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«OD»: Charles et Éloïse répondent à toutes vos questions

Charles Montigny et Éloïse G. Lafrenière en ont fait couler de l’encre ces dernières semaines! Les fans d’Occupation Double les ont pris en grippe, lui pour s’être autoproclamé « leader » et elle pour être allée farfouiller sur YouTube pendant son isolement préventif. Mais tout ça est maintenant dans le passé : le couple est uni et heureux, les erreurs sont réparées, la poussière retombe et, au final, on peut les remercier de nous avoir si bien divertis à travers une année difficile. Sans eux, OD Chez nous n’aurait peut-être pas été une aussi bonne saison! C’est donc pour une dernière fois avant de tourner la page qu’ils sont revenus sur leur parcours qui, quoique peu tranquille, leur a permis de trouver l’amour. Et ça, ça vaut pas mal plus qu’un condo à Laval!

Vous êtes toujours un couple, est-ce que le temps passé dans la maison des exclus vous a permis de vous rapprocher davantage?

Éloïse : C’est certain, parce que là, on peut être ensemble quand on veut, comme on veut, le temps qu’on veut et faire ce qu’on veut. C’est sûr que ça change la donne! C’est vraiment l’fun de réintégrer la vraie vie, d’apprendre à se connaître de façon plus libre.

Charles : Il y a comme eu trois étapes à notre couple. Il y a eu l’étape Occupation Double, après ça il y a eu l’étape chalet des exclus et là on est dans la nouvelle étape, qui est un peu la dernière, c’est la vraie vie. Dans les trois étapes, notre couple a évolué.

Vous vous êtes souvent répété que vous alliez vous rendre en finale. Quand est-ce que vous avez réalisé que vous n’aviez plus vraiment de chances de gagner?

Éloïse : Moi, je ne pensais pas aller à OD pour nécessairement trouver l’amour et gagner, mais c’est certain que, du moment où tu rencontres quelqu’un avec qui tu te vois avoir un futur, ça va de soi que t’as envie de te rendre jusqu’au bout. Moi et Charles, on s’est toujours dit qu’on voulait être bien dans l’aventure et que, du moment où ça ne serait plus le cas, c’était pas grave, on quitterait ensemble. C’est un peu comme ça que s’est déroulée notre finale.

Charles : J’étais confiant d’aller en finale, mais j’ai jamais été confiant de gagner nécessairement. Je sais qu’il y a plusieurs personnalités qui peuvent être très populaires à la fin quand c’est le vote du public qui décide.

Qu’est-ce que ça vous fait d’avoir un peu l’image des vilains de la saison?

Éloïse : C’est sûr que c’est difficile, mais en même temps, j’étais capable de comprendre les gens qui étaient déçus à travers tout ça. Dans un sens, si on était dans un monde où tout le monde était d’accord, la politique n’existerait pas! Il y a toujours des idées qui vont diverger les unes des autres. Après ça, c’est de voir le tableau complet pour pouvoir avoir une opinion qui est basée pas seulement sur ce qu’on regarde à la télé. […] La tentation est humaine. Comme Ève, j’ai un peu croqué dans la pomme de YouTube et j’ai entraîné Adam avec moi là-dedans!

Charles : Pour ma part, ça a été plus une surprise que pour Élo (on savait ce qui s’en venait pour Élo). J’ai vraiment été surpris quand j’ai commencé à regarder les émissions et que je me voyais tout le temps à la télé. On dirait que j’étais comme un personnage principal. Quand tu es là-bas, tu ne sais pas ce qui va sortir comme image. J’étais vraiment surpris de me voir aussi souvent, premièrement, et après ça quand j’ai vu le montage… il y a eu une émission en particulier où on me voit dire que je suis un leader à peur près 50 fois. Là, j’ai fait : « Ah non! » Je le savais que ça n’allait pas être populaire. C’est sûr que j’aurais aimé ça voir des affaires que j’ai faites qui sont positives, mais on signe pour ça, on est au courant que ça peut arriver. J’ai quand même trouvé ça difficile, honnêtement, de regarder les émissions.

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Charles, tu as comme valeur l’honnêteté et la transparence, mais Éloïse a triché. Comment se fait-il que ça ne soit pas un « deal breaker » pour toi?

Charles : Je pense qu’il y avait des gens qui prenaient le jeu plus au sérieux et il y avait des gens qui prenaient l’aventure plus au sérieux. Je pense qu’Éloïse faisait partie des gens qui prenaient l’aventure plus au sérieux que le jeu d’Occupation Double et je pense qu’elle ne se rendait pas compte à ce moment-là à quel point c’était un bris du jeu. […] Moi, je vais plus au niveau des intentions qu’au niveau des gestes et j’ai tout de suite compris l’intention d’Éloïse là-dedans. Pour moi, ce n’était pas un manque d’honnêteté. […] Est-ce que, si c’était Noémie ou n’importe qui d’autre qui l’aurait fait, je l’aurais vu comme une tricherie et j’aurais fait comme Vincent? Probablement, en toute franchise. C’est une question de contexte et de perception.

Charles, peux-tu mettre au clair une fois pour toutes l’histoire avec ton ex?

Charles : Je pense qu’on a des versions différentes. Je ne lui ai pas reparlé à mon ex et je n’ai pas nécessairement l’intention de lui reparler par rapport à ça, parce que je n’ai pas envie qu’on retombe là-dedans. Je pense qu’elle vit sa vie et je vis la mienne. Je la respecte, on passe à autre chose.

