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Plusieurs années avant la grossesse, mangez bien!

En octobre dernier, des spécialistes ont conclu qu’une saine alimentation avant, pendant et après la grossesse assurait le bon développement et les effets positifs à plus long terme chez l’enfant.

Cette constatation a été rendue publique lors du Colloque du Fonds français pour l’alimentation et la santé, ayant pour thème Les déterminants précoces de la santé future de l’enfant.

Du type de nutriments consommé par le père, qui pourrait avoir une influence sur la qualité du sperme, à la perte ou prise de poids importante avant la grossesse par la mère, en passant par le stress, l’alimentation excessive ou insuffisante au mode de vie et l’environnement, tous sont des facteurs déterminants sur la santé et le futur des enfants.

Plusieurs séries d’études le démontrent, une mauvaise alimentation peut avoir un impact tant sur la fertilité que sur le développement du fœtus, ou encore lorsque l’enfant deviendra adulte.

Selon la Dre Marie-Aline Charles, « le potentiel de croissance fœtale s’adapte à l’état nutritionnel maternel avant la grossesse ».

Il est donc important de prendre soin de soi et de bien se nourrir, même plusieurs années avant de tomber enceinte, car cela aura une grande influence. Le dicton « Il vaut mieux prévenir que guérir » s’applique plus que jamais dans ce cas-ci…

 
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Les fruits et légumes bons pour la santé, moins pour l’environnement

Bien que manger plus de fruits et légumes et moins de viande rouge soit bon pour la santé, il semble que cela soit plus nocif pour l’environnement, selon des chercheurs français de l’Inra (Institut national de la recherche agronomique) et du Cirad (Centre de coopération international en recherche agronomique pour le développement).
 
Jusqu’ici, on estimait que réduire la consommation de viande rouge pouvait amoindrir l’impact du carbone de l’alimentation sur l’environnement. Ce type d’aliment produit en effet le plus d’émissions de gaz à effet de serre.
 
Les chercheurs ont toutefois repris les études et constatent que les hommes ont un impact de carbone plus grand que les femmes, et que chez ces dernières, c’est celles qui se nourrissent le mieux qui ont le plus grand impact.
 
En fait, pour compenser notre consommation moindre de viande rouge, on augmente les aliments comme le yogourt, les fruit et légumes et les féculents.
 
« Manger bien, c’est manger beaucoup d’aliments avec peu de densité énergétique. La vision selon laquelle les produits végétaux sont bons pour la santé et l’environnement, alors que les produits animaux seraient à la fois mauvais pour l’environnement et la santé, apparaît simpliste et nécessite d’être reconsidérée », mentionnent les chercheurs.
 
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Les petits bébés polluent!

Selon Lemonde.fr, les petits bébés joueraient un rôle majeur quant à la pollution de notre planète. Précisément, ils produiraient un effet de serre majeur, bien malgré eux, surtout les bébés américains.

Une étude aurait en effet pointé du doigt les poupons en ce qui concerne le réchauffement climatique. Un bébé né aux États-Unis produirait donc 7 fois plus de dioxyde de carbone qu’un poupon chinois, et 169 fois celui engendré par un enfant né au Bangladesh.

Ces considérations nous poussent à réfléchir sur le taux de natalité et son impact sur l’écologie. Déjà, une campagne de distribution de préservatifs a été lancée aux États-Unis, laquelle prône de sauver un animal menacé en évitant une grossesse.

Toutefois, n’oublions pas que les personnes de tous âges produisent des effets sur l’environnement. De plus, nos voisins du sud sont les deuxièmes champions mondiaux de l’émission de dioxyde de carbone, le premier rang étant occupé par l’Australie.

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Effets des retards de croissance foetale

Les convulsions sont un problème de santé que vivent de nombreux enfants. Des chercheurs ont tenté de connaître les différentes sources de celles-ci, notamment durant la grossesse.

Selon leurs résultats parus dans Pediatrics, un retard de croissance fœtale est fortement lié à de plus grands risques de convulsions durant les deux premières années de vie de l’enfant.

