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Nouveau traitement contre l’épilepsie

Alors que les injections traditionnelles de Diazépam par voie rectale forçaient les parents à violer le respect de l’intimité des enfants quand les crises survenaient dans les lieux publics, le Buccolam viendrait régler ce problème tout en gardant la même efficacité.

Sur psychoenfants.fr, il est expliqué que la molécule nommée « midazolam » était d’abord destinée aux adultes. Ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché (AMM) depuis un moment, le nouveau médicament, qui permet de mieux traiter les crises d’épilepsie des jeunes, peut être injecté par voie parajugale (entre la joue et la gencive).

Le traitement faisant figure de pionnier dans le traitement de l’épilepsie chez l’enfant est tout aussi efficace que l’habituel. De plus, il offre une solution beaucoup plus respectueuse et moins angoissante tant pour les petits que pour les gens devant l’administrer.

Les bienfaits du Buccolam sont nombreux. Notamment, il est présenté sous forme de seringues pré-remplies de la dose adéquate selon l’âge de l’enfant. Cela évite au soignant de s’assurer de la bonne dose à injecter, ce qui comportait des risques d’être trop approximatif.

Voilà une excellente nouvelle, tant pour les enfants que pour les donneurs de soins.

s que les injections traditionnelles de Diazépam par voie rectale forçaient les parents à violer le respect de l’intimité des enfants quand les crises survenaient dans les lieux publics, le Buccolam viendrait régler ce problème tout en gardant la même efficacité.

Sur psychoenfants.fr, il est expliqué que la molécule nommée « midazolam » était d’abord destinée aux adultes. Ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché (AMM) depuis un moment, le nouveau médicament, qui permet de mieux traiter les crises d’épilepsie des jeunes, peut être injecté par voie parajugale (entre la joue et la gencive).

Le traitement faisant figure de pionnier dans le traitement de l’épilepsie chez l’enfant est tout aussi efficace que l’habituel. De plus, il offre une solution beaucoup plus respectueuse et moins angoissante tant pour les petits que pour les gens devant l’administrer.

Les bienfaits du Buccolam sont nombreux. Notamment, il est présenté sous forme de seringues pré-remplies de la dose adéquate selon l’âge de l’enfant. Cela évite au soignant de s’assurer de la bonne dose à injecter, ce qui comportait des risques d’être trop approximatif.

Voilà une excellente nouvelle, tant pour les enfants que pour les donneurs de soins.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Nouveau traitement pour l’épilepsie

Eisai est heureuse que FYCOMPA (pérampanel), un médicament indiqué comme traitement d’appoint dans la gestion des crises partielles d’épilepsie chez les patients adultes, ait été autorisé par Santé Canada.

Il s’agit d’un médicament visant les gens atteints d’une épilepsie qui n’est pas maîtrisée de façon satisfaisante par un traitement conventionnel.

« FYCOMPA représente une approche novatrice dans le traitement de l’épilepsie et une option dont les patients et médecins canadiens avaient grand besoin », déclarait le Dr Jean-François Clément, spécialiste de l’épilepsie à l’Hôpital Charles-Lemoyne associé à l’Université de Sherbrooke.

« Lorsque FYCOMPA est ajouté à leur schéma thérapeutique actuel, une réduction significative des crises est observée chez les patients. »

Il s’agirait d’une grande victoire pour la communauté épileptique, alors qu’elle célèbre aujourd’hui l’autorisation de FYCOMPA.

« L’accès à de nouvelles options est la clé. Chaque patient répond différemment à un traitement, et notre but en tant que communauté est de nous assurer que les outils soient disponibles, afin que la vie des patients puisse être productive et gratifiante », a souligné Gail Dempsey, présidente de l’Alliance canadienne de l’épilepsie.

Pour plus d’informations : www.eisai.com.

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La marijuana médicinale pour enfant

Aussi choquant que cela puisse paraître, cette pratique n’est plus exactement inhabituelle. Dix-huit États, plus Washington, D.C., permettent l’utilisation de la marijuana médicinale.

Certains d’entre eux fournissent aussi des prescriptions pour les enfants, sous supervision parentale, afin de traiter une foule de maux, allant de l’autisme au cancer en passant par les convulsions.

Un article paru sur le site web de NBC News explique que certaines critiques, dont l’American Academy of Pediatrics, soutiennent que le recours n’a pas été testé cliniquement chez les enfants et peut avoir des conséquences à long terme.

Cependant il est aussi question de l’histoire de Zaki Jackson, un enfant souffrant de graves convulsions épileptiques depuis qu’il était bébé. Dès qu’il a commencé son traitement à la marijuana, à l’âge de 10 ans, ses problèmes ont cessé.