Charles, tu as aussi participé à Célibataires à boutte cette année. Étais-tu plus à la recherche de l’amour, à la recherche des caméras ou un peu des deux?

Charles : J’aime sortir de ma zone de confort. Pour cette émission, la différence avec Occupation Double, c’est que ce n’est pas moi qui ait fait des démarches. J’ai été contacté par quelqu’un de l’émission pour faire le show et j’ai juste accepté parce que pour moi c’était une belle façon de vivre une expérience devant les caméras. J’étais intéressé par la télévision, j’étais intéressé par rencontrer des nouvelles personnes aussi. Je n’avais pas nécessairement un intérêt amoureux à ce moment-là, mais j’avais envie de faire une aventure comme ça et d’avoir la chance d’être devant les caméras, c’est un plus.

Éloïse, qu’est-ce que ça t’a fait quand Jay Du Temple t’a dit qu’il va exprimer ce qu’il pense de ton geste à l’Heure de vérité? Est-ce que ça a été le moment qui t’a fait craquer?

Éloïse : Ça fait au moins sept jours que j’étais quand même mal et que je voulais quitter. Je pense qu’on ne voulait pas me laisser partir sur une mauvaise note, donc je suis restée. Je n’étais vraiment pas bien. En fait, Jay, ça a été juste ce qui m’a fait craquer par-dessus le reste. Je voulais laisser ça derrière moi, je pensais pouvoir continuer l’aventure et que ça serait oublié. Je n’avais pas réalisé l’impact que ça avait eu dans le jeu. […] Quand il m’a dit ça, je n’étais plus bien. Je sentais que je n’avais plus ma place, je sentais que tout le monde était contre moi et je ne voulais pas nuire à personne, donc je préférais me retirer.

Charles, as-tu été surpris qu’Éloïse décide de quitter? As-tu eu la moindre hésitation à la suivre?

Charles : Sur le coup, toute la maison mixte, on était vraiment surpris. Ce qui se passait dans la maison des gars, dans la maison des filles et dans la maison mixte par rapport à cette histoire-là, c’était totalement différent. Dans la maison mixte, on était passé à autre chose, personne ne parlait de ça. On s’attendait à ce que ce soit Karine qui parte à ce moment-là. Quand Jay a laissé Éloïse prendre la parole, tout de suite on a compris ce qui se passait. Kev, qui était à côté de moi, a pris ma cuisse; je pense qu’il était aussi surpris que moi. Sur le coup, j’étais un peu figé, mais il n’y avait aucune hésitation de partir avec Élo, c’était ma priorité dans l’aventure. Il y avait une partie de moi qui était quand même contente de m’en aller avec elle hors caméra! Avec du recul, je ne suis pas surpris du tout de la réaction d’Élo. Quand elle a réalisé l’ampleur de ses gestes, je pense qu’elle ne voulait pas que ça ait des conséquences sur personne d’autre sauf elle et ça fait partie de mes valeurs aussi.

Anticipez-vous l’Heure de vérité?

Charles : Pour ma part, non. Je pense que l’opinion du public par rapport à nous versus l’opinion d’une bonne quantité de candidats est quand même différente. On n’était pas détestés dans les maisons, il y avait quand même plusieurs personnes qui nous appréciaient. J’ai juste hâte de revoir toutes ces personnes-là.

Éloïse : J’ai vraiment développé des belles amitiés avec les candidats, mais c’est sûr que j’anticipe un peu l’approche de Jay envers moi. Ça serait mentir de dire que ça ne me crée pas d’anxiété, parce que j’ai peur qu’on essaie de rouvrir des plaies qui sont tranquillement en train de se refermer. C’est quand même un stress pour moi, mais en même temps, je suis capable de faire face à tout ça, malgré tout.

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Éloïse, on t’a vue t’excuser à La semaine des 4 Julie, mais pas directement aux candidats quand tu étais encore dans l’aventure. Pourquoi?

Éloïse : La seule explication que je peux vous donner, c’est que ça n’a simplement pas été montré dans l’émission, parce que je me suis excusée à plusieurs reprises et j’ai dit plusieurs fois à la production de mettre les extraits. En espérant que ça soit mis à l’Heure de vérité, parce que je me suis excusée à Noémie plusieurs fois, elle m’avait dit que c’était son highlight à Occupation Double et qu’elle m’appréciait beaucoup. […] D’autre part, quand j’ai fait mon speech quand je voulais quitter, j’ai dit à Noémie sur place que je m’excusais, j’ai dit à Vincent que ce n’était pas visé contre lui. Je me suis vraiment excusée à plusieurs reprises et je trouve ça dommage que ça n’a pas été mis, parce que beaucoup de gens me posent la question.

Éloïse, tu as pris conscience avec le temps des répercussions de ton geste. Est-ce que c’est arrivé en constatant l’impact que ça a eu sur d’autres candidats, comme Vincent, ou en discutant avec la production?

Éloïse : Dès le lendemain du party d’Halloween, j’ai demandé à parler à la production parce que je voulais leur avouer. Ça a été vraiment dur pour moi. Le lendemain, j’ai demandé encore à rencontrer la production et je voulais déjà quitter. J’étais vraiment super émotive, je savais que ça me ferait passer pour quelqu’un que je ne suis pas… On m’a dit que ce n’était pas à mon avantage de quitter sur une mauvaise note. À ce moment-là, peut-être que les répercussions n’étaient pas si graves, donc on m’a dit que c’était mieux pour moi de rester. C’est pour ça que je suis restée plus longtemps.

