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Voici où faire votre épicerie si vous voulez économiser au maximum.

Où faire ses courses alimentaires pour économiser ? Bien des gens se posent la question. Le Journal Métro a décidé de faire enquête pour déterminer si le panier d’aliments était le moins cher. À noter que le Journal Métro n’a rien à voir avec les supermarchés Métro.

Métro a donc sélectionné 13 produits couramment consommés par les Québécois et a fait ses courses dans une fruiterie, un supermarché d’une grande chaîne, une épicerie au rabais et une épicerie fine.

Les produits incluent des oeufs, des pâtes, de la sauce tomate, du beurre, de la viande., du fromage et du pain. 

Dans une épicerie à bas prix, le total a été de 62,80 $. Dans une fruiterie, il a coûté un total de 66,70 $. 

Ces deux options sont bien moins chères que celle du supermarché d’une grande chaîne où il a fallu débourser 84,10 $, et en épicerie fine, qui remporte le palmarès des endroits les plus chers, le total est revenu à 89,40 $.

Le Journal Métro précise qu’il a été impossible de trouver de la viande en fruiterie et ses journalistes ont dû se rendre dans une épicerie indépendante pour compléter leurs achats. 

C’est le beurre et le pain blanc qui affichaient les différences de prix les moins grandes entre les établissements

Quant aux avocats, aux viandes, aux bananes et à la sauce tomate, ces produits affichaient les plus grandes disparités de prix. 

En épicerie fine, il était affiché à 1,33 $ l’unité. Dans un supermarché et en fruiterie, il coûtait 2,49 $. 

Pour la viande, il en coûtait moins cher d’acheter du boeuf et du jambon dans fruiterie, en épicerie indépendante et en supermarché au rabais. 

Et dans les supermarchés, au rabais comme dans les grandes chaînes, les marques maison permettaient souvent de faire des économies. 

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La majorité des jeunes d’aujourd’hui n’ont aucune idée ce que signifie le C dans « Super C »

Les jeunes qui ne se rappelaient pas de la réalité en 1991 ou qui n’étaient pas nés à cette époque ignorent sûrement ce que le C veut dire dans « Super C ». 

Caisse ?

Carton ?

Non. Pas du tout.

Le C désignait le mot « Carnaval ». 

Un peu d’histoire

La Ferme Carnaval inc. a été fondée en 1982 par un Torontois qui travaillait dans l’immobilier. Cinq ans plus tard, la bannière était rachetée par Metro-Richelieu Inc. Les 12 magasins de la chaîne, principalement située dans le Grand Montréal, portaient alors le nom de Super Carnaval.

C’est en 1991 que le nom des établissements a été raccourci pour dorénavant s’appeler « Super C ».

La chaîne appartient aujourd’hui à Metro inc et se spécialise dans les aliments à bas prix.

L’année dernière, on recensait pas moins de 100 magasins Super C au Québec, qui employaient 6 000 personnes.

« Chef de file dans le segment des magasins d’escompte au Québec, Super C exploite un réseau de 101 magasins et procure de l’emploi à plus de 6 500 personnes. Super C fait partie de la grande famille METRO, fondée en 1947 », est-il d’ailleurs écrit sur le site web de l’entreprise. 

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Des épiceries obligées de jeter un tonne d’aliments en raison de la panne

Alors que la tempête de verglas a continué de priver des Québécois d’électricité durant le long congé pascal, les supermarchés des régions les plus touchées ont été autorisés à ouvrir leurs portes le dimanche de Pâques afin de permettre aux gens de remplir leur réfrigérateur, rapporte TVA Nouvelles.

D’ailleurs, le fait d’avoir ouvert dimanche permettra aux épiciers de pallier les nombreuses pertes subies en raison des coupures électriques. 

« On a l’essentiel, on va dire, et on a une équipe qui a travaillé d’arrache-pied depuis vendredi soir, même dans la nuit de vendredi à samedi, pour pouvoir offrir le maximum de produits à nos clients », a fait savoir le propriétaire de l’Intermarché Boyer, Franck Henault, en entrevue à TVA Nouvelles.

Certains produits pourraient manquer sur les rayons de certaines épiceries, explique l’Association des détaillants en alimentation du Québec (ADA).

« On se concentre sur les produits de base, parce que les gens qui n’ont pas d’électricité depuis quelques jours, eh bien, ils ont besoin de plus de produits de base. Donc, on s’assure que ces produits-là soient disponibles. Les autres produits, ça se peut qu’il en manque. Mais c’est normal vu qu’il y a eu beaucoup d’achalandage dans les dernières journées », ajoute le directeur des Affaires publiques et gouvernementales de l’ADA, Stéphane Lacasse, en entrevue avec TVA Nouvelles. 