La drogue de Zaki est fournie spécialement pour lui par une équipe de frères qui cultivent légalement de la marijuana médicinale. Elle a été conçue avec un faible niveau de THC, mais des niveaux plus élevés d’un autre cannabinoïde appelé cannabidiol.

« Bien que les deux cannabinoïdes ont une incidence sur les douleurs, les nausées et les convulsions, le cannabidiol n’est pas psychoactif », a déclaré la Dre Margaret Gedde de l’Institut des cliniciens en médecine de cannabis.

Cela signifie que les enfants qui utilisent ce type de marijuana ne se « gèlent » pas.

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Lil Wayne ne se rappelle jamais de ses crises

Lil Wayne a beaucoup fait les manchettes artistiques depuis quelque temps, à cause de cette série d’attaques inquiétantes dont il a été victime.

Des incidents qui ont révélé au public qu’il souffre d’épilepsie, à la surprise de plusieurs de ses fans.

Au moins, rapporte le magazine Us, le rappeur ne se rappelle presque jamais de ces épisodes de crise et affirme ne pas ressentir de douleur non plus, une excellente chose.

« Je m’endors et je me réveille à l’hôpital. Je ne ressens rien. Il n’y a pas d’avertissements, rien. Je ne me sens pas mal », explique Lil Wayne, qui se surprend toujours lors de son réveil à l’hôpital.

L’un des plus récents épisodes a particulièrement inquiété les proches du chanteur, puisqu’il a fait trois crises consécutives, le plaçant dans un état critique.

Il avoue que ces crises peuvent très souvent être le fruit d’une surcharge de travail, d’un stress trop important et d’un repos inexistant.

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Nouvel espoir dans le traitement de l’épilepsie

L’épilepsie n’est pas qu’un moindre mal et change radicalement la vie de la plupart des gens qui en souffrent.

Le problème en ce moment, selon Santé Log, c’est que pas moins de 40 % des patients qui en souffrent ne répondent pas aux traitements et aux médicaments offerts.

Des patients attendent donc un miracle, qui pourrait bien arriver sous la forme d’injection de cellules cérébrales. C’est la nouvelle technique à l’essai du côté de l’Université de Californie, qui publie une étude sur le sujet.

Un traitement futuriste mais bien réel, assurent les spécialistes en place, qui seraient parvenus à réaliser l’exploit sur des souris.

Le bilan de ces premiers essais, publiés notamment dans la revue Nature Neuroscience, fait état d’un bon pourcentage de réussite sur les rongeurs, alors que la transplantation de cellules spécifiques au cerveau permet bel et bien l’inhibition de certains processus liés à l’épilepsie.

On parle d’un bel « espoir » du côté des chercheurs de la UCLA, un mot qui sonne comme de la musique aux oreilles des patients en attente d’une solution viable.

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Les bébés ayant survécu à un AVC ont plus de risque d’avoir des convulsions ou de l’épilepsie

Chaque année aux États-Unis, 6,4 nouveau-nés et très jeunes enfants sur 100 000 auront un accident vasculaire cérébral, incluant environ la moitié qui sont causés par une hémorragie.

Des chercheurs ont étudié le cas de 73 enfants et jeunes ainsi que de 20 nouveau-nés qui avaient survécu à un AVC. Parmi ceux-ci, 60 % des nouveau-nés ainsi que 43 % des enfants un peu plus vieux avaient eu des signes de convulsions, soit durant l’AVC, soit jusqu’à une semaine après l’événement, selon Medical News Today.

28 % des patients qui ont été suivis à l’aide d’un électroencéphalogramme ont eu des convulsions qui n’auraient pas été détectées autrement. 13 % de tous les patients ont développé l’épilepsie dans les deux années subséquentes. Les bébés et les enfants qui avaient subi une pression élevée au cerveau étaient plus susceptibles de développer des convulsions et de l’épilepsie ensuite.

Les résultats de cette étude ont été présentés lors du récent congrès de l’American Stroke Association.

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Beaucoup moins de petits Anglais sont épileptiques

Dans le cadre de l’étude, les chercheurs ont analysé les données provenant de 344 000 enfants vivant en Grande-Bretagne, âgés de 0 à 14 ans, pour lesquels un suivi avait été effectué entre 1994 et 2008.