Est-ce que tu penses que ça a été bénéfique pour toi de rester un peu plus longtemps, finalement?

Éloïse : Non, vraiment pas. Je dirais que, dès que Julie est partie et suite au party d’Halloween, mon aventure a été différente. Dans les 5 à 7, je sentais les gars qui étaient différents. Je vivais avec ça et toutes les répercussions étaient encore là. Honnêtement, je n’étais plus bien et même les gens qui me connaissent me regardaient et voyaient que j’étais triste, que c’était vraiment le temps que je m’en aille. Ce qui est fait est fait, mais peut-être que j’aurais préféré quitter plus tôt.

Charles, qu’est-ce que ça te fait de voir que tes vidéos qui se voulaient inspirantes sur Instagram ont été tournées à la dérision?

Charles : Que les gens rient ou qu’ils soient inspirés, je pense que les deux ce sont des sentiments qui sont agréables et tant mieux si j’ai pu leur faire vivre ça. Je vais facilement dans l’autodérision. Si tu ne vaux pas une risée, tu ne vaux pas grand-chose! J’ai trouvé ça assez drôle de voir tout ça. Mais là, présentement, je les ai effacées […]. Je n’avais pas vraiment de visibilité avant, j’avais une petite communauté et personne ne me demandait mes références scientifiques. Mais ce qui arrive quand tu es un professionnel de la santé qui fait partie d’un ordre professionnel et que tu dis que ça peut faire du bien de faire telle, telle, telle affaire, c’est qu’il faut que tu sois en mesure de fournir les références scientifiques et je n’avais pas envie de dealer avec ça.

La vraie question c’est : souffres-tu vraiment quand tu te brosses les dents de la mauvaise main? 

Je vais vous reposer la question : est-ce que vous avez déjà essayé de le faire? C’est désagréable, ça stimule des parties du cerveau et je pense que c’est bon de sortir de sa zone de confort tous les jours!

Au final, qu’est-ce que vous retenez de votre expérience? Avez-vous des regrets? Êtes-vous satisfaits?

Éloïse : Pour ma part, même si j’ai eu des faux pas, ça m’a quand même appris beaucoup sur moi et l’important c’est de s’en sortir grandi. Pour moi, Occupation Double a été une expérience qui m’a fait grandir et j’ai trouvé l’amour. Si je pouvais le refaire et ne rien changer, je le referais quand même.

Charles : Ce que je retiens, c’est que j’ai appris des choses sur moi, j’ai des pistes d’introspection à faire. Je sais ce que j’ai à travailler sur moi pour devenir une meilleure version de moi-même et ça, pour moi, ça vaut cher. Même si le prix à payer est cher, quand on voit les menaces de mort, l’intimidation… j’ai eu plein d’affaires pas l’fun qui sont arrivées sur les médias sociaux. Mais au final, je pense qu’on travaille fort en ce moment Élo et moi pour montrer qui on est vraiment sur les médias sociaux. Je pense que ça fonctionne bien et que les gens vont réaliser, comme moi, qu’on ne peut pas toujours se fier aux premières impressions.

Éloïse et Charles mènent en effet leur sortie de mains de maître, montrant au public via Instagram qu’ils sont bel et bien des personnes très sympathiques. On encourage Charles à continuer de rigoler du terme qui lui a collé à la peau, « leader », et qui sait, peut-être qu’il sera notre prochain premier ministre!

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«OD»: Julie défend d’Éloïse et aborde la diversité corporelle

Quelle personnalité rafraîchissante que celle de la belle Julie Munger, l’exclue de la semaine à OD Chez nous! Drôle et positive, elle s’est rendue à mi-parcours dans l’aventure, même sans avoir trouvé chaussure à son pied, simplement parce qu’elle était trop aimée dans les maisons pour que les autres candidats et candidates aient envie de la laisser partir. Mais à l’heure où les couples se forment de plus en plus, la Saguenéenne au charmant accent ponctué de « j’veux dire » et de « là, là » a accepté que c’était le moment pour elle de quitter la Montagne Coupée et de revenir à la réalité.

En entrevue, Julie est bien sûr revenue avec nous sur la diversité corporelle, qui a été très discutée au sein du public depuis le début de la saison, principalement à cause de sa présence, mais aussi sur sa déception de sortir de l’aventure sans avoir trouvé son chasseur-cueillir (qu’on lui souhaite de rencontrer!), sur les flammèches qu’elle a échangées avec Karine St-Michel et sur, inévitablement, LE scandale la semaine, c’est-à-dire la fameuse tricherie d’Éloïse G. Lafrenière.

Tu as fait de la diversité corporelle ton cheval de bataille durant l’émission. T’étais-tu inscrite avec cet objectif en tête?

J’avais vu que, cette année, c’était vraiment la diversité qui était mise de l’avant, donc moi je ne m’attendais peut-être pas à ce que je sois la seule avec une diversité corporelle! Mais j’ai pris ce mandat-là sur mes épaules aussi parce que, je veux dire, moi je vis avec ma diversité tous les jours, fait que je me suis dit pourquoi pas montrer à tous que c’est possible d’être dans une téléréalité comme ça qui mise beaucoup sur le physique. J’ai été surprise [de voir les autres candidates] parce que je m’attendais à ce qu’il y ait plus de diversité corporelle, mais c’est pas tout le monde qui veut s’inscrire non plus. Je suis très consciente de ça, tu peux pas tordre le bras à quelqu’un qui ne veut pas!

