Étiquette : environnement

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Des gestes écolos à apprendre à ses enfants

Fermer le robinet lorsqu’on se brosse les dents ou qu’on se lave les mains : Si on le laisse couler pendant deux minutes, on gaspille 24 litres d’eau!

Économiser le papier : Montrez-lui à dessiner ou à écrire sur les deux côtés des feuilles de papier. Imprimez également recto verso.

Recycler : Apprenez-lui rapidement à savoir trier les déchets, le papier et le carton ensemble, le verre, le plastique, le métal… Vous pouvez lui donner des exemples concrets : 250 cannettes recyclées peuvent être transformées en un vélo, et une tonne de plastique peut se transformer en 1800 chandails en polar!

Récupérer les piles : Environ seulement le tiers des piles usagées sont recyclées, ce qui est énorme! Apprenez-lui à ne pas les jeter dans les poubelles, mais à les apporter à un dépôt spécifique. Mieux encore, utilisez des piles rechargeables!

Économiser l’eau du bain : Nul besoin de le remplir — un fond suffit. Baignez les enfants ensemble si possible. Apprenez également aux enfants à prendre une douche dès qu’ils sont assez grands.

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Réservez dès maintenant votre chambre « verte » en ligne

Travel CNN rapporte qu’un nouveau site de réservation hôtelier est désormais en ligne, permettant aux consommateurs de choisir des chambres « vertes », c’est-à-dire en communion avec l’environnement.

Comme le décrit le site de la chaîne de nouvelles américaine, www.bookdifferent.com clame avec fierté être le seul à comparer les hôtels afin de définir lesquels sont écologiques et ceux qui ne le sont pas, ou moins.

Bien que le site fonctionne un peu comme les autres de sa catégorie (réservation, hôtels), il possède aussi certains filtres (Green Key et Green Globe) qui permettent aux touristes de bien connaitre les habitudes de l’hôtel qu’ils souhaitent utiliser.

Le membre du comité de BookDifferent, Bastiaan Fronik, semble avoir bon espoir que cette nouvelle façon de faire connaitra beaucoup de succès.

Il déclare : « Nous croyons qu’il y a une conscientisation envers l’environnement de plus en plus grande au sein de la communauté des affaires et des voyageurs, et que celle-ci continuera sa progression. Pour rejoindre les objectifs de ces voyageurs, nous voulons travailler en collaboration avec plusieurs autres étiquettes écologiques et vertes dans le futur ».

Pour découvrir toutes les facettes et les caractéristiques analysées par le système, ou pour réserver dès maintenant votre chambre « verte », visitez le www.bookdifferent.com.

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Petit guide du parent « vert »

Mettre l’accent sur le plus important : Selon les experts, les trois choses qui ont le plus d’impact sont : ce que bébé met dans sa bouche, ce qui touche à sa peau, et l’air que bébé respire.

Commencer tôt : Manger sainement et minimiser son exposition aux toxines devrait débuter avant même la conception.

Penser aux couches lavables : Malgré les préjugés qui les entourent, les couches réutilisables d’aujourd’hui sont très faciles d’utilisation et ne demandent aucun sacrifice. En prime, elles sont beaucoup plus mignonnes!

Surveiller les jouets : Bébé les mettra certainement dans sa bouche, alors il est préférable d’éviter certains plastiques et certaines teintures artificielles.

Utiliser des produits nettoyants non toxiques : On peut même utiliser des produits que l’on a sous la main, par exemple du vinaigre, du jus de citron et du bicarbonate de soude.

S’assurer d’un air sain : Si on n’a pas d’échangeur d’air, on peut garder des plantes dans la maison. Certaines d’entre elles réduisent la pollution de l’air de 90 %!

Faire ses propres purées : On évite ainsi les contenants jetables et on peut choisir ses ingrédients. Si possible, on privilégie les aliments biologiques.

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Les enfants qui comprennent leur environnement seraient meilleurs en maths

Le fait de donner à l’enfant l’occasion de comprendre et d’explorer son environnement pourrait l’aider à développer des habiletés utiles comme comprendre la façon dont fonctionnent certains objets ensemble dans leur environnement. C’est ce qu’ont découvert des chercheurs de l’Université de Chicago.

De plus, ces enfants pourraient éventuellement avoir moins de difficultés à lire des cartes ou comprendre des graphiques et des diagrammes.

« Améliorer les compétences spatiales des enfants peut avoir un impact positif sur leurs futures aptitudes en science, en technologie, en ingénierie ou en mathématiques, pas seulement en améliorant leur pensée spatiale, mais en renforçant leurs compétences numériques qui sont critiques pour la réussite dans ces domaines d’étude », explique Elizabeth Gunderson, chercheuse postdoctorale et auteure de l’étude.