Dans le cadre de l’étude, afin de déterminer quels sujets accusaient un retard de croissance, on a évalué diverses caractéristiques de la croissance fœtale à l’aide d’ultrasons. Parmi celles-ci, on trouve la circonférence de la tête et celle de l’abdomen, la longueur du fémur et l’estimation du poids fœtal.

Toutes ces données ont été recueillies durant le deuxième et le troisième trimestre de grossesse. Par la suite, on a évalué l’occurrence des convulsions chez les bébés entre leurs 12e et 24e mois. Au total, on comptait 3 372 bébés dans cette recherche.

En regard aux résultats obtenus, on souligne une fois de plus les impacts des facteurs génétiques et ceux liés à l’environnement durant la grossesse, car ils peuvent aussi influencer le développement des convulsions chez l’enfant.

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Le tempérament des enfants relié à la réponse hormonale au stress

Psychcentral.com mentionne que cette recherche, qualifiée « d’intrigante », associe le tempérament de l’enfant en bas âge à la réponse hormonale selon deux types psychologiques définis. Le tempérament du faucon et celui de la colombe.

Il s’agit de deux comportements opposés, développés par une réaction chimique en relation avec la surproduction (colombe) ou l’arrêt de production (faucon) de cortisol dans l’organisme à la suite de l’exposition à un grand stress.

Dans l’étude publiée en ligne dans le journal Development and Psychopathology, le psychologiste et meneur de la recherche, Patrick Davies, explique l’objectif. « Les différentes réactions engendrées sont tant comportementales que chimiques et peuvent provenir de l’évolution génétique de la réponse au stress léguée par nos ancêtres. Par contre, ces comportements ne sont pas nécessairement adaptés à l’environnement familial dans lequel vivent les enfants ».

Alors que le type « colombe » agit de façon prudente, vigilante et soumise lorsqu’il est confronté au stress, le type « faucon » est audacieux et démontre assurance et agressivité.

L’étude a été menée auprès de 201 jeunes enfants de 2 ans, provenant de familles démunies avec des profils socioéconomiques similaires. Les candidats étaient régulièrement exposés à différents niveaux d’agression entre leurs parents.

Les résultats, lorsque les jeunes ont été placés dans une simulation de même nature, ont clairement séparé le groupe en colombes et en faucons. Ainsi, les colombes étaient plus affectées par les menaces, alors que les faucons y réagissaient avec véhémence.

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Nouvelles quotidiennes

L’écotourisme se développe en Thaïlande

De plus en plus d’hôtels de la Thaïlande s’engagent dans l’écotourisme. Jusqu’ici, on compte déjà environ 200 établissements qui offrent un séjour respectueux des communautés locales comme de l’environnement, apprenons-nous sur le site Routard.

Ces efforts sont salués par l’organisme à but non lucratif Green Leaf Foundation, qui a décerné à ces hôtels la mention « eco-friendly ».

Pour mériter cet honneur, ils ont dû répondre à certains critères, dont l’économie d’énergie, l’embauche de personnel provenant des communautés de la région et l’utilisation de produits locaux.

Ainsi, les touristes qui prônent ce type de voyages pourront s’adonner à la plongée sous-marine en sachant que les fonds aquatiques demeureront protégés ou encore parcourir le pays à vélo, à pied ou en bateau écologique.

Bien sûr, des parcs nationaux font aussi partie des activités touristiques suggérées, de même que des circuits au sein de communautés locales.

On peut en apprendre plus sur les différentes offres d’écotourisme de la Thaïlande, entre autres, sur le site de la Green Leaf Foundation.

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Multiples influences sur l’obésité infantile

En se basant sur l’idée que l’obésité infantile peut être abordée en fonction du comportement et de facteurs multiples et externes, des chercheurs incluent maintenant le marketing et le milieu de vie parmi ces derniers.

Précisément, une étude parue dans Pediatrics suggère que les nouvelles télévisées ont plus d’influence que les autres sources d’information quant aux changements comportementaux individuels.