Crois-tu que ton passage va apporter des changements dans le futur d’OD en matière de diversité corporelle?

Oui! J’ai l’impression que ça va changer les mentalités un peu. T’sais, ça a probablement ouvert les standards de beauté. Probablement que mon passage à l’émission a changé le mindset des gens qui — peut-être l’année prochaine, qui sait! — s’inscriront à Occupation Double.

Certaines personnes ont véhiculé le préjugé qu’il aurait fallu des gars qui s’inscrivent dans la diversité corporelle pour participer à l’aventure et aller avec toi. Qu’as-tu envie de leur répondre?

Je suis pas d’accord [avec eux]! C’est pas parce que j’ai un surplus de poids que je vais sortir avec quelqu’un qui a un surplus de poids. C’est pas juste ça, la diversité corporelle! Ça n’a pas rapport! Il y a plusieurs diversités corporelles. On n’est pas faits tous sur le même moule. Moi, mes anciens chums, c’étaient trois sortes de gars totalement différents, qui avaient trois sortes de shapes complètement différentes. Je ne me base pas sur le physique, que tu sois n’importe comment je vais apprendre à te connaître toi et si ça marche, ça marche. C’est pas parce que t’as une bedaine que je vais plus t’aimer. Tu mettras pas un gars grand avec une fille grande, une fille qui a plus de poids avec un gars qui a plus de poids.

Il y a des gens qui ont reproché à la production de ne pas avoir mis des gars qui sont intéressés et attitrés par des femmes dont le corps ne correspond pas aux standards de beauté. Crois-tu que la production a du travail à faire de ce côté-là?

La production a fait un bon travail. Pendant nos premières entrevues, je suis certaine qu’ils ont posé la question à savoir si les garçons étaient ouverts à la diversité. Mais t’sais, c’est facile de dire oui, parce que tu veux être dans cette émission-là. C’est facile de bluffer! Mais après ça, quand t’arrives là, c’est sûr que tu vas aller vers des filles qui pèsent 125 livres pis qui sont belles pis souriantes. C’est la première chose que tu vois. C’est une émission qui mise là-dessus, l’apparence.

Après avoir vu les émissions, as-tu une nouvelle perspective de Karine et de ce qu’elle disait à propos de Naadei et Patrick? Crois-tu qu’elle voulait vraiment faire de la bisbille ou qu’elle a simplement mal interprété?

Je trouve que Karine, c’est une personne très, très intense et explosive. J’ai l’impression que quand ça ne fait pas son affaire, elle peut peut-être être mal interprétée, mais elle ne dit pas nécessairement les choses mot pour mot. Elle avait entré d’autres choses aussi dans les maisons, c’était pas juste l’histoire avec Patrick. L’histoire de Charles et son ex-blonde aussi. Ça m’a mis un petit frein sur cette personne-là.

Regrettes-tu d’avoir été un peu explosive avec elle au dernier party?

Non. Je ne regrette rien!

Tu étais plutôt compréhensive de la tricherie d’Éloïse. Tu as même dit que, dans le contexte, tu aurais peut-être fait pareil. Avec le recul, qu’est-ce que tu en penses?

J’ai dit ça pour qu’elle se sente moins coupable. On était toutes là, on parlait de ça, je trouvais que c’était un peu triste de voir qu’on lui lançait toutes des roches, mettons. Elle, elle voulait peut-être aller voir juste parce que ça parlait de Charles et ça lui faisait peut-être de la peine. J’ai peut-être dit ça justement pour la consoler, pour alléger le tout, parce que t’sais, y’a personne qui est mort. Je lui ai dit : « Regarde Élo, on est deux personnes qui ont perdu un de nos parents. » Sa mère est décédée du cancer, moi mon père est décédé dans un accident de bateau. Je lui ai dit : « Il y a pire que ça dans la vie, tu le sais. »

Crois-tu qu’elle aurait dû partir à ta place dimanche dernier?

Moi, je l’aime beaucoup, Élo. Éloïse, elle a un gars dans l’aventure. Moi, j’avais pas de chum, j’avais pas de garçon qui s’intéressait à moi. Là, elle s’explique avec les autres et c’est correct. Je sais qu’elle n’a pas suivi les règlements du jeu. C’est peut-être ça qui me fait dire que si j’avais voulu rester, j’aurais pu rester parce que j’ai suivi les règlements. Mais j’avais pas de chum. Je trouve que c’est correct qu’elle soit là. Oui, elle a fait une erreur, mais ça arrive à tout le monde de faire des erreurs. Faut pas trop être dur. Là, elle doit vivre avec les conséquences de ses actes. Je ne lui en veux pas du tout. Ma sortie s’en venait quand même. C’est une histoire de couple, Occupation Double, c’est pas « Occupation Simple ».

Penses-tu qu’elle a des chances de gagner malgré ça? 

Je trouve qu’Éloïse et Charles, c’est un couple vraiment fort, fait que probablement. Mais c’est le Québec qui vote et je ne sais pas comment le Québec voit le couple Éloïse et Charles, donc j’ai aucune idée. Moi, je vois gagner Carl avec un C avec Andréanne avec un A! J’aimerais beaucoup que ce soit eux qui gagnent. En finale avec eux, je verrais probablement Noémie et Vincent pis peut-être Patrick et Naadei ou bien Stacey et Jamie. Éloïse et Charles, je les vois en couple vraiment longtemps, mais vu que c’est un peu sinueux, je ne sais pas s’il va y avoir des choix à faire dans l’émission. Ils vont super bien ensemble, mais dans le jeu où il y a eu une petite faille, c’est là que je me pose des questions.