Rappelons que les enfants apprennent mieux lorsqu’ils trouvent eux-mêmes des solutions à l’aide de leur environnement. En effet, d’après Science Daily, les élèves se débrouillent mieux en utilisant des blocs, des dessins ou en subdivisant des équations mathématiques.

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Angleterre : pédalez pour regarder la télé

Regarder ses émissions préférées à la télévision tout en gardant la forme et en faisant sa part pour l’environnement, voilà ce que suggère l’une des chambres du Cottage Lodge situé dans le village de Brockenhurst.

La publicité de l’établissement fait la promotion du nouveau dispositif à pédales, mais aussi de la chambre qui détient un éclairage à basse énergie, des panneaux solaires, un poêle à bois pour produire chauffage et eau chaude ainsi qu’une toilette à faible débit.

Tous les meubles de la chambre ont été conçus par un ébéniste de l’endroit, à partir du bois provenant d’un hêtre tombé naturellement dans le village. Quant à la peinture sur les murs, elle est décrite comme non néfaste pour l’environnement.

Pour prendre un virage vert, Christina Simons, propriétaire de l’hôtel, a passé près de huit ans à transformer la propriété qui date des années 1650 et qui avait d’ailleurs été bâtie à partir des matériaux d’un vieux navire.

Un séjour dans ce bed & breakfast peut revenir à environ 129 livres. L’établissement a gagné de nombreux prix pour ses initiatives écoresponsables, raconte le journal The Telegraph.

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Autisme : des produits chimiques en cause?

Dans le but de trouver les causes environnementales possibles d’augmenter les risques d’autisme et autres troubles neurologiques chez les petits, un rapport de chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine a été publié dans la revue Environmental Health.

La National Academy of Sciences affirme que 3 % de tous les troubles neurocomportementaux chez les enfants, tels que le trouble du spectre autistique (TSA) et de déficit d’attention avec hyperactivité (TDAH), sont dus à des expositions à des produits toxiques dans l’environnement.

Un autre 25 % serait causé par des interactions entre les facteurs environnementaux et génétiques.

Pour les chercheurs de cette étude, il est clair que le facteur héréditaire demeure l’une des causes principales des troubles neurologiques du développement.

Toutefois, ils croient que les causes environnementales jouent un rôle également, rôle qui pourrait être « potentiellement évitable », disent-ils.

Les 10 premiers produits toxiques montrés du doigt sont le trihydrate d’acétate de plomb, le méthylmercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organophosphorés, les pesticides organochlorés, les perturbateurs endocriniens, les gaz d’échappement des automobiles, les hydrocarbures aromatiques polycycliques, les retardateurs de flamme (brome) et les composés perfluorés.

Mentionnons qu’une autre étude qui se retrouve dans la même édition de la revue a tenté de prouver que le tabagisme durant la grossesse accentuait les risques de syndrome d’Asperger.

Aux États-Unis, de 400 000 à 600 000 enfants sur 4 millions de naissances sont atteints d’un trouble neurocompotemental.

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Un environnement sécuritaire la nuit pour prévenir le décès du bébé

« Plusieurs de ces cas de MIN sont reliés aux environnements de sommeil non sécuritaires, et ces décès sont totalement évitables. La position la plus sécuritaire pour les bébés est de dormir sur le dos dans leur propre couchette sans matelas mou », explique la professeure associée du MU Sinclair School of Nursing, Patricia Schnitzer.

Les études de Schnitzer et ses collègues ont montré que dans plus de 70 % des cas de MIN, les poupons se trouvaient sur des surfaces appropriées, comme des lits d’adultes ou des canapés. De plus, dans 64 % des cas, l’enfant n’était pas seul dans son lit ou était couché avec ses parents.

Soulignons que plus de 4500 poupons meurent chaque année durant leur sommeil aux États-Unis, et ce, même après que le gouvernement ait instauré sa campagne Back-to-Sleep, qui encourage les parents à faire dormir leurs enfants sur le dos.

« Depuis la campagne Back-to-Sleep, le nombre décès reliés à la mort inattendue du nourrisson a diminué, mais les décès de poupons par suffocation durant leur sommeil a dramatiquement augmenté. Partager le lit avec son bébé est plus commun maintenant, donc nous voulons aider les nouveaux parents à comprendre les risques », dit la professeure Schnitzer.

