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L’obésité touche aussi les bébés

Il semble que si les enfants sont aussi visés par le nombre grandissant de cas d’obésité, les bébés n’en seraient pas non plus à l’abri.

Selon une étude de l’Université Wayne State à Détroit, parue dans l’American Journal of Health Promotion, plus du tiers des bébés de neuf mois risqueraient de devenir obèses.

Cette étude longitudinale a porté sur 16 400 bébés nés en 2001. Au moment des analyses, 8 900 d’entre eux étaient âgés de 9 mois, tandis que 7 500 avaient 2 ans.

Parmi ces enfants, 31,9 % des bébés de 9 mois risquaient de souffrir d’obésité. Ceux qui étaient âgés de 2 ans avaient quant à eux un taux de risque de 34,3 %.

Ces données sont le résultat de calculs en fonction de la prise du poids des enfants à l’étude. En général, les filles étaient moins à risque que les garçons.

En regard de ces révélations, les chercheurs rappellent l’importance qu’ont les parents quant aux bonnes habitudes alimentaires à transmettre à leurs enfants.

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Un lien entre le rhume et la grippe

Les enfants joueraient un rôle déclencheur dans les épidémies grippales. Il faudrait, semble-t-il, mieux observer les cas de rhumes chez les plus jeunes.

En effet, selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), un lien serait à faire entre le rhume et la grippe, nous apprend Le Point.

Après avoir comparé des données recueillies entre 2005 et 2008 par l’observatoire Hivern@le-KhiObs et le réseau Sentinelles, ils ont pu remarquer cette corrélation.

Lorsque les cas de rhumes augmentent chez les tout-petits, il semble qu’une épidémie de grippe aurait de fortes chances de se produire.

Donc, 4 à 10 jours après le début des cas de rhinopharyngites, il faudrait s’attendre à une éclosion de syndromes grippaux.

Malgré ces observations, les spécialistes demandent de faire la part des choses. En effet, il semble que de nombreux cas de rhumes diagnostiqués comme tels seraient en fait des grippes.

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L’épidémie de rougeole continue de sévir en France

Depuis le 1er janvier 2008, la France fait face à une épidémie de rougeole, surtout chez les enfants de moins d’un an. Depuis cette date, 2 800 cas ont été signalés. En 2009, 1 600 personnes avaient été contaminées et déjà depuis le 1er janvier dernier, on a enregistré 650 cas.
 
Selon l’Institut de veille sanitaire (InVS), le virus s’intensifie cette année.
 
Les personnes les plus touchées sont les bébés de moins d’un an, mais le virus touche également les adolescents et les jeunes adultes. Des foyers du virus sont déclarés surtout en milieu scolaire, en garderie et même chez les personnes qui voyagent.
 
« Cette situation reflète probablement une meilleure déclaration des cas, mais elle témoigne surtout de la diffusion du virus et d’une augmentation du nombre de foyers de cas groupés. Ces foyers épidémiques sont la conséquence d’un niveau insuffisant et hétérogène de la couverture vaccinale en France, l’accumulation progressive de sujets non immunisés conduisant à des poches de sujets réceptifs au virus », explique l’InVS.
 
La vaccination devient donc une priorité désormais en France. Des campagnes de vaccination auront lieu dès le 23 avril.
 
En 2005, on a mis en place un plan pour enrayer la maladie en France. L’objectif premier de ce plan était que 95 % des enfants de 2 ans soient vaccinés contre la rougeole.
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Augmentation du risque de pandémies

Selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le risque de pandémies est grandement accru par les voyageurs du monde entier.

Afin de réduire les risques, l’institution des Nations Unies conseille fortement la coopération entre les nations et un accès plus facile et rapide des pays pauvres à la médication nécessaire.

Les responsables de l’OMS sont persuadés que les échanges d’informations médicales et technologiques entre pays sont essentiels pour contrer d’éventuelles épidémies.

Au cours des 40 dernières années, il y a eu, selon l’OMS, 39 agents pathogènes, parmi lesquels le SRAS et le SIDA. De plus, l’utilisation abusive d’antibiotiques depuis quelques années engendre une autre problématique, soit celle de bactéries de plus en plus résistantes aux traitements, rendant la lutte contre les épidémies encore plus difficile.