Tu es allée à Occupation Double avec l’espoir de trouver l’amour. As-tu une certaine déception que ça ne soit pas arrivé?

Oui. De l’aventure, je pense que c’est ça, ma déception. Je m’attendais tellement à ce que ça marche, que je puisse montrer que ça fonctionne en étant différente, de me trouver un gars gentil et ouvert. Les filles de la maison des filles m’ont dit : « Julie, s’il y en a un des gars qui est moindrement brillant, il va se caser avec toi et vous allez gagner. » Si les gars avaient vraiment appris à me connaître comme il faut, ça aurait peut-être fait ça. J’aurais vraiment aimé ça que ça fonctionne.

Est-ce que ça a nui à ta confiance en toi à un certain stade?

Ça n’a pas nui à ma confiance en moi, mais ça m’a fait me poser des questions. Je vivais la même chose que je vivais dans ma vie normale, mais là devant tout le Québec. Quand Martine m’a dit que Carl avec un C lui avait dit que les gars ne se voyaient vraiment pas avec moi, je le savais déjà, dans le fond. Mais elle, elle est venue me le dire devant tout le monde. Fait que ça a joué un peu sur ma confiance à ce moment-là. Te le faire dire devant tout le monde, quand t’es déjà au courant et que tu le penses déjà dans ta tête, c’est sûr que c’est difficile un peu.

Au final, comment regardes-tu ton parcours? As-tu des regrets ou dans l’ensemble c’est une belle grosse satisfaction?

C’est une belle grosse satisfaction! Déjà d’être rentrée dans cette émission qui est super stéréotypée, je trouvais que c’était une victoire. Il n’y a rien de négatif, j’ai été fidèle à moi-même, je suis restée la bonne vieille Julie du Saguenay!

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«OD»: Renaud revient sur Charles et son temps «mal investi»

La double élimination de dimanche à OD Chez nous a contraint Émilia Giguère et Renaud Laliberté à plier bagage. Durant leurs trois semaines ensemble dans la maison des exclus, il n’y aura peut-être pas eu de rapprochements (désolé pour les libidineux en quête de voyeurisme!), mais les deux candidats ont tout de même pu réaliser qu’ils ont plusieurs points communs.

Loin de nous l’idée de leur mettre des mots dans la bouche, mais on peut se permettre d’analyser qu’ils ont justement en commun un parcours à Occupation Double marqué par l’échec amoureux. Si Émilia avoue qu’elle s’est sentie un peu niaisée par Jamie, sans pour autant lui en tenir rigueur, Renaud a de son côté éprouvé un peu la même chose face à Naadei. « Chaque fois que je lui ai donné l’occasion de me mettre dans la zone de l’amitié, un peu comme William l’a fait avec Naadei, elle n’a pas eu cette élégance à mon égard », résume-t-il pour qu’on comprenne mieux comment il en est venu à qualifier leur relation de « mauvais investissement de temps ».

Cette formulation (un peu chiante, avouons-le), Renaud la regrette et y repense avec une certaine autodérision. « Je pense que c’était sorti un peu sous le coup de l’émotion, concède-t-il. Même si mes propos n’étaient pas particulièrement durs, c’était quand même la chose la plus dure qui avait été dite en date de cette émission-là, donc j’ai regretté m’être un peu laissé emporter ».

Quant à dire s’il a l’impression que Naadei s’est jouée de lui dans l’aventure, Renaud fait bien attention à sa réponse. « Je pense que c’est une personne qui est peut-être plus joueuse qu’on le pense, mais je ne suis pas prêt à dire que c’est une personne malhonnête. »

L’autre phrase prononcée par l’avocat de 31 ans qui nous a fait hausser les sourcils, c’est l’avertissement qu’il a servi aux candidats et candidates de la maison mixte en les mettant en garde contre « le juge de l’authenticité des couples ». Il n’en fallait pas plus pour que les fans de la téléréalité assument qu’il dirigeait son propos contre Charles, chose que Renaud a contredite en entrevue… mais pas tant que ça, à vrai dire!

« Je trouve ça curieux que les gens disent que mon avertissement était dirigé vers Charles, parce qu’en fait je n’ai pas mentionné son nom du tout, explique-t-il. C’était une mise en garde par rapport aux juges de l’authenticité des couples, parce que j’ai l’impression que c’est dans cette direction-là que ça s’en va, étant donné que le premier critère d’élimination c’est « est-ce que t’es en couple ou non ». La prochaine étape, ça devient « est-ce que les couples sont authentiques ou non ». »

« Je n’ai pas particulièrement dirigé cet avertissement-là contre Charles, mais c’est vrai que si j’avais 20$ à mettre, je parierais que Charles va se positionner comme le juge de l’authenticité des couples. Au moment où je l’ai formulé, c’était vraiment sans intention, mais en rétrospective et après avoir regardé les émissions, j’ai pas de doute que Charles va se positionner comme ça », considère notre « fin Renaud » numéro deux.

L’argument voulant qu’il faille protéger de l’élimination des candidats qui sont vus comme plus méritants en raison de leur statut relationnel dans l’aventure en est un qui s’appuie sur une prétendue supériorité morale, du moins aux yeux de l’exclu, qui appelle ce genre d’idée un argument de type « chevalier blanc ». « Pour argumenter correctement autour d’un argument de type chevalier blanc, ça prend une certaine part de leadership, parce que tu ne peux pas prétendre être plus élevé que les autres par rapport à ta moralité si tu n’es pas déjà dans une position d’un certain leadership, comme le pauvre Charles », analyse-t-il avec quelques rires.