Des quantités importantes de nourriture se sont retrouvées dans les bennes à ordures des épiceries à la suite des pannes. Une réalité qui a ravi les amateurs de dumpster diving, qui fouillent les poubelles pour se nourrir. 

« Je trouve que c’est un bon moyen d’économiser. Et en même temps, tant qu’à jeter, nous, on peut manger… faire de réserves », explique une femme qui réussit à se nourrir en partie avec ce qu’elle trouve dans les poubelles. 

« Les indépendants ont plus d’options. On peut justement donner. Mais les bannières, des fois, vont simplement ordonner les marchands à jeter. Mais aujourd’hui, en 2023, il y a moins de tolérance pour le gaspillage alimentaire », ajoute le chercheur en alimentation Sylvain Charlebois de l’Université Dalhousie, à TVA Nouvelles. 

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Une jeune Québécoise révèle comment elle fait son épicerie complète pour seulement 68 $

Alors que l’inflation touche de plein fouet le panier d’épicerie, de plus en plus de jeunes se tournent vers les réseaux sociaux afin de trouver des astuces pour économiser. Et une créatrice de contenu de 25 ans sur Instagram leur a donné le moyen d’avoir une épicerie complète pour 68 $, rapporte le Journal de Montréal

« Je sens qu’en ce moment il y a un intérêt pour cette tendance [à vouloir économiser]. Avec les prix des aliments de base qui ont tellement augmenté, les gens cherchent à économiser », raconte au Journal de Montréal Mila Taillefer, qui a plus de 56 000 abonnés sur son compte Instagram, dont 80 % sont composés de jeunes de 18 à 34 ans.

La jeune femme donne des conseils aux jeunes pour la gestion de leurs finances, mais également des trucs pour économiser sur la facture d’épicerie. Ainsi, une vidéo qui a été vue plus de 38 000 fois montre comment avoir de la viande, des produits laitiers, des fruits et légumes pour un total de 68 $.

« Les gens dans la vingtaine sont curieux et je remarque qu’ils veulent économiser de plus en plus tôt », poursuit la jeune femme. 

Elle n’est pas la seule. Une autre influenceuse, Marilyne Gagné, connue comme « Miss économe » sur les réseaux sociaux, a observé que les jeunes cherchent à réaliser des économies. La jeune femme fait du couponnage et des achats au rabais depuis huit ans. 

« Depuis janvier, je reçois énormément de messages de gens qui ont fait le pas [vers les astuces pour économiser] », explique-t-elle au Journal de Montréal.

Avec près de 21 000 abonnés, elle observe que les gens sont de plus en plus nombreux à demander aux caisses d’égaler le prix de certains articles et constate une plus grande ouverture sur la question.  

 « Avant, je n’avais pas autant de gens qui identifiaient leurs amis en commentaires », poursuit-elle.

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La plupart des jeunes d’aujourd’hui n’ont aucune idée ce que signifie le C dans « Super C »

Les jeunes qui ne se rappelaient pas de la réalité en 1991 ou qui n’étaient pas nés à cette époque ignorent sûrement ce que le C veut dire dans « Super C ». 

Caisse ?

Carton ?

Non. Pas du tout.

Le C désignait le mot « Carnaval ». 

Un peu d’histoire

La Ferme Carnaval inc. a été fondée en 1982 par un Torontois qui travaillait dans l’immobilier. Cinq ans plus tard, la bannière était rachetée par Metro-Richelieu Inc. Les 12 magasins de la chaîne, principalement située dans le Grand Montréal, portaient alors le nom de Super Carnaval.

C’est en 1991 que le nom des établissements a été raccourci pour dorénavant s’appeler « Super C ».

La chaîne appartient aujourd’hui à Metro inc et se spécialise dans les aliments à bas prix.

L’année dernière, on recensait pas moins de 100 magasins Super C au Québec, qui employaient 6 000 personnes.

« Chef de file dans le segment des magasins d’escompte au Québec, Super C exploite un réseau de 101 magasins et procure de l’emploi à plus de 6 500 personnes. Super C fait partie de la grande famille METRO, fondée en 1947 », est-il d’ailleurs écrit sur le site web de l’entreprise. 

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Walmart dit faire moins de profit avec l’épicerie!

Lors de son témoignage devant le Comité permanent de l’agriculture et de l’agroalimentaire, Gonzalo Gebara, président et chef de la direction de Walmart Canada, a affirmé que son entreprise a subi une baisse de marge de profit dans sa section épicerie l’année dernière en raison de l’inflation qui a fait grimper le prix des aliments.

Il a déclaré que les détaillants doivent composer avec l’inflation tout comme les consommateurs qui remplissent leur panier d’épicerie chaque semaine.

