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St-Hubert offre ses nouveaux produits végétariens

@cam_ds @max_laffame via Instagram

On voit de plus en plus de produits végétariens chez les grandes entreprises, et c’est maintenant au tour de St-Hubert d’offrir trois nouveaux pâtés réfrigérés sans viande sur les tablettes des épiceries du Québec! C’est donc avec une volonté d’offrir des idées de repas simples, rapides et goûteux que St-Hubert a voulu proposer ces nouveaux produits à ses clients qui cherchent à diminuer leur consommation de viande, sans faire de compromis sur le goût. La protéine végétale étant plus populaire que jamais, on s’imagine que ce pâté au « poulet » végétarien, ce gratin végétarien « poulet » et brocoli ainsi que ce pâté chili végétarien partiront comme des petits pains chauds dans toutes les grandes chaînes d’épiceries.

Selon le rapport de mai 2019 de Mintel, Plant-based food et drink Canada, 25 % de la population canadienne affirme suivre un régime flexitarien (qui consiste à limiter la consommation de viande). Soucieux d’être à l’écoute de ses clients et d’innover pour demeurer au-devant des tendances alimentaires, St-Hubert a donc crée des plats réconfortants faits à base de protéines végétales, entièrement préparés au Québec.

Ces pâtés ne contiennent pas d’arômes ni colorants artificiels, tout en limitant la quantité de sel ajouté. Pour ce faire, un mélange recherché d’épices, d’arômes et de fines herbes spécifique à chaque pâté a été élaboré pour procurer un maximum de saveur.

Faisant partie de ceux qui limitent leur consommation de viande, on a extrêmement hâte d’y goûter! Et vous?

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Trois fois par jour lance ses délicieux plats de prêts-à-manger

@mariloubiz @meggyturbide_photographe via Instagram

Marilou de Trois fois par jour nous offre de délicieuses recettes depuis maintenant 7 ans. Son blogue, ses livres et ses magazines sont reconnus pour attirer l’oeil avec leurs magnifiques photos, autant que les recettes qu’ils contiennent sont alléchantes. Marilou se lance dans plusieurs nouveaux projets qui fonctionnent tous plus les uns que les autres, et cette fois-ci on a la chance de pouvoir mettre la main sur ses produits prêts-à-manger.

La vaste gamme de produits de plats principaux, d’accompagnements ainsi que de desserts est maintenant disponible en exclusivité chez IGA. Inspirés des recettes les plus consultées sur le blogue de Trois fois par jour, nous pouvons dès maintenant manger de délicieux plats pensés par Marilou qui sont autant faciles à préparer que succulents.

« À ceux qui aiment les produits dont la liste des ingrédients est immensément courte et compréhensible. À ceux qui aiment bien manger, mais qui manquent de temps. À ceux qui aiment l’emballage de produit imaginé et pensé avec coeur. Ces plats sont pour vous! J’espère que vous les aimerez autant que mon père, qui a déjà dévalisé les deux IGA les plus près de chez lui. » Pouvait-on lire dans une story Instagram de Marilou.

D’ailleurs, en combinant deux produits Trois fois par jour au IGA, vous pourrez profiter de la promotion duo qui offre deux articles pour 12$. Vous pouvez choisir n’importe quel plat principal et un accompagnement, sauf le porc effiloché et les côtes levées.

Voici quelques suggestions de combinaisons :

• Poulet au beurre + Cari de légumes
• Boulettes suédoises + Haricots verts au pesto de tournesol
• Poulet olives et citron + Riz beurre et persil
• Poulet olives et citron + Couscous féta

Bon appétit!

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Une nouvelle épicerie où les contenants sont consignés/remboursés!

@cecile.gariepy @epicerie.basta via Instagram

Basta est une toute nouvelle épicerie dans le Plateau Mont-Royal qui sert à éliminer les emballages à usage unique en les remplaçant par des contenants réutilisables. Celle-ci a ouvert ses portes cette semaine et on la trouve tellement belle! L’artiste Cécile Gariépy a peint l’intérieur de l’épicerie avec les couleurs de la Terre. On peut y voir des bonshommes qui rendent l’endroit encore plus chaleureux. Basta, ça veut dire : Ça suffit, assez! (Ça suffit la pollution, ça suffit le sur emballage, ça suffit les bacs de recyclage toujours pleins, etc.)

L’important à savoir c’est que ce n’est pas une épicerie en vrac ou zéro déchet. On y retrouve des aliments pré-emballés dans des contenants réutilisables et ils sont consignés. Vous pouvez donc faire votre épicerie et ramener vos contenants la prochaine fois pour vous faire rembourser! C’est eux qui s’occupent du lavage, donc pas besoin de se casser la tête et ça va réduire les déchets de votre bac de recyclage ou même de vos poubelles.