Le fameux leadership de Charles, c’est un véritable leitmotiv à OD Chez nous. Ridiculisée par le public, cette qualité autodécernée ne semble pas faire l’unanimité dans la maison des gars. Suffit de penser à l’admiration de Jamie pour Charles versus le petit dégoût que Luis Maxime semble éprouver pour cette même personne. Renaud, lui, y va d’une réflexion plus nuancée : « C’est vrai que c’est un gars qui a des qualités naturelles de leader. Mais c’est un leader qui, à mon sens, manque peut-être un peu d’expérience. »

Et la fameuse « supériorité morale » que ce « leader positif » cherche à instaurer pour les éliminations risque, selon Renaud du moins, de rendre plus complexe le jeu des anciens participants qui entreront dans l’aventure ce dimanche. « Compte tenu des arguments de type chevalier blanc qui sont sortis jusqu’à maintenant dans le cadre des éliminations, je ne pense pas que les couples vont se désunir, à moins qu’ils veuillent perdre toute leur crédibilité, donc leurs chances de gagner. Je pense que les nouveaux arrivants vont être confrontés à quelque chose d’assez solide… », nous titille-t-il.

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«OD»: Émilia avoue s’être sentie «un peu niaisée» par Jamie

Dimanche, Émilia Giguère et Renaud Laliberté ont été éliminés d’OD Chez nous. Loin d’être remplie de regrets en regardant son parcours, la gestionnaire en marketing a tout de même eu le coeur un peu « embourbé », si on peut reprendre le terme utilisé par son coloc de la maison des exclus lors de notre entretien. Et d’ailleurs, pour les potineux, la paire nous assure qu’aucun rapprochement n’a eu lieu durant les trois semaines passées en tête-à-tête.

« Je me suis sentie un peu niaisée, nous avoue la candidate. Mais en même temps, dans un contexte où c’est un jeu, je le prends avec du recul aujourd’hui et je me dis que le gars connaît la game. Lui, il vient justement pour jouer. C’est bien correct aussi, mais moi, je me suis fait prendre au jeu et j’ai peut-être eu un peu le coeur écorché dans cette aventure. » 

Le côté joueur de Jamie est en effet ressorti dans la dernière semaine, ce qui peut mettre un certain doute quant à sa sincérité. « Honnêtement, je pense qu’il est vraiment là plus pour le show, peut-être aussi pour les bénéfices après OD. C’est pas un défaut non plus, mais je ne sais pas s’il est tant sincère avec Stacey présentement », abonde  Émilia. 

En mettant tous ses oeufs dans le même panier, la candidate « Made in Thailand », comme elle le dit elle-même, a quand même manqué une belle occasion d’avoir plus qu’un gars pour la protéger des éliminations. « Avant d’entrer dans l’aventure, on m’a dit : « Prends ton temps, apprends à connaître tout le monde », et après on m’a dit aussi : « C’est important de t’afficher rapidement ». J’avais comme deux conseils contradictoires. J’y ai été plus avec mon feeling. Je ne suis pas à la base une personne joueuse dans la vraie vie, j’aime pas vraiment jouer sur deux pianos en même temps. Je pense que ça peut être un plus dans la vie, mais dans un contexte de jeu, peut-être que j’aurais dû miser un peu partout », analyse-t-elle avec le recul.

Ce qu’il y a de bon avec sa manière de faire, c’est qu’elle est restée fidèle à elle-même, ce qui est tout à son honneur et lui apporte une certaine fierté face à son parcours.

Son départ de l’aventure fait tout de même qu’elle vivra la fameuse « twist suprême » comme téléspectatrice plutôt que comme candidat, mais ce n’est rien pour miner son moral, au contraire. « Je suis vraiment emballée, nous lance-t-elle. J’adore ça, c’est sûr que ça va mettre le feu aux poudres. Les candidats ne sont pas prêts! Des couples qu’on pense déjà formés vont peut-être être brisés… »

Si Émilia le dit, c’est que ça promet!

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«OD»: Martine nous explique ses choix pour la mise en danger

Dimanche, Martine Beauregard-Marchand a été éliminée d’OD Chez nous. Rien de trop surprenant, même si le public craignait pour Julie, puisque la rouquine avait clairement dit qu’elle ne trouvait pas son bonheur dans l’aventure et qu’elle était prête à partir.

Mais Capitaine Twist n’avait pas l’intention de la laisser rentrer chez elle sans un dernier rebondissement! Il lui a confié une dure décision, soit de mettre deux gars en danger en vue d’une élimination surprise qui aura lieu cette semaine. Martine a donc choisi Jamie et Charles, ce qui en a jeté à terre plusieurs, tant dans l’émission que chez les téléspectateurs. En entrevue avec HollywoodPQ, l’exclue nous explique son choix et se confie sur sa brève aventure.

Qu’est-ce qui a fait que tu ne te sentais pas heureuse à OD?

J’ai l’impression que je n’étais pas vraiment dans le moule. À la base, je suis une fille dans la vie qui est très naturelle et mon apparence m’importe peu, autant physiquement que, quand je fais des niaiseries, ça ne me dérange pas ce que les gens vont penser de moi. J’ai ressenti qu’on était peu à être comme ça.

