiciens et académiciennes interprètent sur l’album de Star Académie, qui sera disponible partout dès jeudi.

Voici les chansons que vous retrouverez sur l’album de Star Académie 2021! 🎉

Lesquelles avez-vous hâte d’entendre?…

Posted by Star Académie TVA on Monday, April 19, 2021

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Le dernier confessionnal: Kim et François nous donnent un aperçu

Bell Média

La finale de Big Brother Célébrités a été présentée dimanche soir, couronnant Jean-Thomas Jobin comme grand vainqueur de la saison. Cependant, l’aventure n’est pas encore tout à fait terminée, puisqu’on aura droit à un dernier épisode dominical, Le dernier confessionnal, qui a été tourné ce week-end. Kim Clavel et François Lambert, qui ont terminé la compétition en troisième et en deuxième position, ont donné en entrevue une idée d’à quoi s’attendre durant cette dernière heure qui a été parfois éprouvante à enregistrer pour eux.

« On était tous les deux susceptibles d’avoir des petits règlements de compte. On les a eus, mais ça s’est fait d’une façon correcte. C’est sûr que nous, on était très fragiles en sortant, vendredi, on était épuisés », explique l’ancien Dragon. En effet, lui, Kim et Jean-Thomas n’ont même pas eu l’occasion de retourner chez eux ou de voir les émissions entre le tournage de la finale et celui du Dernier confessionnal, qui a eu lieu le lendemain.

« Il y a du monde que ça faisait un mois, deux mois qu’ils étaient sortis. Ils avaient hâte de retrouver la maison. Nous, on n’avait pas hâte, on avait juste le goût d’aller décanter à l’hôtel, de regarder les émissions tranquillement », soutient la boxeuse, qui a trouvé particulièrement difficile de voir certaines de ses « trahisons » pour la toute première fois en étant en la présence des personnes concernées. « J’ai trouvé ça dur, pour de vrai. C’est quelque chose que je n’ai pas aimé. »

Tout les deux ont d’ailleurs avoué qu’ils avaient l’intention de se lever et de s’en aller si la conversation tournait à la chicane. Heureusement, les confrontations se sont plutôt faites « en douceur ». « S’il y a une chose que ça ne te tente pas de vivre quand tu viens de sortir de la maison, c’est de te faire ramasser, exprime Kim. Ce n’est plus le temps, la game est finie et on est fragile en sortant. La production veut prendre soin de nous, mais ça reste qu’il y avait des choses à dire entre les célébrités et ça s’est dit à ce moment-là. »

« Déjà, juste revenir dans la réalité et d’avoir à faire face à une petite vague de haine, c’est dur. Ça reste que c’est un jeu qu’on a joué, mais au fond, on a un coeur pis on est des êtres humains. Je pense que, dans la vie, le respect, c’est quelque chose qui est hyper important. Si les gens savaient tous ça, la vie serait encore plus belle », conclut-elle.

Le dernier confessionnal sera diffusé ce dimanche à 19h sur les ondes de Noovo.

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Big Brother: Kim Clavel se confie sur son jeu parfois épineux

Bell Média

Si vous ne connaissez pas le monde du sport, c’est probablement avec Big Brother Célébrités que vous avez découvert Kim Clavel, boxeuse professionnelle et finaliste de la téléréalité. Grande joueuse stratégique dans l’émission, elle a certainement su démontrer qu’elle est une battante et une personne de coeur, mais elle s’est aussi distinguée en étant la seule personnalité de la cohorte qui n’était pas dans l’Union des artistes ou qui n’avait pas l’habitude d’être devant les caméras. Un fait qui, avec le recul, a probablement teinté son parcours, comme elle l’a expliqué en entrevue avec HollywoodPQ.

Tu t’es montrée très heureuse quand tu gagnais des défis, et tu t’es traitée de perdante quand tu en as perdu un à la fin. Comment vivais-tu cette défaite?