Ils ont constaté qu’il y avait 33 % moins d’enfants épileptiques parmi ceux nés entre 2003 et 2005, comparativement à ceux nés entre 1994 et 1996. Après avoir ajusté les données pour tenir compte de l’âge, du sexe et d’autres facteurs, les chercheurs ont quand même constaté que le taux annuel d’épilepsie avait baissé de 4 % entre 2001 et 2008 dans le pays.

« La baisse observée d’épilepsie depuis le milieu des années 90 pourrait être due à des diagnostics plus spécifiques, à l’arrêt du traitement pour certaines formes d’épilepsie ou à une exposition réduite à des facteurs de risque », a expliqué l’auteure de l’étude, Ruth Gilbert, selon Medical News Today.

Parmi ces facteurs de risques, on compte la méningite et les traumatismes crâniens.

Simon Wigglesworth, qui dirige l’organisme Epilepsy Action, a toutefois rappelé que l’épilepsie continue à être une des conditions neurologiques les plus fréquentes chez les enfants.

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Les médicaments contre l’épilepsie augmentent le risque d’autisme chez l’enfant

Le Journal of Neurology, Neurosurgery and Psychiatry a publié une étude portant sur 528 femmes enceintes. Parmi celles-ci, 243 étaient atteintes d’épilepsie, et 209 avaient pris des médicaments pendant leur grossesse. Le développement physique et intellectuel des enfants a ensuite été évalué à 12 mois, à 3 ans et à 6 ans.

Parmi les enfants, 19 avaient reçu un diagnostic d’un problème neuro-développemental avant l’âge de 6 ans, incluant 12 qui avaient un trouble du spectre de l’autisme (TSA), 4 qui avaient un déficit de l’attention et d’hyperactivité, et 4 qui avaient de la dyspraxie.

Les problèmes neuro-développementaux étaient beaucoup plus fréquents chez les petits des femmes qui avaient l’épilepsie, 7 % comparativement à moins de 2 % pour les mères non atteintes. Les enfants dont la mère avait pris un médicament en particulier, appelé valproate, avaient 12 % de chances de développer le TSA, et si ce médicament avait été pris en combinaison avec d’autres, c’était plutôt 15 %.

En comparaison, aucun enfant dont la mère avait l’épilepsie et n’avait pas pris de médicament durant sa grossesse n’a développé un TSA, selon Science Daily.

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Le jeûne pourrait aider certains enfants épileptiques

L’étude a porté sur 6 enfants âgés de 2 à 7 ans, qui avaient tous une forme sévère du trouble neurologique qui n’était pas contrôlée par la médication. Les enfants suivaient une diète cétogène, c’est-à-dire qu’ils mangeaient presque uniquement des aliments à haute teneur en gras et très peu de glucides.

Les scientifiques pensent que ce régime particulier sert bien cette population d’enfants en apportant des changements biochimiques dans leur cerveau, empêchant les courts-circuits qui causent les crises d’épilepsie.

Ces enfants ont de plus commencé à jeûner un jour sur deux. Quatre d’entre eux ont eu une réduction de leurs crises, de 50 à 99 %. Trois parmi les six ont été capables de poursuivre ce jeûne alterné pendant deux mois ou plus.

« Nous croyons que le jeûne affecte les cellules nerveuses d’une manière complètement différente du régime cétogène », a noté l’auteur de l’étude, le Dr Adam Hartman, tel que rapporté par Science Daily.

Les chercheurs ont noté que des études plus poussées sont nécessaires pour élucider les effets du jeûne. Les résultats ont été publiés dans la revue médicale Epileptic Research.

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Quoi faire si son enfant fait une crise d’épilepsie

Il existe différents signes avant-coureurs d’une crise d’épilepsie, mais ceux-ci peuvent varier d’un enfant à l’autre. Parmi ceux-ci : l’enfant dit se sentir étrange ou apparaît confus, il se plaint d’avoir un goût inhabituel dans la bouche ou encore de sentir des odeurs bizarres.

Lorsqu’une crise se produit, l’enfant peut être secoué de tremblements plus ou moins violents des membres ou de tout le corps. L’enfant peut sembler endormi, faible, avoir un mal de tête, se sentir engourdi ou alors faire pipi.

Le plus important lorsqu’une crise se produit, c’est de rester calme. Il faut placer l’enfant par terre sur le côté afin d’éviter qu’il ne s’étouffe, et ne pas essayer de le maitriser. S’il a un objet dans la bouche, par exemple un biberon ou une suce, il faut retirer celui-ci et essayer de lever son menton, pour lui permettre de mieux respirer.

Après la crise, il faut amener l’enfant chez le médecin ou à l’hôpital si c’est la première fois. Si la crise dure plus de 5 minutes, appelez le 911.