Au départ, tu voulais vraiment te faire des amies de filles. Tu n’as pas ressenti cette connexion avec les candidates?

C’est sûr que je me suis fait des amies de filles, mais je n’ai pas eu des connexions aussi profondes que je l’aurais voulu. Je trouvais que mes intérêts personnels ne rejoignaient pas vraiment ceux des filles.

Une des filles dont tu étais le plus proche, c’était Émilia. Tu as surpris tout le monde en mettant en danger Jamie, qui est associé avec elle, en plus de Charles. Peux-tu nous expliquer ton choix? 

En fait, ça a été une délibération qui a été vraiment longue, j’ai changé d’avis plusieurs fois. Le choix qui était le moins difficile pour moi, c’était de mettre Charles, parce que oui ses sentiments étaient vraiment sincères (c’est en lui que je croyais le plus), mais par contre, il ne m’appréciait pas beaucoup et la personne avec qui il est affiché ne m’appréciait pas plus.

Par contre, pour le reste, ça a été très difficile, parce que William et Renaud, c’étaient des personnes dont j’étais très proche. Ensuite, il y avait Carl, envers qui je ne voulais pas avoir l’air d’avoir une vendetta et que j’apprécie énormément. Ces trois gars-là, ce sont des personnes que je considère qui pourraient être mes amis après l’aventure.

Il me restait Luis et Jamie, qui étaient affichés avec les filles avec qui je m’entendais le mieux dans les maisons. Finalement, mon choix s’est arrêté sur Jamie, parce que les dernières conversations que j’avais eues avec lui m’ont fait remettre en doute sa sincérité envers les sentiments qu’il éprouvait pour Émilia. Même elle avait comme un doute à savoir si c’est vraiment réciproque, donc comme c’est plus fragile, c’est lui que j’ai décidé de mettre en danger.

Tu dis que tu as l’impression que Charles et Éloïse ne t’apprécient pas trop. Pourtant, on a vu qu’Éloïse était vraiment surprise de voir que tu as mis en danger Charles. Est-ce que tu penses qu’elle partage ta vision de votre relation? 

Éloïse s’attendait clairement à ce que je mette Charles. Elle sait pertinemment la relation qu’on avait les deux ensemble. Moi, je n’ai juste pas compris qu’elle dise que j’étais « hypocrite », alors que depuis le début, il y a clairement des tensions entre elle et moi. Mais pour cohabiter ensemble, on les met de côté et on essaie de regarder les points communs pour que ça puisse fonctionner dans la maison sans que ce soit désagréable. Je ne crois vraiment pas qu’elle a été surprise [de mon choix] et quand j’ai vu sa réaction, ça m’a fait comprendre que j’avais fait le bon choix.

Au début de l’aventure, tu as laissé ta place dans la maison mixte un peu parce qu’Éloïse y était. As-tu regretté ta décision, d’autant plus qu’elle t’a rejointe dans la maison des filles assez rapidement?

Regretté? Non. J’avais vraiment envie d’avoir la chance de connaître tout le monde dans l’aventure. C’était une ambiance différente avec les filles et je suis vraiment contente d’avoir eu la chance de vivre les deux options.

Dans la maison des filles, tu as eu une petite accroche avec Julie. Avec le recul, as-tu l’impression que tu as manqué de tact quand tu lui as dit que les garçons n’étaient pas intéressés par elle? 

C’est une question qui avait été posée au souper d’élimination et j’avais répondu à Jay que je n’avais pas l’impression que j’avais manqué de tact. Moi, j’ai seulement rapporté les faits. Ensuite, la question m’a amenée à me remettre en question, donc j’ai demandé à Julie si elle avait jugé que j’avais manqué de tact. À la base, elle m’avait répondu que oui, mais finalement, elle a repris ses paroles en disant qu’il n’y avait pas de bonne façon de le dire. C’est le message qui était difficile, en fait. Julie et moi, on a toujours été en bons termes.

En regardant derrière toi maintenant, est-ce qu’il y a des choses que tu aurais faites différemment? 

J’aurais peut-être gardé certaines opinions pour moi, mais je pense que ce que j’aurais vraiment changé, ça aurait été de porter une attention plus particulière aux termes que les gens employaient quand ils me parlaient. À Occupation Double, c’est vraiment important de renommer les mots exacts. Des fois, j’avais de la misère à me souvenir du contexte dans lequel une personne m’avait dit une phrase, et là j’essayais de ramener la même phrase en me disant que le message était le même, mais avec le jeu du téléphone, ça finissait que ce n’était pas du tout la même chose.

Occupation Double est diffusée du dimanche au jeudi, à 18h30, sur Noovo.

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Bono trouve que la musique se féminise

Le leader de U2 s’est exprimé dans une longue entrevue accordée au magazine Rolling Stone.  

Bono a révélé se tenir au courant des dernières tendances musicales grâce à ses enfants, qui lui font découvrir certaines nouveautés rock ou hip-hop.

Avec son fils Eli, il découvre les nouveautés rock. Une musique qui change selon le célèbre chanteur : « Je pense que la musique devient de plus en plus féminine. Et je crois que c’est une bonne chose, mais la musique hip-hop fait place à l’agressivité des jeunes hommes en ce moment, et ce n’est pas bien. »

Bono ne cache pas que lorsqu’il était lui-même adolescent, il ressentait lui aussi une certaine rage. « Lorsque j’avais 16 ans, j’avais une sorte d’agressivité en moi. Vous devez trouver une place pour faire sortir cette agressivité, dans la guitare, la batterie, ou peu importe », poursuit la star.

