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Cinéma

Michael Mann fera revivre Enzo Ferrari

Après Robert DeNiro, c’est maintenant au tour du réalisateur Michael Mann de se lancer dans la course Enzo Ferrari, rapporte Variety.

C’est que le réalisateur de Collateral vient de s’entendre afin de diriger l’adaptation du livre Enzo Ferrari : The Man, The Cars, The Races, lancé en 1991 par Brock Yates.

Michael Mann vient donc ainsi jouer dans les plates-bandes de celui qu’il a dirigé dans Heat, Robert DeNiro, ce dernier étant lui aussi attaché à un projet sur Ferrari.

Michael Mann a pour l’occasion réservé les droits de deux scénarios différents sur le sujet, signés par Troy Kennedy Martin et David Rayfield, pour les fusionner et n’en faire qu’un seul au final.

« Mann est très passionné à propos de ce projet, et bien des gens sont intéressés. », lance avec enthousiasme le producteur Niels Juul.

Ce dernier pilotait le même projet en 2004, qui avait finalement effectué un retour aux puits avant d’être forcé à l’abandon à la suite du décès du réalisateur Sydney Pollack, en 2008.

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La Ferrari 599 GTO en détail

« Gran Turismo Omologata », GTO. Ces trois lettres rappellent à tous les passionnés du cheval cabré deux bolides mythiques, la 250 GTO, longtemps voiture la plus chère du monde, et la GTO, ou 288 GTO, évolution d’une 328 et prémices de la F40.

Cette lignée de voitures exceptionnelles sera donc complétée à la fin du mois d’avril par la Ferrari 599 GTO basée sur une 599 GTB et dérivée étroitement du véhicule concept de course 599XX.

Sous son capot perforé de toutes parts se cache un V12 de 6 litres développant la puissance folle de 670 chevaux à 8250 tr/min! Grâce à une boite de vitesse ultra rapide (60 millisecondes), cette cavalerie rageuse propulse la 599 GTO de 0 à 100 km/h en 3,35 s. Une accélération qui ne s’arrête pas avant d’avoir atteint les 335 km/h.

Ces chiffres impressionnants en font la Ferrari de route la plus rapide de tous les temps, devant même le supercar Enzo.

Il faut dire que la Ferrari 599 GTO allie une aérodynamique largement travaillée (fond plat, extracteur, entrées et sorties d’air partout autour de la voiture…) à un poids réduit à 1 495 kg.

Pour freiner le tout, les jantes de 20 pouces entourent des disques en carbone-céramique liés à un système démontrant l’attention aux détails de Ferrari. Baptisé Doughnut wheel, celui-ci consiste en un disque chargé de plaquer l’air chaud s’échappant des freins contre la carrosserie de la voiture afin d’améliorer encore l’aérodynamique.

La Ferrari 599 GTO sera présentée au salon de Pékin à la fin avril. En attendant, vous pouvez vous configurer la GTO de vos rêves sur le site Ferrari. Mais ne rêvez pas trop, seuls 599 exemplaires seront fabriqués.

 

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Le retour de la Ferrari Modulo

Si le nom de Modulo ne vous dit rien, il est toujours temps de vous rattraper. Basée sur un châssis homologué pour la route de Ferrari 512S (une voiture de course), la Modulo était une sorte de navette spatiale routière.

La photo et les miniatures de la Modulo ont fait rêver plusieurs enfants durant les 40 années qui se sont écoulées depuis sa présentation. Large, plate, incroyablement futuriste et charismatique avec sa verrière s’ouvrant façon avion de chasse, la Ferrari Modulo est véritablement mythique.

Son créateur, Paolo Martin, s’est demandé à quoi elle ressemblerait s’il la dessinait de nouveau aujourd’hui.

De la forme globale aux petits détails, comme la ligne rouge qui court sur le flanc, cette Modulo II partage sans conteste des traits avec son illustre ancêtre. Elle est également plus tendue et plus aérodynamique que la première du nom, explorant le thème de la courbe plutôt que celui des angles, tout en gardant son ADN de voiture de films de science-fiction.

Sous sa carrosserie, son code génétique est aussi sportif que celui de son aînée puisqu’il s’agit d’une base de Ferrari Enzo.

Reste à savoir si Pininfarina voudra nous gâter en réalisant un exemplaire de cette réinterprétation. Ce sont les murs blancs de milliers de chambres d’enfant qui le demandent…

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La Ferrari 458 a un prix

Les tarifs de la Ferrari 458 Italia viennent d’être dévoilés en Angleterre, ainsi que ceux de certaines options. De quoi se faire une idée de ce qu’il faudra débourser ici lorsque la belle traversera l’océan.

