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Découverte d’un lien entre le thé vert et la prévention du cancer

Plusieurs spécialistes mentionnent depuis un bon moment les présumées vertus du thé vert en prévention du cancer, mais peu d’études sont venues établir ce lien de façon directe et scientifique.

C’est pourtant le cas d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par MedicalNewsToday, qui explique le lien entre la consommation de thé vert et le ralentissement des cellules cancéreuses, notamment dans certains cas de cancer du pancréas.

L’étude du Los Angeles Biomedical Research Institute (LA BioMed) confirme également les capacités du thé vert à ralentir un cancer déjà diagnostiqué.

Le Dr Wai-Nang Lee et son équipe sont parvenus à établir que l’agent biologique EGCG du thé vert change littéralement le métabolisme du cancer du pancréas et de ses cellules, en s’attaquant à une enzyme critique de ce type de cancer.

L’étude ne confirme pas seulement les propriétés du thé vert en matière de lutte au cancer, mais permettrait également de confirmer que le nerf de la guerre contre la maladie se situe dans le système métabolique et dans les mécanismes moléculaires.

Les conclusions de l’étude du Dr Lee et de son équipe sont publiées et dans le journal Metabolomics.

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Un nouveau test pour dépister les enfants à risque de développer un QI inférieur

Ce pourcentage représente le nombre d’enfants qui naissent avec une prédisposition 4 fois plus élevée de se retrouver avec un QI inférieur à 85.

Ceux qui sont dans cette catégorie présentent un trouble de la glande thyroïde, en plus d’une anomalie génétique de l’enzyme déiodonase. Cette enzyme est impliquée dans le traitement des hormones thyroïdiennes à l’intérieur des cellules.

La recherche, effectuée par les experts de l’Université Cardiff et l’Université de Bristol, a été présentée à la Society for Endocrinology Annual BES Conference.

Les données génétiques de 3123 enfants de 7 ans ont été analysées, et leur QI testé. Les chercheurs ont réalisé que seule la combinaison d’un niveau d’hormones thyroïdiennes plus bas que la normale et de la variante génétique du déiodonase-2 affectait le QI.

Les données se sont avérées inchangées malgré l’ajout des facteurs environnementaux et socio-économiques.

« Si d’autres études confirment nos résultats, il faudrait réfléchir aux avantages reliés à un test génétique pratiqué en même temps que la vérification de la glande thyroïde à la naissance. Nous serions à même d’identifier les enfants le plus à risque », a expliqué le Dr Peter Taylor, responsable de la recherche.

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Percée intéressante dans la lutte à l’Alzheimer et au Parkinson

Santé Log rapporte que des chercheurs ont réussi à décrypter une enzyme bien précise, qui serait en partie responsable du développement de certaines maladies dégénératives comme le Parkinson et l’Alzheimer.

Il s’agit de l’enzyme KMO, qui fait des ravages au cerveau, et que l’on se devait de mieux comprendre avant d’envisager d’aller plus loin dans les recherches de traitements.

Ce serait maintenant chose faite, des chercheurs de plusieurs universités (notamment en Europe) ayant uni leurs forces pour tenter de mieux comprendre et analyser l’enzyme KMO.

Le but est de réussir à stopper l’activité de cette dernière, et ainsi réussir à créer une barrière pour freiner le développement de ces terribles maladies.

Seule ombre au tableau, il faudra maintenant réussir à passer outre la barrière hématoencéphalique du cerveau humain, un défi de taille…

Malgré ce défi et le fait que cette récente découverte n’en soit qu’au stade préliminaire, les chercheurs semblent portés par un vent d’optimisme.

On attend déjà avec impatience les prochaines publications sur le sujet.

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Conserver sa jeunesse grâce à une pilule ne relèverait plus de la fiction

C’est une nouvelle étonnante que celle rapportée par Top Santé, voulant que des chercheurs aient mis au point un nouveau traitement anti-âge qui semble sortir tout droit d’un livre de science-fiction.