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Comme à son habitude, Bono fut très loquace dans cet entretien de fin d’année. Il parle de son groupe U2, de la musique en streaming et de la crise des réfugiés en Europe, entre autres.

Crédit Photo  : BANG/BIG

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Claude Legault : « Ma carrière ne se résume pas à ma paire de fesses »

Avec un peu de recul, on peut se rendre compte de la qualité de l’entrevue accordée par Claude Legault au journaliste et critique Marc Cassivi pour le compte de La Presse, il y a quelques jours.

Claude Legault y aborde certains grands thèmes de sa carrière, de ses années difficiles à la « polémique » de son salaire pour la campagne de publicité de la CSST, en passant par les dangers de la surexposition au Québec.

La star de 19-2 revient également sur son statut de sex-symbol, un statut arrivé sur le tard avec Minuit, le soir, et qui se poursuit encore.

« Je n’ai jamais été à l’aise avec cette étiquette-là. Et les gens peuvent être très violents sur les réseaux sociaux à propos de ça. « Bon ! Encore une série où il va nous montrer sa gra*ne pis son c*l! » Ma carrière ne se résume pas à ma paire de fesses ! Mais j’ai fait des entrevues où on me parlait que de ça. Du «tout nu», je vais en faire moins en vieillissant », confie notamment Legault à Cassivi.

Après une pause pour se recentrer et retrouver ses repères, Claude Legault semble avoir affirmé ses priorités et propose un retour professionnel (notamment avec Fatale-Station) qui fait plaisir à ses admirateurs et (nombreuses) admiratrices.

Découvrez ici en intégralité l’entrevue de Claude Legault menée par Marc Cassivi, via La Presse.

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Le testament de Janine Sutto

Richard Therrien de La Presse rapporte une nouvelle touchante, à l’effet que la comédienne Janine Sutto a décidé de contacter l’animateur André Robitaille pour lui offrir une entrevue qui prend toutes les allures d’un testament télévisé.

Figure absolument marquante de la télévision québécoise, Janine Sutto s’est donc confiée dans une entrevue qui sera diffusée lundi (21 novembre), dès 21H, sur les ondes d’ICI Radio-Canada Télé.

Active au théâtre, à la télévision et au cinéma depuis les années ’40, Janine Sutto a notamment été des Belles histoires des pays d’en haut, Moi et l’autre, Le Major Plum-Pouding, Deux femmes en or, Symphorien, Chez Denise, Poivre et Sel, Ma Tante Alice, Ent’Cadieux, Histoires de filles, Watatatow, Rumeurs, Les Parent et Lance et compte, pour ne nommer qu’une partie de ses projets. Mme Sutto a même tourné en 2015 pour Madame Lebrun.

Janine Sutto est âgée de 95 ans.

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Jérémy : Quand Mike Ward persiste et signe

De passage à CHOI Radio X lors de l’émission Moreault en Jase, Jérémy Gabriel est revenu sur sa présence à Tout le monde en parle, et sur la gigantesque affaire qui l’oppose à Mike Ward.

Roby Moreault avait d’ailleurs quelques extraits à proposer à Jérémy Gabriel. Il s’agit de passages captés lors d’une entrevue anglophone du côté de Sirius XM.

Mike Ward affirme notamment qu’il ne croit pas que de donner de l’argent à la mère du jeune homme n’aide une quelconque cause autre que la sienne, n’hésitant pas à affubler celle-ci du titre de « fucking mother » au passage. L’humoriste croit plutôt qu’il fait preuve d’inclusion en traitant le jeune homme atteint du syndrome de Treacher-Collins de la même façon que les autres.

Appelé à commenter les extraits présentés par l’animateur, celui que l’on connaissait jadis sous le sobriquet du « p’tit Jérémy » estime que « la notion d’inclusion de Mike Ward est vraiment très spéciale ».

Découvrez ici un segment de l’entrevue de Jérémy Gabriel à CHOI Radio X.

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Melania Trump défend son mari

Se confiant ironiquement à Anderson Cooper, qui n’a pas la confiance du candidat Donald Trump, Melania Trump a expliqué ses états d’âme et défendu son mari contre les récents enregistrements dévoilés au public et les nombreuses allégations d’agressions sexuelles portées par des femmes contre le magnat de l’immobilier.

« Il faut se défendre sans arrêt (…) j’ai déjà déposé plusieurs poursuites », explique d’abord d’entrée de jeu Melania Trump devant un Anderson Cooper calme et empathique.

« J’ai dit à mon mari que ce type de langage n’est pas approprié et n’est pas acceptable. J’ai été surprise, parce que ce n’est pas l’homme que je connais. Comme vous pouvez le voir sur l’enregistrement, la caméra n’était pas sur lui, seulement le micro. Je me demande s’il savait que le micro fonctionnait., parce que c’était une discussion entre garçons. Il a été mené par l’animateur (Billy Bush) pour dire des choses sales », explique ensuite Melania Trump en lien avec le fameux audio capté par Access Hollywood.

Une déclaration qu’Anderson Cooper cherche à confirmer, et l’animateur obtient alors un « oui » bien senti de la part de l’aspirante première dame des États-Unis.

« Il s’est excusé, et j’accepte ses excuses. J’espère que le peuple américain va les accepter aussi. Ça fait des années, et ce n’est pas l’homme qu’il est », poursuit Trump.

Découvrez ici l’entrevue accordée par Melania Trump à Anderson Cooper.

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