Personne ne sera surpris de savoir que l’addition est très, très salée : 169 545 £, soit environ 286 300 dollars canadiens.

Ce tarif la situe entre la California et la 599 Fiorano, mais il ne suffira que de quelques options pour faire encore grimper la note.

On remarque ainsi des DEL indiquant le régime moteur sur le volant pour 4 717 $, des sièges en fibre de carbone (7 245 $) ou un habitacle dans la même matière (9 800 $). Au total, la liste des options dépasse les 100 000 $.

Pas donné certes, mais le mythe a un prix…

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Un nouveau supercar à Dubaï

Mercedes présentera à Dubaï une SLS AMG peinte en or. Voilà qui peut résumer le style déluré qui fait fureur au pays du pétrole et de la démesure.

Pourtant, le petit constructeur Kepler y présentera un supercar hybride, la Motion. Sous sa ligne racée et gracieuse, bien que ne se démarquant pas vraiment de ses concurrentes, se cache en effet un ensemble baptisé Dual Powertrain Technologie.

Derrière cette appellation, on retrouve la combinaison d’un V6 biturbo de 3,5 litres de 550 chevaux pour les roues arrière et d’un moteur électrique de 250 chevaux pour l’avant.

Grâce à ce total de 800 chevaux, la Kepler Motion se débarrasserait du 0 à 100 km/h en 2,5 secondes et fendrait l’air jusqu’à 320 km/h.

Il faut dire que la Motion est construite à grand renfort de fibre de carbone, autant dans sa carrosserie et son châssis monocoque que pour ses freins qui doivent inaugurer une nouvelle technologie de composite carbone et céramique.

Seulement 50 exemplaires seront produits et la plupart devraient trouver preneur du côté des Émirats arabes unis.

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Plus d’infos sur les futures Ferrari

Dans un entretien avec le magazine anglais Car, le directeur de Ferrari, Amedeo Felisa, a donné plus d’informations par rapport au remplacement de ses modèles V12.

Le premier à se renouveler sera la 612 Scaglietti. Succès commercial mitigé, la 612 est en vente depuis 2004 et passera du marché du neuf à celui de l’occasion en 2012.

C’est à peu près à la même période qu’apparaîtra le nouveau supercar du constructeur. Après les 288 GTO, F40, F50 et Enzo, le vaisseau amiral de la flotte au cheval cabré devrait encore frapper très fort.

Plusieurs solutions techniques sont à l’étude pour celui-ci. Bien que Ferrari y travaille déjà, l’hybride ne sera pas encore au point pour le supercar, mais on peut d’ores et déjà supposer qu’il sera plus petit et plus léger qu’une Enzo et propulsé par un V12 ou un V8 turbo (comme la F40).

Quant à la 599 GTB Fiorano, la sortie récente du pack HGTE lui permet de survivre un peu plus longtemps. Sa remplaçante ne devrait donc pas voir le jour avant 2015.

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Un nouveau supercar électrique

C’est la compagnie allemande e-Wolf qui fait sensation cette semaine en présentant la e-2, un supercar électrique.

Alors que la e-1, une sorte de petite monoplace électrique, ne doit être mise en vente que début 2010, la compagnie affiche ses ambitions en présentant déjà la e-2.

Le loup donne un grand coup de griffe avec cet engin dont le style est situé quelque part entre une Ferrari Enzo, une Lamborghini Reventon et une navette spatiale sortie de Star Wars.

Pour la partie technique, e-Wolf annonce une propulsion assurée par 4 moteurs électriques logés dans chacune des roues et délivrant une puissance totale de 536 chevaux. Le poids serait contenu sous les 900 kilos grâce à une structure monocoque en carbone.

Un prototype sera présenté en 2011, suivi par un lancement commercial dans la foulée.

 

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Edo Competition retouche la Enzo

C’est la deuxième fois que les ingénieurs d’Edo s’attaquent au supercar de Ferrari. Baptisée FXX Evolution, cette seconde mouture s’inspire de la très exclusive FXX, qui est quant à elle réservée aux circuits.

Cette super Enzo développe 840 chevaux grâce à un travail sur le V12 dont la cylindrée passe de 6 à 6,3 litres. Le moteur peut monter jusqu’au régime hallucinant de 9 600 tr/min!

Edo Competition ne s’est toutefois pas contenté d’augmenter la puissance, car le poids est également en baisse de 100 kilos.

Le résultat de la préparation est tout simplement fou : il faut 3,2 secondes pour atteindre 100 km/h, 9 secondes pour dépasser les 200 km/h et 19 secondes pour que le tachymètre indique 300!