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Le manque de sommeil serait-il devenu un fléau de société?

Si vous vous sentez souvent fatigué et semblez manquer de sommeil constamment, vous n’êtes vraisemblablement pas seul!

En fait, selon Top Santé, qui rapporte une étude des CDC américains sur le sujet, le manque et les troubles de sommeil seraient en voie de devenir une « épidémie », c’est-à-dire un problème collectif et récurrent.

Un terme que n’hésite pas à utiliser l’association américaine pour alerter la population contre le fléau qui n’a rien de bénin.

Manque de productivité généralisée, accidents et manque d’attention, maladies et troubles de la santé divers, voilà quelques-uns des dommages collatéraux découlant d’un manque de sommeil collectif.

Bien que l’on rappelle les heures de sommeil nécessaires au bon fonctionnement de l’être humain (9-10 heures pour les adolescents, 7-9 heures pour les adultes), on ne mentionne pas les raisons de cette soudaine épidémie en santé publique.

Trop de travail? Trop de stress? Manque de sensibilisation sur l’importance du sommeil? Pour l’instant, tout ce qu’on sait, c’est que les Nord-Américains ne font pas passer le sommeil en tête de liste de leurs priorités… et qu’ils ne dorment pas assez.

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Après le H1N1, voici le H5N1

Vous vous souvenez sans doute de cette panique générale qui s’était emparée de plusieurs régions du monde lors de la pandémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) il y a quelques années.

Heureusement, les impacts du virus se sont avérés moins dévastateurs que ce que les autorités craignaient, mais de nouveaux rapports indiquent que nous ne sommes peut-être pas encore tout à fait à l’abri.

C’est le chercheur Ron Fouchier qui fait ce constat, annonçant même l’arrivée de nouveaux coronavirus à l’image du fameux SRAS. En effet, Santelog.com rapporte que le H5N1 est en développement depuis le début de l’année et qu’il s’avère différent de tout ce que l’homme a connu jusqu’à présent, malgré ses ressemblances avec le H1N1.

Cependant, Fouchier aurait réussi à trouver la source de cette nouvelle menace, un pas important dans l’application de systèmes de prévention ou pour la création d’un antidote efficace.

Il appert que cette nouvelle version nous viendrait de chauves-souris asiatiques, selon ce qu’il publiait dans la revue American Society for Microbiology, et ses composantes la différencieraient des autres coronavirus connus.

Le chercheur semble avoir bon espoir de pouvoir élaborer un vaccin pour contrer une nouvelle pandémie, mais appelle la population à la prudence.

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Toutes les femmes enceintes britanniques seront vaccinées contre la coqueluche, alors que le pays fait face à une épidémie

Le gouvernement du Royaume-Uni a pris la décision d’offrir le vaccin contre la coqueluche à toutes les femmes enceintes, dans le but de protéger les nouveau-nés contre la maladie.

La Grande-Bretagne vit maintenant sa pire épidémie de coqueluche en 20 ans. Cette maladie est rarement sérieuse pour les adultes qui la contractent, mais peut être fatale pour les bébés.

Toutes les femmes enceintes de 28 à 38 semaines pourront recevoir le vaccin de leur médecin de famille, ce qui devrait contribuer à transférer des anticorps contre la maladie à leur foetus à travers le placenta.

Les nouveau-nés reçoivent ce vaccin à 8 semaines; il est impossible de les immuniser avant parce que leur organisme n’est pas assez mature. Or, les nourrissons de deux mois et moins sont particulièrement vulnérables à la coqueluche, et les 9 bébés décédés à cause de cette épidémie avaient tous moins de 8 semaines.

Le Département de la Santé du Royaume-Uni précise qu’il s’agit d’une mesure temporaire, qui cessera lorsque l’épidémie sera terminée.

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4,6 millions de décès reliés au diabète chaque année

La Fédération internationale du diabète, qui représente 160 pays, dévoile des chiffres alarmants sur le diabète.

Présentement, 366 millions de personnes en souffrent dans le monde. Ce nombre inclut autant le diabète de type 1, qui touche particulièrement les enfants et les jeunes adultes, que le diabète de type 2, qui se développe à l’âge adulte et est souvent lié à l’obésité.