Ceux-ci reçoivent de nouveaux produits chaque semaine, pour la plupart locaux. C’est littéralement une épicerie traditionnelle, mais qui produit beaucoup moins de déchets. Vous y trouverez fruits et légumes, prêt-à-manger, surgelé, options végés, boulangerie, produits corporels et ménagers, etc. Un réfrigérateur complet est même dédié aux bières de microbrasseries et au vin. De plus, presque tout vient exclusivement de fournisseurs québécois.

L’épicerie tient même comme décoration des affiches qui nous éclairent à faire des bons choix. Les messages sur celles-ci sont vraiment importants, par exemple : « Chaque année, les Québécois rapportent plus de 70% des contenants consignés mis en marché. C’est 1,4 milliard de bouteilles! » Imaginez si toute la ville de Montréal allait à l’épicerie Basta! Ils seraient certainement en rupture de stock, certes, mais oh que la Terre serait contente!

Épicerie Basta

505 rue Rachel Est, Montréal, Qc

Ouvert de 8h à 20h, tous les jours.

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Faire l’épicerie sans se ruiner

L’économiste Rob Morris révèle quelques trucs, rapporte Female First, pour bien nourrir sa famille même avec moins de moyens.

Des façons économes d’offrir de la variété.  Concentrez-vous sur le déjeuner. Une façon efficace de varier le repas sans que ce soit trop dispendieux. Différentes céréales pour les goûts de chacun, auxquelles vous pouvez ajouter des fruits frais, des œufs cuits durs et des produits laitiers.

Faites l’épicerie le soir. Il semble qu’après 19 h ou 20 h, les épiciers diminuent les prix de produits dont la date de péremption est proche. Profitez-en pour remplir votre congélateur.

Planifier les repas de la semaine. Inscrivez seulement ce qui est nécessaire pour les repas et allez à l’épicerie le ventre plein. Vous éviterez ainsi les dépenses inutiles, et par le fait même le gaspillage qui coûte aussi très cher.

Créez un livre de recettes personnel. Prenez le temps d’essayer des recettes faciles, rapides et nécessitant peu d’ingrédients. Vous éviterez ainsi les plats préparés qui sont dispendieux et les aliments précoupés ou marinés, qui sont plus chers.

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Un rapport laisse présager des lacunes dans le système de rappel des aliments

Un rapport somme toute inquiétant, bien qu’il ne faille pas s’alarmer outre mesure, concerne le système de rappel des aliments au Canada, rapporte Radio-Canada.

Déposé par le vérificateur général du Canada, M. Michael Ferguson, le rapport stipule que plusieurs façons de faire « créent de la confusion » au sein des membres du personnel appelé à effectuer ces rappels, et que le phénomène mène à des retards et à des risques inutiles.

Bien que les méthodes utilisées jusqu’ici aient permis de limiter massivement les problèmes de santé qui auraient pu découler de la consommation de certains aliments, Ferguson croit que les choses peuvent s’améliorer.

« L’Agence canadienne d’inspection des aliments gère bien la plupart des aspects des rappels. Toutefois, tant sur le plan du suivi post-rappel auprès de l’industrie qu’à celui des grands rappels d’urgence, les faiblesses que nous avons relevées soulignent des lacunes importantes dans le système de rappel des aliments. Quoique les cas de maladies aient été contenus dans les rappels que nous avons examinés, je ne suis pas certain que le système donnera toujours des résultats comparables », écrit le vérificateur général, avec une pointe d’inquiétude.

C’est donc surtout lors du processus post-retrait que les choses se compliqueraient, les autorités ayant du mal à confirmer la destruction des aliments fautifs, ainsi que les méthodes utilisées pour éviter la répétition des problèmes dans l’avenir.

Ne reste plus qu’à voir ce que ces observations et recommandations permettront de faire dans l’amélioration du système de rappel des aliments au Canada.

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Ne magasinez pas quand vous avez faim

On connaît tout de même l’adage qui dit qu’il est mieux d’avoir mangé avant de faire l’épicerie. C’est la même chose pour le magasinage, puisqu’on rencontre un nombre impressionnant de kiosques et restaurants de nourriture hypercalorique.

Une nouvelle étude des chercheurs de l’Université de Cornell a été effectuée auprès d’un premier échantillon de 62 personnes qui étaient privées de nourriture 5 heures avant le magasinage, puis d’un second groupe de 82 personnes à qui l’on avait donné des craquelins pour satisfaire leur faim.

La corrélation entre le niveau de privation de nourriture et les choix d’aliments effectués étaient flagrants. Plus les gens avaient faim, plus ils choisissaient des aliments à haute teneur calorique. Plus ils étaient rassasiés, plus les choix se tournaient vers des aliments sains.

L’étude a même vérifié, justement, les habitudes des gens à l’épicerie, en surveillant les paniers entre 16 h et 19 h, puis entre 13 h et 16 h. Le premier groupe était plus enclin à avoir faim, tandis que le second devait en principe être rassasié.

Les mêmes résultats ont été observés. Le premier groupe optait pour des solutions hypercaloriques, alors que le second groupe, en général, effectuait des choix santé.