M. Gebara a souligné que Walmart Canada n’essaie pas de tirer profit des conditions inflationnistes et que la marge brute de l’entreprise dans le secteur alimentaire a diminué l’année dernière.

Bien que Walmart Canada ait vu ses ventes d’aliments augmenter l’année dernière par rapport à l’année précédente, sa marge brute sur ces ventes était plus faible.

Le dirigeant a également expliqué que l’inflation alimentaire est le résultat d’une « tempête parfaite de facteurs externes qui ont fait grimper le prix des aliments » et que les consommateurs ne voient que le prix final sur les tablettes, sans savoir que l’inflation a eu un impact à plusieurs niveaux le long de la chaîne.

Gebara a suivi les traces de ses rivaux canadiens Loblaw, Metro et Empire Foods, dont les dirigeants ont également témoigné devant le comité en assurant qu’ils ne cherchaient pas à profiter de l’inflation pour augmenter leurs marges de profit.

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Ce resto de ramens véganes inaugurera bientôt sa propre épicerie qui comprendra un bar à gyozas!

Que ce soit pour des raisons de santé, éthiques ou environnementales, de plus en plus de Montréalais prennent la décision d’adopter un mode de vie végane, ou du moins intègrent de plus en plus d’aliments végétaliens dans leur alimentation quotidienne. En plus, on retrouve une foule de produits délicieux en épicerie qui vous accompagneront dans votre transition.

Si vous trippez sur la bouffe végane, vous serez très heureux d’apprendre que le populaire resto de ramens Umami ouvrira prochainement une épicerie où vous pouvez retrouver une tonne de leurs produits maison qui seront parfaits à intégrer à votre garde-manger.

Comme on a pu le voir dans une story sur leur compte Instagram, le resto nous a teasé en révélant que bientôt, vous pourrez retrouver les fameux bouillons des ramens qu’on peut déguster au Umami, des nouilles faites maison, et même des kits de nouille et bouillon préparés qui s’avèreront bien pratiques pour les lunchs.

De plus, vous aurez la chance de déguster de délicieux plats de style dumplings frits grâce au bar à gyozas qui prendra également place dans l’épicerie! Si vous souhaitez les savourer dans le nouveau local, vous pourrez le faire grâce aux quelques places assises qui seront aménagées.

Bien qu’on ne connaisse pas encore la localisation de la nouvelle épicerie, on a bien hâte à l’ouverture d’Umami Épicerie qui vous promettra une tonne de produits frais, de qualité, composés d’aliments du Québec, véganes et écoresponsables par-dessus le marché! Veuillez cependant noter que vous pouvez déjà vous procurer certains de leurs ingrédients maison dans certaines épiceries de la ville.

Umami Épicerie

Prévue pour septembre 2022

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Stefano Faita lance un tout nouveau vin

Dans quelques jours, vous aurez la chance de trouver sur les tablettes la petite nouveauté de la gamme de vins créée par Stefano Faita et Vins Arista. Ça fait déjà près d’un an que nous pouvons mettre la main sur leurs vins 100% biologiques et véganes dans les épiceries partout à travers la province et on avait bien hâte de voir leur prochain produit!

Si vous avez adoré les premiers vins de la gamme, soit le rouge Nerello Mascalese et les deux blancs Pinot Grigio et Catarratto, vous allez certainement tombés sous le charme du nouveau vin rosé qui sortira au mois de mai. Le Nero d’Avola est frais, avec une finale zestée — vraiment parfait pour l’été qui s’en vient à grands pas. Ce cépage fruité et délicat arrivera à élever tous vos repas de salades ou de poissons sur le BBQ.

Nero d’Avola

Crédit: Stefano Faita

C’est lors d’un voyage jusqu’en Sicile que Stefano Faita a déniché ses raisins dans l’un de leurs vignobles. Embouteillé au Québec, ce produit est d’une qualité incroyable, tout en restant abordable. On a bien hâte de l’ajouter à nos paniers d’épicerie afin de prendre l’apéro avec nos ami.e.s!

Cheers!

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Un immense supermarché asiatique ouvrira ses portes à Montréal!

La ville de Montréal est reconnue mondialement pour son multiculturalisme qui apporte une grande richesse à la métropole. En effet, on constate un bouillonnement culturel qui se fait sentir aux quatre coins de la ville de par les communautés, leurs évènements spéciaux, les festivals et les nombreux restos internationaux!

Si vous trippez sur la bouffe d’autres pays, on a une excellente nouvelle pour vous; la chaîne de supermarchés asiatiques T&T ouvrira sa plus grande succursale au pays cette année à Montréal! Le tout premier supermarché T&T du Québec va donc absolument satisfaire votre appétit pour la bouffe panasiatique!