Selon l’Organisme, une personne diabétique meurt toutes les sept secondes, et le nombre de personnes touchées par la maladie ne cesse de croître en raison du vieillissement de la population, de sa croissance, mais aussi en raison du fléau de l’obésité.

Selon les données recueillies, il en coûte 465 milliards de dollars au système de santé pour soigner les personnes malades.

Dans les 30 dernières années, le nombre de diabétiques a doublé. Au Canada seulement, on compte 2 millions de malades, dont 9 sur 10 sont atteints du type 2.

On demande aux Nations Unies d’adopter des mesures plus ciblées pour freiner la progression de l’épidémie et d’investir davantage dans la recherche.</pédération internationale du diabète, qui représente 160 pays, dévoile des chiffres alarmants sur le diabète.

Présentement, 366 millions de personnes en souffrent dans le monde. Ce nombre inclut autant le diabète de type 1, qui touche particulièrement les enfants et les jeunes adultes, que le diabète de type 2, qui se développe à l’âge adulte et est souvent lié à l’obésité.

Selon l’Organisme, une personne diabétique meurt toutes les sept secondes, et le nombre de personnes touchées par la maladie ne cesse de croître en raison du vieillissement de la population, de sa croissance, mais aussi en raison du fléau de l’obésité.

Selon les données recueillies, il en coûte 465 milliards de dollars au système de santé pour soigner les personnes malades.

Dans les 30 dernières années, le nombre de diabétiques a doublé. Au Canada seulement, on compte 2 millions de malades, dont 9 sur 10 sont atteints du type 2.

On demande aux Nations Unies d’adopter des mesures plus ciblées pour freiner la progression de l’épidémie et d’investir davantage dans la recherche.

Crédit photo : dream designs / FreeDigitalPhotos.net

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La grippe aviaire est de retour

L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) vient d’émettre des recommandations quant à la renaissance de la grippe aviaire sur le continent asiatique.

Déjà, l’inquiétude grandit, car il s’agit d’une souche mutante. On parle de « risques imprévisibles pour la santé humaine ».

Le virus mortel s’étend peu à peu en Asie, le dernier décès étant survenu au Cambodge il y a quelques semaines. On l’a aussi remarqué en Chine et au Vietnam. La nouvelle expansion de la H1N5 pourrait être due à la migration des oiseaux.

Rappelons-nous qu’une vague importante de ce virus a tué 331 personnes depuis 2003. On avait aussi dû abattre 400 millions de volailles, et on croyait l’avoir éliminé en 2006 dans la plupart des pays infectés, au nombre de 63.

On affirme qu’en ce moment, aucune personne se trouvant en Asie ne peut se croire à l’abri de l’épidémie.

 
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Les graines de fenugrec égyptiennes pointées du doigt

Après avoir soupçonné quelques aliments, dont les concombres espagnols, comme étant à l’origine de la contamination à la bactérie E. coli en Europe, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) pointe maintenant du doigt les graines de fenugrec égyptiennes.
 
L’Union européenne a donc interdit toute importation jusqu’au 31 octobre et demande à ce que les stocks reçus entre 2009 et 2011 soient détruits afin qu’ils ne soient plus offerts à la consommation.
 
Toutefois, le ministre égyptien de l’Agriculture, Abou Hadid, nie catégoriquement que les graines de fenugrec sont à l’origine du problème. Selon lui, les tests ont démontré que la souche de la bactérie E. coli qui a fait 51 morts et 4 000 malades en Europe n’était pas présente dans les graines égyptiennes.
 
Sur les 51 décès relatés, 49 ont eu lieu en Allemagne, un en Suède et un aux États-Unis. 851 personnes sur les 4 000 malades ont eu des complications graves allant jusqu’à de l’insuffisance rénale.

En juin, une deuxième éclosion de la même souche de la bactérie E. coli se produisait en France.

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La rougeole est de retour…

Il y a quelques semaines, on apprenait qu’on avait remarqué une hausse importante des cas de rougeole aux États-Unis. Selon Radio-Canada, la propagation de la maladie est aussi une réalité au nord de la frontière.