En effet, la « pilule de jouvence » serait bel et bien sur le point d’être proposée par une équipe de chercheurs australiens, qui présentent leurs récentes découvertes dans une étude.

Cette dernière, publiée dans la revue Science, explique qu’une enzyme aux propriétés anti-âge, la SIRT1, a été testée et serait en mesure de ralentir les effets du vieillissement, mais aussi de prévenir certaines maladies et d’assurer une plus grande longévité.

On apprend aussi que cette enzyme est naturellement produite chez l’humain grâce, notamment, à l’exercice physique et un bon régime alimentaire.

« … le principe de ces médicaments n’est pas de traiter une maladie en particulier, mais de pouvoir en prévenir une vingtaine », lance avec optimisme le professeur David Sinclair de Harvard.

Une bien bonne nouvelle qui pourrait se traduire par l’apparition d’une pilule « magique » anti-âge sur le marché d’ici les cinq prochaines années.

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Un enzyme responsable de la prise de poids lors de la ménopause

Les femmes en période de ménopause qui prennent du poids peuvent cesser la culpabilité, car de récentes études proposent que la faute repose sur un enzyme, et non sur leurs habitudes alimentaires.

La prise de poids chez les femmes ménopausées est fréquente et s’ajoute aux nombreux désagréments et « effets secondaires » liés à cette période de la vie d’une femme.

Assez de choses à penser alors, pour ne pas se mettre en plus à être obsédées par ce qu’elles mangent, car selon topsante.com, le phénomène est naturel, bien que dérangeant.

C’est que le fameux enzyme verrait son activité être amplifiée massivement au contact de l’œstrogène, et doublement lors de la phase de ménopause.

Cela dit, les chercheurs répètent que même si la prise de poids est normale et naturelle, il est faux de croire que rien ne peut être fait.

Tout comme aux autres personnes aux prises avec des problèmes de gain de masse rapide, il est fortement conseillé de couper le sucre (jus, sodas, gâteaux) et les viandes grasses, de manger plus de poissons et de noix, ainsi que d’éviter les repas usinés ainsi que les restaurants.

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Des chercheurs réussissent à « inverser » l’obésité chez des souris

Aussi incroyable que cela puisse paraître, des chercheurs sont parvenus à « inverser » le processus qui mène à l’obésité chez des souris, en isolant et en manipulant une protéine de l’organisme.

Ainsi, selon ce qu’explique santelog.com, les chercheurs d’une équipe internationale ont réussi l’exploit en favorisant la production de la tyrosine protéine kinase-2 (que nous appellerons Tyk2 pour plus de clarté).

La Tyk2 est une enzyme qui permettrait la régulation du poids et donc de l’obésité. Ces théories et observations ont été publiées dans la plus récente édition du magazine scientifique Cell Metabolism.

Le fait d’avoir réussi ce tour de force chez les rongeurs laisse croire qu’ils pourraient reproduire le « traitement » aussi chez l’humain.

C’est la découverte du « tissu adipeux brun » actif chez l’adulte qui a mené à ces conclusions, puisque l’on croyait depuis longtemps que ce type de tissu n’était actif que chez les bébés.

Une corrélation entre ce tissu adipeux et la Tyk2 a ensuite été énoncée, puis maintenant prouvée, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées par les chercheurs.

Le professeur Andrew Larner a bon espoir de voir cette enzyme produire d’excellents résultats, et même un jour peut-être inverser carrément le phénomène d’obésité.

D’autres tests et études sur le sujet sont à venir.

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Cet hiver, misez sur les enzymes

Si vous ne connaissez pas les enzymes et leur impact sur l’organisme, vous voudrez peut-être lire ceci avant d’affronter la dure saison hivernale.

C’est topsante.com qui rapporte l’importance de ces éléments pour le corps, notamment afin de conserver une belle énergie lors de la saison morte.

Tout d’abord, les enzymes sont ces substances qui jouent un rôle constant dans les diverses réactions de l’organisme. Ce sont des catalyseurs biologiques qui permettent au métabolisme de fonctionner, et ainsi de vivre.