Rappelons que dans l’État du Wisconsin, une campagne a été lancée pour faire connaitre les multiples dangers qu’encourt un nourrisson en dormant dans le même lit que ses parents.

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Le triclosane, nocif pour l’environnement, mais sans danger pour les humains

Un rapport préliminaire de Santé Canada et d’Environnement Canada, paru dans la Gazette du Canada, mentionne que le triclosane est sans danger pour les humains, bien qu’il ait un impact important sur l’environnement.
 
Le triclosane est un composé antifongique et antibactérien couramment utilisé dans divers produits, comme les savons liquides, les désinfectants pour les mains, les produits de beauté, les détersifs et les pesticides.
 
Même si l’on réclame plus d’études sur le sujet, le présent rapport n’a démontré aucune preuve d’effet direct sur la santé humaine. Toutefois, l’utilisation de ce composé a des conséquences pour l’environnement.
 
Ainsi, Santé Canada et Environnement Canada suggèrent aux entreprises de réduire leur utilisation du triclosane sur une base volontaire, surtout en ce qui concerne les produits d’hygiène personnelle qui se retrouvent souvent dans les lacs et les rivières.
 
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La Tour Montparnasse brillera « écolo »

L’espace immobilier, dont les seuls lieux ouverts au public sont la terrasse et le 56e étage (restaurant panoramique), s’illuminera dorénavant de différentes couleurs au fil des saisons. En effet, grâce à une nouvelle scénographie et de nouveaux rythmes lumineux, la Tour Montparnasse dispose maintenant de quatre nouveaux jeux de lumière qui se modifieront chaque saison et lorsque des événements spéciaux auront lieu.

« Ce dispositif lumineux, symbole de modernité, de créativité et de mouvement, pourra également être complété, à certaines occasions, par la contribution de créateurs (vidéastes, graphistes…) qui pourront s’exprimer artistiquement en enrichissant cet éclairage selon leurs propres sensibilités », ont indiqué les gestionnaires de la tour à RelaxNews.

De plus, la Tour Montparnasse ne pourra pas que se vanter d’être splendide, mais aussi bonne pour l’environnement, car selon des chiffres donnés par la direction, cela représentera 0,3 % de la consommation de l’éclairage des bureaux de l’immeuble (contre 4 % auparavant) et 0,2 % de la puissance complète de la tour de 210 m de haut.

En d’autres termes, l’énergie consommée pour la totalité des 56 étages de cet endroit équivaudra à huit prises électriques ou dix fers à repasser.

Avec son centre commercial, incluant les Galeries Lafayette, et ses nombreux autres services publics, la tour est une attraction pour environ 760 000 visiteurs chaque année, majoritairement des étrangers, selon les données de 2010.

Depuis l’achèvement de la tour First en 2011, Montparnasse est devenu le deuxième gratte-ciel le plus haut en France.

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Les allergies alimentaires choisissent-elles leurs proies?

Une équipe de chercheurs de l’Hôpital de Montréal pour enfants a procédé à une enquête pancanadienne. Le but : déterminer les facteurs démographiques, tels que l’âge, le sexe, le niveau de scolarité, les lieux de résidence et de naissance, qui, en combinaison avec des facteurs génétiques et environnementaux, seraient susceptibles de participer à l’apparition d’allergies alimentaires.

Les auteurs de l’étude, dont les résultats ont été publiés dans le Journal of Allergy, avancent différentes hypothèses pour expliquer cette prévalence accrue des allergies alimentaires dans les milieux plus scolarisés, rapporte le journal Le Devoir.

Tout d’abord, les parents plus scolarisés semblent plus souvent retarder l’introduction d’aliments potentiellement allergènes dans l’assiette de leur enfant. De plus, les enfants canadiens sont davantage surveillés par un médecin de famille; ils sont souvent plus vaccinés et traités aux antibiotiques que les immigrants, ce qui peut jouer en défaveur de leur système immunitaire.

En matière d’alimentation, les immigrants ont également plus l’habitude de côtoyer de moins bonnes normes d’hygiène. Les allergies aux fruits de mer et aux arachides sont d’ailleurs moins présentes chez les immigrants. Cependant, il semblerait que la prévalence des allergies s’accroît chez les immigrants, selon le temps qu’ils passeront dans un pays occidentalisé.

Selon les chercheurs, malgré les gènes de prédisposition, certaines habitudes alimentaires et de style de vie, comme une consommation moindre d’aliments riches en acides gras oméga-3, une exposition à une quantité inadéquate de vitamine D et des modes de préparation différents des aliments, pourraient contribuer au développement des allergies alimentaires.