En 2011, plus de 250 cas de rougeole ont été relevés au Québec. Il s’agit d’un nombre effarant en comparaison des données habituelles. En moyenne, on compte un à deux cas par année dans la province.
 
La Direction de la santé publique du Québec a mentionné que la transmission du virus ne se fait en ce moment que sur une base locale.
 
Les premiers cas relevés, en avril, touchaient en grande partie des gens qui revenaient de l’Europe (de la France, entre autres). On ne pourrait toutefois parler d’une épidémie, du moins pour l’instant.
 
Mentionnons finalement que jeunes enfants reçoivent habituellement un premier vaccin contre la rougeole vers un an. La deuxième dose est alors administrée entre le 13e et le 24e mois.

La rougeole se reconnaît par des rougeurs, une toux, un écoulement nasal, la conjonctivite et la fièvre. Cette infection virale ne génère que rarement des complications.

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Les germes de soya pointés du doigt

Après avoir faussement accusé le concombre espagnol comme source d’origine de la contagion à la bactérie E. coli en Europe, on pointe maintenant du doigt les germes de soya.
 
L’enquête menée par les autorités allemandes, le pays le plus touché par l’épidémie, les a menées vers l’entreprise Ülzen dans le sud d’Hambourg, foyer de la contagion. Cette compagnie fournissait des germes de soya à des restaurants dont les clients sont tombés malades.
 
Pour le moment, on a fermé la plantation et les produits ont été rappelés. Cependant, les premiers résultats d’analyse démontrent que les germes de soya de cette ferme biologique ne seraient pas en cause. Les analyses se poursuivent afin d’éliminer tout doute subsistant.
 
Entre-temps, le bilan de la contagion continue de s’alourdir avec 22 morts et 2 153 malades.
 
Il est encore conseillé de ne pas consommer de légumes frais provenant du nord de l’Allemagne.
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Avis quant au retour d’un virus

On lit sur Nurse.com que nos voisins du sud ont observé une hausse marquée des cas de rougeole cette année.

Les U.S. Centers for Disease Control and Prevention rapportent 118 cas répartis dans 23 États. De nombreuses personnes atteintes n’avaient pas été vaccinées.
 
Il s’agit de la plus forte présence de ce virus depuis 1966. Rappelons que la rougeole avait été éradiquée vers la fin des années 90, aux États-Unis, à la suite de campagnes de vaccination massives. Le phénomène s’était étendu au reste de l’Amérique au cours des années 2000.
 
Or, le grand nombre de voyageurs semble responsable du retour de la maladie. Les autorités prônent donc encore le vaccin, tant que la rougeole demeurera endémique à travers le monde.

Rappelons finalement que la rougeole est une maladie assez grave. On estime que 90 % des personnes exposées au virus en seront infectées. Le vaccin est conseillé aux enfants de 12 à 15 mois, avec un rappel lorsqu’ils ont de 4 à 6 ans.

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Une mutation génétique du virus H1N1 sous surveillance

Un article publié dans le Public Library of Science One mentionne que des chercheurs du Massachusetts Institutes of Technology gardent le virus H1N1 à l’œil. C’est qu’ils auraient identifié une mutation génétique qui rendrait le virus encore plus contagieux pour l’homme.
 
Ils ont créé en laboratoire des virus avec diverses modifications et l’une d’elles a permis de rendre le virus encore plus transmissible à l’homme. Cela fait craindre une deuxième vague possible du virus si cette mutation génétique s’effectuait naturellement.
 
Par le passé, des épidémies d’influenza se sont déroulées quelques fois en deux phases. Par exemple, la maladie avait fait peu de morts en 1917, mais le virus avait ensuite muté et provoqué le décès de 50 millions de personnes l’année suivante.
 
Les autorités craignent donc que cela se reproduise. Depuis la pandémie de 2009, l’Organisation mondiale de la santé surveille le virus et prélève des échantillons partout dans le monde. Ainsi, elle devrait être en mesure d’identifier rapidement le virus muté s’il fait surface.