C’est sûr que c’est toujours difficile de perdre. Quand j’embarque dans quelque chose, j’y vais all in. Tant qu’à le faire, je veux le faire du mieux que je peux et j’essaie de me rendre le plus loin. Y’a des victoires qui sont plus importantes que d’autres pis y’a des défaites qui sont plus crève-coeur que d’autres. La défaite que j’ai eue dans les épreuves finales, c’est plus crève-coeur : ça t’enlève ta place dans l’épreuve ultime. Je l’ai assumé en disant : « J’ai perdu, je n’ai pas livré la marchandise, les meilleurs ont gagné et c’est tout ». Je ne vais pas faire semblant et trouver des raisons, non. J’ai perdu. Mes chances s’amincissent, je suis dans une position vulnérable, mon destin dépend de Jean-Thomas et de François, c’est tout.

Comment te sens-tu d’avoir manqué le grand prix de si près?

C’est sûr, je l’ai manqué, mais je me raccroche au fait que je suis restée 13 semaines dans la maison de Big Brother. J’ai ramassé des sous chaque semaine, suffisamment (même plus) pour payer mon camp d’entraînement de rêve. Je l’ai! Mon objectif est atteint. J’ai pu utiliser la plateforme de Big Brother pendant 92 jours pour me faire connaître, pour pouvoir vendre des billets de boxe. Les gens vont venir me voir; la boxe féminine, je l’ai mise sur la map et j’étais là pour ça. Ça, je dois dire que c’est une mission qui est accomplie.

Tu es bien connue dans le monde du sport et de la boxe, mais tu l’étais peu du grand public en général. Dans l’émission, tu as montré une joueuse stratégique et un jeu pas toujours « propre ». Est-ce que ça t’a angoissée l’idée que des gens ont appris à te connaître sans que ce soit tes vraies valeurs qui étaient représentées?

Pour être franche, sur le moment, je ne pensais pas du tout à ça. J’étais tellement ancrée dans le jeu que je voulais juste jouer. Je pensais à mon objectif, à pourquoi j’étais là. Je voulais me rendre le plus loin. T’oublies qu’il y a un après Big Brother. Je l’assume, j’ai pas été toujours élégante. J’ai joué de manière rough à certains moments. J’ai été émotive. Mais ça, c’était Kim dans le jeu qui essayait de faire du mieux qu’elle pouvait avec les connaissances qu’elle avait. Big Brother, je n’avais jamais regardé ça avant. Je suis rentré là-dedans sans savoir dans quoi je m’embarquais. C’est difficile de jouer avec la stratégie et l’amitié; moi, ça me déchirait toujours. […] J’ai trouvé ça difficile et je veux que les gens retiennent du bon. C’est sûr que des commentaires négatifs, il va toujours y en avoir, mais moi, je garde la rose et je jette les épines. Je vais contrôler ce que je peux contrôler, c’est tout.

Jean Pascal devait participer à Big Brother, mais il a finalement dû se désister et a été remplacé par Kevin. Crois-tu que la présence d’un autre boxeur aurait changé quelque chose à tes alliances ou à la dynamique dans la maison?

Connaissant très bien Jean Pascal, c’est sûr que la dynamique de la maison aurait été différente, haha! Est-ce que je me serais alliée avec lui? Je ne suis pas certaine. Mais je pense qu’il aurait quand même gagné à être connu dans la maison de Big Brother. Ça aurait été tout un show!

À la base, connaissais-tu personnellement d’autres personnes dans la maison, comme c’était le cas des autres célébrités? Et sinon, t’es-tu sentie isolée au départ?

Emmanuel Auger, je l’avais déjà connu. C’est un bon ami à Marie-Ève ​​Dicaire, qui est une boxeuse professionnelle elle aussi. Je l’avais vu dans des [événements pour la] Fondation du cancer du sein. C’est une très belle personne avec un grand coeur. Lui et moi, on s’était dit à un moment donné qu’on ne se mettrait jamais en danger. Les autres, je les connaissais un peu de nom. Les gens se connaissaient entre eux, mais ça n’a rien changé dans ma tête. Je suis entrée all in, je me suis dit que je suis sociable et que j’allais parler avec tout le monde. […] Ça me faisait rire d’être la seule qui faisait pas partie de l’Union des artistes. J’avais cette petite naïveté de la fille qui n’a jamais fait de télévision, qui n’utilise pas les caméras. Ça a peut-être été plus dur pour moi sur cette facette-là. Je n’avais pas la même expérience que les autres, fait que ce n’était pas naturel. Au confessionnal, je ne savais pas quoi dire! […] Ce qui s’est passé [dans la maison], c’est sûr que je vais mettre ça sur mon CV : j’ai animé des balados, j’ai animé des activités, j’ai animé des épreuves… ça, c’est de l’expérience en banque et c’est des nouveaux outils dans mon sac.