Le site avance même que plus de 7000 réactions métaboliques sont dues aux enzymes (quelques 3000) quotidiennement. On peut donc comprendre que si le corps vient à en manquer, plusieurs systèmes de l’organisme pourraient commencer à mal fonctionner.

Des problèmes de digestion peuvent s’avérer l’un des symptômes de ce phénomène. De plus, c’est à ce moment que le fameux effet de fatigue commence à se faire sentir en hiver.

Alors, comment s’assurer de ne pas manquer d’enzymes? D’abord en surveillant son alimentation, bien entendu, mais aussi en privilégiant des aliments crus, les légumes par exemple.

Il semble que les enzymes soient éliminées massivement des aliments lorsque ceux-ci sont cuits à une température de 70 degrés Celcius, ce qui n’est pas très élevé. On suggère donc de faire cuire vos aliments à la vapeur.

Les jus de fruits maison sont aussi une excellente source d’enzymes, tout comme les salades et les poissons.

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Une enzyme qui accentue le déclin cognitif

Le Journal of Neuroscience mentionne que l’enzyme BACE1 est déjà connue pour favoriser la formation de plaques B-amyloïdes qui caractérisent la maladie d’Alzheimer.
 
Seulement, cette enzyme a aussi une autre responsabilité dont on ignorait l’existence jusqu’ici, et cela entraîne également un déclin cognitif. Donc, la BACE1 a une double action sur le déclin cognitif.
 
Ce double effet affecte non seulement le développement des plaques B-amyloïdes, mais régule également le processus cellulaire qui favorise la perte de mémoire. Il faudrait donc trouver le moyen d’empêcher totalement les cellules de fabriquer cette enzyme.
 
« La perte de mémoire est un gros problème, non seulement dans la maladie d’Alzheimer, mais plus largement avec le vieillissement de la population. Il nous a fallu comprendre le rôle complet de BACE1 dans la perte de mémoire, en dehors de la production de B-amyloïde », mentionne le professeur Xu Huaxi.
 
Les recherches se poursuivent donc.
 
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Un enzyme pour vaincre la dépendance à la cigarette et l’alcool

Des chercheurs américains ont découvert que l’enzyme kinase C (PKC) epsilon pouvait contrôler la réponse du cerveau à la nicotine et l’alcool.
 
On croit que les inhibiteurs de cette enzyme pourraient éventuellement aider à créer un traitement afin de libérer les personnes aux prises avec ce type d’accoutumances.
 
Pour le moment, les recherches effectuées pendant quatre semaines sur des souris semblent prometteuses, rapporte le Proceedings of the National Academy of Sciences.
Les souris qui avaient été génétiquement modifiées pour avoir moins de cette enzyme consommaient moins d’eau contenant de la nicotine.
 
D’autres études avaient démontré des résultats similaires avec l’alcool.
 
Cette découverte permettrait donc d’aider éventuellement les fumeurs et alcooliques avec un médicament contenant une molécule pouvant inhiber cette enzyme.

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Un nouvel espoir contre la tuberculose

Une équipe de l’Imperial College de Londres a découvert que les personnes qui souffrent de tuberculose augmentent la production de l’enzyme MMP-1 dans leurs poumons. Cette enzyme joue un rôle important dans la destruction des tissus pulmonaires.
 
Cette découverte permettrait la création de nouveaux traitements. « Le traitement de la tuberculose est le même depuis 35 ans et rien n’empêche la destruction des poumons par cette infection qui provoque la toux des malades », mentionne le Dr Paul Eikington, coauteur de l’étude parue dans le Journal of Clinical Investigation.
 
Il existe déjà des médicaments qui peuvent inhiber cette enzyme. Ils sont utilisés dans certains cas de cancers. Maintenant, il reste à voir si ces mêmes médicaments peuvent freiner la production de cette enzyme dans les poumons dans les cas de tuberculose.
 
En ce moment, pour combattre la maladie, une personne doit prendre des antibiotiques pendant six mois, mais plusieurs souches de tuberculose deviennent de plus en plus résistantes aux traitements.