Selon Medical News Today, l’auteur de l’étude a indiqué que même la plus petite faim influence nos choix d’alimentation. La meilleure option consiste donc à prendre une collation avant de partir.

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Le prix de la nourriture augmente de façon globale

Il semble que peu importe la région de la planète, il est impossible de se soustraire à l’augmentation évidente des produits alimentaires, rapporte Yahoo (UK).

En effet, un rapport déposé par l’ONU dévoile des hausses de prix généralisées en alimentation, faisant augmenter les factures d’épicerie de tous les citoyens du monde.

Cette fois, si on regarde les chiffres du mois de mars, ce sont les prix des produits laitiers qui ont augmenté, eux qui atteignent déjà des sommets.

« Toute la dynamique ce mois-ci nous provient des produits laitiers. La situation en général est plutôt calme », explique un économiste, faisant référence à un marché relativement stable en ce qui concerne les autres produits retrouvés en épicerie.

Une stabilité qui survient cependant après que plusieurs groupes d’aliments aient été augmentés depuis l’an dernier, notamment les céréales, la viande et le sucre.

Bien entendu, les prix peuvent varier en fonction des récoltes, et on est optimiste dans ce département pour l’année en cours.

Il reste que, mondialement, le prix du panier d’épicerie a bondi au cours des dernières années, laissant plusieurs ménages aux prises avec des dilemmes déchirants en matière d’alimentation.

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Rappel de salsa Choix Du Président par Loblaws

Loblaws a lancé un avertissement à sa clientèle concernant certains produits Choix du Président, à savoir de la salsa dans ce cas-ci, rapporte Radio-Canada.

Le produit, fort populaire, pourrait contenir du plastique, avouent les autorités de chez Loblaws.

Les produits visés sont ceux vendus en format de 650 millilitres et fabriqués à base de maïs et de haricots noirs, ainsi que la salsa douce de 450 millilitres, de marque Choix du Président (PC).

Une autre bonne façon de savoir si l’on possède l’un de ces produits est de vérifier la date de péremption sur le pot de salsa. Il faudra se méfier particulièrement de ceux affichant la date limite du 30 janvier 2014.

Bien qu’aucun incident n’ait été rapporté et que Loblaws ait vraisemblablement retiré tous les produits visés, on demande à la population d’être vigilante.

On retrouve la salsa Choix du Président notamment chez Loblaws, Maxi, Maxi & Cie, Provigo, AXEP, Groupe Distribution et L’Intermarché.

Le rappel touche plusieurs provinces canadiennes, dont le Québec.

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De meilleures étiquettes pour de meilleurs choix santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude voulant que la population bénéficie grandement de meilleures étiquettes sur les produits qu’elle achète et consomme.

L’étude, effectuée par la FDA, croit que les consommateurs pourraient faire de meilleurs choix et ainsi être plus proactifs en ce qui concerne leur santé s’ils étaient mieux informés.

Ainsi, on suggère un système uniforme d’étiquetage, dans lequel on retrouverait les fameux tableaux nutritifs présentés sous forme plus détaillée et claire.

On éviterait ainsi aux gens la tâche de devoir multiplier et faire des calculs pour bien comprendre combien de calories ils consommeront, et quel sera l’apport alimentaire de leurs portions. On veut aussi s’assurer que les ingrédients soient tous inscrits.

« Je crois que les gens ont un véritable problème à bien interpréter les étiquettes et à bien comprendre de quoi il retourne. C’est presque comme s’il y avait une surcharge d’informations, en plus de ne pas être toujours très claires », commente le Dr Eric Matheson, chercheur en nutrition de l’Université de Caroline du Sud.

On pourrait donc assister à une révolution en la matière dans les prochains mois et les prochaines années.

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La FDA propose de nouvelles règles en matière d’alimentation

La FDA américaine (U.S. Food and Drug Administration) annonce qu’elle entend prendre de nouvelles mesures concernant la sécurité de la population quant à l’industrie alimentaire, rapporte www.nlm.nih.gov.

Pour l’instant, deux recommandations sont à l’honneur. Elles sont les premières phases concrètes du traité initié par l’actuel président, Barack Obama, et ratifié par la FDA.

Le Food Safety Modernization Act propose donc d’abord une sécurité accrue des fermes productrices, afin d’assurer une qualité optimale des produits qui y sont cultivés. On veut particulièrement protéger la population de certaines maladies et bactéries comme l’E. coli et la listériose.

La deuxième obligera les producteurs alimentaires à créer des plans pour assurer la protection du public face à leurs produits. Chaque usine, terre ou industrie devra dès lors se soumettre à des règles strictes.

La FDA veut mettre en place plusieurs autres règles au fil de 2013, afin de surveiller chaque étape de production des aliments, des fermes aux épiciers, jusqu’à l’assiette.

« Nous avons l’un des meilleurs systèmes au monde, mais nous devons renforcer les règles et la protection offerte au public en matière d’alimentation. C’est exactement ce pour quoi le traité a été créé », lance la Dre Margaret Hamburg, de la FDA.