Penses-tu que cette « naïveté » explique pourquoi tu n’avais pas pensé à ton image à l’émission?

Définitivement. J’avais cette ignorance-là totale. Je n’étais pas préparée, c’est arrivé tellement vite. Je n’ai pas eu le temps de prendre de l’expérience avant d’entrer à Big Brother. Personne m’a dit de faire attention à mon image. Je n’ai pas pensé à ça. T’oublies les caméras, à un moment donné. J’ai fait du mieux que je pouvais avec ce que je savais. Peut-être que ça a joué contre moi à la fin, mais ça reste que c’est un jeu. 80% de mes messages sont positifs. Il y a toujours des trolls qui sont négatifs et c’est toujours la même gang, mais ça, ça me passe six pieds au-dessus de la tête. Ce que je veux, c’est motiver les jeunes filles à s’entraîner et à réaliser leurs rêves. C’est le message que je veux lancer.

Maintenant, tu es entrée dans le monde du showbiz. Est-ce que c’est une avenue que tu as envie d’explorer davantage ou tu préfères te consacrer uniquement au monde du sport pour le moment?

Pour l’instant, je veux vraiment me concentrer à 100% sur ma carrière. Je ne veux pas avoir trop de distractions, mais on m’a approchée pour peut-être être analyste sportive pour commenter des combats et c’est vraiment quelque chose que j’aimerais faire. Qui sait, peut-être que ça va m’ouvrir des portes après ma carrière!

On lui souhaite, parce qu’on a besoin de plus de modèles féminins dans le milieu du sport!

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Big Brother: François Lambert s’ouvre sur l’image qu’il projette

Bell Média

Arrivé deuxième à la grande finale de Big Brother Célébrités, l’homme d’affaires François Lambert était plutôt réaliste sur ses chances de remporter le gros lot, même si l’espoir l’a alimenté sur son dernier mile. En trois mois dans le manoir, il a montré son côté plus manipulateur avec le jeu, mais a aussi affiché une facette plus sensible et vulnérable, qui a été une découverte pour bien des gens. En entrevue avec HollywoodPQ, l’ancien Dragon est revenu sur son parcours dans l’émission et sur l’image qu’il projette.

Tu as dit dès le début de la saison que tu n’avais aucune chance de gagner en finale à cause de ton statut de millionnaire… et c’était un peu vrai, si on regarde le résultat du vote. Par contre, tu as semblé vers la fin vraiment croire que tu avais une opportunité de gagner. Est-ce qu’on se trompe?

Faut croire en nos chances, parce que sinon, pourquoi se battre? Il n’y a personne qui est content d’être troisième. Ça n’existe pas dans la mentalité de Kim ou de Jean-Thomas ni la mienne. On ne sait pas ce que les gens pensent de nous. C’était beaucoup une stratégie de ma part : si je m’enlève le target du gars qui veut finir premier, comme tout le monde, ils vont peut-être me garder dans la maison, parce que je peux être utile. Je ne voulais pas me faire éliminer dans les premiers jours parce que je suis millionnaire. C’est le désavantage de Big Brother Célébrités : on se connaît. Kim a eu un bon commentaire, son entraîneur lui a dit : « Colle-toi à lui, il mange bien. » C’est le seul commentaire positif qu’ils ont eu sur moi au départ! Tout le monde disait : « Fais attention à lui, il est hautain. » Donc ça a l’air que j’étais vraiment le gars détestable à qui fallait faire attention. […] À la fin, tu te dis : « Ouais, peut-être que j’ai des chances! » […] J’y ai cru un petit peu, mais pas beaucoup.

Aurais-tu gardé le grand prix si tu l’avais gagné?