Comme on peut le voir sur le compte Instagram de la chaîne de marchés orientaux, la première succursale québécoise du supermarché T&T ouvrira ses portes dans l’arrondissement Saint-Laurent – au 300 avenue Sainte-Croix – et cette décision de s’établir là-bas vient du fait que c’est un emplacement pratique puisque c’est tout près des grandes autoroutes de la ville.

Les supermarchés T&T bénéficient déjà d’une grande popularité dans l’ouest du pays puisqu’on y trouve tout ce dont on a besoin; fruits, légumes, viandes, prêts-à-manger, produits céréaliers, etc. En plus de tout ça, on pourra acheter une tonne de snacks originaux qu’on ne trouve nulle part ailleurs. 

L’ouverture de ce grand supermarché de 6500 mètres carrés est prévue pour le mois de décembre 2022. Cependant, vous pouvez déjà vous procurer certains produits offerts par l’épicerie panasiatique grâce à leur application mobile vous permettant d’essayer une foule de petits goodies que vous recevrez par la poste. De plus, si vous êtes à la recherche d’un emploi au sein de cette compagnie, Supermarché T&T a déjà commencé son processus de recrutement et vous pouvez envoyer votre CV dès maintenant.

On a donc bien hâte que cette épicerie voit le jour à Montréal pour que l’on puisse faire le plein de munchies panasiatiques et pour ajouter de la variété à notre alimentation!

Supermarché T&T

300 Av. Sainte-Croix, Saint-Laurent, QC H4N 3K4

Ouverture prévue pour décembre 2022

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Les soirées cinéparcs dans les Metro du Québec recommencent et c’est GRATUIT!

On finit la journée en beauté avec l’annonce de Ciné Metro qui revient cet été suite au succès de l’année dernière. C’est donc pendant dix semaines de suite à partir du 25 juin que vous pourrez vous rendre dans les magasins Metro participants partout au Québec afin d’y vivre des soirées absolument mémorables de cinéma québécois.

Cette expérience divertissante et sécuritaire est entièrement gratuite, on ose donc y aller CHAQUE SEMAINE SI ÇA NOUS TENTE. Vous pourrez retrouver les ciné-parcs bien situés dans les stationnements d’une vingtaine de Metro où deux films québécois seront à l’affiche jusqu’au 1er septembre. Selon la date choisie, vous aurez la chance de voir soit Nadia Butterfly (2020) de Pascal Plante ou le film d’animation Félix et le trésor de Morgäa (2021) de Nicola Lemay. 

En plus d’être assez chanceux de pouvoir vivre cette expérience hyper le fun gratuitement, vous recevrez en cadeau une boîte sucrée salée remplie du nécessaire pour une soirée cinéma réussie lors de votre arrivée sur le site. Ouioui, vous recevrez ces petits cadeaux grâce aux partenaires collaborateurs de l’évènement tels que Rogers, Bai, Sponge Towels, Danone et Takis. En plus, vous recevrez un sac-surprise à la fin du film qui contient une variété de produits gourmands que vous découvrirez sur le chemin du retour à la maison.

Grâce au partenariat avec Metro, Ciné Metro prend vie au cœur des communautés. « La pandémie a été difficile pour de nombreuses familles québécoises, et c’est pourquoi nous sommes heureux de présenter Ciné Metro à nouveau cette année, affirme Alain Tadros, vice-président marketing, METRO. Avec ce projet novateur né de la pandémie, Metro réaffirme sa détermination à investir dans les communautés où elle est présente depuis de nombreuses années, en offrant un divertissement québécois rassembleur, convivial et sécuritaire qui plaira à toute la famille. »

« C’est avec beaucoup d’enthousiasme que nous avons accepté d’être partenaire du Ciné Metro, explique Marie-Pierre Leclerc, vice-présidente, Marketing et Stratégie numérique chez belairdirect. C’était tout à fait naturel pour nous d’appuyer cette tournée des régions et d’offrir un divertissement local, sécuritaire et original aux familles québécoises de partout à travers la province. Chez belairdirect, nous sommes engagés à simplifier l’expérience de nos clients. Ce partenariat nous permet de transformer l’expérience des cinéphiles et de procurer du bonheur pur et simple à toute la famille devant un film en plein air. »

En passant, l’évènement est très sécuritaire puisque toutes les règles imposées par la Santé publique seront respectées.

Pour obtenir tous les détails et vous procurer des billets gratuits pour une soirée Ciné Metro près de chez vous, visitez le siteweb juste ici.

Voici toutes les villes où vous pourrez trouver les Metro participants:

  • Saint-Constant
  • Bromont
  • Mont-Laurier
  • St-Jérôme
  • Ile Perrot
  • Québec
  • Montréal
  • La Pocatière
  • Témiscouata-sur-le-Lac
  • Victoriaville
  • Laval
  • Sorel
  • Gatineau
  • Alma