D’autre part, les journaux semblent plus toucher le milieu de vie, en ce sens qu’ils apportent des changements à l’école, dans le voisinage et dans l’industrie des boissons. La télévision serait plus directement liée aux solutions parentales quant au comportement de l’enfant.

Les solutions les plus souvent trouvées par les parents étaient un changement du régime alimentaire (45 %) et l’exercice (36 %).

Ces résultats de l’École de santé publique Johns Hopkins Bloomberg proviennent d’une analyse de sources d’information parues entre 2000 et 2009.

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Les couches jetables, source d’énergie?

Passage obligé, bébé porte des couches pendant au moins deux ans. Si les couches réutilisables gagnent en popularité, celles qui sont jetables sont encore les plus utilisées. Elles représentent pourtant un problème pour l’environnement.

Pas moins de 6 000 couches jetables seront portées en moyenne par bébé durant ses deux premières années de vie. Selon Le Parisien, l’entreprise Suez Environnement aurait une solution au million de tonnes déchets que représentent les couches.

Elles seraient transformées en compost. Les plastiques qu’elles contiennent (entre 10 et 20 %) pourraient ensuite être employés pour en fabriquer d’autres. Quant à la matière fécale et la cellulose, elles seraient digérées par la boue du composteur et l’on arriverait ensuite à produire du biogaz.

Le résidu qui demeurerait servirait quant à lui à l’épandage des champs; il constituerait un excellent compost. Il y donc tout à espérer de cette idée, au lieu de simplement jeter chaque couche souillée par bébé.

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Les allergies sont prévisibles avant la naissance

Selon une étude de l’Université de Marbourg, en Allemagne, la santé de la future mère peut avoir un impact sur les allergies du bébé à naître.

Ainsi, comme nous l’apprenons sur Medical News Today, plusieurs facteurs de risque peuvent aussi s’appliquer durant la grossesse, non pas seulement durant la vie entamée d’un enfant.
 
Par exemple, si l’on reprend l’idée déjà connue de l’immunité contre l’asthme en fonction d’un milieu de vie rural, il semble que cette protection soit déjà en route avant la naissance.
 
De la même façon, un environnement stérile pourrait augmenter les risques d’allergies, tant lors de la grossesse que durant l’enfance. L’exposition de la future mère aux microbes jouerait donc un rôle important quant à la réponse immune.
 
On suggère aussi que les probiotiques peuvent prévenir ces problèmes de santé dès le moment de la grossesse.
 
L’augmentation des cas des dernières années porte finalement le problème sur les facteurs environnementaux. En effet, l’environnement demeure, tant durant la grossesse qu’après la naissance de l’enfant, un facteur prédominant de l’apparition des allergies.

On a remarqué certaines répercussions de l’exposition au pollen et à des allergènes provenant de la pollution quant à l’augmentation du nombre d’enfants allergiques.

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Un facteur de risque de l’autisme sera analysé

Le mystère plane toujours sur l’autisme, mais les recherches se poursuivent afin de mieux comprendre ce trouble envahissant.

Ainsi, on en trouve régulièrement de nouvelles causes possibles et certaines façons de le maîtriser. Parmi les raisons attribuables, on compte l’environnement.

Des chercheurs américains ont donc décidé de se concentrer sur ce possible facteur, lisons-nous sur Medical News Today. Une nouvelle étude portera donc sur près de 750 parents non atteints d’autisme, mais dont l’enfant, âgé de 2 à 5 ans, l’est. Les travaux se poursuivront durant trois ans.
 
Les questions portent sur l’exposition à la pollution de l’air et l’environnement, mais aussi sur la grossesse, l’emploi, les médicaments pris et le milieu de vie, entre autres.
 
De cette façon, on compte déterminer s’il existe des différences quant aux facteurs environnementaux entre les enfants atteints d’autisme et les autres.

Rappelons finalement que le taux d’enfants autistes semble augmenter au fil des ans. En ce moment, on estime que 10 % des enfants reçoivent un diagnostic de ce syndrome.