Non, je l’ai dit au jury que je ne gardais pas le grand prix. Ça ne faisait pas de différence pour moi, mais 25 000$ de plus à une fondation, pour eux ça fait une grande différence. J’avais aucun intérêt de le garder, mais ça ne faisait pas partie de ma stratégie d’en parler non-stop. C’était la Fondation Procure, qui travaille pour la lutte au cancer de la prostate.

Tu as voulu changer ton image en passant à Big Brother. Ça a assez bien fonctionné, parce que tu t’es montré sensible dans les plus récents épisodes. Mais si tu avais été éliminé au début, quand tu étais perçu comme très manipulateur, crois-tu que ton image aurait souffert de ta participation?

C’est moi qui ai utilisé les mauvais mots en partant. C’était pas pour « redorer » mon image… si j’étais vraiment un bad boy, je ne serais pas en affaires (j’ai une compagnie en ligne qui emploie plus de 30 personnes et on est partout au Québec avec mes produits). Mais les gens voient de moi un côté très dur, très froid, qui donne des opinions qui ramassent tout le monde, alors que ce n’est pas ça. Même si j’avais été éliminé dans les premières semaines, j’aurais expliqué que c’est un jeu. Est-ce que j’étais machiavélique? J’ai l’air un peu machiavélique [à cause de mon rire], mais c’est rien de méchant. C’était de l’amusement. Pour revenir sur la première semaine, quand j’ai eu besoin de mettre Geneviève en danger, elle me l’a offert sur un plateau d’argent. Est-ce que je suis machiavélique ou elle est naïve? C’est rien contre elle, on a eu une discussion, mais qui est le pire?

Justement, Geneviève et Laurence nous ont tour à tour dit en entrevue qu’elles pensaient que tu serais éliminé rapidement à cause de ton gros jeu stratégique et un peu « serpent ». Pourquoi se sont-elles trompées, à ton avis?

Je n’ai jamais amené de négativité dans la maison. J’étais toujours positif, toujours déterminé, intense. Je participais à toutes les tâches de la maison, je cuisinais. Donc il y a d’autres côtés qu’on ne voit pas dans l’émission. Quand venait le temps de parler de stratégie, j’en parlais beaucoup avec Jean-Thomas dès le début, et avec Kim à partir de la cinquième semaine. Mais je suis une personne — je pense, avec le recul et le feedback qu’on me donne — qui est agréable à côtoyer.

Crois-tu que tu vas continuer de montrer ta facette plus vulnérable à l’occasion maintenant que le public la connaît?

On la voyait souvent. Ceux qui étaient abonnés à ma page Facebook et qui écoutaient mes vidéos, ça arrivait très souvent. Je faisais deux ou trois vidéos par jour et j’avais des larmes régulièrement par rapport à certaines situations. Je me rends compte peut-être en vieillissant que j’ai plus de larmes qu’avant. Je suis une personne très ouverte, faut juste me connaître, et je sais que ça prend du temps. […] Je sais que j’ai un visage sévère, on ne vient pas me voir facilement, mais un coup qu’on me découvre, on a le goût de revenir me jaser après.

Et juste parce que ça t’inquiétait tellement : est-ce que ta blonde t’aime encore?

Ma blonde m’aime en tabarnouche! C’est drôle, parce qu’on oublie les caméras et on parle à voix [haute] dans la maison. Je pense que j’étais tout seul et j’ai dit : « J’étais supposé partir trois semaines et ça fait trois mois que je suis parti, c’est sûr qu’elle ne m’aime plus, qu’elle a refait sa vie! » J’étais persuadé de ça. Pendant quatre ou cinq heures dans la journée, j’en ai parlé au confessionnal, j’en ai parlé à Jean-Thomas. […] On en a ri. Mais ton cerveau te joue des tours constamment. […] Elle est venue me chercher à l’hôtel dimanche soir, elle m’aime beaucoup, moi aussi et on est bien heureux.

Le beau François est de retour et les retrouvailles ont été émouvantes. Il pourra vous jaser à partir de mardi, après…

Posted by François Lambert on Sunday, April 11, 2021